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Bulletin d'information intercommunal

n°24 - Octobre 2012

"Ceux qui luttent ne sont pas sûrs de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu" - Berthold Brecht

 
Du nouveau en matière d'intercommunalité
   
Vendredi 21 septembre, la Commission Départementale de Coopération Intercommunale (formée de 45 élus locaux) a adopté un découpage du département par une large majorité puisque seuls trois membres se sont abstenus (Jean Michel Vialatte, Mireille Peirano et Robert Alfonsi).
Pour répondre aux exigences de la loi, le préfet du Var avait proposé, il y a six mois, la création de six grands ensembles, imposant ainsi à certaines des quinze communautés existantes de fusionner ou de se regrouper avec d'autres communes.
Aujourd'hui après des mois de négociation, la seule avancée "notable" a été de réduire le nombre de communautés de quinze à ... treize.
Il est à noter également qu'aucune des communes qui souhaitaient rejoindre une communauté d'un autre département (comme ça avait été le cas il y a une dizaine d'années pour Vinon et Saint Zacharie) n'a été entendue. Rien d'étonnant à cela, car la volonté des responsables varois est avant tout de préserver leurs vassaux d'influences extra-départementales qui pourraient s'avérer néfastes et être synonimes de perte de pouvoir (lire ci-dessous l'article de Marc Vuillemot).
 
Carte extraite de Var Matin
 
 
 
 
Le Var et les Douze Bénévoles
(par Marc Vuillemot, conseiller régional, maire de la Seyne sur Mer)
     

Le Var avait surpris son monde, l’an dernier, en proposant de réunir toutes ses communes en une seule intercommunalité.

Non, soyons justes et précis : seulement 151 communes sur les 153 qu’il compte, puisque Saint-Zacharie et Vinon-sur-Verdon, respectivement liées dans des communautés de destins avec le pays d’Aubagne et celui de Luberon-Durance-Verdon, dans deux départements voisins, échappaient à la Grande Fusion.

Soyons aussi raisonnables et modestes : lorsqu’on parle de « son monde » qui avait été surpris, reconnaissons que ça n’avait pas perturbé tant que ça son million de concitoyens, qui ont d’autres chats à fouetter que cette « intercommunalité » dont ils entendent parler mais qui est bien loin des préoccupations quotidiennes de la plupart d’entre eux.

 
 

L’année dernière, l’opération avait avorté devant le tollé de nombreux élus.Il faut rendre hommage au préfet du département, aux présidents de l’association des maires du Var et de celle des communes rurales, et à certains élus membres de la commission départementale de coopération intercommunale, dont je suis assesseur, qui ont patiemment discuté avec les maires réticents à voir leur ville ou village intégrer telle ou telle communauté de communes.

Là, ça y est. On peut se réjouir que toutes les communes du département aient trouvé leur place dans l’une des 13 intercommunalités qui constituent désormais la carte du Var.

Mais le Var n’a pas renoncé à son Grand Œuvre. Ça passera inaperçu de la plupart de ses habitants, et c’est aussi passé inaperçu de beaucoup d’élus qui n’ont pas vu venir le coup. Ça s’appellerait un « Conseil des territoires et du développement ».

Officiellement, ce serait un simple espace de discussion, un « outil de concertation dans le domaine du développement, de la prospective territoriale et de l’aménagement du territoire ». En gros, un lieu qui ne serait rien d’autre qu’une sorte de « cercle républicain » comme nous en connaissons dans nombre de nos communes varoises, où nous « refaisons le monde » autour d’un verre... Pourquoi pas ?

Mais, concrètement, ce serait un « syndicat mixte ouvert ». C’est-à-dire une structure appelée à gérer des choses. Mais lesquelles ? Parce que, franchement, s’il s’agissait seulement de discuter du devenir d’un territoire, sans aller jusqu’à se retrouver sous les platanes de la terrasse d’un de nos « cercles » de villes et villages, on pourrait tout à fait s’en tenir à créer une association, ou une coordination des Schémas de Cohérence Territoriale (SCOT), ou une sorte de fédération des Conseils de développement qui sont adossés aux établissements de coopération intercommunale.

Donc, la question se pose : qu’est-ce que ce futur syndicat mixte, regroupant le Conseil Général du Var, les agglomérations de Toulon et de Draguignan, la Chambre de commerce et d’industrie, la Chambre des métiers, et la Chambre d’agriculture du Var, va-t-il bien pouvoir faire ?

Si on relit son titre et son objet, on frémit d’autant plus d’inquiétude que les sujets qu’il doit aborder - juste dans une concertation, c’est juré ! - intéressent bien sûr ses membres, mais aussi l’État et la Région, surtout si, nul ne peut l’ignorer, la réforme des institutions sur laquelle planchent le gouvernement et les parlementaires conforte l’échelon régional dans ses compétences sur l’économie et l’aménagement des territoires. Car on a vraiment besoin de Régions à l’image des Länder allemands, des Reggione italiennes, des Comunidades espagnoles, à la taille des enjeux européens et mondiaux d’aujourd’hui. Or l’État et la Région ne seraient que des « invités permanents sans voix délibérative » de ce futur syndicat mixte...

Le Var viserait-il par ce biais à anticiper les effets de cette réforme qui lui ôterait des leviers au profit de la Région, grâce à un outil singulier que l’État lui permettrait de créer ? Que craint-on ? Une offensive de l’Est niçois ou de l’Ouest marseillais justifiant un renforcement d’un pseudo particularisme historique identitaire varois qu’on ressasse à l’envi mais qui ne repose sur aucune réalité attestée, d’autant moins que le Var, en tant qu’entité, n’existe que depuis 1790, voire même 1860 en sa forme actuelle ?

La réalité géoéconomique, culturelle et sociale, elle, plaiderait plutôt pour des approches territoriales qui dépassent les limites administratives. Les bassins de développement transcendent les frontières départementales. L’aire toulonnaise a plus à œuvrer, en termes d’enjeux, avec Marseille, Aubagne et La Ciotat qu’avec Draguignan, comme les territoires du nord varois ont depuis des décennies compris que leur destin se noue avec ceux de l’autre rive du Verdon, au sud des Alpes-de-Haute-Provence, dans l’esprit de leur Parc Naturel Régional supra-départemental.

Le Var veut-il faire croire à une « identité varoise » agressée du Levant et du Ponant pour justifier l’érection d’une place-forte institutionnelle fortifiée ? Et, du coup, sauvegarder des seigneurs potentats retranchés dans des donjons, jouant des indulgences et bons gestes viagers accordés à tel vassal de canton ou vavassal de paroisse ?...

Beaucoup n’y ont vu que du feu, aveuglés par le souci de voir aboutir la carte des coopérations intercommunales. Il y avait pourtant à s’interroger. C’est la question des voix consultatives de l’État et de la Région au sein du futur syndicat qui devait mettre la puce à l’oreille. Car elle induit que les autres, eux, les douze « vrais membres » du comité syndical, ont des « vraies voix délibératives »... qui ne devraient servir à rien si, comme on l’assure, l’outil n’était qu’un lieu d’échanges de points de vues et non de gestion de projets structurants...

On jure qu’on se fait des idées. On affirme que les trois collectivités ou groupements et les trois chambres consulaires seront représentées chacune par deux délégués... bénévoles ! Qu’il n’y aura aucune structure, ni budget, mais juste une mutualisation de moyens ! De quels moyens a-t-on besoin pour seulement palabrer ?...

Après que les deux agglomérations et le Conseil général ont délibéré comme un seul homme (sauf les délégués de La Seyne au conseil communautaire de Toulon Provence Méditerranée), dans une belle unanimité aux airs d’unité nationale aux grandes heures des agressions de la Patrie, pour donner vie à ce « machin », le sort du Var serait désormais déposé entre les mains des Douze Bénévoles preux et valeureux, dans une éblouissante expérience de démocratie innovante, le peuple des intercommunalités membres élisant son conseil municipal, qui élit le conseil de sa communauté, qui élit deux des siens qui auront entre les mains le destin de tous...

La commission départementale de coopération intercommunale a donné un avis favorable à une large majorité à laquelle je n’ai pas joint ma voix, après avoir en vain demandé au préfet du Var de surseoir au vote, au moins dans l’attente de la future loi sur l’organisation des territoires, et tenté de plaider auprès des élus qui en sont membres de refuser la trop grosse perche tendue.

Il reste au préfet du Var à prendre l’arrêté de création de cette extravagante entité néo-féodale. Il peut ne pas le faire s’il estime que ce n’est pas conforme à la loi de la République...

 
 
 
 
La grande illusion
(dossier réalisé par Vincent Remy paru dans le numéro 3268 de Télérama)
 
Le 23 avril 2012, la France s'est réveillée avec, en tête, un chiffre dérangeant: 6.4 millions d'électeurs avaient voté pour Marine Le Pen, seulement un tiers de moins que les électeurs de François Hollande. L'électorat des villes, grandes et moyennes, était plus que jamais acquis à la gauche socialiste. Et la campagne... n'était plus la campagne. A la place, les commentateurs feignaient de s'étonner devant une France des "périphéries" où prospérait un vote "protestataire", essentiellement tourné vers l'abstention... et l'extrême droite. Au tout début de l'été, certains médias approfondirent le constat de cette étrange mutation française des trente dernières années. De lotissement en lotissement, la France s'est "périurbanisée", en cercles concentriques autour des villes, des cercles moins denses au fur et à mesure qu'on s'éloigne du centre, plus pauvres aussi: des espaces indécis, en perpétuelle croissance, sans mixité sociale, où vit 40%de la population française.
 
On privilégia l'analyse psychosociologisante progressiste: les pavillons proliféraient parce que le "désir", voire le rêve, de l'immense majorité de nos compatriotes est de vivre "près de la nature". S'inquiéter de cette évolution trahirait un "racisme spatial" d'urbain condescendant. La dévastation écologique et esthétique du pays, qui frappe nombre d'observateurs étrangers, n'était pas essentielle; il importait juste que se fabriquent, en territoire périurbain, un nouvel imaginaire", de "nouvelles représentations collectives", qu'émergent des "centralités" dans les zones commerciales... Et le vote "protestataire", alors, se dissoudrait ?
 
Deux ans plus tôt, dans un dossier au titre provocateur (Halte à la France moche) qui fit un certain bruit, Télérama s'était vu reprocher par quelques-uns de s'écarter de cette approche... Et pour cause: notre enquête s'appuyait sur ce qui reste, à ce jour, la seule analyse pertinente, politique, de ce processus sans équivalent en Europe de "périurbanisation": "La ville franchisée" paru aux éditions de la Vilette, exceptionnel ouvrage de l'architecte-urbaniste David Mangin. Il faut en finir, disait Mangin dès 2003, avec l'idée que le chaos périurbain "sort de terre tout seul". Il résulte au contraire "de rapports de forces politiques, de visions idéologiques, de cultures techniques".
 
En clair, depuis le début des années 1980, la vague libérale et le mouvement de décentralisation qui accompagna l'ère Mitterrand, l'Etat français, bien épaulé par les collectivités locales, droite et gauche confondues, s'est lancé dans une gigantesque privatisation du territoire: concessions autoroutières, zones commerciales, surfaces loties... Et le pays tout entier, porté par la mythologie de nos "grands groupes champions", a fait les choix économiques low cost des produits moyens et des petits salaires, qui entraînent le pays dans la pauvreté: grande distribution (800 000 emplois mal payés !) étendant aujourd'hui son emprise sur les petites villes, BTP tentaculaire, logements de promoteurs bas de gamme et tout-voiture, favorisés par des coûts énergétiques artificiellement pas chers - diesel et électricité nucléaire... Ce sont tous ces choix, opposés à ceux d'un pays comme l'Italie, qui a misé sur son urbanité séculaire, sur un tissu de PME de qualité, sur une agriculture convertie au bio, qu'il faudrait aujourd'hui remettre en cause: on n'attendait pas cette réflexion des libéraux, peut-on l'espérer de la gauche, dont le seul horizon, pour l'instant, semble ce recours incantatoire à une hypothétique réindustrialisation, abstraite et indifférenciée, sans que se dessine une vision, un projet ?
 
 
 
 
 
La fête du Parc Naturel Régional de la Sainte Baume
 
Samedi 6 octobre 2012, à l'espace culturel de Tourves, aura lieu de 8h à 18h, la 1ère Fête du Parc Naturel Régional de la Sainte Baume, proposée par le syndicat mixte de préfiguration du PNR et organisée par les associations : Découverte Sainte Baume, la Ligue Pour les Oiseaux PACA groupe Ste Baume et Objectif PNR.
 
 
Tout au long de la journée auront lieu des expositions, des stands, des conférences, des forums de rencontre avec des acteurs du territoire, des ateliers...
 
Pour plus de renseignement, vous pouvez consulter le programme détaillé sur http://www.pnr-saintebaume.fr ou adresser un mail à faiteslepnr2012@pnr-saintebaume.fr
 
 
 
 
La course pédestre et les trails
   
Courir sur des sentiers déserts et caillouteux, traverser des forêts, franchir des cols d'altitude ou longer des ruisseaux, tel est le quotidien des coureurs qui pratiquent le trail.
 
Cette discipline sportive connait depuis quelques années un essor exceptionnel, si bien que toutes les grandes épreuves sont amenées à limiter les inscriptions, et donc à refuser du monde.
De 2000 à 2006 Saint Maximin a connu d'abord le trail de la via Aurélia, puis en 2009 et 2010, l'Aurélien Trail qui lui a succédé. Après un passage à vide, cette compétition devrait reprendre en avril 2013, à l'initiative de Pierre Pesce et de l'équipe qui l'entoure dans le nouveau bureau du Saint Maximin Athlétic Club. Nous leur souhaitons bonne chance dans cette entreprise.
 
De nombreux coureurs ont également participé à différents trails organisés dans toute la région. Tous les classements et photos que nous avons pu retrouver relatifs aux compétiteurs Saint-Maximinois, Pourriérois, Brassois, Rougiérois, Zachariens, Seillonais et Nansais, figurent sur le site http://www.saintmaximin2008.fr (cliquer sur l'onglet "nouveautés", puis sur la commune concernée, et enfin sur "courses pédestres" dans la rubrique la vie sportive).
 
 
 
 
Interview du 1er ministre à Marseille
   
Nous avons relevé des éléments intéressants directement nos communes dans une interview accordée au journal les Echos, par premier ministre, lors d'un déplacement de deux jours à Marseille début septembre.
 
   
"Faute d'avoir été en mesure de décider la création d'une sortie d'autoroute pour desservir la « silicon valley provençale », 200 emplois prévus par ST Microelectronics à Aix ont ainsi été affectés à l'usine de Grenoble."
 
Un nombre important de salariés vivant à Saint Maximin et dans les communes environnantes travaillent sur la zone de Rousset. La situation d'un grand nombre de familles est donc étroitement liée à l'avenir de cette zone. D'où l'importance pour les municipalités varoises concernées de travailler avec celle de Rousset afin de contribuer à faire avancer les choses, même s'il s'agit d'un département différent.
 
     
"Au-delà des questions liées à la sécurité, le gros problème de Marseille c'est la voiture. 73% des déplacements pendulaires quotidiens entre Marseille et les communes voisines se font en voiture. La ville est la deuxième municipalité européenne la plus embouteillée d'Europe."
Trop de nos concitoyens n'ont pas le choix : ils doivent utiliser tous les jours leur véhicule pour se rendre au travail, dans les Bouches du Rhône notamment, sur des axes de plus en plus engorgés. Il est urgent de réouvrir la ligne TER Carnoules-Gardanne. Cela permettra de régler une partie du problème.
 
 
 
   

L'association Populaire d'Histoire Tourvaine

   
Depuis sa fondation en 1981, l'association a pour but de reconstituer l'histoire locale à partir des événements sociaux, culturels, économiques, politiques ou religieux ; elle se veut un lieu de réflexion où l'étude des événements amène la population de Tourves à chercher le sens de ses évolutions internes, à reprendre possession d'un passé commun, d'une mémoire populaire collective.
 
Ces objectifs ont été poursuivis inlassablement : la connaissance du patrimoine local s’est enrichie de travaux de toutes sortes allant de l’étude d’archives, aux prospections et aux fouilles archéologiques en passant par le recueil de témoignages oraux, les relevés architecturaux et bien d’autres choses encore.  
Les objectifs concernant la transmission de ces travaux au plus grand nombre ont été atteints au travers de l’édition des Cahiers de l’association, de la création d’expositions et de la tenue de  conférences publiques régulières.
Nous souhaitons une longue vie à cette association qui réalise avec des bénévoles, une véritable mission de service public et nous encourageons tous les passionnés d'histoire à la rejoindre.
 
 
 
 
 
Des événements qui se sont produits jadis dans nos communes en octobre
     
6 octobre 1241
Bras
Raimond Berenger, comte de Provence, fait don du fief de Bras à l'évêque de Riez.
     
octobre 1389
Saint Maximin
Visite du roi de France, Charles VI, accompagné de son jeune cousin âgé de 12 ans, Louis II, qui vient tout juste d'être sacré et couronné roi de Naples et comte de Provence par le pape Clément VII à Avignon.
     
octobre 1533
Sainte Baume
Visite de François 1er à la Sainte Baume. Il vient d'assister à Marseille au mariage de son second fils Henri d'Orléans qui deviendra Henri II, avec la nièce du pape Clément VII, Catherine de Médicis.
     
24 octobre 1564
Pourrières
Charles IX et sa mère Catherine de Médicis font une halte pour dîner à Pourrières avant de se rendre à Saint-Maximin. En cette occasion, il donne à la communauté des lettres patentes portant la création de la foire des 15,16 et 17 août à Pourrières, chaque année, afin que les habitants de ce lieu "trafiquent" avec leurs voisins.
     
24 octobre 1564
Saint Maximin
Charles IX, vient à Saint Maximin en compagnie de sa mère Catherine de Médicis et de son frère le duc d'Anjou qui régnera sous le nom d'Henri III. Les consuls sont Jean de Virgily, noble, et Maurisy Foulquette, bourgeois.Le jour du départ du Roi de Saint Maximin, la peste est publiée dans la cité.
     
25 octobre 1564
Sainte Baume
Visite du roi Charles IX à la Sainte Baume, en compagnie de sa mère, Catherine de Médicis, et de son frère, le futur Henri III.
     
6 octobre 1720
Pourrières
Une grande épidémie de peste vient de dévaster la Provence mais Pourrières est épargnée. Les consuls, les intendants du bureau de Santé et la plus grande partie de la population se rendent à l’église de Notre Dame du Bois. Les magistrats s’approchent de l’autel de Notre Dame de Miséricorde et prononcent le vœu solennel dont la tradition est perpétuée chaque année.
     
20 octobre 1720
Nans
La dernière grande épidémie de peste (ramenée d'Orient par le navire le Grand Saint Antoine ayant accosté à Marseille le 25 mai 1720) fait de gros dégâts à Nans. Dans le village l'épidémie apparait le 20 octobre 1720, mais considérée par les médecins comme une simple fièvre, la peste n'est identifiée que le 23 novembre 1720. En dix mois l'épidémie cause la mort de 230 habitants sur une population d'environ 670 personnes.
     
octobre 1799
Pourrières
Pillage des bagages de Bonaparte, qui revient d'Egypte, sur la Grande route qui conduit de Saint Maximin à Aix (à proximité de la bastide de Micouréou, entre l'auberge des Bannettes et la bastide de la Galinière) par 32 brigands dont François Gouiran de Pourrières. Le butin est composé de linge, de chemises, mouchoirs, couverts d'argent, salières, cafetières, chandeliers d'argent, deux ou trois paires de pistolets, un beau sabre, une montre à répétition, une pendule de prix, et une somme en monnaie d'or.
 

 
 
A découvrir sur le site http://saintmaximin2008.fr
 
Un espace destiné aux associations des communes du canton
Des topos pour effectuer des randonnées ou des balades dans le secteur
Éléments d'histoire relatifs à toutes les communes du canton
Un calendrier des manifestations du canton
 

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