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Bulletin d'information cantonal

n°7 - mars 2011

"Ceux qui luttent ne sont pas sûrs de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu" - Berthold Brecht

 
Les 20 et 27 mars 2011 votez et faites voter !
 
Dans notre canton le changement de pratique politique est enfin à portée de main
Il ne dépend que de vous !
 

Nous sommes dans la dernière ligne droite.

 
Une des clés du scrutin résidera très certainement dans le taux de participation.
Pour espérer que souffle enfin un vent de renouveau démocratique sur ce canton, il faut non seulement que tous ceux qui ont réellement envie que les choses changent aillent voter, mais également convainquent leurs relations, leurs amis, leurs voisins de le faire.
A nous de montrer que des militants déterminés sont plus forts que l'argent, le pouvoir et les médias.
C'est tous ensemble que nous pourrons ainsi fêter la victoire le dimanche 27 mars au soir !
 
 
 
 

Il est nécessaire de s'orienter vers un autre modèle économique

   

L’explosion démographique qu’a connu Saint Maximin ces dernières années a engendré une augmentation importante du nombre de consommateurs, et donc créé de nouveaux besoins en matière de surface commerciale.

avec JL Canal, maire de Rousset

On aurait pu y répondre en densifiant progressivement le centre ancien et en y élargissant l’espace commercial existant déjà, afin de préserver et dynamiser la vie au cœur de la cité et limiter à quelques enseignes l’implantation sur les zones extérieures.
Ca n’est pas le choix qui a été fait et je le regrette.

On a préféré aménager de vastes zones périphériques dotées de grands parkings, en y laissant implanter toutes sortes d’activités, asphyxiant ainsi progressivement le centre ville.

C’est cette évolution que certains, à grand renfort de publicité, osent qualifier de « développement économique extraordinaire ».

Un développement économique peut se mesurer par différents critères. En général le nombre d’emplois créé et la richesse produite pour la collectivité.

Qu’en est-il dans ces deux domaines ?

Malgré la multiplication des zones, le taux de chômage est plus élevé ici que la moyenne départementale, régionale et nationale. Et c’est normal, car l’espace commercial se développe proportionnellement à l'augmentation de population. En même temps, le commerce ne peut procurer du travail à tous les nouveaux arrivés. Cela entraine donc mécaniquement une augmentation du nombre de demandeurs d’emplois.

Le compte administratif 2009 de la Communauté de Communes Sainte Baume Mont Aurélien qui perçoit la taxe professionnelle nous indique qu’en 2009, les entreprises installées sur le territoire communautaire ont versé un montant de 3 192 485 €. A titre de comparaison, la communauté de communes de Brignoles a perçu pour la même année 8 494 076 €, soit pas loin du triple, donc pas de miracle non plus de ce côté-là.

En fait ce qui est présenté comme un « développement économique extraordinaire » est en réalité une vaste opération de propagande.

Mais alors que faire aujourd’hui ?

L’espace commercial dans le centre s’est réduit comme une peau de chagrin. Le redynamiser doit être une véritable priorité, et pas uniquement en terme d’affichage. Il faut créer de véritables places de parking, restituer les places et boulevards aux piétons, et surtout densifier l’espace commercial. Cela prendra du temps mais c’est la seule façon de recréer un lien social dans une commune qui est devenue une véritable cité-dortoir.

Des zones commerciales et artisanales sont implantées un peu partout. Leur nombre est aujourd’hui largement suffisant.

Pour créer de véritables emplois, il est d’urgent d’aménager sur notre territoire (à Saint Maximin ou dans une autre commune de la communauté), en un lieu respectueux de l’environnement, une zone destinée à accueillir des entreprises de production. Il n’est pas raisonnable d’imaginer cet aménagement dans un espace boisé, de part et d’autres d’une entrée de ville majeure, pour répondre à la seule exigence d’une enseigne voulant implanter sa base logistique, secteur d’activités qui est de ceux qui consomment le plus d’espace pour un minimum d’emplois.

Ce développement économique pourrait être conçu en partenariat avec la commune voisine de Rousset qui possède un réel savoir-faire en la matière.
Les années à venir risquent d'être plus difficiles que les années passées. A nous de mettre en œuvre une politique économique permettant de financer le développement de tout notre territoire ainsi que notre politique sociale.
 
 
 
 
Comment faire passer des vessies pour des lanternes
 
Cela fait des décennies que les Saint Maximinois réclament une voie de contournement.
Cela fait presque aussi longtemps que la Municipalité, pour ne pas déplaire à quelques amis, freine des quatre fers.
Ainsi en un demi siècle toutes les communes traversées par la RDN7, des Bouches du Rhône jusqu'aux Alpes Maritimes, ont été dotées par le Conseil Général d'une déviation, toutes sauf Saint Maximin qui à l'image de l'irréductible village gaulois a résisté jusqu'au bout.
Mais ces dernières années, la pression étant devenue trop forte, les élus se sont résolus à accepter la création d'une voie de contournement, opération que l'on tente aujourd'hui de nous faire passer pour un privilège qu'aurait obtenu notre cité grâce à l'influence du président !
On sait bien que les campagnes électorales sont des périodes propices aux grandes envolées mais il est tout de même bon, de temps à autre de rétablir la vérité.
 
 
 
 
Qui sera le prochain président du Conseil Général ?
 
Contrairement à ce qu'une vaste opération de propagande tente de nous faire croire, lorsque Horace Lanfranchi ne sera plus Président du Conseil Général, les communes continueront à bénéficier de leur quota de subventions fixé dans le cadre des conférences de territoire.
 
En revanche dans l'année à venir, les crédits d'animation seront probablement moins élevés en raison des difficultés financières que rencontre l'institution départementale.
De plus, compte tenu des dissensions qui agitent l'appareil UMP, il est fort
à parier que, quel que soit le résultat dans notre canton, le prochain président de l'assemblée départementale se nommera Marc Giraud ou Elie Brun.
Tout ça nous amène à penser que, pour le clan qui nous dirige, le véritable enjeu n'est pas de conserver le président, mais plutôt de tout mettre en œuvre pour que le père réussisse à transmettre le flambeau à sa fille.
Y parviendra-t-il ou pas ? Ca, c'est vous qui le déciderez !
 
 
 
 
Pourquoi faut-il construire des logements sociaux ?
 
Aujourd'hui des milliers d'enfants fréquentent les établissements scolaires des communes de notre canton.
 
Parmi ceux là, certains vont faire des études supérieures et n'auront quasiment aucune chance de trouver ici un emploi correspondant à leur niveau de qualification. Ils devront partir travailler ailleurs.
 
D'autres vont stopper plus tôt les études pour entrer dans le monde du travail sans qualification, ou avec un diplôme de niveau V (CAP, BEP). Avec un peu de chance ils pourront trouver un emploi de vendeur ou de manutentionnaire rémunéré au SMIC, souvent à temps partiel. Comment vont-ils pouvoir se loger dès qu'ils auront quitté le foyer familial ?
 
La loi SRU a fixé à 20% le taux de logements sociaux nécessaires à l'horizon 2020. Les communes de notre canton n'en comptent au mieux guère plus de 3%.
Comme les pénalités d'environ 150 € par logement manquant ne s'appliquent qu'aux agglomérations de plus de 50 000 habitants comptant au moins une commune de 15 000 âmes, Saint-Maximin, Pourrières et Nans-les-Pins en sont dispensées. Mais jusqu'à quand ?
En revanche Saint-Zacharie qui fait partie de la communauté d'agglomération d'Aubagne y est astreint.
Il ne s'agit pas de reproduire les erreurs des années 60 en construisant de vastes cités HLM devenues par la suite ingérables, mais d'incorporer une proportion de logements sociaux dans les programmes de construction en projets, publics et privés.
Si nous ne réagissons pas rapidement, dans un futur proche, comment nos propres enfants vont-ils pouvoir trouver un logement décent à un prix abordable dans nos villes et villages ?
 
 
 
 
Une Université Populaire pour tous !
 

Il y a près d'une trentaine d'années une Université Populaire existait ŕ Saint Maximin. Elle était hébergée dans l'enceinte du Couvent Royal de Saint Maximin.

Son mode de fonctionnement reposait sur deux grands piliers :
- des conférences mensuelles présentées par des intervenants de qualité (Haroun Tazieff, Jacques Chancel, Edgard Pisani, Alain Bombard, Gisèle Halimi, Alain Decaux...),
- des ateliers et groupes de travail autour de thèmes très variés (apprentissage de l'anglais, de la couture, de la taille et de la greffe, travaux en commun sur l'économie, sur l'histoire des Cercles...).
Hélas, après quelques années florissantes et un succès sans cesse croissant, les activités de l'association ont été victimes d'une modification intervenue à la tête du Collège d'Echanges Contemporains. Sans locaux de taille suffisante (les conférences accueillaient régulièrement jusqu'à 500 personnes) l'Université Populaire a dû fermer ses portes.
Aujourd'hui dans nos communes, nombreux sont ceux qui souhaiteraient participer à des activités culturelles régulières tout au long de l'année.
C'est pour répondre à ce besoin que nous proposons de recréer une structure du même type que celle qui existait jadis. Un projet intercommunal pourrait voir le jour avec l'appui du conseil général et du conseil régional.
Au delà de l'aspect culturel, cela pourrait être aussi un formidable outil générateur de lien social pour toutes nos communes qui ont tendance à se transformer inéluctablement en cité dortoir.
 
 
 
 
Préserver les terres agricoles
 
La problématique actuelle  
 
Le climat et la proximité de la mer provoquent une véritable migration en provenance de toute l’Europe vers les régions méditerranéennes que l’on chiffre maintenant à plusieurs centaines de milliers de personnes au cours de la décennie.
Il s’ensuit une véritable explosion de la demande de zones constructibles destinées à l’habitat et aux infrastructures (zones commerciales, routes, parkings, aménagements divers...) autrement dit à une véritable artificialisation des terres au détriment des zones naturelles ou agricoles.
Les zones agricoles les plus convoitées sont évidemment celles qui sont les plus faciles à aménager (terres agricoles situées près des villes et de la mer, dans des vallées, à des endroits facilement accessibles...).

A cette demande de terres à bâtir, somme toute explicable, vient d’ajouter un phénomène amplificateur. Les terres constructibles ou susceptibles de le devenir font l’objet de spéculation. Du coup, leurs propriétaires refusent de les louer à bail à des paysans, ce qui les empêcherait de les vendre à tout moment. En laissant les terres agricoles inexploitées, ils espèrent avancer le moment où elles deviendront constructibles, lors d’une modification du POS ou du PLU. Ceci explique le grand nombre de terres laissées en friche.

Ceci explique aussi que les terres soient rares et chères (en 2008, 10 000 € l’hectare dans le Var contre 5 000 € en moyenne en France). Dans certains cas le prix peut atteindre 35 000 € l'hectare.
Dans notre région, aucune production agricole ne peut rentabiliser un tel investissement. Pour faire baisser les prix, la SAFER a la possibilité de préempter la terre et d’imposer une révision du prix au profit d’un agriculteur ou d’une communauté de communes.

Par voie de conséquence, dans nos départements des centaines de familles n’ont pas accès à des terres agricoles alors que l’agriculture reste un moyen puissant de lutte contre le chômage.

Quelques solutions sont actuellement expérimentées et à suivre : création de Groupement Foncier Agricole (à Saint-Zacharie), Zone Agricole Protégée (à La Roquebrussanne). Dans ce dernier cas, la commune fixe la durée pendant laquelle une zone est consacrée à la seule activité agricole. L’arrêté préfectoral qui l’entérine officiellement ne peut être remis en question par une modification du PLU. Cette méthode participe à la lutte contre les projets spéculatifs et encourage des agriculteurs à investir.

Les Parcs Naturels Régionaux (PNR) participent également à la conservation des terres agricoles. Lors de la création d’un Parc, une carte du territoire recense les zones habitées, les zones de forêt, les zones de garrigue, les zones humides, les zones agricoles... que le Parc s’engage à protéger. La Charte d’un PNR étant fixée pour une période de 12 ans renouvelable, cette règle assure une réelle préservation des terres agricoles dans le temps.

 

Pourquoi vouloir préserver nos terres agricoles ?

 

Notre nourriture parcourt en moyenne 2 500 km avant d’arriver dans nos assiettes.
Pourtant, proposer des produits frais qui n’ont pas voyagé répond à une demande de plus en plus pressante des consommateurs.
En outre, produire localement c’est réduire la part «transport» dans le prix de revient.
On réduit aussi la consommation d’énergie et la pollution, ce qui va dans le sens préconisé par le Grenelle de l’Environnement.
Conserver une agriculture locale c’est préserver la souveraineté alimentaire. Se priver de nos ressources alimentaires nous rendrait vulnérables au même titre que la disparition de certaines ressources industrielles ou énergétiques. Produire localement nous met au contraire davantage à l’abri de pénuries alimentaires consécutives à de graves
perturbations des échanges mondiaux (conflits, pénurie d’énergie, pollutions à grande échelle...).

Avec la multiplication des intrants (engrais, pesticides, biocides, autres produits chimiques) il sera de plus en plus problématique d’assurer la sécurité alimentaire au niveau mondial. Les tricheries dans les contrôles sanitaires se multiplieront et il sera de moins en moins possible de confier notre santé et celle de nos enfants à des organismes de
contrôle multiples et dispersés sur l’ensemble de la planète.

L’agriculture locale garantit la qualité de notre environnement et évite de vivre dans le tout béton. Elle façonne et protège les paysages, en particulier contre les risques d’incendie et d’inondation.

En décloisonnant les milieux, l’agriculture de proximité assure la protection de la biodiversité et favorise la circulation des espèces vivantes qui constituent notre biotope.
En négligeant cet aspect de l’aménagement du territoire, on assiste à la disparition de nombreuses espèces indispensables à l’équilibre de la nature.
L’agriculture assure le maintien du savoir-faire et de la qualité des productions locales.
Elle protège notre patrimoine culinaire et culturel. Les produits pourront être valorisés par des labels de qualité qui facilitent la commercialisation des productions et accroissent
les revenus des paysans.
Une ferme à proximité d’un village peut devenir un endroit d’échange culturel et d’activité pédagogique. Y adjoindre un gîte rural lui confèrera une mission touristique.

 

Un mot sur l’agriculture bio

 

L’agriculture paysanne crée des emplois et contribue à l’équilibre de notre économie.
Elle répond à une demande des consommateurs qui adhèrent chaque jour davantage aux produits bio. En pratiquant la vente directe (AMAP) elle crée du lien social.
L’agriculture bio a une production très insuffisante pour satisfaire le marché : il faut le voir comme la certitude d’un bon développement de ces productions dans les années à venir et, comme la production bio est liée à la notion de production locale, on peut être assuré que cette activité ne sera pas sujette à délocalisation.

En évitant le recours aux produits chimiques, l’agriculture bio protège les ressources en eau et la qualité de l’air.

 
 
 
 
Un nouveau danger nous menace : les gaz de schiste
 
Certains schistes contiennent du méthane piégé dans leur fissuration.
 
La France serait assise sur d'importantes réserves, notamment dans le sud-est.
 
Flairant la bonne affaire d'importantes sociétés ont déposé des permis de prospection pour exploiter ces gisements. Dans l’Hexagone, trois permis de ont été octroyés, en mars 2010, au groupe pétrolier Total et au texan Schuepbach Energy, associé à GDF Suez.
 
Le principe est simple : après avoir foré verticalement, on pénètre horizontalement les schistes, dans lesquels on envoie un mélange d'eau en grande quantité, de sable et de redoutables produits chimiques propulsés à très haute pression (600 bars), méthode qui génère la remontée du gaz à la surface avec une partie du redoutable liquide de fracturation. Chaque « frack » nécessite quasiment 15 000 mètres cube d'eau (soit 7 à 15 millions de litres), un puits pouvant être fracturé jusqu'à 14 fois.
L'impact environnemental n'est donc pas neutre. L'eau utilisée doit être ensuite traitée car elle est souvent salée et contient des métaux lourds. La multiplication des forages et des réseaux de pipes affectent gravement les paysages, d'autant plus que la zone de drainage autour des puits étant faible, il peut y avoir un puits tous les 500 mètres.
Un permis sous l'appellation" 9279 Brignoles" a été demandé par Schuepbach Energy LLC pour un territoire couvrant une superficie de 6 781km², soit la quasi totalité du Var.
Ce projet industriel à grande échelle ne résoudra en rien la difficile équation entre la crise climatique et la sécurité énergétique. De plus il pose un risque sanitaire et environnemental grave.
Pour Pierre Souvet, Cardiologue, président de l'association "Santé Environnement de France" : "Le premier risque pour la santé est la pollution : on utilise dans les techniques de forage 250 produits chimiques dont on ne sait pas grand-chose, souvent toxiques, voire cancérigènes, qui peuvent s'infiltrer dans la nappe et atteindre les cours d'eau. Selon les relevés réalisés aux USA, il y a de l'acide nitriloacétique, du naphtalène, du formaldéhyde et des traces de métaux libérés par le passage de l'eau comme le benzène, le strontium ou l'éthylbenzene ainsi que des dérivés du pétrole."
Le conseil général ne se fait pas beaucoup entendre sur le sujet. On pourrait même dire que son silence est assourdissant.
 
 
 
 
Pensez aux procurations
 
Tous ceux qui ne seront pas présents les 20 et (ou) 27 mars, peuvent laisser une procuration à la personne de leur choix qui votera à leur place.
 
C'est simple, il suffit de se rendre à la gendarmerie munis d'un justificatif d'identité, et de remplir l'imprimé destiné cet effet en indiquant le nom, l'adresse, la date et le lieu de naissance du bénéficiaire.
 

Attention cependant :
- chaque électeur ne peut recevoir plus d'une procuration,
- le bénéficiaire doit être électeur dans la même commune que celui qui lui donne son pouvoir.

 
N'attendez pas le dernier moment, les procurations peuvent être établies dès maintenant.
 
 
 
 
Les réunions publiques dans les différentes communes du canton
 
ROUGIERS : mardi 1er mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Sylvie Massimi et Christian Desplats conseillers régionaux, et de Michel Partage, conseiller général.
 
PLAN D'AUPS : jeudi 3 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Marie Bouchez conseillère régionale, et de Michel Partage, conseiller général.
 
POURRIERES : vendredi 4 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Mireille Peirano vice-présidente du conseil régional, de Jean Louis Canal conseiller régional et maire de Rousset, et de Michel Partage conseiller général.
 
NANS LES PINS : lundi 7 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Charles Laugier conseiller régional et de Michel Partage, conseiller général.
 
POURCIEUX : vendredi 11 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Joël Canapa conseiller régional.
 
SAINT ZACHARIE : lundi 14 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Robert Alfonsi conseiller régional, et de Michel Partage, conseiller général.
 
OLLIERES : mercredi 16 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Michel Partage conseiller général.
 
SAINT MAXIMIN : jeudi 17 mars, 18h30, salle des Fêtes, en présence de Robert Alfonsi conseiller régional, de Jean Louis Canal conseiller régional et maire de Rousset, de Michel Partage conseiller général.
 
Venez nombreux, ce sera l'occasion d'échanger et de confronter nos points de vue.
A l'issue de toutes les réunions sera offert le pot de l'amitié.
 

 
 
Donnez, pour ceux qui ne sont pas considérés !
 

La Maison Amitié Solidarité est une association Saint Maximinoise formée exclusivement de bénévoles avec pour objet :
- l'aide aux familles en difficulté aussi bien sur le plan moral que financier,
- la distribution de colis alimentaires aux plus démunis,
- l'étude de dossiers de surendettement,
- l'aide dans la rédaction de courriers ou de démarches administratives,
- la gestion d'un local pour héberger les SDF, par grand froid notamment.

Lors du dernier conseil municipal de Saint Maximin, Monsieur le Maire a lu (car curieusement l'adjointe aux affaires sociales a refusé...) une délibération faisant état de difficultés de trésorerie rencontrées par cette association, et fait part de l'aide qu'elle sollicitait pour honorer une facture de 600 € afin de régler sa cotisation à la banque alimentaire du Var.

 
On aurait pu penser que cette requête, compte tenu du faible montant, serait acceptée à l'unanimité par les conseillers municipaux.
D'autant plus qu'en d'autres occasions on n'a pas hésité à doter beaucoup plus généreusement certaines associations.
Et bien pas du tout ! le Maire nous a au contraire expliqué qu'il proposait que l'on ne verse que la moitié de la somme demandée soit 300 €, et qu'on verrait pour le reste plus tard...
Les conseillers du groupe d'opposition ont eu beau demander à ce qu'on réduise le budget "apéritifs" jusqu'à concurrence de la somme manquante mais rien n'y a fait. Ils se sont heurtés à un refus ferme de la part du Maire et de l'adjointe...aux affaires sociales.
Ceci nous amène à penser qu'à Saint Maximin, le social est bien aussi une affaire de monopole.
 
En raison de la défaillance de la commune, pour mettre néanmoins à l'association de poursuivre son œuvre, nous faisons appel à votre générosité.
Tous les dons peuvent être adressés directement à Maison Amitiés Solidarité, MJA, boulevard Rey, 83 470 Saint Maximin. Un reçu permettant une déduction fiscale sera remis à tous les donateurs.
Nous présenterons un bilan des sommes récoltées dans le prochain bulletin.
Tous les membres de l'association, vous remercient par avance pour votre générosité.
 
 
 
 
Une pluie de médailles pour nos viticulteurs
 
Lors du concours général du salon de l'agriculture 2011 ont été récompensés par une médaille d'or :
 
 
Les rosés :  
Saint Maximin : domaine St Mitre, Papillon , Vin de pays du Var, 2010  
Saint Maximin : domaine de la Colombe, Vin de pays de la Ste Baume, 2010  
Pourrières : EURL Ferry Lacombe , Ste Victoire, Côtes de Provence, 2010  
Pourrières : EURL Ferry Lacombe , cuvée Désiré, Côtes de Provence, 2010  
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, Côtes de Provence, 2010  
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, Côtes de Provence Ste Victoire 2010  
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, Vin de pays du Var, 2010  
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, domaine St Hubert, Côtes de Provence, 2010
 
Les blancs :
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, domaine St Hubert, Côtes de Provence, 2010
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, domaine Beyssanne, Côtes de Provence, 2010
 
Les rouges :
Pourcieux : SCA Les Vignerons du Baou, Vin de pays du Var, merlot, 2010
 

 
 
A découvrir sur le site http://saintmaximin2008.fr
 
Un espace destiné aux associations des communes du canton
Des topos pour effectuer des randonnées ou des balades dans le secteur
Éléments d'histoire relatifs à toutes les communes du canton
Un calendrier des manifestations du canton
 

Nous répondrons à toutes vos questions sur http://saintmaximin2008.over-blog.com/

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