Ceux qui ne parviennent pas à lire correctement ce message peuvent cliquer ici

 

La tribune du groupe d'opposition de Saint Maximin

n°57 - mars 2013

"Le silence des pantoufles est parfois plus dangereux que le bruit des bottes"
Martin Niemöller (1892-1984)

 
Intervention d'Alain Decanis dans le cadre du débat d'orientations budgétaires
 
En 2011 (nous ne disposons par encore des chiffres 2012) notre produit de fonctionnement s’élevait à 15 162 000 €, soit 1 065 €/habitant.
Dans les communes de la même strate (de 10 000 à 20 000 habitants), il s’élevait en moyenne à 1 313 €/habitant, soit environ 30% de plus.
Ces deux chiffres illustrent parfaitement les difficultés auxquelles notre commune se trouve confrontée.
Nos besoins sont ceux d’une commune de 16 000 habitants, mais nous devons les satisfaire avec 30% de recettes en moins.
Comme les dépenses de fonctionnement sont essentielles pour satisfaire la politique clientéliste que vous avez mis en œuvre, ce sont les investissements qui sont sacrifiés.
Ceci explique pourquoi, depuis le début du mandat, les investissements communaux se sont limités à l’entretien des chemins et des bâtiments communaux.
Nous ne pourrons tenir encore très longtemps avec un budget aussi tendu.
Comme les taux des impôts locaux sont déjà très élevés, il n’y a plus beaucoup de marge de ce côté-là.
La seule solution réside donc dans le développement économique.
Ces dernières années, la délivrance de nombreux permis de construire a engendré une augmentation du nombre de consommateurs, et donc conduit, par effet mécanique, à un accroissement sensible du nombre de m² de surface commerciale sur les zones d’activité périphériques.
Bien que tout cela ait été orchestré à grand renfort de publicité par tous les médias, on mesure aujourd’hui quelles sont les véritables retombées de cette politique en matière de création de richesses et d’emplois : quelques uns se sont enrichis, mais la commune s’est appauvrie et malgré un vieillissement de la population le chômage n’a cessé d’augmenter.
Il est urgent de renverser cette tendance.
 
Pour donner un peu plus de marge à notre budget et financer les grands équipements dont notre commune à besoin:
  • il convient  de maîtriser véritablement nos dépenses de fonctionnement, ce qui semble aujourd’hui dans certains domaines, être un vœu pieux.
  • il convient  de stopper la destruction de notre environnement en multipliant des zones un peu partout. Le foncier est notre seule richesse sachons l’économiser.
  • il convient de consacrer tous nos efforts à la création d’une véritable zone économique, destinée à accueillir des entreprises de fabrication, génératrices de richesses et d’emplois en nombre.
  • Il convient de maîtriser véritablement l’expansion démographique, dont les conséquences risquent de se révéler rapidement catastrophiques en termes d’accroissement des besoins.
Voici les quelques éléments que nous souhaiterions voir pris en compte à l’occasion de ce débat d’orientations budgétaires.
 
 
 
 
Depuis le début de l'année le 1er adjoint remplace le maire empêché
 
Dans les premiers jours de l'année 2013, nous avons appris que le maire serait indisponible pendant un certain temps pour cause de maladie.
 
Nous tenons à lui exprimer tous nos veux de rétablissement car, au delà de nos opinions politiques parfois divergentes, il est un homme ouvert et altruiste, qui essaie de faire ce qu'il croit bon pour la commune, dans des conditions qui lui sont souvent rendues difficiles.
 
Conformément à la loi, c'est donc le 1er adjoint, Jean François Bart, qui est chargé de le remplacer, jusqu'à son retour en fonction.
 
 
 
 
 
Simone Couture nous a quitté
 
Simone Couture, adjointe aux affaires sociales, vient de nous quitter au terme d'une longue maladie.
 
Elle avait intégré l'équipe d'Alain Penal, après un riche parcours à travers le tissu associatif local, notamment le club de l'Age d'or qu'elle a présidé pendant des années.
Elle restera dans les mémoires comme une extraordinaire combattante qui a lutté jusqu'au bout face à l'adversité.
 
 
 
Journées du développement durable
 
Du 1er au 7 avril 2013 aura lieu la semaine nationale du Développement Durable, l’occasion de replacer l’écologie au centre des préoccupations.
 
La préservation de notre environnement est l’affaire de tous, chacun peut agir à son niveau, humblement et à son rythme. Une dizaine d’associations sociales et environnementales de Saint Maximin et des environs se sont unies pour former « Le collectif des possibles » (Partage Échange , le Centre Social et Culturel Martin Bidouré, Colporteur d’en’Vies ,Valoris’Eco, Toutnat Saint Max, AMAP, Agissez dans votre ville, Envie Bio, Genus Artis,et MAM) et vous proposent sur deux journées, de vous informer sur les alternatives qui s’offrent à nous pour inventer un monde différent.
 
Pour appréhender l'avenir de façon sereine, apprenons à nous connaître et nous respecter. Ce week-end se veut avant tout une grande fête populaire.
 

Samedi 6 avril 2013 de 12 h à 14 h, nous vous attendons sur la Place Martin Bidouré en centre ville pour un Grand Repas partagé ! Venez avec un plat que vous aurez cuisiné, vos couverts et assiettes, une boisson et dégustons ensemble les spécialités culinaires de chacun ! Après cet échange gastronomique, les tables débarrassées, nous étalerons des objets dont nous ne nous servons plus mais qui peuvent encore faire le bonheur de quelqu'un d’autre. C’est  le moment de la Gratifera ! De 15 h à 18 h, donnons, donnons, sans compter ! C’est le moment d’oublier ce monde bien trop ancré dans le profit et le calcul, il est temps de replacer la gratuité au sein de nos échanges ! Cette journée sera ponctuée de musique et de rires…

Samedi soir, 20 h, à la Croisée des Arts vous pourrez assister à la projection du film choc "Tous cobayes" ! en la présence de son réalisateur,  J.P.Jaud. Ce film est un plaidoyer anti-OGM s'appuyant sur une étude française alarmiste qui vient de relancer le débat sur l'innocuité d'un maïs transgénique.

Le dimanche place à l’information : Toujours sur la Place Martin Bidouré, vous trouverez toutes sortes de renseignements sur les thèmes de la vie au quotidien : l’éducation, la santé, le transport, l’habitat, l’agriculture, l’économie, le social…Des associations, et des entreprises seront là pour vous documenter sur les alternatives possibles pour demain, afin de changer de paradigme et d’adopter un mode de vie plus soucieux de notre environnement et des autres.

Si vous souhaitez participer à l’élaboration de ces journées, ou si vous voulez plus de renseignements, contacter Danaïs au 06 95 23 11 93. Tout soutien sera le bien venu !

 
 
 
 
Combien sommes-nous ?
 
Bien que l'on entende régulièrement nos élus prétendre, comme un vœu incantatoire, que 20 000 habitants est le seuil maximum que nous ne dépasserons pas, nous sommes de plus en plus dubitatifs quant à la possibilité de réaliser cet objectif.
 
D'abord combien sommes-nous aujourd'hui ?
Les recensements INSEE, théoriquement les seuls prix en compte officiellement, nous disent :
- pour 2007 : 14 430 habitants,
- pour 2008 : 14 863 habitants,
- pour 2009 : 14 548 habitants,
- pour 2010 : 14 470 habitants
- pour 2011 : 14 234 habitants.
Qui peut le croire ? Le maire, lui même, convient qu'ils n'ont peut être pas été fait avec la plus grande rigueur... C'est le moins que l'on puisse dire lorsqu'on constate des lotissements pousser un peu partout comme des champignons.
 
Autre élément qui permet d'apprécier la population : le nombre d'inscrits sur les listes électorales :
-en 2008 (municipales) : 10 861
- en 2011 (cantonales) : 11 166
- en 2012 (présidentielles) : 11 919
Cette évolution de population nous parait déjà un peu plus conforme à la réalité. On peut d'ailleurs constater que lors des dernières présidentielles la commune de Saint Maximin comptait 919 inscrits de plus sur les listes électorales que celle de Brignoles (11 919 contre 11 000), soit 8.35% de plus. Or en 2011 la population INSEE de Brignoles était de 16 335 habitants. Cela nous amène à estimer, par une simple règle de trois, que nous sommes environ 17 698 habitants.
 
Au vu de la première mouture du PLU encore très généreuse, ainsi que des programmes de Mirade, de la Gare, des services techniques ou de la coopérative comportant de très grands nombres de logements, il nous parait aujourd'hui impossible de limiter, même à court terme, notre expansion démographique à 20 000 habitants.
 
Dans ce domaine, comme dans bien d'autres, l'objectif annoncé par la Municipalité est louable, mais les moyens qu'elle met en œuvre ne peuvent que nous conduire à un résultat inverse.
 
Si nous accordons autant d'importance à la démographie c'est parce qu'une augmentation de population beaucoup plus rapide que l'augmentation des recettes de la collectivité pourrait dans les années à venir se traduire de façon catastrophique sur l'état de nos finances déjà très tendues.
 
"Casser un thermomètre n'a jamais été un moyen efficace pour faire tomber la fièvre". De même tricher sur la population ne fera pas diminuer les besoins en matière d'équipements scolaires ou associatifs. Nous aurons l'occasion d'y revenir.
 
 
 
 
L'élaboration du SCOT arrive à son terme
 
Le Schéma de Cohérence Territorial est un document d’urbanisme définissant les grandes lignes de développement à l’échelle d’un territoire. Il permet ainsi une vision globale permettant de mettre en cohérence les différents documents d’urbanisme communaux. Les Plan Locaux d’Urbanisme devront, si nécessaire, se mettre en compatibilité avec le SCOT dans les trois ans qui suivent son adoption.
 
Les élus de la Provence Verte se sont engagés, sous l’impulsion des plus volontaires, dans une démarche de «SCOT Grenelle» qui se veut être un modèle de gestion des espaces verts et agricole, d’une consommation réduite d’espace et de forte densification de la construction, seul moyen d’arrêter l’étalement urbain tout en fournissant les logements nécessaires sur notre secteur.
 
Bien évidemment sont intégrées les contraintes légales des cartographies établies par les services de l’Etat, notamment en ce qui concerne les espaces les plus riches en terme de biodiversité, de réserve en eaux (trame verte et bleu) et les circulations naturelles des espèces sauvages (corridor biologique).
Mais le SCOT ne se limite pas à préserver l’environnement mais surtout à développer nos activités ou utilisation des sols de façon raisonnée. 
  • Les énergies renouvelables sont prévues, mais un plan global défini l’emprise du photovoltaïque au sol  à 115 hectares au maximum et favorise l’implantation des panneaux solaires en toiture. 
  • La ligne Carnoules/Gardanne est inscrite comme un enjeu essentiel de déplacement. 
  • La construction est établie à un niveau de 1 000 logements par an dont au minimum 170 logements sociaux. Ceci reste un engagement faible et il faut espérer que les élus seront localement plus volontaires dans leurs documents d’urbanisme...
  • Le secteur est très faiblement pourvu en emplois (0,52 emploi/actif). Afin de lutter contre le chômage et les longs déplacements il est établi qu’il faudra créer de véritables zones d’activités de grandes tailles (200 hectares sur la Provence Verte) seules créatrices d’emplois. On ne parle pas ici de zones commerciales.
  • Le Tourisme génère à lui seul des recettes à hauteur de 112 millions €/an. Cette ressource, sous-exploitée sur notre territoire, ne pourra être développée qu’en préservant nos paysages et espaces vierges, force de notre région pour les décennies à venir.
 
Le SCOT pourra servir ces causes, même s’il comporte encore quelques incohérences que les services de l’Etat devraient corriger avant son approbation fin mars 2013. Incohérences que l’on peut voir sur la commune de Saint Maximin ou la future zone d’activité du Mont Aurélien est inscrite dans un secteur classé en coeur de nature et corridor biologique. Un problème que l’on connait si bien aurait-il échappé aux élus travaillant sur ce dossier ?
Le SCOT est un minimum à respecter, les communes par les choix de leurs élus, peuvent être plus vertueuses. Il reste néanmoins un «garde-fou» obligatoire.
 
 
 
 
Saint Maximin a jeté l'éponge dans la réforme des nouveaux rythmes scolaires
Pourcieux relève le défit
   
Comme on pouvait s'y attendre, la municipalité de la commune de Saint Maximin a choisi de différer la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires, essentiellement pour des raisons électoralistes. En effet, fidèles à leur stratégie, à l'approche des échéances municipales, les élus majoritaires ont préféré consacrer le peu de marge financière qu'il leur reste à un intensif goudronnage électoral.
Par voie de conséquence, la future équipe qui sera élue en mars 2014 n'aura que quelques mois pour mettre en place la réforme qui deviendra obligatoire en septembre 2014.
D'autres communes, comme Pourcieux, travaillent déjà depuis quelques temps sur un projet qui permettra aux enfants de bénéficier dès la rentrée 2013 d’un temps scolaire et extra scolaire riche en apprentissages, culture et sport.
Pas très loin d'ici, à Carcès, ce mode de fonctionnement est pratiqué depuis plus de dix ans, et semble recueillir l'unanimité auprès de tous les partenaires.
 
 
 
 
Pour pratiquer le trampoline à Saint Maximin
L'association Acro Tramp initie les jeunes à la pratique du Trampoline. Après près de deux ans d'existence à Saint-Maximin, elle compte une cinquantaine de licenciés.
 
Au delà du nombre, la qualité est aussi au rendez-vous puisque le dimanche 3 février 2013 au Pradet, cinq athlètes du club saint maximinois ont décroché le titre de champion du Var : Marilou Dubois en Régional Jeunesse Féminine, Jolan Arnaux en Régional Toute Catégorie Masculin, Marine Sénéchal en Régional Toute Catégorie Féminine, Julie Possenti en InterRégional Cadet féminin, Cécile Sauvage en InterRégional Junior féminine. Six autres également sont montés sur le podium : Nellia Moussa 3ème  en Régional Découverte, Océane Halleur 3ème en Régional Jeunesse Féminine, Janne Allaux 3ème en Régional Toute Catégorie Féminine, Clément Conilh 2ème en Régional Toute Catégorie Masculin, Liloue Sauvage 3ème en InterRégional Poussin, Yanis Arnaud 3ème en InterRégional Minime.
 
Une semaine plus tard, le dimanche 10 février 2013, à Saint Laurent du Var, lors des championnats de la région Provence Alpes Cote d'Azur, sur les 23 Saint Maximinois engagés, 7 dont devenus "Champions PACA". Il s'agit de Nelia Moussa en Régional Découverte Féminine, Marilou Dubois en Régional Jeunesse Féminine, Remy Nedjar en Régional Jeunesse Masculin, Marine Sénéchal en Régional Toute Catégorie Féminine, Clément Conilh en Régional Toute Catégorie Masculin, Julie Possenti en InterRégional Minime Féminine, Cécile Sauvage en interRégional Junior Féminine. Huit autres sont également montés sur le podium : Elisa Sénéchal 2ème en Régional Découverte Féminine, Océane Halleur 2ème en Régional Jeunesse Féminine, Célia Nedjar 2ème en Régional Toute Catégorie Féminine, Jeanne Alaux 3ème en Régional Toute Catégorie Féminine, Jolan Arnaud 2ème en Régional Toute Catégorie Masculin, Amandine Trouiller 2ème en InterRégional Minime Féminine, Charlotte Bertrand 2ème en InterRégional Cadet Féminine, Axel Pégourié 3ème en InterRégional Cadet Masculin.
 
Ces résultats sont d'autant plus méritoires que l'encadrement du club, est assuré par des animateurs diplômés, mais tous bénévoles. Ce qui n'est pas si courant par les temps qui courent.
Seule ombre au tableau, mais elle est de taille : le club n'a pu bénéficier d'une salle. De ce fait, été comme hiver, tous les entrainements doivent se faire à l'extérieur, sur des trampolines disposés tout autour de la villa du président. Compte tenu des conditions climatiques que nous avons connues ces dernières semaines, ça n'est pas vraiment les conditions idéales pour pratiquer le trampoline.
Pour pallier à cette situation préjudiciable à son développement, le club est toujours à la recherche d'un hangar ou d'une salle adaptée. Si quelqu'un a une idée pour les aider, elle sera la bienvenue.
 
 
 
 
50ème anniversaire de l'arrivée des Harkis à Saint Maximin
 
   
 
Les Harkis avaient joué un rôle important en qualité d'auxiliaires aux troupes françaises en Algérie.
Après l'indépendance, quelques milliers sont rapatriés avec leur famille en France où ils sont parqués dans des camps de transit, les autres sont massacrés sur place.
La Municipalité Barles accepte d'accueillir une trentaines de familles à Saint Maximin. Elles arrivent dans la commune en mars 1963, où hommes, femmes et enfants, passent leurs premières nuits sous des tentes montées sur la décharge publique au quartier du Peyrouas, que l'on a fait niveler pour la circonstance.
Le Père Jacques Cardonnel, indigné, met à leur disposition une aile du Couvent en attendant que soient construits des baraquements en dur.
 
 
 
 
Brèves
 
Saint-Maximin, puis Pourcieux    
Le samedi 16 mars, Jean Siccardi sera présent de 10h à 12h30, à la librairie Mirabeau de Saint Maximin (à côté du Crédit Agricole), pour dédicacer son dernier roman historique intitulé "Le souper de l'abbesse", consacré aux soeurs moniales du couvent de la Celle.
 
L'après midi, il présentera, sous forme d'une causerie-débat, son ouvrage à partir de 15h30, à la médiathèque de Pourcieux.
 
   
Nans les Pins  
Le samedi 30 mars, 18h, aura lieu à la salle des Fêtes "Les vignerons", une conférence particulièrement intéressante sur l'eau à Nans les Pins, présentée par plusieurs membres de l'association Nans Autrefois.
 
 
 
   
Événements qui se sont produits jadis à Saint Maximin au mois de mars
     
4 mars 1376
  Bulle du pape Grégoire XI attribuant aux frères prêcheurs de Saint Maximin le prieuré de Sceaux.
     
7 mars 1437
  Ratification des privilèges de la ville de Saint Maximin faite par le roi René.
     
3 mars 1456
  Visite du dauphin Louis (futur Louis XI).
     
22 mars 1514
  Le roi François 1er exempte les habitants de Saint Maximin du logement et de la fourniture de vivres aux gens de guerre.
     
26 mars 1789
 
Les paysans manifestent bruyamment devant la maison commune, rue de la Masse (aujourd'hui rue de la République), où siège le conseil général de la ville pour demander la diminution du prix des grains et du pain. Ils exigent également qu'on leur donne la garde des portes de la ville pendant la nuit. Le lendemain ils défendent à tous les travailleurs de se rendre aux champs et ordonnent aux commerçants de fermer leur boutique. Ils obligent les consuls à organiser une perquisition dans toutes les maisons pour rechercher du grain. Ils réquisitionnent et distribuent près de 160 hl de blé trouvé chez un particulier. Une fois la distribution terminée, ils demandent la destitution du préposé aux greniers de la ville et l'abolition du règlement qui fixe le travail de leurs journées. C'est grâce à l'intervention courageuse du subdélégué Ricard que le pire est évité.
     
10 mars 1912
  Assemblée Générale constitutive de la cave coopérative l'Amicale.
     
mars 1963
  Arrivée de 36 familles de Harkis à Saint Maximin.
 

 
 
A découvrir sur le site http://saintmaximin2008.fr
 
Un espace destiné aux associations des communes du canton
Des topos pour effectuer des randonnées ou des balades dans le secteur
Éléments d'histoire relatifs à toutes les communes du canton
Un calendrier des manifestations du canton
 

Nous répondrons à toutes vos questions sur http://saintmaximin2008.over-blog.com/

Vous pouvez échanger avec nous également sur Facebook

Pour s'inscrire ou se désinscrire à cette lettre alain.decanis@neuf.fr