Soldat au 41ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 1 août 1916 au bois Duchénois à Verdun (Meuse).
Fils de Joseph Albert Ambard et de Joséphine Bonnaud, il est né le 24 mars 1892 à Bras.
Cultivateur, il est incorporé le 10 octobre 1913 au 10ème Régiment d'Artillerie à Pied.
Le 1 mai 1914 il passe au 114ème Régiment d'Artillerie Lourde.
Le 19 juillet 1915 il est blessé à la cuisse
droite par un éclat d'obus.
Le 23 juillet 1915 il est cité à l'ordre du 35ème Corps d'Armée : "Quoique blessé et malgré un violent bombardement, a continué à assurer le service de sa pièce - Croix de Guerre".
Le 1 novembre 1915 il passe au 113ème Régiment d'Artillerie Lourde.
Le 12 novembre 1917 il est classé service auxiliaire inapte temporairement à faire campagne
Le 4
mars 1918 il est maintenu service auxiliaire par la commission de réforme de Clermont-Ferrand pour brochite et problèmes pulmonaires.
Le 12 mai 1918 il passe au 15ème Escadron du Train des Equipages.
Le 6 juillet 1918 il passe au 2ème groupe d'aviation.
Il est démobilisé le 14 avril 1919.
Il est né le 10 mai 1888 à Bras.
Il est incorporé le 7 octobre 1909 au 3ème Régiment d'Infanterie. Il est renvoyé dans ses foyers le 24 septembre 1911.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il arrive au corps le 2 août 1914. Il arrive au front le 19 août 1914.
Il est blessé le 30 juin 1915 à Flirey
dans une mine en travaillant à la compagnie du génie d'un éclat de bombe à la cuisse et à la jambe gauche. Il rejoint son unité le 14 octobre 1915.
Le 7 août 1915 il est cité à l'ordre de la Division
Il est promu Caporal le 7 janvier 1917.
Il est cité le 1 octobre 1918 à l'ordre du 163ème Régiment d'Infanterie pour son comportement au combat le 15 juillet 1918, où il a tenu en respect un ennemi supérieur en nombre.
Il est démobilisé le 26 juillet 1919. Il se retire à Bras.
Il est titulaire de la Croix de Guerre avec étoile de bronze.
Soldat au 163ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 4 décembre 1915 à Flirey (Meurthe et Moselle).
Il est né le 21 juillet 1881 à Bras.
Le 15 novembre 1901, il est incorporé au 19ème Régiment d'Artillerie en qualité de 2ème canonnier servant. Il est réformé pour tuberculose pulmonaire le 3 juin 1903.
Rappelé, le 11 décembre 1914 il est déclaré bon pour le service armée par le conseil de révision du Var dans sa séance à Barjols.
Le 18 février 1915 il est affecté au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Il est cité à l'ordre du Bataillon le 25 mars 1918 : "Au front dès le début de la campagne, a toujours fait preuve de courage et du meilleur esprit de dévouement".
Il est démobilisé le 20 février 1919.
Il est titulaire de la Croix de Guerre avec étoile de bronze.
Soldat au 414ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 2 juillet 1917 à Craonne (Aisne).
Soldat au 7ème Bataillon Alpin de Chasseurs à Pied (devenu 7ème BCA en 1916) , il est tué à l'ennemi le 13 août 1914 au col des Bagenelles à Sainte-Marie-aux-Mines (Haut-Rhin).
Fils de Joseph Jean Baptiste Baude et de Marie Toussainte Roucenq, il est né le 7 mars 1881 à Bras.
Cultivateur il est incorporé au 3ème Régiment d'Infanterie le 15 novembre 1902.
Il est clairon le 3 octobre 1903.
Le 23 septembre 1905 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le3 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie de Toulon, puis au Régiment d'Infanterie de Nice.
Clairon au 363ème Régiment d'Infanterie, il est porté disparu le 9 septembre 1916 dans la tranchée de Terline, route de Maurepas, à Clery-sur-Somme (Somme). Il est d'abord inhumé aux abords de la tranchée de Hanovre, puis transféré au cimetière militaire du Bois des ouvrages à Cléry sur Somme.
Le 8 février 1917 il est cité à l'ordre du 363ème Régiment d'Infanterie (n°341) : "Soldat courageux, s'est porté bravement à l'assaut des positions ennemies et a été tué au cours de l'attaque - Croix de Guerre avec Etoile de Bronze".
Chasseur au 5ème Régiment de Chasseurs d'Afrique, il est tué à l'ennemi le 24 juin 1915 à Beaumanoir, commune de Vienne-le-Château (Marne).
Cultivateur, il est incorporé le 9 octobre 1905 au 7ème Régiment de Cuirassiers. Il est renvoyé dans ses foyers le 12 octobre 1907.
Lors de la mobilisation générale il rejoint son corps le 5 août 1914.
Il passe au 363ème Régiment d'Infanterie.
Il est tué à l'ennemi le 13 janvier 1916 au col de la Chapellote à Angomont (Meurthe et Moselle).
Le 8 mai 1916 il est cité à l'ordre du Régiment : " Le 13 janvrier 1916 était en sentinelle en 1ère ligne à La Chapelotte. Au cours d'un bombardement violent, est resté à son poste au mépris de tout danger et a été tué. Croix de Guerre".
Il lui est également attribué en 1920 la Médaille Militaire à titre posthume en 1920.
Soldat au 111ème Régiment d'Infanterie, il mort des suites de blessures le 21 octobre 1915 au camp de Lambéchamp à à Montzéville (Meuse).
Cultivateur, il est incorporé le 9 octobre 1905 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 28 septembre 1907 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 6 août 1914.
Il est fait prisonnier le 28 août 1914 à Peronne. Il est interné à Sennelager.
Il est rapatrié le 26 décembre 1918.
Il est démobilisé le 26 février 1919.
Soldat au 165ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 44 septembre 1918 au combat de Laffaux (Aisne).
Soldat au 14ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 19 août 1916 à Maurepas (Somme).
Soldat au 67ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est mort des suites d'une maladie contractée en service le 23 mai 1915 à Vienne (Isère).
Fils de François Lucien Bonnaud et de Philomène Marie Florens, il est né le 9 octobre 1881 à Bras.
Le 21 septembre 1902 l est incorporé au 1er Régiment de Zouaves. Il est renvoyé dans ses foyers le 6 octobre 1905.
Rappelé le 4 août 1914,
il est affecté au Régiment d'Infanterie de Toulon, puis de Nice.
Soldat au 363ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 8 août 1916 au bois de Hem-Monacu (Somme).
On lui a décerné la Médaille Militaire à titre posthume.
Coiffeur puis cultivateur à Bras , il est incorporé le 11 octobre 1905 au 3ème Régiment de Tirailleurs Algériens.
Le 1 octobre 1907 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Il est incorporé dans le 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Il est fait prisonnier le 28 août 1914 à Peronne. Il est interné à Sennelager.
Il est rapatrié le 31 décembre 1918.
Il est démobilisé le 21 janvier 1919.Il se retire à Bras.
Cultivateur à Bras. il est incorporé le 9 octobre 1909 au 163ème Régiment d'Infanterie. Il est nommé Clairon le 4 septembre 1910. Le 24 septembre 1911 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il arrive au corps le 3 août 1914. Il est incorporé au 8ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Il est tué à l'ennemi le 29 décembre 1914 à Massiges (Marne).
Fils de Marius Henri Canolle et de Marie Jardin, il est né le 22 septembre 1883 à Bras.
Le 15 novembre 1904 il est incorporé au 111ème Régiment d'Infanterie.
Le 23 septembre 1905 il est soldat sapeur.
Soutien de famille, le 11 mars 1907 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Le 12 mai 1917 il est cité à l'ordre du Régiment (n°383) : "
Soldat dévoué, s'est offert à ravitailler ses camarades en 1ère ligne, a accompli sa mission avec cranerie malgré de nombreux tirs de barrage - Croix de Guerre".
Le 26 février 1919 il est mis en congé illimité de démobilisation et se retire à Saint-Maximin.
Le 26 novembre 1913 il est incorporé au 7ème Régiment du Génie.
Le 17 avril 1914 il passe au 4ème Régiment du Génie.
Le 18 décembre 1917 il est blessé par un éclat d'obus au coude droit.
Le 26 août 1918 il passe au 75ème Régiment d'Infanterie.
Il est démobilisé le 4 avril 1919. Il se retire à Bras.
Soldat au 1er Bataillon Colonial du Maroc, il est tué à l'ennemi le 24 septembre 1914 à Marquises (Marne).
Soldat au 89ème Régiment d'Infanterie (3ème Armée Sarrail, 5ème Corps d'Armée, 10ème Division d'Infanterie Valdant), il est tué à l'ennemi le 13 juillet 1915 lors du combat de la Haute-Chevauchée au bois de La Chalade (Meuse).
Caporal au 58ème Régiment d'Infanterie, il est disparu entre le 25 août et le 20 décembre 1914 à Dieuze (Lorraine).
Soldat au 3ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 29 juin 1916 à Lombartzide (Belgique).
Soldat au 3ème Régiment d'Infanterie, il est décédé des suites d'une maladie contractée en service le 29 octobre 1916 à l'Hôpital 199 de Gap (Hautes-Alpes).
Soldat au 67ème Bataillon de Chasseurs à Pied, il est tué à l'ennemi le 28 août 1914 à Peronne (Somme).
Capitaine au 3ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites d'une intoxication par les gaz le 20 mars 1918 à Hyères (Var).
Sous-lieutenant au 154ème Régiment d'Infanterie il est mort des suites de blessures de guerre le 25 avril 1916 à l'ambulance 61-6 à Jouy-en-Argonne (Meuse).
Le 6 octobre 1906 il est incorporé au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 1 octobre 1907 il est promu Caporal.
Le 1 mars 1908 il est renvoyé dans ses foyers.
Le 15 janvier 1912 il passe au 363ème Régiment d'Infanterie.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 5 août 1914.
Le 11 avril 1916 il est nommé Sergent.
Le 8 mai 1917 il est cité à l'ordre de la Brigade : "Très bon sous-officier. A été tué en entrainant sa demi-section à l'assaut d'une position fortement organisée - Croix de Guerre avec étoile de bronze".
Il est tué à l'ennemi le 19 avril 1917 à Brimont (Marne).
Boucher à Bras, il est incorporé le 8 octobre 1908 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Le 25 septembre 1910 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il arrive au corps le 4 août 1914.
Le 28 août 1914 il est fait prisonnier à Peronne. Il est interné à Sennelager.
Le 20 décembre 1918 il est rapatrié.
Le 9 mars 1919 il passe au 113ème Régiment d'Infanterie.
Le 21 janvier 1919 il est démobilisé.
Cultivateur, il est incorporé le 9 octobre 1912 au 3ème Régiment d'Infanterie.
Il est maintenu sous les drapeaux le 2 août 1914.
Le 26 février 1915 il passe au 11ème Régiment d'Infanterie.
Il est tué à l'ennemi le 9 mai 1915 à Roclincourt (Pas de Calais).
Soldat au 157ème Régiment d'Infanterie. En mars 1916 il est envoyé avec son régiment de Barricourt (08), arrière du front, pour les premières lignes où il participe à la bataille de Verdun au Bois de Malancourt et au réduit d'Avocourt.
il est mort des suites de ses blessures le 31 mars 1916 à l'ambulance 5/55 de Salvange, commune de Bar-le-Duc (Meuse).
Commerçant, il est incorporé le 8 octobre 1912 au 55ème Régiment d'Artillerie.
Il est maintenu sous les drapeaux le 2 août 1914.
Le 29 septembre 1914 il est promu Brigadier.
Le 18 novembre 1915 il est promu Brigadier.
Le 22 décembre 1916 il est grièvement blessé, il sera amputé du bras droit.
Le 12 janvier 1917 il est cité à l'ordre de la Division : "Sous-Officier d'un zèle et d'un dévouement à toute épreuve, très belle tenue au feu. S'est dépensé sans compter, sur la construction d'une position avancée. A été grièvement blessé le 22 décembre 1916 en surveillant les travaux d'aménagement de cette position - Croix de Guerre avec étoile d'argent et palme".
Soldat au 311ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 17 juin 1915 à Chattancourt (Meuse).
Soldat au 163ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 16 février 1915 à Flirey (Meurthe-et-Moselle).
Soldat au 134ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 13 avril 1918 à Orvillers (Oise).
Soldat au 82ème Régiment d'Infanterie Territoriale, il est tué à l'ennemi le 13 juin 1917 à Faulx (Meurthe-et-Moselle).
Chasseur au 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 23 avril 1915 à Moosch (Haut-Rhin).
Soldat au 3ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 23 septembre 1914 à Avocourt (Meuse).
Adjudant au 4ème Régiment d'Infanterie Coloniale , il est mort des suites de ses blessures le 31 mai 1915 à Chalons-sur-Marne (Marne).
Soldat au 111ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites de ses blessures le 3 novembre 1915 à l'hôpital temporaire de Dijon (Côte d'Or).
Sous-lieutenant au 363ème Régiment d'Infanterie, il est il est tué à l'ennemi le 3 septembre 1916, au nord de Clery-sur-Somme (Somme).
Le 26 novembre 1913 il est incorporé au 6ème Régiment de Hussards.
Le 6 août 1914 il part au front avec le 6ème Régiment de Hussards.
Le 25 janvier 1917 il est évacué à l'ambulance 4/54 de Landrecourt (Meuse).
Le 24 février 1917 il entre à l'hôpital temporaire n°68 à Autun. Il en sort le 28 mars 1917.
Le 29 mars 1917 il entre à l'hôpital auxilliaire de Millau. Il en sort le 22 avril 1917.
Le 22 avril 1917 il entre à l'hôpital complémentaire n°30 à Rodez. Il en sort le 26 avril 1917, mais reste en congé de convalescence jusqu'au 17 mai 1917.
Il est cité à l'ordre du régiment le 19 novembre 1918 : "Cavalier extrêmement courageux et dévoué. Pendant la période du 1 au 6 novembre 1918 a assuré avec beaucoup d'énergie ses liaisons parfois difficiles dans des zones violemment battues par l'artillerie ennemie. Blessé au cours de la campagne".
Il est démobilisé le 7 août 1919.
Il décède à Tourves le 10 septembre 1924.
Cultivateur à Bras, le 4 septembre 1917 il est incorporé au 8ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 15 avril 1918 il passe au 9ème Batailon du 3ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 25 juillet 1918 il passe au 29ème Régiment d'Infanterie.
Le 18 décembre 1918 il passe à la 18ème Section des Infirmiers Militaires.
Le 27 janvier 1919 il passe à la 15ème Section des Infirmiers Militaires.
Il est démobilisé le 18 octobre 1919.
Fils de Benoit Moutte et de Anastasie Rose Roquebrun, il est né le 21 avril 1873 à Fox-Amphoux.
Chaudronnier, il est incorporé le 5 mai 1891 aux Equipages de la Flotte où il est engagé volontaire pour cinq ans.
Le 20 mai 1891 il est ouvrier mécanicien de 3ème classe.
Le 17 mai 1893 il est quartier-maître théorique mécanicien de 2ème classe.
Le 1 avril 1894 il est quartier-maître théorique mécanicien de 1ère classe.
Il est chef mécanicien sur le paquebot mixte Mascara de la Compagnie de Navigation Mixte de Marseille.
En juillet 1916 il repousse au canon une attaque du sous-marin U-33.
Le 21 octobre 1917, le bâtiment quitte Alger à 16h environ, se rendant à Nice avec 1 500 tonnes de vin et de son. Il relâche à Bougie le 22 octobre 1917.
Le 24 octobre 1917 ses chaudières explosent entre 18h et 19h à quelques 60 milles dans l’ouest de la pointe nord de l’île d’Asmara, située au nord ouest de la Sardaigne.
Deux S.O.S. sont lancés par le radio et captés par le Patrouilleur Bacchant, la position est 41°14’ et 07°05’ E . Le navire prend de suite de la gîte par tribord et en cinq minutes s’engloutit dans les flots, l’avant plongeant en premier et l’arrière se soulevant en surface.
Sur les 46 hommes composant l’équipage, un seul échappa à la catastrophe. Il a nagé sans boire ni manger pendant 8 jours et a échoué à bout de forces, mais vivant le 01 novembre 1917 sur la place de La Hurra au nord-ouest de la Sardaigne où les habitants le recueillirent.
Caporal au 162ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 10 juin 1918 à Autheuil (Oise).
Marsouin au 7ème Bataillon d'Infanterie Coloniale du Maroc, il est tué à l'ennemi le 30 septembre 1914 à la Ferme des Marquises à Val-de-Vesle (Marne).
Coiffeur, le 4 juillet 1910 il s'engage pour trois ans à la Mairie de Marseille.
Il est incorporé dans le 141ème Régiment d'Infanterie. Il est renvoyé dans ses foyers le 4 juillet 1913.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 3 août 1914.
Il est tué à l'ennemi le 20 août 1914 à Dieuze (Moselle).
Caporal au 22ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 24 février 1915 à Minaucourt (Marne).
Sergent au 163ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 27 août 1914 au Bois d'Anglemont (Vosges).
Soldat au 31ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites de ses blessures le 18 mai 1915 à l'ambulance 5-55 de Salvanges à Bar-le-Duc (Meuse).
Caporal au 367ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 1 juin 1918 à Bonnesvalyn (Aisne).
Cultivateur, il est incorporé le 5 octobre 1910 au 111ème Régiment d'Infanterie.Il est renvoyé dans ses foyers le 25 septembre 1912.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 3 août 1914.
Le 29 septembre 1914 il est promu Caporal.
Le 20 mars 1916 il est fait prisonnier à Malancourt. Il est interné en Allemagne.
Il est rapatrié le 30 décembre 1918.
Le 24 février 1919 il passe au 112èe Régiment d'Infanterie puis, le 17 mars 1919, à la 15ème Section d'Infirmiers Militaires.
Le 23 mars 1919 il est démobilisé. Il se retire à Bras.