Soldat de 2ème classe au 116ème Bataillon de Chasseurs à Pied, il est mort des suites de ses blessures de guerre le 15 septembre 1917 à Rie Drachten (Belgique).
Cultivateur à Brue-Auriac, il est incorporé le 6 octobre 1909 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Il est nommé Clairon le 25 septembre 1910. Le 24 septembre 1911 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 2 août 1914.
Le 29 août 1914 il est blessé par balle à Xermaménil. Il perd les deux derniers doigts de la main droite.
Le 27 décembre 1914 il est de nouveau blessé au Mont-Saint-Eloi (Pas-de-Calais) et perd l'annulaire de la main gauche.
Il est classé dans le service auxiliaire sur proposition de la commission de réforme le 12 juin 1915.
Le 6 juillet 1915 il passe à la 15ème Section de Commis Militaires de l'Administration.
Le 27 mai 1917 il passe au 15ème Escadron du Train.
Le 4 juin 1919 il est démobilisé. Il se retire à la campagne Nartuby.
Fils de Marius Joseph François Bremond et de Marie Louise Mouton, il est né le 1 février 1897 à Saint-Maximin.
Cultivateur à Brue-Auriac, il est incorporé le 9 janvier 1916 au 140ème Régiment d'Infanterie.
Le 26 mars 1917 il passe au 340ème Régiment d'Infanterie.
Il est aux armées du 22 avril 1917 au
28 décembre 1917, puis du 28 janvier au 15 avril 1918.
Le 15 avril 1918 il est blessé par un éclat d'obus
à la main à Hangard.
Le 25 mai 1918 il retourne aux armées;
Le 29 aout 1918 il se distingue tout particulièrement
par sa belle attitude au feu, et pour avoir fait plusieurs prisonniers. Il est cité à l'ordre de la Brigade.
Le
15 octobre 1918, il est intoxiqué par les gaz à Montigny (Aisne).
Le 10 août 1919 il se retire à Brue-Auriac.
Il est titulaire de la Croix de Guerre avec étoile de bronze.
Soldat au 67ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 28 août 1914 à Peronne (Somme).
Soldat de 2ème classe au 7ème Batailon de Chasseurs à Pied, il est mort des suites de ses blessures de guerre le 13 novembre 1914 au sud d'Ypres (Belgique).
Cultivateur, il est oncorporé le 8 octobre 1912 au 55ème Régiment d'Artillerie.
Le 8 novembre 1913 il est promu Maître pointeur.
Il est maintenu sous les drapeaux le 2 août 1914.
Il est tué au combat le 16 septembre 1914 sur le champ de bataillr de La Vaux-Marie (Meuse).
Cultivateur à Brue-Auriac, il est incorporé le 9 octobre 1905 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 28 septembre 1907 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Le 28 août 1914 il est fait prisonnier à Peronne. Il est interné à Sennelager.
Le 22 mars 1919 il est démobilisé. Il se retire à Brue-Auriac.
Cultivateur, il est incorporé le 14 novembre 1902 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 19 septembre 1903 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Il est fait prisonnier et décède le 29 avril 1915 à l'hôpital de Langensalza.
Soldat au 173ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 29 mai 1916 à la côte 304 à Esnes-en-Argonne (Meuse).
Soldat de 2ème classe au 38ème Régiment d'Artillerie de Campagne, il est mort des suites d'une maladie contractée en service, le 28 février 1915 à l'hôpital mixte de Nîmes (Gard).
Fils de Albert Philipe et de Mélanie Thérèse Florens, il est né le 9 octobre 1896 à Brue-Auriac.
Le 10 avril 1915 il est incorporé au 6ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 27 avril 1916 il part au front avec le 9ème Bataillon, 35ème Compagnie du 6ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 16 septembre 1916 il passe au 5ème Régiment d'Infanterie Coloniale.
Le 23 septembre 1916 il est évacué malade. Le 12 février 1917 il rejoint son unité.
Le 14 avril 1917 il est évacué blessé par un éclat d'obus à la jambe gauche, dans le secteur de Troyon (Aisne). Le 29 mai 1917 il rejoint son unité.
Le 20 juillet 1918 il est cité à l'ordre du régiment : "Soldat brave et courageux. Le 12 juillet 1918 s'est
porté bravement à l'attaque des positions ennemies entrainant ses camarades par son exemple, et son tir réussit à mettre en fuite un groupe de mitrailleuses ennemies".
Le 24 décembre 1918 il est évacué malade. Le 10 janvier 1919 il rejoint son unité.
Le 21 janvier 1919 il est cité à l'ordre du régiment : "Bon et brave soldat, mitrailleur d'élite,
servant d'exemple à ses camarades. Blessé le 14 avril 1917 en faisant bravement son devoir (25 mois de front, a pris part aux attaques de la Somme et des Eparges)".
Le 7 août 1919 il est démobilisé.
Il est titulaire de :
- la Croix de Guerre avec deux étoiles de bronze,
- la Médaille Militaire.
Soldat de 2ème classe au 116ème Bataillon de Chasseurs Alpins , il est tué à l'ennemi le 28 septembre 1918 à Saint-Quentin (Aisne).
Cultivateur à Brue-Auriac, il est incorporé le 8 octobre 1907 au 24ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 25 septembre 1909 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Le 28 août 1914 il est fait prisonnier à Peronne. Il est interné à Herne.
Il est rapatrié le 17 décembre 1918.
Le 21 janvier 1919 il est démobilisé.
Fils de Eugène Gustave Trucy et de Marie Elisabeth Rastègue, il est né le 26 avril 1886 à Varages.
Berger, il est incorporé le 7 octobre 1907 au 58ème Régiment d'Infanterie. Il est renvoyé dans ses foyers le 25 septembre 1909.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 2 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie d'Avignon puis au 363ème Régiment d'Infanterie de Nice.
Le 5 janvier 1917 il est évacué pour blessure au pied à l'ambulance 208.
Il est cité à l'ordre du 363ème Régiment d'Infanterie commandé par le Lieutenant-Colonel de Franchessin le 25 octobre 1918 : "Très bon soldat, très dévoué. A fait preuve pendant l'offensive du
26 septembre au 6 octobre 1918 de beaucoup de sang-froid et d'activité en assurant sous les tirs de barrage le ravitaillement de la compagnie jusqu'aux emplacements de combat".
Il est démobilisé le 28 mars 1919. Il se retire à Montmeyan.
Il est titulaire de la Croix de Guerre avec étoile de Bronze.