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Var - République - Démocratie bulletin local n°96 - mai 2016 "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" |
L'image du mois La plaine de Saint-Maximin |
Préservons les lieux de vie |
Grace à la présence du jeu de boules, le Pré de Foire est certainement, l'après-midi, la place de Saint-Maximin la plus animée. En effet, dès les beaux jours arrivés, au delà des joueurs, c'est un lieu convivial qui permet à de nombreux spectateurs de se retrouver, de commenter les parties mais aussi d'échanger sur tous les sujets d''actualité, une fonction sociale qu'il convient absolument de préserver |
De nouvelles rubriques sur le site http://var-republique-democratie.fr | ||||
Des oiseaux sédentaires ou de passage sur notre territoire |
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Grive musicienne |
Pinson des Arbres (femelle) |
Troglodyte Mignon |
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Pour consulter la première liste d'oiseaux déjà en ligne sur le site, il suffit de cliquer sur le lien : http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/FAUNEFLORE/AnimauxSauvages.html | ||||
Des fleurs sauvages sur notre territoire | ||||
Asphodèle |
Iris |
Tulipe sauvage |
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Pour consulter la première liste de fleurs déjà en ligne sur le site, il suffit de cliquer sur le lien : http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/FAUNEFLORE/FleursSauvages.html |
Les subventions aux associations | ||||
ADIL : 2 781 € |
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Pour la plupart des associations le montant est le même que l'an dernier. Les quelques montant qui ont changé sont ceux des associations pour lesquelles le montant 2015 est noté entre parenthèses. | ||||
Il est à noter que si le montant total parait élevé (633 581 €) c'est parce qu'il est gonflé par des dotations à des structures qui assurent une mission de service public telles que l'Office Municipal de la Culture (170 000 €), l'Office Municipal du Tourisme (20 000 €), l'ASEPARG (28 000 €), le Comité des Fêtes (22 500 €), le Comité d'Action Social du personnel communal (22 000 €), le Centre Social Martin Bidouré (82 500 €). | ||||
On a retrouvé | ||
un conseiller municipal saint-maximinois qui attendait qu'on le convoque un jour en mairie pour une réunion de travail. Il pensait avoir été élu pour ça !
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Leur entêtement sur le PLU nous fait perdre beaucoup de temps et d'argent | ||
Le 19 mars 2016 le Plan Local d'Urbanisme a été approuvé par la seule majorité du conseil municipal de Saint-Maximin. Après avoir justifié le vote négatif de son groupe, Alain Decanis terminait ainsi son intervention : "Bref, je n’épiloguerai pas sur le sujet mais si le Préfet tient bon, s’il ne change pas d’avis au moment du contrôle de légalité, nous aurons encore une fois perdu beaucoup de temps et d’argent. » | ||
Un peu moins de deux mois plus tard (délai légal maximum pour exercer un recours), comme on pouvait s'y attendre, le Préfet adressait des observations. | ||
Le 19 avril, après de multiples demandes et intervention du Préfet, on a réussi à obtenir une copie du courrier. A sa lecture, on comprend pourquoi Madame le Maire n'étaient pas pressée de nous le fournir. | ||
Les observations portent sur quatre points : | ||
1) les extensions de zones pavillonnaires : Le Préfet estime que les 23.5 hectares de zones agricoles rendus constructibles sont contraires aux objectifs de densification et de lutte contre l'étalement urbain posés par le code de l'urbanisme. Il demande donc le retrait de la constructibilité dans ces zones. | ||
2) le secteur du Clos de Roques (entre le stade et la déviation) : Ce secteur est depuis longtemps concerné par la servitude de protection des abords des monuments historiques. Or le document proposé comporte toujours une ouverture à l'urbanisation sous forme d'une opération d'ensemble sans imposer de procédure réglementaire d'évolution du PLU. Par conséquent le Préfet réclame le reclassement en zone naturelle, ou de supprimer tous les schémas relatifs aux projets d'aménagement. | ||
3) le projet du parc d'activités du Mont Aurélien : L'emplacement n'est pas remis en cause mais la faisabilité du projet est conditionnée par la suite qui sera donnée à la procédure propre au dossier de réalisation de la ZAC. Or l'instruction de la procédure de ZAC, distincte de celle du PLU, laisse présager une issue incertaine pour le projet tel qu'il est présenté dans le PLU. La position du Conseil National de Protection de la Nature sera déterminante et conduira, le cas échéant, à retravailler les secteurs d'implantation des bâtiments à l'intérieur du périmètre. Par conséquent le Préfet demande la suppression des schémas d'aménagement de cette zone qui figurent dans le PLU car en l'état actuel le document ne respecte pas des articles du code de l'urbanisme et de l'environnement. | ||
4) prise en compte de la biodiversité : Le document approuvé ne met pas en œuvre d'outils réglementaires de protection qui viendraient renforcer le zonage N ou A sur les rives du Cauron ou le marais de l'Argens. En outre le classement en zone urbaine d'une partie de la zone humide de l'Etendard ne respecte pas les principes généraux énoncés par le code de l'urbanisme et le code de l'environnement. En outre ce classement qui concerne 2.6 hectares, est contraire aux orientations du PADD et incompatible avec le SCoT approuvé. Le Préfet demande donc de reclasser un bon nombre de parcelles en zone naturelle et de superposer une servitude de protection sur la zone humide de l'Etendard. | ||
En conclusion, Monsieur le Préfet demande à Madame le Maire d'annuler la délibération d'approbation du PLU prise par le conseil municipal le 19 mars, et de procéder à une nouvelle approbation du document après prise en compte des observations. | ||
Recensement des tambourinaires du territoire | ||
Le galoubet et le tambourin sont deux instruments intimement liés à notre culture provençale. Voici une première liste de tambourinaires du territoire qui demande à être complétée : En photo, Marius Fabre, de Barjols. |
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Lorsqu'on veut noyer son chien on l'accuse de la rage |
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Le chancre coloré est une maladie grave qui cause la mort chaque année de nombreux platanes. Le champignon responsable de cette maladie est classé parasite de lutte obligatoire ce qui signifie qu’il n’existe pas de moyen de lutte efficace, et que le signalement de tout sujet contaminé ainsi que la mise en place des méthodes de lutte sont obligatoires en tout temps et en tout lieu. L’agent responsable de cette maladie est un champignon, Ceratocystis platani. Cette maladie incurable qui touche uniquement les platanes, décime les arbres en bonne santé dans un intervalle de temps entre 3 et 7 ans. La contamination se fait par l’intermédiaire d’une plaie sur le système aérien mais également à travers les soudures qui s’opèrent entre les racines des arbres voisins (anastomose racinaire). Au niveau biologique, le champignon s’installe dans les vaisseaux du bois où il se nourrit de la sève et obstrue ainsi ces canaux. Ceux-ci n’assurent plus leur rôle d’alimentation, l’arbre s’assèche et meurt inévitablement. Le champignon se transmet de proche en proche par l’intermédiaire de facteurs climatiques, (vent, pluie…), des interventions humaines qu’elles soient sur l’arbre (taille, arbre utilisé comme support…) ou dans son environnement (terrassement, travaux de voirie…). Ceci dit tous les platanes ne sont pas malades. Pour le savoir il convient de demander un diagnostic à un spécialiste. |
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Si ce diagnostic fait apparaitre que les platanes de Saint-Maximin sont véritablement malades, il convient alors de tous les abattre, et pas uniquement ceux de la place Malherbe. | ||
Si, comme le disent des anciens, les platanes sont en mauvaise santé non pas à cause d'une maladie, mais surtout parce qu'on a goudronné jusqu'à leurs racines, et supprimé les canalisations d'eau qui les irriguaient autrefois, il convient alors de ne remplacer que les sujets irrécupérables. | ||
Cependant, sur la place Malherbe comme ça a été le cas aux abords du Monument aux Morts, conserver des platanes complique la tâche des aménageurs. C'est pourquoi Madame le maire a décidé de les faire tous abattre et de les remplacer (y compris ceux qui ont été plantés il y a une dizaine d'année) par des arbres plus jeunes ! |
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Seule une mobilisation importante de la population peut désormais permettre de sauver les platanes sains afin de préserver un peu d'ombre durant les saisons estivales à venir, et de ne remplacer que ceux qui présentent un danger. |
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Deux Saint-Maximinois tombés il y a 100 ans à Verdun | ||
Louis FLAYOL |
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Fils de François Pons Flayol et de Augustine Marie Sayou, il est né le 21 juin 1892 à Saint-Maximin. |
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Auguste BAUDE | ||
Fils de Henri Jean Baptiste Baude et de Gabrielle Elizabeth Baptistine Dauphin, il est né le 1 novembre 1880 à Saint Maximin. Le 15 novembre 1901 il est incorporé au 141ème Régiment d'Infanterie. Le 21 septembre 1902 il passe à la 15ème section de secrétaires d'Etat Major et du recrutement. Le 18 septembre 1904 il est renvoyé dans ses foyers. Il est rappelé lors de la mobilisation générale le 2 août 1914. Le 11 janvier 1915 il est affecté au 86ème Régiment d'Infanterie. Le 1 mars 1915 il passe au 105ème Régiment d'Infanterie. Le 22 février 1916 il passe au 140ème Régiment d'Infanterie. Le 14 avril 1916 il passe au 22ème Régiment d'Infanterie. il est tué à l'ennemi le 4 mai 1916 à Fleury devant Douaumont (Meuse). |
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Recensement des Poilus originaires de nos communes du nord-ouest varois sur http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/MILITAIRE/1GM/PoilusTerritoire.html | ||
Nous sommes intéressés par tous les documents ou photos qui pourraient venir enrichir ce travail de mémoire. | ||
Un aqueduc romain alimentait des villas situées au nord de la plaine de Saint Maximin | ||
Alimenté par un captage de la source du Jonquier à Seillons, une canalisation franchissait la dépression de Meyronne sur un aqueduc dont il reste des vestiges des piliers au niveau de Zar. Dans les années 1980 François Carrazé avait déjà évoqué l'existence de cet ouvrage méconnu. Plus près de nous un archéologue local, Yves Roca, vient d'effectuer un travail intéressant sur ce sujet. Pour en prendre connaissance : http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/AUTRESCOMMUNES/seillons/archeologie/galloromain/aqueduczar.html |
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Performances de sportifs du territoire | ||
Franck Peyronel de Saint-Maximin | Coralie Garrigues de Tourves | |
20 mars 2016 | du 21 au 26 mars 2016 | |
3ème du Marathon | 1/4 finaliste du tournoi international junior St-Michel | |
Marseille | Malte | |
Camille Cerutti de Nans-les-Pins | Yannick Senechal de Saint-Maximin | |
22 mars 2016 | 17 avril 2016 | |
Championne de France Super G (U16//U18) | 2ème au scratch et 1er M1 - classement final | |
Les Ménuires | Trophée Enduro de Provence | |
Nicolas Souchon de Seillons | Kenny Muller de Tourves | |
28 mars 2016 | 17 avril 2016 | |
Champion de France FSGT Vétéran (- 90 kg) de judo | 3ème au scratch - classement final | |
Toulouse | Trophée Enduro de Provence | |
Vos élus sur le terrain ce dernier mois | ||
26 mars 2016 | 23 avril 2016 | |
Salle des Fêtes de Saint-Maximin | Place Malherbe à Saint-Maximin | |
Assemblée Générale de l'Association Varoise des | Le maraicher Eric Aubert | |
Anciens Combattants de Saint-Maximin et sa région | Marché des producteurs locaux | |
23 avril 2016 | 23 avril 2016 | |
Jardin des Lettres à Saint-Maximin | Pôle Culturel de Saint-Maximin | |
Présentation de son dernier ouvrage | 20ème anniversaire | |
Martine Pilate | Centre Social Martin Bidouré |
Des événements qui se sont produits jadis sur notre territoire au mois de mai
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5 mai 1280 | Charles II, Comte de Provence, fixe au deuxième dimanche après Pâques l'élévation solennelle des reliques en présence de nombreux évêques, de religieux et seigneurs. Depuis, une foire, qui a été pendant longtemps importante, a lieu au cours dette période : la foire de la quinzaine. | |
20 mai 1321 | Une enquête relative à l'extension antérieure du cimetière autour de l'église révèle que les maisons contigües au cimetière avaient auparavant leur entrée sur la rue de derrière appelée rue des verriers et non du côté du cimetière. Depuis l'ouverture du chantier de l'église une rue nouvelle située entre les maisons et le cimetière a été créée et les maisons ont maintenant leur porte sur cette rue, donc vers l'église. | |
4 mai 1794 | Mariage à 2h du matin, de Lucien Bonaparte frère de Napoléon, avec Christine Boyer sœur de l'aubergiste du "Logis du Mouton", André Boyer, établissement qui se trouve hors les remparts. | |
nuit du 1 au 2 mai 1944 | Réception d'un parachutage d'armes et de munitions dans le grand champ situé au dessous de la ruine de Berne. | |
23 mai 1945 | Une délibération du conseil municipal présidé par Adrien Paul Bertin créé le corps des sapeurs-pompiers de Saint Maximin. | |
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