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Var - République - Démocratie bulletin local n°99 - septembre 2016 "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" |
La bastidasse à Seillons | |
Une famille de maraichers enracinée dans notre terroir | |
La famille Aubert est profondément ancrée dans le pays saint-maximinois. Elle a produit plusieurs générations de maraichers. Après Marcel et Henri, c'est aujourd'hui Eric qui travaille les terres de la Palun et vend sa production tout au long de l'année sur le marché paysan de Saint-Maximin. | |
Ce que nous révèlent les magistrats de la Chambre Régionale des Comptes | |
La situation financière du département est préoccupante. Depuis 2011, les recettes augmentent moins fortement que les dépenses (+ 0,6 % contre + 3,1 % par an).Face à la situation financière difficile du département, les frais de personnel constituent un levier significatif. La participation du département à l’effort de redressement des finances publiques pourrait être, en partie, absorbée par une application plus rigoureuse de la réglementation et une meilleure allocation des moyens. La suppression d’avantages indus à certains agents, perçus comme inéquitables, constituerait un levier managérial pour faciliter l’acceptation des efforts à venir. | |
sur la gestion des ressources humaines au Conseil départemental du Var | |
D’un montant de 207 M€ en 2014, les dépenses de personnel constituent un autre levier d’économie auquel le conseil départemental ne devrait pas manquer de porter attention. Certains agents ont bénéficié d’évolutions de carrière contestables. L’absence du rapport de titularisation et l’inexistence des fiches de notations pendant la presque totalité de la période sous contrôle, ne permettent pas de s’assurer de la régularité de la titularisation dont a bénéficié une chargée de communication, également conseillère municipale. En bénéficiant de six avancements de grade en dix ans, dont un sans remplir les conditions réglementaires, et alors que le taux de promotion n’est que d’environ 40 % dans la collectivité, une directrice adjointe a indubitablement vu sa carrière favorisée. |
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sur la prépondérance familiale | |
La présence de trois enfants des prédécesseurs de l’actuel président du conseil départemental (Maurice Arreckx, président de 1985 à 1994, Hubert Falco, président de 1994 à 2002 et Horace Lanfranchi, président de 2002 à 2015) dans les effectifs du département, durant la période sous contrôle, justifie que la chambre ait contrôlé leur carrière, y compris leurs différentes affectations et leur recrutement. La chambre souligne que le fait, pour un élu, de recruter des proches constitue une irrégularité grave. En réponse à une question parlementaire, le ministre de l’intérieur a ainsi rappelé que « s’agissant du cas où un maire souhaiterait recruter un parent, la voie contractuelle et celle du recrutement direct sans concours sont indissociables d’un risque pénal résultant de l’intérêt moral qu’aurait ce maire à recruter un membre de sa famille. En effet, il convient de faire une lecture combinée des dispositions statutaires applicables à la fonction publique territoriale et celles résultant, d’une part, de l’article 432-12 du code pénal définissant la prise illégale d’intérêt et, d’autres part, de l’article L. 2131-11 du code général des collectivités territoriales, lesquelles tendent à écarter ce type de recrutement». Cette analyse s’applique évidemment à toutes les catégories de collectivités locales, y compris les départements. De fait, parmi les agents départementaux, hors assistantes familiales, le taux d’homonymie est de 36 %. Presque un cinquième des agents ont au moins deux autres homonymes dans la collectivité. |
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La réponse du principal intéressé publiée dans les colonnes de Var Matin est édifiante | |
Autrement dit, c'est partout pareil, ça a toujours été comme ça, bref, tout est normal ! Payez vos impôts et ne cherchez pas à comprendre ! | |
Pour ceux qui souhaitent prendre connaissance de l'intégralité du rapport : http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/PRESSE/AUTRES/20160630CRC.html |
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"Le trésor des Chouans" un conte de Robert Rieu | |
Un conte écrit par Robert Rieu à partir d'une histoire qui se transmet de père en fils depuis plusieurs générations à Pourcieux. | |
Version française | |
Un tas de pierre tout rongé par la mousse et les ronces au fond d’un vallon, voilà ce qui reste de la "Bergerie des Cabres" sur le Mont Aurélien de Pourcieux. Maintenant que je m’y trouve devant, asseyez vous avec moi et du temps que se fait la braise pour l’ "esquichée" laissez moi vous conter l’histoire extraordinaire du Trésor des Chouans. Il y a fort longtemps, lorsque chaque village possédait son troupeau de moutons, à Pourcieux c’était le père Blanc qui était le berger. Chaque année, avant la transhumance, il partait sur les barres avec son troupeau. Allez ! il n’était pas fou ; lorsque la canicule dessèche et brûle la terre, il savait bien lui, que dans les petits près des barres, ses brebis pourraient trouver une herbe fraîche et toute verte qui n’était pas de la « bàuco ». Pendant la journée il allait sur les pentes ombragées et le soir il rentrait à la bergerie par le "Pas du Loup" qui n’était pas un passage facile, mais il connaissait la colline le malin, il en avait visité tous les moindres recoins. Une fois sur le plateau, les bêtes dans le parc et l’abreuvoir rempli, tiens ! Il faisait comme moi, il préparait son repas : un peu de jambon, l’oignon, le fromage « couillen »… Et puis il allumait sa pipe en terre, regardait en bas du côté des « Puits », en attendant avec son chien Fidèle, de voir apparaitre l’étoile du berger, son étoile. Tirant alors sur les bords de son large manteau, il allait se coucher près de son troupeau. Ainsi se déroulait la vie pour ce brave homme et si elle était plus que simple, elle n’en était pas pour autant plus mauvaise. Cependant un beau jour du mois de juin quelque chose allait changer son existence et pour toujours. Ce jour là la chaleur avait été étouffante et maintenant que tombait la nuit, le vent d’Est portait de gros nuages boursoufflés qui venaient frapper sur les barres, on n’y voyait pas à un mètre. Notre gardien de moutons qui avait senti venir le coup, avait rassemblé son petit troupeau dare dare et s’était réfugié avec lui dans la petite étable. Le vent déchaîné soufflait bruyamment et la porte de la bergerie tremblait. Soudain une détonation formidable éclata, boum ! La barre de la porte sauta en l’air et deux brigands hirsutes lui mirent un pistolet sous le nez ! « Fais bien attention le berger, si tu te rebelles, on te casse la tête! » lui cria l’un des malappris. Le brave Blanquet n’eut pas le temps de bouger, en un clin d’œil il se trouva avec un sac sur la tête, entre les deux malfaiteurs, marchant tant bien que mal vers dieu seul sait quelle destination. Les tonnerres et les éclairs faisaient trembler la terre et la pluie tombaient très fort. Le brave homme se pensait : « tout à l’heure il vont me jeter dans quelque précipice ». Ils marchèrent ainsi pendant plus d’une heure dans un terrain très accidenté, trempés des pieds à la tête, puis finalement ils s’arrêtèrent. La violence du ciel avait fait place au grand silence, la pluie avait cessé et l’on pouvait apercevoir la lune qui montait au firmament. On entendit alors dans la nuit calme la plainte d’un grand duc. Dugouou, dugouou, dugouou…. C’était incroyable, voilà que les deux bandits, muets jusqu’alors, imitaient le chant de la chouette. Par trois fois ce chant funeste retentit dans l’obscurité, suivi encore d’un grand silence et, comme si l’écho répondait, la plainte lugubre d’un autre oiseau d’effroi se fit entendre venant d’un peu plus bas. Dugouou, dugouou, dugouou… "Allons-y le chemin est libre" s’exclama l’un des tristes sires et ils reprirent de nouveau leur marche. Un quart d’heure plus tard, après avoir traversé un petit bosquet d’ifs, ils firent quelques pas à quatre pattes sur de la terre sèche ; ils étaient arrivés au bout du voyage. On enleva le sac de la tête de Blanquet ce qui lui permit de voir le repaire des brigands. Dans le couloir d’une grotte étroite et sombre, une chandelle tremblotante se reflétait dans chaque goute qui transpirait de la pierre. A droite de cette faible lueur la caverne s’élargissait en une cave de calcaire . Trois hommes étaient assis au milieu dans la fumée d’un feu de cade et un autre presque dans le noir, blotti dans un coin lui dit : "Nous ne te voulons aucun mal, berger, et si pour nous identifier nous avons choisi le cri du grand duc c’est que nous sommes les Chouans. Nous avons guerroyé dans la fière Bretagne et dans le beau pays de Loire, nous attendons maintenant la voix de Cadoudal qui sonnera le glas des troupes consulaires. Nous sommes cent et mille de partout prêts au grand chambardement. Si je mange des pommes de terre et si je bois du lait je n’en suis pas moins capitaine. Un jour tu verras compère que notre cause triomphera dans ce pays. Pour te montrer que je ne raconte pas des fadaises, viens , je vais te montrer quelque chose." Le capitaine prit un flambeau et conduisit Blanquet dans une salle voisine. C’était la caverne d’Ali Baba ! Il y avait là des caisses de fusils luisants de graisse, plus loin des sabres, des barils de poudre, de quoi mettre en pièce toute une armée. Il lui sembla même avoir vu, dans un coin, luire toute un marmite de pièces d’or. "tu as vu ça brave homme" s’exclama le capitaine revenu dans l’autre salle. "Je t’ai livré notre secret" . Si un jour nous mourrons tous nous, les Chouans, quelqu’un viendra te dire de faire profiter le pauvre peuple de ces trésors. Mai si jamais tu dis quelque chose ou si tu cherches à nous retrouver avant le signal, on t’arrache la langue à toi et à ta famille. Maintenant viens sécher tes vêtements que tu en a besoin et puis tu boiras un coup d’eau de vie avant que mes hommes te raccompagnent. » Le père Blanc fit le serment sur sa vie de ne jamais rien dire puis les Chouans le raccompagnèrent comme il était venu, avec un sac sur la tête. A partir de ce jour le vieil homme ne fut plus le même. Il ne vint plus sur les barres ou à la bergerie avec son troupeau. Il resta de l’autre côté dans le bois du Mejean . "je suis trop vieux, il est loin le temps où je courrais comme un cabri dans les barres abruptes." Le souvenir de la rencontre lui rongeait le sang et deux ou trois ans plus tard il mourut. Sur son lit de mort il confia le secret à son fils aîné. Le temps a passé et peu à peu la famille, les proches et finalement tout le village a été au courant de l’histoire. Que sont devenus les Chouans ? Dieu seul peut le dire, mais moi je sais que sur le Baou, quand aujourd’hui se fait une battue au sanglier, il y en a encore qui scrutent les touffes d’arbustes et les anfractuosités des fois qu’une roche se mette à s’entrouvrir…………. |
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Pour prendre connaissance de la version originale en Provençal de ce comte | |
Autant de vice-présidents indemnisés pour une communauté d'agglomération Est-ce bien raisonnable ? |
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Un sujet semble intéresser au plus haut point les futurs délégués de la communauté d'agglomération de la Provence Verte. Combien cela va-t-il nous coûter ? En une époque où on demande toujours plus d'efforts aux citoyens, tout celà est-il bien raisonnable ? Lorsque nous recevrons la feuille d'imposition il sera trop tard pour manifester notre désapprobation, et on n'aura d'autres choix que de payer. C'est maintenant qu'il faut dénoncer ce gaspillage d'argent public ... |
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Le 10 septembre dans le cadre de la Viradabrue, une rando "découverte du patrimoine" de 22 km ouverte à tous |
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La vice-doyenne des Français est une Saint-Maximinoise | |
Honorine Cadonet, veuve Rondello, a fêté ses 113 ans le 28 juillet 2016. Elle est la doyenne de la commune mais aussi de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur et la vice-doyenne des Français derrière Elisabeth Collot qui la précède de quelques semaines. Bien que née à Paimpol dans les Côtes d'Armor, elle a passé la plus grande partie de sa vie à Saint-Maximin avec son époux qui exerçait la profession de cordonnier et d'artiste sculpteur sur cuir, dans son atelier du boulevard Bonfils. En cette occasion nous souhaitons un joyeux anniversaire à Honorine et lui présentons tous nos vœux de bonheur et de santé. En raison notamment de sa gentillesse, de sa tendresse et de sa sagesse, la commune ne pouvait trouver une meilleure ambassadrice. |
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Le 4 septembre aura lieu le banquet de Var-République-Démocratie l'association qui résiste... |
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Dimanche 4 septembre à midi aura lieu le traditionnel banquet de l'association Var-République-Démocratie au domaine de la Vilonne, situé à Saint-Maximin, sur la route de Marseille. Ce repas est ouvert à tous. Le montant de la participation de 22 € demandé aux participants comprend l'apéritif, la paëlla, un dessert, le fromage et le vin. Les inscriptions sont prises jusqu'au 31 août auprès de Pascal Simonetti ou à la cave Cantarelle (chèque à établir au nom de VRD). |
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Maintenant qu'ils en ont terminé avec la privatisation des cantines publiques, ils s'attaquent au nettoyage des locaux scolaires ! |
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A l'occasion du conseil municipal de la commune de Saint-Maximin qui s'est déroulé mercredi 20 juillet, nous avons appris que la totalité des repas scolaires seraient, à partir de la rentrée, confiés au privé, et que dans le même temps allait être engagée la première tranche de privatisation du nettoyage des locaux scolaires avec l'école Paul Barles. Le principe de création d'une cuisine centrale approvisionnée largement par des producteurs locaux que nous proposions aura été abandonné sans même être examiné.... Dommage ! |
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Des travaux prévus au chemin des Batailloles | ||
Lors du conseil municipal du mercredi 20 juillet ont été examinés les marchés passés par la commune lors du 2ème trimestre 2016. Suite à une question d'Alain Decanis, nous avons appris que des travaux d'aménagement d'une liaison piétonne allaient être entrepris à la rentrée sur la partie basse du chemin des Batailloles, du chemin du Défends au poste électrique (sur environ 130m). Les commissions municipales ne se réunissant jamais, nous ne pouvons vous indiquer plus précisément la nature des travaux qui vont être effectués. Cependant ils doivent être tout de même d'importance car le montant du marché s'élève à environ 127 000 € TTC. |
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Les platanes de la place Malherbe seront-ils sauvés ? | ||
Début juin une pétition a été mise en ligne pour demander à ce que ne soient abattus que les platanes malades lors des travaux d'aménagement de la place Malherbe, afin de préserver un peu d'ombre pour les étés à venir. Cette pétition a été transmise à Madame le Maire à la fin du mois de juin. Depuis nous n'avons plus aucune nouvelle, mais un élément nous conduit à être optimiste : début juillet une entreprise a été mandatée pour traiter l'ensemble des platanes. Le montant de l'opération s'est élevé à plus de 10 000 Euros. Comment imaginer que l'on ait dépensé une telle somme pour traiter des platanes destinés à être abattus quelques mois plus tard ? |
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Réponse probablement dans quelques semaines. Nous ne pouvons vous donner un calendrier précis car cet aménagement n'a jamais fait l'objet d'aucune présentation ni même d'une discussion en conseil municipal. Toutefois nous avons entendu dire que les archéologues devraient intervenir, comme la loi l'impose, en septembre. | ||
Performances de sportifs du territoire | ||
Yannick SENECHAL | Régis NARDELLA | |
Coupe de France VTT Enduro en 5 manches | Foulées Cutteloises (10 km) | |
1er Master 1 au classement général final | Vainqueur | |
Raon l'Etape - Val d'Allos - Millau- Les Orres - Samoens | Cuttoli (Corse-du-Sud) | |
Vos élus sur le terrain | ||
29 juin 2016 | 1 juillet 2016 | |
Préparation de la randonnée St-Max / Brue-Auriac | Pot de départ du sous-préfet Raymond Yeddou | |
organisée dans le cadre de la Viradabrue | Hall des Expositions | |
Saint-Maximin | Brignoles | |
5 juillet 2016 | 7 juillet 2016 | |
Tournoi du Tennis Club Saint-Maximin | Vernissage de l'expo de Robert Rieu | |
avec les vétérans du tournoi | La vie à Pourcieux dans les années 60 | |
Saint-Maximin | Pourcieux | |
8 juillet 2016 | 9 juillet 2016 | |
Concert au profit de l'association Garrigues | Reconnaissance de la rando de la Viradabrue | |
de Camille Blanc et Lou Ribeyron à Saint-Mitre | qui aura lieu le 10 septembre | |
Saint-Maximin | Saint-Maximin/Brue-Auriac | |
12 juillet 2016 | 23 juillet 2016 | |
Avec des historiens du territoire lors de la conférence de Jean Marie Guillon | Cérémonie en mémoire des crimes racistes et antisémites | |
Le patrimoine républicain dans le Var | Monument aux Morts | |
Châteauvert | Saint-Maximin | |
14 juillet 2016 | ||
Remise de la Croix du Combattant à Daniel Remette, Jean Marie Mompert et Michel Cousin | ||
Cérémonie au Monument aux Morts pour la Fête Nationale | ||
Saint-Maximin | ||
24 juillet 2016 | 19 août 2016 | |
Avec des bravadeurs | Anniversaire de la Libération de Saint-Maximin | |
Apéritif de la Fête de Ste Marie Madeleine | Devant la stèle du Maréchal de Latre de Tassigny | |
Saint-Maximin | Saint-Maximin | |
20 août 2016 | ||
Inauguration du salon littéraire avec Lucien Aimar, vainqueur du tour de France | ||
Couvent royal | ||
Saint-Maximin |
Evénements qui se sont produits jadis dans notre commune au mois d'octobre | ||
30 septembre 1359 |
Saint-Maximin : La foire de Sainte Luce est déclarée "franche et libre de tous droits et payements" par la reine Jeanne et Louis de Tarente. Ce qui était considéré comme une grande faveur. |
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19 septembre 1376 |
Saint-Maximin : Le pape Grégoire XI passe la nuit à Saint Maximin. Sur les instances de Catherine de Sienne, il se rend à Rome pour y rétablir le siège de la papauté. | |
11 septembre 1517 |
Saint-Maximin : François 1er change la dénomination du bailli de Saint Maximin qui devient viguier. | |
septembre 1521 |
Saint-Maximin : Le chantier de l'église est interrompu en raison de la peste. | |
septembre 1589 |
Saint-Maximin : Les ligueurs conduits par le comte de Carcès et renforcés par Hubert de Vins, tentent de prendre Aubagne. Le 5 septembre La Valette, venu au secours de la garnison, parvient à la dégager. Le lendemain 6 septembre, au lever du jour, Aubagne est évacuée. Un grand nombre d'habitants le suivent et se réfugient à Saint-Maximin. | |
15 septembre 1720 |
Saint-Zacharie : Amenée par le Grand Saint Antoine, navire chargé d'étoffes en provenance d'Orient, une terrible épidémie de peste se déclare à Marseille le 25 mai 1720. Elle se répand comme une trainée de poudre dans toute la Provence. Le 15 septembre elle est déclarée à Saint Zacharie. | |
5 septembre 1793 |
Saint-Maximin : Arrivée de Lucien Bonaparte en qualité de garde-magasin des vivres. Très rapidement il va devenir le principal animateur du Comité Révolutionnaire qui se réunit dans la salle du petit réfectoire du Couvent. | |
30 septembre 1800 |
Sambuc entre Saint-Zacharie et Nans : Assassinat par les brigands de Victor Ricard, gendarme à St-Zacharie | |
2 septembre 1801 |
Pourrières : Attaque et vol du courrier de la Malle, à proximité de l'auberge de la Grande Pugère par des brigands de Pourrières. Deux militaires sont blessés et un tué par un coup de fusil. Ont participé à cette opération les frères Roche, Trophime Romanès, Daumas dit Basset, Hypolite Pazery, Tomé Durand, Michel et Tiste Lieutaud. | |
septembre 1913 |
Rougiers : La première récolte est apportée à la cave coopérative vinicole dont les travaux viennent de s'achever. | |
15 septembre 1943 |
Brue-Auriac : Premier parachutage d'armes et de munitions dans le Var. L'opération est réalisée par le capitaine Arthur Stiehl du SOE. Les huit containers sont réceptionnés au lieu-dit "La Rimade", par un groupe de résistants locaux commandés par Eugène Garcin. | |
1er septembre 1972 |
Pourcieux : Destruction de la chapelle Saint Martin lors des travaux de construction de l'autoroute. | |
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