Des Bruçois engagés dans la Résistance
Membre de l'ORA, il participe à l'attaque d'un convoi allemand le 17 août 1944 au Castellas.
Membre de l'ORA, il participe à l'attaque d'un convoi allemand le 17 août 1944 au Castellas.
Membre de l'ORA, il participe à l'attaque d'un convoi allemand le 17 août 1944 au Castellas. C'est lui qui opère à la la mitrailleuse.
Instituteur, secrétaire de mairie, il est à la fois le beau-frère et l'adjoint du responsable de l'ORA pour la commune Paul Guigou.
Il est arrêté dans sa classe le 12 juin 1944 par les Allemands qui se présentent vers 15h dans sa salle conduit par Hugo Brunning. Prévenu, il a juste le temps de brîler dans le poëlle quelques papiers compromettant et d'écrire sur le tableu le mot "Liberté". En même temps est arrêté Paul Guigou, maire de la commune, le cafetier Leopold Louche, le boulanger Charles Laugier, le receveur Félix Maille ainsi que deux cultivateurs qui, effrayés, tentaient de prendre la fuite, Marius Bonnet et Jules Bremond.
Il est arrêté dans sa classe le 12 juin 1944 par les Allemands qui se présentent vers 15h dans sa salle conduit par Hugo Brunning. Prévenu, il a juste le temps de brîler dans le poëlle quelques papiers compromettant et d'écrire sur le tableu le mot "Liberté". En même temps est arrêté Paul Guigou, maire de la commune, le cafetier Leopold Louche, le boulanger Charles Laugier, le receveur Félix Maille ainsi que deux cultivateurs qui, effrayés, tentaient de prendre la fuite, Marius Bonnet et Jules Bremond.
Maire de la commune, il est aussi le responsable local de l'ORA.
il est arrêté le 12 juin 1944 par les Allemands qui se présentent vers 15h à son domicile de Brue-Auriac conduit par Hugo Brunning.
En même temps ils arrêtent Jean Chabaud, secrétaire de mairie, également maître d'école, le cafetier Leopold Louche, le boulanger Charles Laugier, le receveur Félix Maille et deux agriculteurs Jules Bremond et Marius Bonnet. Les sept hommes sont d'abord conduits à Brignoles où ils passent la nuit au Palais de Justice, puis le lendemain, ils sont transférés à Draguignan où ils sont interrogés par la Gestapo.
Après une dizaine de jours. quatre d'entre eux dont Paul Guigou sont conduits à la prison des petites Baumettes à Marseille où ils resteront jusqu'à la Libération.
il est arrêté le 12 juin 1944 par les Allemands qui se présentent vers 15h à son domicile de Brue-Auriac conduit par Hugo Brunning.
En même temps ils arrêtent Jean Chabaud, secrétaire de mairie, également maître d'école, le cafetier Leopold Louche, le boulanger Charles Laugier, le receveur Félix Maille et deux agriculteurs Jules Bremond et Marius Bonnet. Les sept hommes sont d'abord conduits à Brignoles où ils passent la nuit au Palais de Justice, puis le lendemain, ils sont transférés à Draguignan où ils sont interrogés par la Gestapo.
Après une dizaine de jours. quatre d'entre eux dont Paul Guigou sont conduits à la prison des petites Baumettes à Marseille où ils resteront jusqu'à la Libération.
Sous la direction de Paul Guigou, dont il est le beau-frère, il contribue au ravitaillement des maquis de Piégros et de Gravagne.
Le 12 juin 1944, un détachement allemand guidé par le traitre Hugo Brunning, investit Brue-Auriac. Charles Laugier, boulanger, est reconnu par Hugo et arrêté en même temps que Paul Guigou, Jean Chabaud, Félix Maille, Leopold Louche ainsi que deux cultivateurs qui, effrayés, tentaient de prendre la fuite, Marius Bonnet et Jules Bremond..
Après avoir subi un interrogatoire musclé à Draguignan, ils sont transférés à la prison des Baumettes à Marseille. Ils ne retrouveront la liberté qu'à la Libération.
Le 12 juin 1944, un détachement allemand guidé par le traitre Hugo Brunning, investit Brue-Auriac. Charles Laugier, boulanger, est reconnu par Hugo et arrêté en même temps que Paul Guigou, Jean Chabaud, Félix Maille, Leopold Louche ainsi que deux cultivateurs qui, effrayés, tentaient de prendre la fuite, Marius Bonnet et Jules Bremond..
Après avoir subi un interrogatoire musclé à Draguignan, ils sont transférés à la prison des Baumettes à Marseille. Ils ne retrouveront la liberté qu'à la Libération.
Sous la direction de Paul Guigou il contribue au ravitaillement des maquis de Piégros et de Gravagne.
Le 12 juin 1944, un détachement allemand guidé par le traitre Hugo Brunning, investit Brue-Auriac. Leopold Louche, cafetier, est reconnu par Hugo et arrêté en même temps que Paul Guigou, Jean Chabaud, Félix Maille, Charles Laugier ainsi que deux cultivateurs qui, effrayés, tentaient de prendre la fuite, Marius Bonnet et Jules Bremond..
Après avoir subi un interrogatoire musclé à Draguignan, ils sont transférés à la prison des Baumettes à Marseille. Ils ne retrouveront la liberté qu'à la Libération.
Le 12 juin 1944, un détachement allemand guidé par le traitre Hugo Brunning, investit Brue-Auriac. Leopold Louche, cafetier, est reconnu par Hugo et arrêté en même temps que Paul Guigou, Jean Chabaud, Félix Maille, Charles Laugier ainsi que deux cultivateurs qui, effrayés, tentaient de prendre la fuite, Marius Bonnet et Jules Bremond..
Après avoir subi un interrogatoire musclé à Draguignan, ils sont transférés à la prison des Baumettes à Marseille. Ils ne retrouveront la liberté qu'à la Libération.
Le 12 août 1944, il confie à André Berton le soin de convoyer jusqu'à Signes, les cinq membres de l'équipe Gedeon parachutés la veille sur le plateau de Saint Estève.