Poilus de Nans
Cultivateur, après avoir été ajourné en 1903 et 1904, il est incorporé le 16 octobre 1904 au 111ème Régiment d'Infanterie. Le 18 septembre 1906 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 2 août 1914.
Il est proposé pour un changement d'armes, par la commission de réforme de Vesoul, en raison de varices profondes à la jambe gauche.
Le 5 août 1916 il passe au 38ème Régiment d'Artillerie.
Le 30 octobre 1916 il passe au 62ème Bataillon d'Artillerie de Campagne.
Le 1 octobre 1917 il passe au 63ème Régiment d'Artillerie.
Le 1 octobre 1918 il passe au 66ème Régiment d'Artillerie.
Il est démobilisé le 6 mars 1919.
Soldat au 294ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 25 mai 1916 à Verdun (Meuse).
Sous-lieutenant au 1er Régiment du Génie, il est tué à l'ennemi le 25 août 1917 à Saint-Quentin (Aisne).
Fils de André Bagnis et de Magdeleine Marra Bagnis, Il est né le 30 juin 1872 à Vinadio, province de Cuneo, en Italie.
résident à Aix, il est naturalisé en 1909. Etant âgé de plus de 27 ans au moment de sa naturalisation, il n'est pas astreint à un service militaire.
Appelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 12 août 1914.
Le 14 novembre 1914 il passe au 121ème Régiment d'Infanterie.
Le 26 mai 1916 il passe au 228ème Régiment d'Infanterie.
Le 24 novembre 1916 il passe au 42ème Régiment d'Infanterie Territorial.
Le 16 janvier 1919 il est mis en congé illimité de démobilisation par le bureau du 112ème Régiment d'Infanterie.
Il est titulaire de :
- la médaille commémorative 1914/18.
- la médaille interalliée de la Victoire.
cuisinier, il est incorporé aux Equipages de la Flotte comme engagé volontaire de trois ans le 1 avril 1910.
Le 2 avril 1910 il arrive au corps en qualité d'apprenti cuisinier.
Le 16 avril 1913 il passe dans la réserve.
Rappelé lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 4 août 1914.
Il est démobilisé le 15 juin 1919. Il se retire à Paris.
Soldat au 3ème Régiment de Marche des Zouaves, disparu le 24 août 1914 à Oret (Belgique).
Cultivateur, il est incorporé le 27 novembre 1913 au 58ème Régiment d'Infanterie.
Le 20 août 1914 il est fait prisonnier à Dieuze.
Il est interné à Landshut, puis à Puchheim, tous deux situés en Bavière.
Il est rapatrié le 28 décembre 1918, il arrive à Marseille le 30 décembre 1918.
Il passe au 112ème Régiment d'Infanterie le 13 mars 1919.
Il est démobilisé le 12 août 1919.
Il est ajourné pour faiblesse en 1903 et en 1904.
Cultivateur, lors de la mobilisation générale il se présente au corps le 11 août 1914. Il est affecté au Service Troupeau C bouvier 422. Le 12 août 1914 il est renvoyé dans ses foyers, sa mission terminée.
Le 14 mars 1915 il part aux armées.
Le 29 mars 1915 il est fait prisonnier au Bois de la Gruerie. Il est interné à Meschede (Westphalie).
Il est rapatrié d'Allemagne le 28 décembre 1918.
Il est démobilisé le 10 mars 1919.
Sergent au 116ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 26 octobre 1916 à Fleury-devant-Douaumont (Meuse).
Il est incorporé le 17 décembre 1914 au 75ème Régiment d'Infanterie
Il est tué à l'ennemi le 5 juin 1916 devant Douaumont (Meuse).
Il est inhumé devant la Caillette, bois du Chapitre.
Soldat au 111ème Régiment d'Infanterie (57ème BI,29°DI Garbillet, 15°CA Heymann, 3°A Sarrail), il est tué à l'ennemi le 21 décembre 1914 à Malancourt (Meuse).
Cultivateur à Nans, il est incorporé le 12 octobre 1911 au 163ème régiment d'Infanterie. Le 8 novembre 1913 il est renvoyé dans ses foyers.
Lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Le 29 mars 1916 il passe au 330ème Régiment d'Infanterie.
Le 6 septembre 1916 il est fait prisonnier lors de la bataille de la Somme à Vermandovillers. Il est interné à Dülmen (Westphalie).
Il est rapatrié à Cherbourg le 26 janvier 1919.
Le 26 mars 1919 il passe au 141ème Régiment d'Infanterie.
Le 2 juillet 1919 il est démobilisé. Il se retire à Nans.
Il est né le 2 février 1890 à Nans.
Matelot Canonnier sur le cuirassé La Provence, il est tué le 1 décembre 1916 à Athènes (Grèce).
Il est cité à l'ordre de l'Armée pour son comportement: " Cerné dans une maison par de nombreux ennemis, s'y est défendu pendant plus de quatre heures jusqu'à l'épuisement de ses cartouches en montrant un beau courage."
Charcutier, il est incorporé au 111ème Régiment d'Infanterie le 8 octobre 1909.
Il est soldat de 1ère classe le 18 juin 1910.
Le 24 septembre 1911 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 3 août 1914.
Le 20 août 1914 il est fait prisonnier à Dieuze (Moselle). Il est interné à Grafenwöhr (Bavière).
Le 1 avril 1918 il passe au camp de Bayreuth.
Il est rapatrié le 17 juillet 1918. Il est dirigé sur le DT de Marseille où il obtient un congé de convalescence d'un mois.
Le 29 août 1918 il passe au 111ème Régiment d'Infanterie.
Le 29 septembre 1918 il passe au 80ème Régiment d'Infanterie.
Le 18 décembre 1918 il passe au 141ème Régiment d'Infanterie.
Le 21 mars 1919 il est démobilisé.
Charretier il est incorporé le 7 octobre 1906 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Il est renvoyé dans ses foyers le 3 octobre 1908.
Lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 2 août 1914.
Il est fait prisonnier le 28 août 1914 à Peronne.
Il est interné à Münster (Westphalie).
Il est rapatrié le 8 décembre 1918.
Le 21 février 1919 il est affecté au 141ème Régiment d'Infanterie.
Le 28 février 1919 il est démobilisé.
Mathieu Jean Baptiste Julien et de Marie Adeline Blanc, il est né le 9 avril 1888 à Nans.
Charcutier, il est incorporé le 7 octobre 1904 au 112ème Régiment d'Infanterie. Il est renvoyé dans ses foyers le 23 septembre 1911.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 2 août 1914.
Il passe au
163ème Régiment d'Infanterie.
Le 28 septembre 1914 il est fait prisonnier à Xivray-et-Marvoisin (Meuse). Il est interné à Wetzlar. Il n'est pas revenu, son décès a été fixé au 28 septembre 1914 par jugement du tribunal de Brignoles, le 15 avril 1920.
Soldat de 2ème classe au 163ème Régiment d'Infanterie, il est tué à l'ennemi le 24 août 1918 à Massiges (Marne).
Soldat au 27ème bataillon de chasseurs alpins, il est tué à l'ennemi le 22 octobre 1916 à Sailly-Saillisel (Somme)
Soldat au 36ème régiment d'infanterie il est tué à l'ennemi le 25 septembre 1915 à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais).
Cultivateur à Nans, il est incorporé le 10 avril 1915 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 18 août 1917 il est cité à l'ordre du Bataillon : "Excellent agent de liaison, digne de tout éloge, courageux et dévoué, toujours volontaire pour les missions les plus périlleuses, d'un calme et d'un sang-froid exemplaire en toutes circonstances".
Le 21 novembre 1917 il est cité à l'ordre de la Division : "A eu une très belle attitude au cours des durs combats du 23 au 26 octobre 1917 pour la conquête de l'éperon et du village de Pargny Fillain - Croix de Guerre avec étoile de bronze et d'argent".
Le 7 novembre 1918 il est cité à l'ordre du 27ème Bataillon de Chasseurs : "Agent de liaison détaché auprès d'un Bataillon avancé. S'est acquitté de sa mission avec une bravoure et un mépris absolu du danger, apportant à son chef de Bataillon, des renseignements précieux, malgré de violents bombardements".
Le 12 décembre 1918 il est cité à l'ordre de la 66e Division de Chasseurs : "Chasseur d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. A montré pendant les combats du 17 octobre au 4 novembre 1918, le plus grand mépris du danger en réparant les lignes téléphoniques sous de viloents tirs d'artillerie".
Le 19 septembre 1919 il est démobilisé.
Par décret du 24 octobre 1972 il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur.
Caporal au 4ème Régiment d'Infanterie Coloniale, il est tué à l'ennemi le 25 septembre 1915 à Massiges (Marne).
Il est appelé à l'activité lors de la mobilisation générale du 2 août 1914. Il se présente au corps le 7 août 1914 car il a assisté aux opérations de la commission des réquisitions des cheveaux et voitures n°66 les 4, 5 et 6 août 1914.
Le 31 octobre 1914 il est classé service auxiliaire par la commission de réforme.
Le 19 janvier 1915 il est affecté au 113ème Régiment d'Infanterie Territoriale.
Le 24 avril 1915 il passe au 112ème Régiment d'Infanterie.
Le 11 octobre 1915 il passe au 151ème Régoiment d'Infanterie.
Le 3 septembre 1917 il est blessé et évacué.
Le 15 octobre 1917 il décède des suites de ses blessures à l'hôpital de Saint-Dizier (Haute-Marne)
Sergent au 175ème Régiment d'Infanterie dans les Dardanelles, il est décédé des suites de ses blessures de guerre le 7 août 1915 à Seddul-Bahr, sur le plateau de Kérévès-Déré dans la péninsule de Gallipoli (Turquie).
Soldat au 24ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 12 février 1915 au sommet de Sudelkopf (Bas-Rhin).
Cultivateur à Nans, il est incorporé le 9 octobre 1911 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Le 8 novembre 1913 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Le 16 septembre 1914 il est blessé par balle à la main gauche à Ypres.
Le 20 juin 1915 il est fait prisonnier à Metzeral. Il est interné à Ohrdruf (Saxe).
Il est rapatrié le 11 janvier 1919.
Le 21 mars 1919 il passe au 112ème Régiment d'Infanterie.
Il est démobilisé le 8 août 1919.
Soldat au 1erBataillon de Tirailleurs Somalis, il est porté disparu le 2 juin 1918 à Mont-de-Choisy (Oise).
Le 3 octobre 1910 il est incorporé au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 25 septembre 1912 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 3 août 1914. Il est affecté comme infirmier au 112ème Régiment d'Infanterie.
Le 5 mai 1915 il passe à la 15ème section des Commis et Ouvriers de l'Administration sur Verdun pour faire partie d'une formation de campagne.
Le 15 novembre 1915 il passe au 15ème Régiment d'Infanterie.
Le 16 mars 1916 il passe au 124ème Régiment d'Infanterie.
Le 11 juillet 1917 il est cité à l'ordre du Régiment : "Soldat dévoué. Au cours des combats du 21 mai au 6 juin 1917, a assuré la liaison avec les unités voisines par des bombardements violents. Le 21 mai a travaillé avec courage pour dégager deux de ses camarades qui venaient d'être frappés mortellement par un tir de barrage de gros calibre".
Le 15 juillet 1917 il est blessé par balle à la main.
Le 4 avril 1918 il passe au 118ème Régiment d'Infanterie.
Il est démobilisé le 21 janvier 1919. Il se retire à Saint-Maximin.
Le 3 octobre 1910 il est mobilisé au 112ème Régiment d'Infanterie. Le 25 septembre 1912 il est renvoyé dans ses foyers.
Il est rappelé le 4 août 1914.
Soldat au 112ème Régiment d'Infanterie, il est porté disparu le 20 août 1914 à Dieuze (Moselle).