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Var - République - Démocratie

bulletin local n°93 - février 2016

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

 

Voeux présentés sur Radio Sainte Baume au nom du groupe Var-République-Démocratie
   

Madame, Monsieur,
Chères Saint-Maximinoises, Chers Saint-Maximinois,
Nous voici arrivés quasiment au terme de notre deuxième année de mandat.
C’est  l’occasion pour moi de dresser un premier bilan de notre activité municipale.
Concernant le fonctionnement de la commune, cela sera vite fait car les deux groupes d’opposition, bien que représentant 60% des électeurs sont tenus complètement à l’écart de la vie municipale.
Les commissions de travail ont bien été créées, comme la loi l’impose, mais jamais réunies. En dépit des beaux discours d’ouverture et de volonté d’être à l’écoute, tenus par Madame le Maire, il n’y a, en réalité, aucun dialogue.
Parfois nous avons l’impression de faire partie d’une crèche dans laquelle deux décident et les 31 autres jouent le rôle des santons.
Néanmoins tout au long de l’année :

  • nous avons représenté les électeurs qui nous ont témoigné leur confiance dans toutes les manifestations où nous avons été invités,
  • nous avons consacré beaucoup de temps et d’énergie pour obtenir des informations, qui sont normalement communicables à tout contribuable, afin de comprendre les décisions municipales, et pour défendre vos intérêts.
  • nous vous avons informés régulièrement de nos prises de position à travers différents canaux :

 

a) notre site Internet saintmaximin2008.fr.
b) notre lettre d’information adressée tous les mois sous forme informatique aux plus de 2000 saint-maximinois qui nous ont communiqué leur email.
c) la Tribune de l’opposition du bulletin municipal papier bien que nous ne disposions sur ce support que d’un nombre très limité de mots.
d) nous organisons également des réunions d’information mensuelles dans le cadre de l’association Var-République-Démocratie. Elles sont ouvertes à tous ceux qui souhaitent s’informer et débattre sur tous les aspects de la vie municipale..
e) nous avons renseigné et aidé dans leurs démarches tous les saint-maximinois qui nous ont sollicités, tout au long de l’année.
f) en outre nous animons quotidiennement quatre groupes Facebook consacré à l’Histoire et Patrimoine, aux Activités Culturelles, à l’Economie, et au Sport dans le Pays Saint-Maximinois.
Concernant les grands travaux effectués par la commune, le bilan sera aussi vite fait puisque cela se limite au parvis du monument aux morts, aménagement qui avait d’ailleurs été initié par le précédent maire Alain Penal.
Pour ce qui est des perspectives d’avenir :

  • nous poursuivons le combat que nous avons commencé il y a 7 ans pour nous opposer à l’aménagement d’une nouvelle zone d’activités faisant une large part à de la logistique, sur les espaces boisés du Mont Aurélien, de part et d’autres de la DN7 en limite de Pourcieux.  Depuis le début nous disons que l’endroit est mal choisi en bordure d’une ZNIEFF et d’une zone classé Natura 2000 qu’il conviendrait au contraire de protéger. Les services de l’Etat ont conforté notre position en déclarant l’Eté dernier que ce projet de zone n’était pas compatible avec les corridors biologiques, et qu’ilS ne donnaient pas leur autorisation à cet aménagement. La commune a alors fait appel pour demander une dérogation au Ministère. De notre côté nous avons lancé une pétition qui a réuni 1200 signatures en 5 jours. Maintenant l’avenir du projet est suspendu au Conseil National de Protection de la Nature qui doit rendre son avis dans le courant de ce mois. S’il devait être négatif cela signifierait que nous avons perdu des années et gaspillé des centaines de milliers d’Euros.
  • concernant le complexe sportif, là encore les services de l’Etat ont regretté que la commune   propose sur ce secteur la mise en place de salles multisports, de gym, de squash, des dojos, un complexe de tennis comportant plusieurs terrains, un espace aquatique, un skate park et une piste d'athlétisme. Ils considèrent que l'ampleur de ces constructions est incompatible avec l'ensemble des études et réflexions menées sur ce secteur depuis les années 1980 qui prônaient un espace libre de construction." Si le préfet maintient cette position, nous aurons perdu des années, et il faudra se mettre en quête d’un autre emplacement, ce que nous préconisons depuis le départ.
  • concernant le centre-ville, c’est un peu l’Arlésienne, cela fait des années que l’on en parle mais rien n’à encore été fait. Nous ne serons certainement pas plus associés à ce dossier qu’aux autres mais j’émets le souhait que soit menée une réflexion globale sur tout le centre intra-muros, et pas uniquement la place Malherbe, prenant en compte, le commerce, l’habitat, le stationnement et la circulation. Ce n’est qu’après un tel travail qu’un phasage dans le temps des travaux à effectuer pourra être présenté.

Avant de  conclure je voudrais remercier Radio Sainte Baume pour m’avoir permis de m’exprimer dans cette émission,
et vous présenter, au seuil de cette nouvelle année 2016,  au nom du groupe municipal Var-République-Démocratie tous nos vœux de bonheur et de santé pour vous et ceux qui vous sont chers.
Merci et à bientôt.

 
 
 
 
Intervention d'Alain Decanis au nom du groupe Var-République-Démocratie
sur le projet de PLU au conseil municipal du mardi 19 janvier
   

Une fois de plus nous constatons que rien ne sert de débattre, que tout a été bouclé sans que nous n’ayons jamais été associés à une réunion de travail.
Seul le conseil municipal est réuni pour satisfaire aux exigences de la loi, donner une apparence de démocratie, et pour enregistrer ce qui a été élaboré en catimini par quelques uns.
Néanmoins, lors de l’enquête publique, c’est avec satisfaction que nous pu constater
que les services de l’Etat allaient dans le même sens que nous, sur de nombreux

 

projets concernant la sauvegarde des vraies terres agricoles, la préservation de notre environnement, et notamment sur  la ZAC du Mont Aurélien.

Sur ce dernier sujet on peut lire dans la note de la DDTM :
"Le PLU arrêté le 10 mars 2015 maintient la création de la zone d'activités malgré les enjeux biologiques majeurs. Le rapport de présentation continue à évaluer les incidences positives malgré le fait que ce projet porterait atteinte à plusieurs espèces protégées patrimoniales. Par ailleurs, le même projet continue de menacer une continuité écologique d'importance régionale. Il est d'ailleurs important de signaler que le développement du tissu urbain sur secteur vient en totale contradiction avec le projet de restauration porté par la société ESCOTA qui réalisera un passage à faune sur l'A8 au droit du projet."

Et un peu plus loin :
"Compte-tenu du défaut de prise en compte des enjeux écologiques et des appréciations grossières des effets du plan, la conclusion qui détermine que le PLU n'a pas d'incidence sur l'environnement paraît de toute évidence peu crédible."

De son côté, le Préfet du Var demandait à ce que «soit  justifié le choix du secteur d’implantation de la ZAC du Mont Aurélien au regard des impacts du projet de ZAC sur l’environnement et de l’analyse de solutions ». On l’attend toujours.

Ce qui est incompréhensible après tout ça, c’est que le commissaire-enquêteur donne un avis favorable à cette ZAC :

  • en affirmant que la nécessité de ce parc d’activité est démontrée alors que rien n’a été démontré du tout !
  • en disant que la création d’emplois sous-tendue par ce projet est conséquente, alors que nul ne peut savoir quelles sont les entreprises qui sont susceptibles de s’installer là, et encore moins combien d’emplois elles pourraient créer. S’il suffisait d’aménager des zones pour créer des emplois, il y a longtemps que le chômage ne serait plus un problème !
  • en affirmant que le site a été choisi au détriment de trois autres alors que justement, depuis des années, nous demandons sans succès à ce qu’on étudie la possibilité de transférer cette ZAC en un autre lieu.

Bref, je n’épiloguerai pas sur le sujet mais si le Préfet tient bon, s’il ne change pas d’avis au moment du contrôle de légalité, nous aurons encore une fois perdu beaucoup de temps et d’argent.

 
 
 
 
Evolution démographique de nos communes
   

L'INSEE vient de publier les résultats de son dernier recensement qui concerne l'année 2013. On y apprend qu'au 1er janvier 2013, la région PACA comptait exactement 4 953 675 habitants. Cela représente, en cinq ans, une hausse de quelque 70 000 habitants).

Le département du Var suit cette tendance. Sur la seule année 2012, le département a gagné près de 7 000 habitants, et plus de 27 000 entre 2008 et 2012.

 

 

Un chiffre qui s'explique par des arrivées plus nombreuses que les départs, et un solde démographique positif (plus de naissances que de décès).

En 2012, 34 communes varoises ont perdu des habitants, quand 118 en gagnaient.

Dans la région PACA, seul le département des Alpes-Maritimes connaît une décrue de sa population.

La commune de Saint-Maximin a vu sa population s'accroitre en un an de 5.81%. Au 1 janvier 2013, elle comptait 15 590 habitants.
Au 1 janvier 2013 :
- la commune de Tourves comptait 4 951 habitants (- 0.24% en un an).
- la commune d'Ollières comptait 624 habitants (- 0.48% en un an).
- la commune de Pourcieux comptait 1 378 habitants (+ 17.48% en un an).
- la commune de Rougiers comptait 1 570 habitants (+ 0.13% en un an).
- la commune de Nans comptait 4 166 habitants (+ 0.31% en un an).
- la commune de Bras comptait 2 567 habitants (+ 0.94% en un an)
- la commune de Seillons comptait 2 471 habitants (+ 9.05 % en un an).
- la commune de Pourrières comptait 4 754 habitants (+ 4.64% en un an).
- la commune de Brue-Auriac comptait 1 256 habitants (+2.78% en un an).
- la commune de Barjols comptait 3 060 habitants (-0.65% en un an).
- la commune de Rians comptait 4 313 habitants ( - 0.74% en un an).

 
 
 
 
Développement économique et taux de chômage
   

Pendant plusieurs années, à grand coup d'opérations de propagande, on a vanté les miracles du développement économique du pays saint-maximinois. Qu'en est-il exactement ?

Si l'on considère :
- les derniers chiffres du dernier recensement INSEE de nos communes,
- le nombre de chômeurs comptabilisés par pôle emploi en juin 2015,
- un taux d'activité de la population de 50%,

 
   

On obtient :
- Nans : 13.2 % de chômeurs,
- Pourrières : 15.6 %,
- Ollières : 17 %,
- Saint-Maximin : 17.1 %,
- Pourcieux : 18 %,
- Rougiers : 19.5 %.

Voici les résultats de la politique conduite ces dernières années par la communauté de communes, basée uniquement sur la multiplication des zones commerciales.
Et ils continuent ! Heureusement que quelques communes proches, dans le département voisin des Bouches-du-Rhône, ont conduit des politiques économiques différentes, en créant de véritables parcs d'activité qui permettent de fournir un emploi à un bon nombre de nos concitoyens, sinon le taux de chômage battrait des records !

 
 
 
 
Un nouveau centre de stockage des déchets intertes
 
Dans les bois du Méjean, entre Pourcieux et Ollières, une carrière est exploitée depuis quelques années.
Quelle n'a pas été ma surprise lorsque j'ai constaté qu'elle sert également de lieu de stockage pour des déchets (pas tous inertes), notamment des plaques de goudron ! Et pourtant, les produits à base de goudron sont classés dans la catégorie des déchets dangereux du fait de leur teneur en hydrocarbures aromatiques polycycliques.
Jusqu'à quand va-t-on laisser détruire ainsi notre environnement, avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur notre cadre de vie et sur notre santé ?
Il est temps que les pouvoirs publics réagissent !
 
 
 
 
 
 
 
 
Vos élus sur le terrain ces derniers jours
 
5 décembre 2015   17 décembre 2015
 
Sainte-Barbe avec les pompiers   Inauguration de UBQC Hommes, ZA La Laouve
     
19 décembre 2015   24 décembre 2015
 
Soirée des associations   Présentation de la BD dePagnol, librairie Mirabeau
     
7 janvier 2016   8 janvier 2016
 
Pot de départ des pâtissiers Patrick et Evelyne Gambin   Voeux du maire de Pourcieux
     
12 janvier 2016   15 janvier 2016
 
Remise de médailles du travail au personnel communal   Vernissage de l'expo du peintre Dino
 
 
 
 
Des pétitions en ligne pour protéger notre environnement
   
Pour interdire les rejets toxiques en mer au large des calanques, entre Cassis et Marseille:  
https://www.change.org/p/interdire-les-rejets-toxiques-dans-le-parc-national-des-calanques?recruiter=33138588&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink  

 

Pour s'opposer à l'aménagement d'une zone d'activité dans les bois du Mont Aurélien :
 
https://www.change.org/p/a-madame-le-ministre-de-l-environnement-sauvons-le-massif-forestier-du-mont-aur%C3%A9lien?recruiter=33138588&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink  
 
 
 
 
La position de Gérard Bleinc, maire de Rougiers, sur l'intercommunalité
 

Le dernier conseil communautaire, contrairement aux habitudes, a été le témoin d'âpres discussions. Il nous était demandé de valider, pour une troisième fois, le schéma départemental de coopération intercommunale présenté par Monsieur le Préfet. Ce schéma prévoit de regrouper les 28 communes formant actuellement les communautés du Val d'Issole, de Comté de Provence et de Sainte Baume Mont Aurélien au sein d'une seule communauté d'agglomération. Sur les huit communes de notre communauté, seulement trois ont délibéré contre ce projet : Nans les pins, Pourcieux et Rougiers alors que les fois précédentes, il y avait eu l'unanimité des communes contre cette fusion.

 Pourquoi ce revirement ? La question mérite d'être posée parce que, objectivement, rien n'a changé. Le préfet nous représente le même dossier. Il n'y a toujours pas de projet de territoire. Vous me direz qu'il est difficile d'en avoir un, lorsque les bassins de vie sont si différents (Aix, Brignoles, Toulon ou Aubagne/Marseille).

 

Quel est le point commun entre Pourrières et Méounes par exemple ? Généralement, une communauté d'agglomération est bâtie autour d'une grande ville qui exerce une attirance sur ses communes voisines. Dans le cas présent, nous allons nous retrouver avec deux communes de taille moyenne (Brignoles et Saint Maximin) qui, de surcroît, sont historiquement en rivalité. De plus, nous vivons dans un territoire rural, nous ne sommes en aucun cas une agglomération.

 Fort de ce constat, on peut raisonnablement se demander quelles sont les vraies motivations de ce revirement. N'ayant eu aucune réponse à cette question lors du dernier conseil communautaire, il est possible que les prochains mois nous apportent quelques explications. En attendant, si ce regroupement de communes était effectivement décidé par Monsieur le Préfet, nous n'aurions plus beaucoup de compétences à assurer. Le pouvoir s'éloignera des citoyens et échappera donc à leur contrôle. Par ailleurs, la commune de Rougiers n'aura qu'un seul délégué qui aura, bien évidemment, beaucoup de difficultés pour suivre toutes les compétences déléguées. Le Conseil Municipal n'est absolument pas contre une réforme de l'intercommunalité mais le projet doit venir de ses habitants et de leurs élus. J'ai bien entendu conscience qu'il y a aujourd'hui des dossiers nationaux beaucoup plus importants mais, ces décisions locales vont obligatoirement impacter votre vie quotidienne.

Article publié dans le bulletin municipal de Rougiers du mois de janvier 2016

 
 
 
 
Les mêmes prétendent ensuite que l'Etat les étrangle !
 
Le 25 mai 2008 était inauguré par le président du Conseil Général, à grand renfort de publicité dans la presse locale, un parcours sportif d’un kilomètre environ pour un coût de 315 000 Euros. Ces travaux ont été réalisés sur l’espace naturel du Défends surplombant Saint-Maximin.
Nous avions, à l’époque, souligné que ce lieu très caillouteux était totalement inadapté à la pratique du sport. Mais, comme d’habitude, on a ignoré superbement nos observations.
Depuis, comme on pouvait s’y attendre, cet équipement n’a jamais été utilisé, et il s'est peu à peu dégradé.
 
Il y a quelques jours il a finalement été démonté en catimini (ça, la presse n'en fera pas état).
Bilan de l’opération : 315 000 Euros ont été jetés par les fenêtres.
On dit merci qui ? ? ?
 
 
 
 
Christina Jullien, élue présidente de La Boule Provençale
 

A la fin du XIXème siècle le jeu provençal était déjà pratiqué au Pré de Foire, mais les concours étaient organisés uniquement les jours de fêtes.
Le but était lancé entre 14 et 25 mètres, le pointeur faisait un pas pour pointer tandis que le tireur en faisait quatre pour tirer !
Les joueurs utilisaient des boules ferrées à petits clous dites « boules d’Aiguines ». Les parties se disputaient généralement en 15 points.

En 1910, le jeu de pieds tanqués est inventé à La Ciotat par Joseph Pitiot avec une distance raccourcie. Un ancien champion de longue, Jules Hugues dit « Le Noir », diminué par l’âge et les rhumatismes l'adopte et lui donne le nom de pétanque. Rapidement, cette nouvelle discipline se propage à travers toute la Provence.

A Saint Maximin, c'est en 1958 que la « Société de boules la Provençale». a vu le jour. Plus récemment, en 2008 l'association a pris le nom de « La Boule Provençale ».

Pour la première fois de son histoire, après Henri Chaix, Pierre Roubaud, Jean Claude Forneris, Michel Oberti, pour ne citer que les derniers, les sociétaires de La Boule Provençale ont élu une femme au poste de président, Christina Jullien​.
Nul doute que c'est avec rigueur, dévouement et compétence qu'elle va assurer les destinées de cette association qui compte parmi les plus anciennes de Saint-Maximin.

Pour prendre connaissance du trombinoscope des présidents des associations de Saint-Maximin :

 

http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/ASSOCIATIONS/presidents.html

Pour mieux connaitre les boules à Saint-Maximin :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/BOULES/photosboules.html

Pour en savoir plus sur l'histoire de la pétanque, vous pouvez consulter l'ouvrage de Martine Pilate consacré à ce sujet. il est en vente dans les deux librairies de Saint-Maximin.

 
 
 
 
Brèves
 
La prochaine réunion de l'association Var-République-Démocratie se déroulera jeudi 4 février, 18h. Elle sera consacrée plus particulièrement à la présentation des avantages et inconvénients des différentes formes d'intercommunalité (communautés de communes, d'agglomération, syndicats mixtes, métropoles). Ces réunions sont ouvertes à tous. Pour connaitre le lieu, qui peut varier d'un mois sur l'autre, il suffit d'adresser un mail à alain.decanis@neuf.fr.  
   
Le "club des lecteurs d'Aquò d'aqui" souhaite rencontrer ses lecteurs et vous invite à découvrir ou redécouvrir le journal dans un moment d’échange en toute convivialité, le vendredi 5 février à 19h00, domaine de Jacourette, route de Trets à Pourrières. La soirée sera animée par Philippe Langevin président de l’association Aquò d’aqui, Alain Barthélémy-Vigouroux secrétaire et Michel Neumuller rédacteur en chef. Cette rencontre sera prolongée par une dégustation des vins du domaine.  
Le mensuel que vous connaissez de près ou de loin a pas mal évolué ces dernières années, dans sa présentation, son contenu mais aussi par une page internet à laquelle vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire http://www.aquodaqui.info/newsletter/ et aussi sur Facebook https://fr-fr.facebook.com/aquo.daqui
 
Après une attaque informatique, notre site internet auquel on peut accéder par les deux adresses http://saintmaximin2008.fr, ou http://var-republique-democratie.fr est de nouveau accessible sans problème.
 

Samedi 30 janvier, des conseillers municipaux de Saint-Maximin se rendront à Marseille pour participer à la manifestation contre le rejet des boues rouges dans les calanques. Rendez-vous à 12h30 sur le parking de l’école Paul Barles, pour organiser un covoiturage avec tous ceux qui souhaitent participer..

 
 
 
 
Pour donner une sépulture décente à Boukhari
 
M'naour Boukhari était un immigré algérien qui est arrivé à Saint-Maximin il y a de nombreuses années. Il a pendant longtemps exercé la profession de berger, puis de travailleur agricole.
Depuis sa retraite il vivait tout seul, sans famille, aux Arcades.
Dans la nuit du 30 au 31 décembre 2015, il est décédé chez lui, âgé d'environ 80 ans. Sous curatelle, il ne disposait d'aucun capital.
Afin qu'il bénéficie d'un caveau au cimetière, des Saint-Maximinois qui le connaissaient ont décidé de se mobiliser et de lancer une souscription.
Chacun donne ce qu'il veut, le but étant d'atteindre 3 500 Euros.
Merci à Ouassila Mehidi pour avoir initié cette action et merci par avance aux généreux donateurs.
Pour faire un don en ligne : https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/5533288/3b9ab123
 
 
 
 
Réponses aux questions écrites lors du conseil municipal du mardi 19 janvier
 

Question posée par Alain Decanis : Au mois d’octobre 2014, vous nous avez demandé de voter l’acquisition d’une ancienne carrière située quartier des Batailloles, en pleine colline, pour y aménager une aire de jeu, opération qui a tout de même coûté 40 000 € aux contribuables. Pourriez-vous nous indiquer où en est ce projet ?

 
Réponse de Madame le Maire : A l'époque nous avons proposé d'acheter ce terrain car nous avions entendu dire qu'il y avait un projet de décharge. L'étude de l'aménagement d'une aire de jeu est toujours en cours.
 
Alain Decanis : C'est curieux car c'est la première fois que j'entends parler de cette histoire de décharge. Cela n'a pas été évoqué lors du conseil municipal où nous avons voté l'acquisition de cette parcelle. Si c'est vrai, cela montre à quel point vous considérez les conseillers.
 
 
 
Question posée par Alain Decanis : Il y a deux ans environ nous vous avions signalé qu’un jardin botanique était en train de coloniser la toitures de la Basilique, côté sud, et qu’il était probablement en partie responsable des infiltrations d’eaux pluviales qui ont provoqué des dégâts à l’intérieur de l’édifice. Depuis des travaux importants ont eu lieu pour mettre hors d’eau le bâtiment, mais les herbes sont toujours là, et continuent à se développer.  Ne serait-il pas judicieux de faire procéder à un nettoyage par les services techniques ?
 
Réponse de Madame le Maire : Nous ne le ferons pas faire aux services techniques, mais nous passerons un marché avec une entreprise privée.
 
 
 
Question posée par Alain Decanis : Vous nous avez annoncé que la privatisation des cantines scolaires génèrerait une économie de 30 000 Euros pour la commune. Nous proposons, dans le cadre de la préparation du budget 2016,  que cette manne soit utilisée pour diminuer le prix du ticket de repas pour les familles.
 
Réponse de Madame le Maire : Le prix du ticket à 2.95 € est déjà très bas, pas question de le réduire. On utilisera cette manne pour autre chose.
 
 
 
Question posée par Alain Decanis : Est-il possible que des conseillers d’opposition participent à la réunion visant à effectuer la répartition des subventions aux associations ?
 
Réponse de Madame le Maire : La réponse est dans la question. Vous êtes dans l'opposition, donc vous n'avez pas à participer au travaux des commissions.
 
Alain Decanis : Je voudrais tout de même vous rappeler que les deux groupes d'opposition représentent 60% des électeurs et, qu'à ce titre c'est un déni de démocratie que de les ignorer totalement comme vous le faite. Les commissions municipales ont bien été créées, comme la loi l'impose, mais jamais réunies, si ce n'est pour élire un président. Mais je me demande même si des commissions composées d'élus de la majorité se réunissent ou si, au contraire, les décisions importantes ne sont pas tout simplement prises en catimini, uniquement par deux ou trois.
 
 
 
Question posée par Joëlle Silvy-Alibert : Le chemin du Moulin est un chemin rural qui appartient à la commune. Un propriétaire privé se l'est accaparé en édifiant une barrière pour éviter que des véhicules ne l'empruntent entre ses deux propriétés de Cadrix et de Clapier. Nous vous demandons en qualité de 1er Magistrat de la commune d'intervenir pour qu'il soit réouvert.
 
Réponse de Madame le Maire : J'ai rencontré plusieurs fois Monsieur Burel. Ce chemin est privé et il ne souhaite plus que les gens l'empruntent. Nous sommes entrain d'étudier la possibilité d'aménager un chemin de contournement de sa propriété pour compenser.
 
Alain Decanis : Je connais bien le sujet pour être intervenu plusieurs lors du précédent mandat. Ce chemin n'est pas privé, mais classé au cadastre chemin rural appartenant à la commune. Il est celui que les Saint-Maximinois ont emprunté pendant des siècles pour se rendre au moulin de la Bouisse pour y moudre leur grain. Monsieur Burel se l'est approprié abusivement car il ne souhaitait plus que des gens passent entre ses deux propriétés de Cadrix et de Clapier. Cependant, nul ne peut ainsi de son propre chef s'aliéner un bien public. C'est vous qui assurez les pouvoirs de police : avant toute réflexion sur l'avenir de cette voie, il faut que le propriétaire restitue le chemin en état et qu'il retire les portails.
 
 
Des événements qui se sont produits jadis sur notre territoire aux mois de février
   
2 février 1644   Bénédiction solennelle de l'église et du couvent des Capucins, situé hors les murs, sur un terrain longeant le Réal Vieux (aujourd'hui entre la rue Mirabeau et l'avenue Jean Jaurès).
     
4 février 1660   Visite de Louis XIV accompagné de sa mère Anne d'Autriche, de son frère le Duc d'Anjou et d'un grand nombre de seigneurs.
     
3 février 1790   Le district de Saint Maximin est composé de 9 cantons (Bras, Nans, Pourrières, Rians, Rougiers, Saint Martin, Saint Maximin, Tourves, Saint Zacharie) et de 23 communes ou lieux inhabités. A l'exception de Artigues, Rians, Auriac, Brue et Saint Estève, toutes ces communes dépendaient déjà de la viguerie de Saint Maximin.
     
17 février 1800   L'arrêté des consuls modifie l'organisation administrative des départements établie lors de la Révolution. Le Var est découpé en quatre arrondissements. Le premier arrondissement (de Brignoles) compte 26 cantons (dont Saint Maximin) regroupant 61 communes.
     
février 1956   Le 2 février 1956, jour de la chandeleur, une dépression brutale s’abat sur la moitié sud de la France.
En trois heures la température s’effondre. Pendant 3 semaines le mercure va osciller entre - 17C° et - 20 C° !
La neige va tomber d’abord pendant 4 jours sans arrêt. Trois autres chutes de neige succéderont.
Des villages sont isolés, des animaux crèvent dans les étables, le plan ORSEC est déclenché.
La couche atteint 80 cm à Saint Maximin.
Pas d’hélicoptères à l’époque, plus de réseau routier, plus de téléphone, chacun se débrouille comme il peut. Il faudra attendre 3 semaines pour que la situation se normalise.
Une catastrophe agricole: seuls survivent 5% des 2 200 000 oliviers que compte le département . Pour la plupart les troncs ont éclaté sous l’effet de ce froid polaire exceptionnel.
L’oléiculture varoise mettra 30 ans à s’en remettre.
     

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