Vernisseur potier, il est déclaré bon pour le service armée par le conseil de révision qui s'est tenu à Saint-Maximin le 10 décembre 1914.
Le 21 février 1915 il est incorporé au 75ème Régiment d'Infanterie.
Le 6 juin 1915 il passe au 52ème Régiment d'Infanterie.
Le 16 juin 1915 il passe au 158ème Régiment d'Infanterie.
Le 27 juillet 1915 il passe au 1er Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 4 avril 1916 il est tué à l'ennemi à Verdun (Meuse).
Soldat au 67ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 14 janvier 1915 à Sainte-Marguerite (Aisne).
Soldat au 102ème Régiment d''Artillerie Lourde, il est tué à l'ennemi le 23 août 1916 à Herbécourt (Somme).
Caporal au 165ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 12 avril 1918 à Hangard-en-Santerre (Somme).
Boucher, il est incorporé le 10 avril 1915 au 22ème Régiment d'Infanterie Colonial.
Le 8 décembre 1915 il passe au 19ème Régiment d'Infanterie Colonial.
Le 17 avril 1916 il passe au 21ème Régiment d'Infanterie Colonial.
Le 20 octobre 1917 il est blessé.
Le 26 octobre 1918 il décède dans l'ambulance 2/18 à Epernay des suites de ses blessures de guerre.
Le 22 mai 1919 il est cité à l'ordre du régiment :"Excellent soldat qui s'est vailamment conduit sur le champ de bataille. Grièvement blessé le 20 octobre 1918 est décédé le 26 à Epernay des suites de ses blessures - Croix de Guerre avec Etoile de Bronze".
Il est né le 2 février 1894 à Pierrefeu.
Charretier à Sant-Zacharie, il est ajourné pour faiblesse en 1914, confirmé en 1915 et incorporé le 9 août 1916 au 141ème Régiment d'Infanterie.
Le 13 juillet 1917 il passe au 92ème Régiment d'Infanterie.
Le 28 mai 1918 il est fait prisonnier au combat de Hourges (arne). Il est interné en Allemagne.
Il est rapatrié le 6 décembre 1918.
Le 7 janvier 1919 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 10 septembre 1919 il est démobilisé.
Il est titulaire de :
- la Médaille Commémorative de la Grande Guerre,
- la Médaille de la Victoire.
Soldat au 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins (66°DIR Noblet) , il est tué à l'ennemi à le 30 décembre 1915 au Hartmannswillerkopf (Haut-Rhin).
Soldat au 173ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites de ses blessures le 29 septembre 1914 à Verdun (Meuse).
Soldat au 173ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 7 mars 1915 au Bois de Ranzières (Meuse).
Soldat au 17ème Régiment d'Infanterie, il est décédé des suites de ses blessures de guerre, dans l'ambulance 2/13, le 8 mars 1916 à Verdun (Meuse).
Soldat au 141ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 20 août 1914 à Dieuze (Moselle).
Fils de Osmon Toussaint Bouis et de Augustine Joséphine Julie Teisseire, il est né le 13 septembre 1881 à Saint-Zacharie.
Cultivateur, il est incorporé le 14 novembre 1902 au 111ème Régiment d'Infanterie.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 6 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie de Toulon.
Le 7 août 1916 il est blessé par une balle de révolver au pouce droit dans le secteur de
Tahure.
Le 16 août 1916 il est cité à l'ordre du régiment : " S'est porté vailamment à l'attaque de la tranchée ennemie, l'a occupée et organisée malgré un violent tir de barrage, et a contribué à faire de nombreux prisonniers - Croix de Guerre".
Le 30 août 1916 il rejoint son unité.
Le 11 septembre 1916 il est cité à l'ordre du régiment : "S'est particulièrement fait remarquer
par son courage et son entrain dans l'attaque de la tranchée ennemie au combat du 3 septembre 1916 - Croix de Guerre avec 2 étoiles de bronze".
Le 26 avril 1917 il passe au 363ème Régiment d'Infanterie.
Le 16 février 1919 il est démobilisé.
Il est titulaire de la Médaille Militaire (1931).
Maçon, il est incorporé le 15 novembre 1903 au 112ème Régiment d'Infanterie. Le 19 septembre 1906 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 4 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie de Nice.
Le 25 avril 1916 il est fait prisonnier à la Chapelotte (Meurthe-et-Moselle). Il est interné à Puchheim.
Il est rapatrié d'Allemagne le 25 décembre 1918.
Il est démobilisé le 1 mars 1919.
Soldat au 2ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 7 septembre 1917 à Samogneux (Meuse).
Soldat au Régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc, il est mort des suites de ses blessures de guerre le 3 octobre 1915 à l'ambulance de l'hôpital 52 de Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais).
Soldat au 173ème Régiment d'Infanterie, il est mort des suites de ses blessures le 11 septembre 1914 à Couvonges (Meuse).
Clerc de notaire, il est incorporé le 3 septembre 1914 au 22ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 4 novembre 1914 il passe au 55ème Régiment d'Infanterie.
Le 6 janvier 1915 il est aspirant et sous-lieutenant à titre temporaire le 26 avril 1915.
Le 2 juillet 1916 il est cité à l'ordre de la Brigade : "Sur le front depuis le 7 janvier 1915 a pris part aux affaires qui se sont déroulées en Argonne le 20 juin 1915 où il a montré beaucoup de courage et de sang-froid, qualité dont il a de nouveau fait preuve le 29 mai 1916 au cours d'un très violent bombardement - Croix de Guerre avec étoile de bronze".
Il est décédé des suites de ses blessures de guerre (plaie au crâne et à l'épaule occasionnées par un éclat d'obus) le 21 août 1917 à l'ambulance 6/15. secteur postal 170 à Glorieux (Meuse).
Soldat au 149ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 2 avril 1916 à Vaux-devant-Damloup (Meuse).
Soldat au 3ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 7 juin 1916 à Nieuport (Belgique).
Fils de Mathieu Pascal Emeric et de Marie Françoise Isnard, il est né le 31 janvier 1881 à Saint-Zacharie.
Cultivateur, il est incorporé le 14 novembre 1903 au 111 Régiment d'Infanterie.
Le 18 septembre 1904 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 5 août 1914.
Le 9 janvier 1915 il passe à la
compagnie auxiliaire du Génie de la 41ème Division.
Le 23 juin 1915 il est fait prisonnier à La Fontenelle. Il est interné à Ingolstadt (Bavière).
Le 1 janvier 1919 il est rapatrié d'Allemagne.
Le 8 mars 1919 il est démobilisé.
Soldat au 167ème Régiment d'Infanterie (venu du 173e RI), il est tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à La Savière (Aisne).
Charretier, il est incorporé le 7 octobre 1906 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Le 1 octobre 1907 il est promu Chasseur de 1ère classe et Clairon.
Le 25 septembre 1908 il est renvoyé dans ses foyers.
Le 28 août 1914 il est fait prisonnier à Peronne. Il est interné à Munster.
Le 22 novembre 1918 il est rapatrié d'Allemagne.
Le 2 janvier 1919 il passe au 112ème Régiment d'Infanterie.
Le 1 avril 1919 il est démobilisé.
Il est incorporé le 9 septembre 1915 au 12ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 16 juin 1918 il est fait prisonnier devant Chezy-en-Orois (Aisne).
Il est maintenu en captivité en Allemagne.
Il est démobilisé le 23 octobre 1919.
Malade, il décède le 1 février 1920 à l'hôpital de Saint-Mandrier.
Chasseur au 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins (2ème Armée De Curières de Castelnau, 15°Corps d'Armée Espinasse, 29°Division d'Infanterie Garbillet, 58°Bataillon d'Infanterie), il est tué à l'ennemi le 20 août 1914 à Dieuze (Moselle).
Cultivateur, il est incorporé le 9 octobre 1905 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Le 28 décembre 1907 il est renvoyé dans ses foyers.
Le 15 janvier 1912 il passe au Régiment d'Infanterie de Toulon.
Il est rappelé lors de la mobilisation générale le 2 août 1914.
Le 13 avril 1916 il est blessé par un éclat d'obus qui lui fracture la jambe droite à la Chapelotte.
Le 8 mai 1916 il est cité à l'ordre du régiment :"Très grièvement blessé le 8 avril 1916 au cours d'un violent bombardement, a crié à ses camarades qui se portaient à son secours, "Metez-vous à l'abri, ne vous occupez pas de moi".
Il est cité à l'ordre de l'Armée :"Très bon soldat. Belle attitude au feu. A été grièvement blessé à son poste de combat le 13 avril 1916. A donné à ses camarades un bel exemple par sa courageuse conduite. Amputé de la cuisse droite".
Soldat au 7ème Génie, il est tué à l'ennemi le 26 mars 1916 à Le Cessier (Somme).
Boucher-charcutier, il est incorporé au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied le 15 novembre 1902.
Le 1 octobre 1903 il passe au 1er Escadron du Train.
Le 6 mars 1904 il passe au 2ème Escadron du Train.
Le 20 juillet 1905 il passe au 15ème Escadron du Train.
Le 23 septembre 1905 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Il passe au111ème Régiment d'Infanterie de Toulon, puis au 363ème Régiment d'Infanterie de Nice.
Il est tué à l'ennemi le 3 septembre 1916 à la Tranchée de Terline, route de Maurepas au nord de Cléry (Somme).
Soldat au 4ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 26 septembre 1914 à Virginy-Massiges (Marne).
Maçon, il est incorporé le 8 octobre 1907 au 24ème Bataillon de Chaseeurs à Pied. Il est renvoyé dans ses foyers le 25 septembre 1909.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914. Il part au front avec le Bataillon de Chasseurs à Pied de Villefranche le 20 août 1914.
Le 13 janvier 1915 il est fait prisonnier à Sainte Marguerite (Aisne). Il est interné à Puchheim.
Il est rapatrié le 18 décembre 1918.
Il est démobilisé le 21 janvier 1919. Il se retire à Salon.
Soldat au 22ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 29 juillet 1918 à Vrigny (Marne).
Soldat au 163ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 7 avril 1915 à Flirey (Meurthe-et-Moselle).
Soldat au 7ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 10 mai 1915 à Hartmannwillerkopf (Haut-Rhin).
Soldat au 34ème Régiment d'Infanterie Coloniale (venu du 163ème RI), il est tué à l'ennemi le 12 juillet 1916 à Herbécourt (Somme).
Soldat au55ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 24 juin 1915 à Sainte-Menehould (Marne).
Il est né le 31 octobre 1892 à Saint-Zacharie.
Céramiste, il est incorporé le 8 octobre 1913 au 163ème Régiment d'Infanterie.
Il est nommé caporal le 3 avril 1915.
Le 14 mai 1915 il est blessé par un éclat d'obus au bras gauche et face antérieure du thorax.
Le 4 juillet 1915 il est cité à l'ordre du Corps d'Armée : "Le 14 mai 1915 s'est élancé crânement à la tête de son escouade à l'assaut d'une tranchée ennemie. Blessé assez sérieusement au cours de la lutte acharnée, a conservé son commandement et n'est allé se faire panser que sur ordre de son commandant de compagnie".
Le 2 avril 1916 Il passe au 321ème Régiment d'Infanterie.
Le 20 novembre 1916, il passe au 51ème Régiment d'Infanterie.Le 30 avril 1917, il est cité à l'ordre du régiment : "Chargé de l'organisation de la chaîne des coureurs entre le chef de bataillon et le colonel, s'est assuré lui-même, sous les plus violents feux de barrage du bon fonctionnement de cette liaison.
Le 30 août 1918 il est affecté au 128ème Régiment d'Infanterie.
Le 24 juillet 1919 il est démobilisé à Marseille et se retire à Saint-Zacharie.
Il est titulaire de
-
la Croix de Guerre avec étoile en vermeil,
- la Médaille Militaire.
Il est né le 6 avril 1892 à Saint-Zacharie.
Porteur de Paix, il est incorporé le 9 octobre 1913 au 10ème Régiment d'Artillerie à Pied.
Le 18 juillet 1915 il passe au 44ème Régiment d'Artillerie de Campagne.
Le 1 novembre 1915 il passe au 117ème Régiment d'Artillerie Lourde.
Il est mort des suites de ses blessures le 18 juillet 1916 , à Assevillers (Somme).
Fils de Joseph Pascal Toulon et de Antoinette Louise Roubaud, il est né le 30 novembre 1879 à Saint-Zacharie.
Cultivateur, il est incorporé le 14 novembre 1900 au 111ème Régiment d'Infanterie. Il est renvoyé dans ses foyers le 21 septembre 1901.
Le 4 mars 1909 il passe à la Section des
Infirmiers Coloniaux.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 3 août 1914.
Le 4 septembre 1914 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs.
Le 5 juin 1915 il est fait prisonnier à Gaschney. Il est interné à Karlsruhe, puis hospitalisé en Suisse le 6 juin 1918.
Le 4 octobre 1918 il est rapatrié à Marseille.
Le 8 novembre 1918 il passe au 113ème Régiment d'Infanterie Territoriale.
Le 12 février 1919 il est démobilisé.
Soldat au 96ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 21 juin 1915 à Minaucourt (Marne).