Maire de la commune, il a pris une part active dans le ravitaillement du maquis installé sur le mont Aurélien de décembre 1943 à mars 1944.

Dénoncé, comme Paul Bertin, par Hugo Brunning, déserteur de l'armée allemande qui avait rejoint le maquis, il est arrêté par la Gestapo à Pourcieux le 23 juin 1944. Interné à la prison Les Baumettes de Marseille, il n'a retrouvé la liberté qu'à la Libération.

A participé au parachutage réceptionné en juin 1944 au pas des Ifs sur le Mont Aurélien, ainsi qu'aux combats de la Libération.

Sergent-chef de réserve, il a dirigé l'attaque d'un convoi allemand le 18 août 1944, à la sortie de Pourcieux, au lieu-dit La Bédoule.

Possédait une ferme (la Tuilière) en lisière du Mont Aurélien qui est devenu rapidement un maillon dans la chaîne de ravitaillement du maquis.

A participé au parachutage réceptionné en juin 1944 au pas des Ifs sur le Mont Aurélien.

A participé à l'attaque d'un convoi allemand le 18 août 1944, à la sortie de Pourcieux, au lieu-dit La Bédoule.

A été utilisé comme agent de liaison entre les différents chefs locaux de la Résistance.

Il transportait des messages, destinés au commandant Orsini à Toulon, dans le guidon de son vélo.

A participé au parachutage réceptionné en juin 1944 au pas des Ifs sur le Mont Aurélien.

A participé à l'attaque d'un convoi allemand le 18 août 1944, à la sortie de Pourcieux, au lieu-dit La Bédoule.

A participé au parachutage réceptionné en juin 1944 au pas des Ifs sur le Mont Aurélien.

A participé à l'attaque d'un convoi allemand le 18 août 1944, à la sortie de Pourcieux, au lieu-dit La Bédoule.

Il était mécanicien. C'est dans son garage en cours de construction que se réunissaient le plus souvent les Résistants de Pourcieux.

A participé au parachutage réceptionné en juin 1944 au pas des Ifs sur le Mont Aurélien, ainsi qu'aux combats de la Libération. Avec sa camionnette, il a dû forcer un barrage à Saint Maximin pour ramener les armes et munitions à Pourcieux.