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La tribune de l'opposition de Saint Maximin

n°27 - juillet 2010

"Là où il y a une volonté, il y a un chemin" - Gaston Rebuffat, guide de haute montagne (1921 - 1985)

 
Quelle politique en matière de logements dans le centre ancien ?
 
Lors du dernier conseil municipal, l'adjoint à l'urbanisme nous a présenté le volet "habitat" du plan d'action visant à revitaliser le centre ville.
 
En fait, il consiste à restaurer trois immeubles pour créer 24 logements sociaux.  
   
Ci dessous l'intervention d'Alain Decanis sur ce sujet au nom du groupe d'opposition :
 
Notre commune manque cruellement de logements sociaux et nous sommes loin de satisfaire aux exigences de la loi SRU.
 
D’un autre côté de nombreux logements situés dans le centre ancien sont insalubres et méritent d’être réhabilités.
Toutefois, nous considérons que transformer systématiquement tous les îlots évoqués dans la délibération en logements sociaux n’est pas la solution adaptée.
Dans le cadre d’une commission extra municipale nous avons évoqué ce sujet, et il est apparu souhaitable à tous les participants que la création de logements sociaux ne se fasse que dans des programmes mixtes.
Parler de revitalisation du centre ville en n’aménageant que des logements sociaux ne nous parait pas aller dans le sens de la mixité sociale qui est aujourd’hui préconisée un peu partout.
C’est la raison pour laquelle nous nous prononcerons contre cette délibération."
 
La délibération a néanmoins été adoptée par 22 voix "pour" et 9 "contre".
 
 
 
 
La commémoration de l'action de Paul Bertin dans la Résistance
 

Dimanche 13 juin plus de 200 personnes sont venues participer à la cérémonie commémorative organisée à la mémoire de Paul Bertin, ancien maire de Saint Maximin, et responsable local de la Résistance.

 

En présence de toute la famille, de Sylvie Massimi conseillère régionale, de nombreux maires, adjoints et conseillers municipaux des communes environnantes, Alain Decanis et Ginette Minetti, petite fille de Paul Bertin, ont retracé l'action exemplaire de ce dernier aussi bien dans la Résistance qu'au service de sa commune.

 

C'est avec beaucoup d'émotion que de nombreux "anciens" ont écouté les récits historiques qui les ont amenés à se remémorer la période noire de l'occupation dont ils ont été eux-mêmes les acteurs.

 
Mais c'est aussi avec beaucoup d'intérêt que bon nombre d'habitants du quartier, nouveaux Saint Maximinois, ont pris connaissance de cette page d'histoire locale.
 
Après une vibrante Marseillaise entonnée par les musiciens de la batterie fanfare, tous les participants ont été invités à prendre le pot de l'amitié offert par les élus du groupe d'opposition.
 
Les discours
Les photos de la manifestation
 
 
 
 
Une mission de gardiennage et de sécurité confiée au privé
 
Assurer la sécurité des citoyens est une fonction régalienne de l’État. Que dirions-nous si notre président décidait de remplacer la police ou la gendarmerie par une milice privée ?
Il en est de même au niveau communal.
Et pourtant lors du dernier conseil municipal il a été décidé de confier le gardiennage des parkings et de façon plus générale la sécurité de la commune à une entreprise privée.
Le coût annuel de la mission s'élève à 160 000 € TTC, soit l’équivalent du salaire de plus de six agents à temps plein, ou de quatre agents qualifiés rémunérés en horaires de nuit.
Avant de décider de déléguer ce service à une entreprise nous aurions aimé pouvoir en débattre dans le cadre d’une commission, afin d'évaluer en toute connaissance de cause  les avantages et inconvénients d'un service public et d'une société privée.
Mais dans ce domaine, comme dans tous les autres, aucun échange préalable n’a eu lieu.
De plus la privatisation d'un maximum de services semble être devenue chez certains une pensée obsessionnelle. C'est d'autant plus étonnant, que dans le même temps la masse salariale ne cesse d'augmenter...
 
 
 
 
Un banquet républicain à la campagne Maurel
 
Un cadre exceptionnel
 
   
A la suite de la cérémonie commémorative à la mémoire de Paul Bertin, 150 personnes se sont retrouvées à la campagne Maurel pour le traditionnel banquet organisé par le groupe municipal d'opposition.
 
La journée s'est déroulée dans une excellente ambiance et s'est terminée par un concours de boules.
 
     
Alain Decanis déclare sa candidature aux élections cantonales avec Michèle Henry, 1ère adjointe au maire de Rougiers comme suppléante
 
   
Au début du repas, après avoir remercié, Alexandre Jourdan propriétaire des lieux, Jean Luc Piasco et Stéphane Daddi organisateurs de cette journée, Sylvie Massimi conseillère régionale ainsi que Jean Raymond Niola et Gérard Bleinc, respectivement maires de Pourcieux et de Rougiers, pour leur soutien, Alain Decanis a annoncé son intention de se présenter aux élections cantonales de mars
 
2011 avec pour suppléante Michèle Henry.
 
discours prononcé à la campagne Maurel
 
 
 
 
Pour pouvoir voter en mars 2011 il faut s'inscrire sur les listes électorales avant fin 2010
 
En 2011 auront lieu les élections cantonales.  
Seront donc concernés tous les citoyens des communes de Pourrières, Pourcieux, Ollières, Saint-Maximin, Rougiers, Nans-les-Pins, Plan d'Aups et Saint-Zacharie, mais ne pourront voter que ceux qui seront inscrits sur les listes électorales de la commune au 31 décembre 2010.
 
 
 
Il est donc impératif pour jeunes et les nouveaux arrivants de remplir cette formalité avant la fin de l'année.
 
   
Deux cas peuvent se présenter :
- les jeunes recensés à Saint Maximin qui ont atteint l'âge de 18 ans avant le 31 décembre 2010 sont, en principe, informés individuellement par écrit de leur inscription. Toutefois, si certains ont changé d'adresse en cours d'année, il est possible qu'ils n'aient pas reçu le courrier. Dans ce cas, il est préférable de se présenter avant le 31 décembre au secrétariat du rez de chaussée de la Mairie pour s'assurer de l'inscription.
- les nouveaux habitants doivent impérativement se présenter au secrétariat (rez de chaussée, service des élections) avant le 31 décembre munis des documents suivants :
  • une carte nationale d'identité, ou un passeport en cours de validité, ou un permis de conduire accompagné d'un certificat de nationalité française,
  • une quittance EDF, Télécommunications ou une facture d'Eau de moins de trois mois.
 
 
 
 
Le pire a été évité...pour cette fois
 
Mardi 25 mai un brise roche et une pelleteuse se sont présentés à la Sainte Baume, sur le chemin des Rois, pour entreprendre une opération de "sécurisation" des crêtes visant à aménager avec ces engins, le sentier de la chapelle des Parisiens jusqu'au col du Saint Pilon.
 
Les agents de l'ONF qui avaient donné leur autorisation pour un caladage à la main ont fait tout de suite part au Maire du Plan d'Aups de leur désaccord. Mais rien n'y a fait.
 
 
Il a fallu que les agents de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage se rendent sur les lieux, dressent un procès-verbal avec menace de saisie du matériel, pour que cessent enfin les travaux.
Nous savons qu'ils sont dans une position délicate et tenons à leur exprimer tout notre soutien pour leur intervention courageuse.
 
 
 
 
De nouvelles rues à Saint Maximin
 
En plus de l'avenue Paul Bertin dont on a déjà abondamment parlé, trois autres rues du lotissement Les Portes du Soleil ont été baptisées avec des noms de personnalités locales.
Il s'agit de Lucien Bonaparte, Marie Anne Christine (dite Christine) Boyer et Louis Rostan. Mais qui étaient-ils ?
 
Lucien BONAPARTE
Marie Anne Christine BOYER
Louis ROSTAN
         
 
 
         
Né le 21 mars 1775 à Ajaccio, ce frère cadet de Napoléon arrive à Saint Maximin le 5 septembre 1793 en qualité de garde-magasin des vivres. Il habite une maison située aux Arcades, et devient rapidement le principal animateur du Comité Révolutionnaire qui tient ses réunions au Couvent Royal. Se faisant appelé "Brutus" il rebaptise Saint Maximin "Marathon" et la Sainte Baume devient "les Thermopyles". Le 4 mai 1794, il épouse à Saint Maximin Christine Boyer, sœur de l'aubergiste du "Logis du Mouton". Bien qu'ayant activement contribué à l'ascension de Napoléon, il est le seul des Bonaparte a ne pas avoir été promu roi ou prince par son frère. C'est au Pape qu'il doit son seul titre de prince de Canino. Il décède le 29 juin 1840 dans sa propriété à Viterbo près de Rome.
 
Née le 3 juillet 1771 à Saint Maximin, elle est la fille de Pierre André Boyer et Rosalie Fabre, aubergistes de l'ancien "Logis de la mule", devenu en 1772 "Logis du Mouton". L'établissement se trouve au faubourg de la Porte d'Aix, hors les remparts. Le 4 mai 1794, elle épouse à Saint Maximin Lucien Bonaparte, qui a été nommé garde-magasin des vivres de la commune quelques mois auparavant. Christine Boyer, suit ensuite son mari devenu successivement président du Conseil des Cinq Cents, puis Ministre de l'Intérieur. Après avoir eu deux enfants, elle décède d'une mauvaise grossesse à Paris le 14 mai 1800.
 

Né le 19 août 1815 à Saint Maximin, il y est décédé le 6 décembre 1891.
il a été avocat, mais est surtout connu pour son oeuvre d'historien auteur de nombreuses notices sur la commune, et comme archéologue correspondant du Ministère de l'Instruction publique. Louis Rostan a également été Maire et Conseiller Général du canton.
Il décède le 6 décembre 1891 à Saint Maximin.

 
 
 
 

Ne serait-il pas temps de se préoccuper du réseau d'assainissement
du Hameau des Fontaines ?

 
 
 
 
Au milieu du lotissement, le regard à l'intérieur duquel se trouve la surverse
La surverse (PVC gris) commandée par une vanne qui permet le cas échéant de vidanger le réseau d'assainissement directement dans le canal conduisant au ruisseau
Le ruisseau des Fontaines dans lequel sont évacuées de temps à autre les eaux usées du lotissement. En revanche, l'eau est très propre (en amont...)
 
Depuis deux ans on nous a signalé en plusieurs occasions des problèmes de pollution du ruisseau de la plaine.
Il s'avère que dans la plupart des cas, ils sont dus à un dysfonctionnement du réseau d'assainissement collectif du hameau des Fontaines.
Lors d'épisodes pluvieux importants, des infiltrations viennent remplir les canalisations. De ce fait les eaux de pluie mélangées aux eaux usées arrivent en quantité trop importante à la pompe de relevage de Garnier. Cette dernière ne pouvant traiter des débits trop importants, les eaux sont refoulées dans la canalisation et remontent dans les maisons du lotissement des Fontaines, ce qui occasionnent des nuisances importantes aux riverains.
Les services municipaux, sollicités plusieurs fois par les habitants , ont trouvé une solution pour régler le problème. Ils ont posé une surverse (voir ci dessus le PVC gris). Lorsque le réseau se remplit il suffit d'ouvrir la vanne et toutes les eaux usées se déversent ainsi dans le ruisseau, qui se jette ensuite dans la Meyronne, puis dans l'Argens !
Il serait grand temps que l'on mette un terme à ces pratiques scandaleuses, aussi bien par respect pour les riverains que pour préserver notre environnement.
 
 
 
 
Coût du deuxième synthétique : 753 000 €
 
La municipalité de Trets envisage de créer un terrain synthétique au stade de la Gardi dont le montant total s’élève à 444 000 € HT. En cette occasion, le groupe d’opposition de cette commune a effectué un travail comparatif particulièrement intéressant, que nous avons repris et adapté.
 
A Saint Maximin, le deuxième synthétique inauguré il y a quelques mois, a coûté 753 000 € (sans compter le cocktail offert pour fêter la subvention, ni les frais d’inauguration...).

Le financement s’est décomposé comme suit : Conseil Général 150 000 €, Conseil Régional 75 000 €, Fédération Française de Rugby 100 000 €, Commune 428 000 €.

 

Maintenant, voici les principaux éléments qui ressortent de l’étude comparative entre la création d’une pelouse naturelle ou d’un synthétique.

 

Dépenses d’entretien : Contrairement aux idées reçues l’entretien d’une pelouse synthétique est important, il nécessite un matériel spécifique et un arrosage fréquent. Selon les consignes d’entretien préconisée par la FIFA le coût annuel d’un synthétique s’élève à 8 000 € contre 11 000 € pour une pelouse naturelle (Source : Débat au salon des maires novembre 2006 ).

Création : La création d’une pelouse naturelle revient à 140 000 € pour une durée de vie de 10 ans. Son entretien sur cette même période revient à 110 000 €, soit un coût total de 250 000 € pour 10 ans d’utilisation. La pelouse naturelle revient donc 25 000 € par an.
Pour une pelouse synthétique le coût de la création s’élève à 753 000 € et la durée de vie moyenne est de 12 ans. Son entretien sur la même période revient à 96 000 €. Le coût total s’élève donc à 540 000 € sur la période. La pelouse synthétique revient donc à 70 750 € par an.

L’écart entre les deux types de pelouse est important : 45 750 €/an. Il faut toutefois tenir compte de leur durée d’utilisation annuelle :
- la pelouse naturelle peut être utilisé 450 h par an au maximum,  
- la pelouse synthétique peut être utilisée de manière beaucoup plus intensive.

Le coût horaire d’utilisation de la pelouse naturelle revient donc à 55 €/heure.
Pour que le coût horaire du synthétique soit équivalent il faut l’utiliser 1 286 h/an, soit 3.5 h/jour en moyenne, 365 jours par an, y compris donc pendant les vacances scolaires....

Pour être tout à fait complet il convient également de prendre en compte le bilan environnemental :
- le gazon naturel capte et retient de l'air ambiant les poussières et saletés (3 à 6 fois plus qu'une surface synthétique),
- un terrain de foot en gazon naturel produit l'oxygène nécessaire à 110 personnes,
- un terrain de foot en gazon naturel capte le CO2 d'environ 20 voitures,
- le recyclage de la pelouse synthétique revient à 100 € la tonne,
- pour entretenir une  pelouse synthétique on n’utilise pas d’engrais ni de traitements phytosanitaires.

Nous aurions bien aimé être associés à la réflexion qui a conduit à prendre la décision d’investir la bagatelle de 753 000 € pour la création d’un deuxième synthétique, même si, et nous n’en doutons pas, tous ces éléments doivent avoir été mûrement soupesés par les conseillers du groupe majoritaire...

 
 
 
 
Panem et circenses
 

Cette formule attribuée au poète satirique Juvenal date de l’antiquité romaine, plus précisément du 2ème siècle avant J-C, période au cours de laquelle pour éviter les émeutes et les révoltes, les consuls et les empereurs avaient organisé des distributions de farine gratuite, avec l'aide des boulangers devenus fonctionnaires d'Etat.

 

Plus de 2000 ans plus tard elle est plus que jamais d’actualité !

 

Au moment du vote du budget, le conseil général nous a annoncé qu’en raison de la « crise » il allait falloir se serrer de nouveau la ceinture, et qu’on n'allait pas pouvoir faire autrement qu’augmenter les impôts.

 

Chose promise, chose due, on pourra d’ailleurs le vérifier au moment du paiement des taxes locales !

De son côté le Maire de Saint Maximin nous explique régulièrement que la commune n’est pas riche et que nos ambitions (déjà pas très élevées) doivent être mesurées.

Et dans le même temps on constate au quotidien la multiplication des inaugurations, des apéritifs, des repas, des spectacles gratuits visant à séduire les électeurs pour les inciter à glisser le moment venu le bon bulletin dans l’urne.

Car, au cas où ça aurait échappé à quelqu’un, nous sommes en année pré électorale. L’an prochain c’est le titre du grand patron qui est remis en jeu et là, on ne plaisante plus ! C’est tout un système qu’il faut préserver.

Peu importe le prix à payer, il faut rencontrer les gens, leur promettre ce qu’ils ont envie d’entendre, les flatter, tenter de les séduire.

Il est vrai que cette pratique a tendance à se développer un peu partout mais il y a tout de même des limites.

L’an dernier, uniquement dans le budget de la commune de Saint Maximin ce sont 220 000 € qui ont été consacrés aux dépenses d’apéritifs et de réception, montant auquel il convient d’ajouter tout ce qui est pris en compte directement par le conseil général.

Comme évoqué dans un précédent article, ce dernier a même organisé récemment un grand cocktail à la salle des Fêtes pour fêter … une subvention. Bref, toutes les occasions sont bonnes pour entretenir et tenter d’élargir la clientèle électorale.

De notre côté nous préférerions une multiplication des réunions au cours desquelles les élus pourraient échanger avec les citoyens sur l’avenir de leur cité. Mais cela n’est pas à l’ordre du jour, la politique est quelque chose de trop sérieux pour être débattu avec le peuple.

Les gens sont là pour boire, manger et surtout bien voter. Le reste, ils n’ont pas à s’en soucier puisque d’autres s’en chargent pour eux.

Les élections cantonales auront lieu en mars 2011, à ce régime là, les neuf prochains mois risquent de nous coûter fort cher !

 

 
 
 
Réflexion autour de la future intercommunalité
     
 
le conseil général projette de découper le territoire en communautés d'agglomérations.
Dans le cadre de ce plan, les communes de notre canton (à l'exception de Saint Zacharie qui a su s'en tirer à temps), devraient former avec les communautés de communes de Barjols, de Brignoles et de La Roquebrussane, la future communauté d'agglomération.
Cependant :
- les élus du Haut Var voient ça d'un très mauvais oeil et n'ont pas vraiment envie de se retrouver en position de vassaux de Saint Maximin,
- le Maire de Brignoles préférerait élargir cette structure à l'est du côté du Luc,
- même son de cloche du côté de Val d'Issole, où un bon nombre d'élus demandent le temps de la réflexion.
De notre côté nous considérons qu'une intercommunalité bicéphale (avec deux têtes Saint Maximin et Brignoles) n'a que peu de chance de fonctionner correctement. D'autant plus que les logiques sociale, économique et même historique de ces deux bassins de vie sont orientées de façon complètement différente :
- Brignoles est tournée vers Toulon,
- Saint Maximin est orientée vers les Bouches du Rhône.
Il est indispensable de prendre en compte cette réalité si on ne veut pas de nouveau créer une structure artificielle pour servir les seuls intérêts de quelques élus.
 
 
 
 
La fête de Sainte Marie Madeleine
 

samedi 17 juillet

  • 15h : Montée des reliques de Sainte Marie Madeleine
  • 18h30 : Messe
  • 20h30 : conférence Sainte Marie Madeleine: le personnage évangélique par Mgr Ravotti, culte et tradition par Mireille Boeuf
  • 22h : Spectacle de mise en lumière de la Basilique
 
   

dimanche 18 juillet

  • 10h30 : Inauguration du Rond-Point Sainte Madeleine
  • 17h : Accueil des Reliques de Saint-Maximin
  • 18h30 : Messe
  • 20h30 : Conférence sur Saint-Maximin et son culte en Provence
  • 22h : Spectacle de mise en lumière de la Basilique
 
   

lundi 19 juillet

  • 17h : Accueil des Reliques de Sainte Marthe
  • 18h30 : Messe
  • 20h30 : Conférence sur Sainte Marthe et son culte en Provence par le père Cicculo, curé de la collégiale Sainte Marthe à Tarascon.
  • 22h : Spectacle de mise en lumière de la Basilique
 
 

mardi 20 juillet

  • 18h : Messe
  • 19h : Inauguration de l’exposition « Les Saints de Provence »
  • 21h : Veillée de prières au couvent des Moniales Dominicaines
 

mercredi 21 juillet

  • 18h30 : messe
  • 21h : Concert dans la Basilique – Marie Madeleine de Massenet par le Chœur Régional PACA et le chœur de l’opéra de Toulon
 

jeudi 22 juillet

  • 21h : Ouverture traditionnelle des Fêtes de Sainte Marie Madeleine sur le Parvis de la Basilique, procession.
 

vendredi 23 juillet

  • 15h : Accueil des Reliques des Saintes Maries de la Mer
  • 17h : Messe
  • 18h : Hommage de la Nation Gardianne
  • 20h30 : Conférence sur les Saintes Maries et leur culte en Provence par Dominique Charmaison
  • 22h : Spectacle « A la rencontre de Jésus de Nazareth avec les Saintes Maries de la Mer » par la Communauté Missionnaire Brésilienne Douce Mère de Dieu.
 

samedi 24 juillet

  • 17h : Accueil des Reliques de Saint Lazare
  • 18h30 : Messe
  • 20h30 : Conférence sur Saint Lazare et son culte en Provence par le Père Ottonello, curé de la cathédrale de la Major à Marseille.
  • 21h : Place de l'hôtel de ville, distribution de lampions aux enfants.
  • 21h30 : Retraite aux flambeaux avec la participation de la Batterie Fanfare.
  • 21h30 : Flambée du pin
  • 22h : Bal populaire
 

dimanche 25 juillet

  • 7h : Aubades de l’Association Santo Madaleno
  • 10h : Accueil des personnalités religieuses et civiles
  • 10h30 : Grand’Messe en la Basilique
  • 16h : Panégyrique de Sainte Marie Madeleine
  • 16h30 : Procession solennelle des Saints de Provence dans les rues de la cité
  • 17h30 : Salut du saint Sacrement
  • 21h30 : Stade municipal, feu d'artifice musical
  • 22h30 : Bal populaire
 

lundi 26 juillet

  • 12h30 : Place Malherbe, aïoli
  • 20h : Place Malherbe, soupe au pistou
 
 
 
 
Changement d'horaires pour les déchetteries
 
Pour répondre à une demande exprimée par des professionnels, les élus de la Communauté de Communes Sainte Baume Mont Aurélien ont décidé de modifier les horaires d'ouverture de la déchetterie.  
 
Les nouveaux horaires sont les suivants :
En été : 8h-12h et 14h-17h
En hiver : 8h-12h et 13h30 -16h30
 
Les déchetteries sont inaccessibles au public en dehors des horaires d'ouverture :
Plan d'Aups : lundi après-midi, mercredi après-midi, samedi matin.
Pourcieux : lundi après-midi, mercredi après-midi, samedi matin.
Pourrières : lundi, mardi matin, mercredi, jeudi matin, samedi, dimanche matin.
Rougiers : lundi matin, jeudi après-midi, samedi matin.
Saint Maximin : tous les jours sauf dimanche après-midi
 

 
 
A découvrir sur le site http://saintmaximin2008.fr
 
Un espace destiné aux associations
Des petites annonces gratuites
Des topos pour effectuer des randonnées ou des balades dans le secteur
Éléments d'histoire relatifs à toutes les communes du canton
Un calendrier des manifestations
Les comptes rendus des conseils municipaux
 

Nous répondrons à toutes vos questions sur http://saintmaximin2008.over-blog.com/

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Sauf événement exceptionnel, nous ne publierons pas de lettre en août, rendez-vous donc début septembre. Bonnes vacances pour ceux qui en prennent et bon courage pour les autres !