Les problèmes de circulation et de stationnement sont ils insolubles ?

     
  En 1900, les embouteillages autour de la fontaine de la place Malherbe existaient déja !  
 
 
     
  Plus d'un siècle plus tard, on retrouve les mêmes problèmes aux mêmes endroits, mais de façon beaucoup plus aigüe !  
 
 
     
  Quelles mesures a-t-on adoptées pour les solutionner ?  
 
  • on a progressivement laissé envahir tout le centre ancien par les automobiles,
  • on a transformé peu à peu tous les lieux de vie en parking,
  • on a conservé, à quelques rares exceptions près, le même plan de circulation qu'à l'époque des charrettes.
 
  Seule la création du parking des cerisiers par la Municipalité Ginot en 1990 contre l'avis de l'opposition de l'époque, a permis de donner un ballon d'oxygène au centre-ville.  
 

Aujourd'hui :

  • la population de la commune croît régulièrement, le nombre de véhicules qui la traversent quotidiennement aussi,
  • pour redonner une attractivité au centre-ville, il est nécessaire de traiter en quasi-totalité de façon piétonne, ce qui va entrainer la suppression d'environ 200 places de stationnement, qui seront créées ailleurs.
 
 

Tous ces éléments, nous amèneront à définir dans le cadre du PLU, un plan de circulation et de stationnement adapté à la taille de la commune. Ses grandes orientations seront :

  • la réalisation de la déviation (compétence du Conseil Général mais qui conditionne tout le reste) le plus tôt possible,
  • la suppression de la circulation dans le centre-ancien (à l'exception des riverains),
  • la création d'un parking souterrain au dessous de l'actuel parking des cerisiers, financé par la promotion de logements créés au-dessus,
  • la création d'une vaste aire de stationnement gratuite située en périphérie reliée au centre-ville par une navette,
  • le traitement de façon urbaine des axes les plus importants reliant les quartiers et le centre-ville.
 
 
De plus, de nombreux Saint-Maximinois doivent tous les jours se rendre dans les Bouches-du-Rhône pour travailler. Compte tenu de l'augmentation du prix du carburant, ces déplacements pèsent de plus en plus lourd dans le budget des ménages. C'est pourquoi, nous nous engagerons résolument aux côtés de ceux qui militent depuis des années pour le développement des transports collectifs en général, et de la réouverture de la ligne de chemin de fer Carnoules-Gardanne en particulier.
 
  Tout ne pourra être fait du jour au lendemain. Les travaux seront programmés dans le temps et réalisés au fur et à mesure en fonction des moyens financiers dégagés. L'essentiel est que tous les aménagements s'intègrent dans un plan d'ensemble réaliste et cohérent.