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Var - République - Démocratie

bulletin local n°91 - décembre 2015

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

 
Le parc des sports et de loisirs

 

Où en sommes-nous du projet de Parc des Sports et de Loisirs promis depuis longtemps mais qui nécessite pour être réalisé l'adoption du PLU ?
 
 
 

Voici l'avis du Service Territorial de l'Architecture et du Patrimoine transmis au maire de la commune par le représentant du Préfet sur ce dossier :

"C'est une position constante de l'Etat de maintenir le cône de vue de la Basilique en ne permettant pas la construction d'édifice dans le secteur du clos de Roque qui altèrerait la lecture de l'édifice majeur de la commune"
Un peu plus loin :

"En page 231 du rapport de présentation, des documents graphiques émanant du Service Territorial de l'Architecture et du Patrimoine du Var ont été insérés dans le PLU sans accord du chef de service. En effet ces croquis ont servi de base à une réunion en sous préfecture tenue le 7 juillet 2014. Ils proposaient l'éventuelle implantation d'un seul équipement sportif avec la condition notable d'enterrement partiel de celui-ci pour ne pas dépasser l'altimétrie de la couverture du couvent royal. Le reste de la zone du secteur du clos de Roque n'était pas remis en cause, par conséquent elle devait rester en zone naturelle pouvant accueillir des équipements de plein air et une zone non aedificandi a été rajoutée pour avoir un cône de préservation en zone naturelle stricte.
La mise en place de ces croquis ne peuvent donc justifier d'un zonage total en zone à urbaniser (1AUc). Par ailleurs, si l'équipement sportif ne pouvait être enterré, cet emplacement réservé devait redevenir libre de construction. Le document d'urbanisme actuel ne permet pas cette réversibilité."

En conclusion :
"Pour conclure l'Orientation d'Aménagement et de Programmation propose sur ce secteur la mise en place de salles multisports, de gym, de squash, des dojos, un complexe de tennis comportant plusieurs terrains, un espace aquatique, un skate park et une piste d'athlétisme. L'ampleur de ces constructions est incompatible avec l'ensemble des études et réflexions menées sur ce secteur depuis les années 1980 qui prônaient un espace libre de construction."

Ces éléments se trouvent dans le dossier PLU et peuvent être consultés par tout contribuable qui en fait la demande.

De notre côté, nous n'avons jamais été très favorables à l'aménagement du complexe sportif dans ce quartier pour plusieurs raisons :
- d'une part le terrain restant (après aménagement du lotissement et d'un grand parking) est trop petit pour un projet de ce type, sans possibilité d'extension.
- les contraintes liées à la perspective de la Basilique sont trop fortes et ne permettent pas d'aménager tout ce dont les sportifs de la commune ont besoin.
- nous ne trouvons pas très lumineuse l'idée de créer un nouveau cimetière, près de la décharge, route de Bras alors qu'il y avait la place d'agrandir l'existant sur des terrains communaux qui avaient été achetés pour ça.
L'avis des services de l'Etat vient aujourd'hui conforter notre position.

 
 
 
Remarques formulées dans le cadre de l'enquête publique du PLU de Saint-Maximin au sujet de l'ouverture de nouvelles zones à l'urbanisation
 
 

Aujourd’hui nous ne savons pas précisément quelle est la population de Saint-Maximin. Aucun recensement général de la population n’a plus été fait depuis longtemps et les sondages, de l’avis même du précédent maire Alain Pénal ont été très mal faits, car on a oublié de nombreux foyers. Ceci explique pourquoi, malgré un rythme de constructions important, nous avons une population DGF qui n’a quasiment pas évolué depuis des années.

Compte tenu du fait que nous avons un nombre d’électeurs supérieur à celui de Brignoles, on peut néanmoins raisonnablement estimer que Saint-Maximin compte à peu près la même population, soit environ 17 000 habitants.
Dans ce cadre, fixer un objectif de 18 000 habitants à l’horizon 2020 n’a pas grand sens, pas plus que l’objectif de croissance démographique de 20 000 habitants auquel il est fait référence dans le PADD (en contradiction d’ailleurs avec le chiffre précédent).

Ces chiffres qui relèvent d’un flou artistique n’ont qu’un seul but : démontrer qu’il est nécessaire de continuer à construire.

Le remplissage des vides dans le centre-ville ou des dents creuses dans les quartiers périphériques pourraient permettre de satisfaire les besoins en matière d’expansion démographique, mais là encore il est indiqué sans aucun chiffrage, que cela ne suffira pas !
Et on en arrive là où on voulait en venir : il faut donc ouvrir de nouveaux quartiers à l’urbanisation.

Problème, dans le SCOT, comme dans le PADD, la volonté de préserver les terres agricoles est clairement indiquée.

Pour ne pas se retrouver en porte à faux, on affiche des résultats très vertueux en matière de consommation des espaces :
- 114 hectares de zones agricoles supplémentaires,
- 78 hectares de zones naturelles qui disparaissent
- 36 hectares de zones urbaines et à urbaniser qui disparaissent

Mais à la lecture du rapport de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer, qui s’est penchée plus précisément sur le sujet, on constate que la réalité est toute autre. En réalité, si on considère les caractéristiques réelles des zones, et non seulement leur classement administratif, on arrive à un tout autre résultat :
- 104 hectares de zones agricoles supplémentaires
- 208 hectares de zones naturelles qui disparaissent
- 104 hectares de zones urbaines et à urbaniser supplémentaires

Tout cela permet de justifier (en contradiction avec les recommandations du SCOT comme du PADD) de l’ouverture à l’urbanisation d’un certain nombre de parcelles situés dans de véritables zones agricoles d’un seul tenant.

Conclusion :
Il apparait nécessaire de revoir les perspectives d’évolution démographiques en s’appuyant sur des données justes afin de mesurer précisément leur incidence sur le remplissage des espaces vides du centre-ville et des dents creuses des quartiers périphériques.
Si ce remplissage ne suffisait pas (ce qui est loin d’être évident) à satisfaire les besoins, il conviendrait alors d’ouvrir à l’urbanisation de nouvelles zones, tout en prenant soin d’éviter de consommer les « véritables » zones agricoles ou forestières.

 
 
 
 
Soirées Histoire et patrimoine du pays saint-maximinois
 

Les 5 et 19 novembre ont eu lieu à la cave Canntarelle des soirées-débat animées par Alain Decanis, destinées à présenter sous forme d'un diaporama des sites archéologiques du pays saint-maximinois.

La première était consacrée à la préhistoire et l'antiquité, le deuxième au moyen-âge. Les deux ont réuni beaucoup de monde et généré des débats intéressants. Elles seront complétées, à la demande des participants, par des sorties sur le terrain sous forme de rando-patrimoine au printemps.

 
 
 
 
 
Conseillers communautaires supplémentaires
 

Lors du conseil municipal du 10 novembre ont été élus sept conseillers communautaires supplémentaires pour représenter la commune de Saint-Maximin conformément à la demande du Préfet.

On a du mal à comprendre l'intérêt de cette mesure car :
- d'une part, il y a deux ans, lors de l'installation du conseil communautaire les candidatures de tous les élus d'opposition dans les commissions de travail ont été écartés sous le prétexte qu'il y avait déjà assez de monde.
- d'autre part la plupart des conseillers ne posent jamais une question, ne disent jamais un mot (on pourrai croire que cela leur est interdit) et votent religieusement en bloc tout ce qui leur est proposé.
Mais bon, c'est la volonté du représentant de l'Etat et il a fallu s'y plier.

Le scrutin de liste à la plus forte moyenne (celui qui écrase les minorités) a donné sans surprise le résultat suivant :
- liste Union pour Saint-Maximin : 24 voix (6 délégués supplémentaires (Serge Langlet - Vesselina Garello - Mohamed Sebbani - Martine Tissier - Patrice Russo - Ida Martinez).
- liste pour la Transparence et la Démocratie : 6 voix (1 délégué supplémentaire, Pascal Simonetti).
- liste Bleu Marine : 3 voix (pas de délégué supplémentaire).

Le groupe Var-République-Démocratie sera donc désormais composé des trois délégués : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Pascal Simonetti. On continuera probablement à leur refuser l'accès à toutes commissions de travail (c'est d'ailleurs à se demander si elles se réunissent réellement !), mais ils seront convoqués (c'est la loi...!) aux séances plénières.

Cela permettra au moins de pouvoir vous informer de certains sujets qui sinon seraient complètement occultés.

 

   
Alain Decanis   Blandine Gomart-Jacquet   Pascal Simonetti
 
 
 
 
Le recensement des sportifs du territoire se poursuit
 
Le sport est un élément particulièrement important pour créer du lien social, surtout dans des communes comme la nôtre où beaucoup partent le matin de bonne heure et rentrent le soir tard.
Mais le plus souvent, il n'y a que peu d'échanges entre les sportifs des différentes disciplines.
C'est ce qui nous a amené à engager le recensement des sportifs du territoire et à publier leurs résultats en compétitions officielles.
Ceux qui sont sur Facebook peuvent rejoindre le groupe :
 
 
Les autres peuvent utiliser les liens ci-dessous pour consulter les listes qui sont loin d'être exhaustives. D'ailleurs si vous avez des résultats qui ne figurent pas, ou des photos, vous pouvez nous les communiquer, nous les ajouterons.
Les coureurs à pied :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/COURSEPEDESTRE/COUREURSTERRITOIRE.html
Les triathlètes :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/TRIATHLON/triathletesterritoire.html
Les vététistes :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/VTT/VetetistesTerritoire.html
Les nageurs :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/NATATION/NageursTerritoire.html
Les joueurs de tennis :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/TENNIS/JoueursTerritoire.html
Les archers :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/ARC/ArchersTerritoire.html
Les pratiquants du sambo :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/AUTRESCOMMUNES/pourrieres/sport/sambo/Sambo.html
Les coureurs de canicross :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/CANICROSS/CoureursCanicrossTerritoire.html
Les judokas :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/JUDO/JudokasTerritoire.html
Les karatékas :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/SPORT/KARATE/KaratekasTerritoire.html
 
 
 
 
La République plus forte que tout le reste
 

Comme à ses heures les plus sombres, une vague de barbarie et de fanatisme déferle sur notre pays.
Unis, exprimons notre solidarité envers les familles des victimes, nous pourrions tous nous trouver à leur place. Mais ne nous laissons pas gagner par la haine et un besoin de vengeance qui, naturellement, sont les sentiments premiers qui nous envahissent. C’est précisément ce que recherchent les terroristes.
Faisons confiance aux autorités pour mener le combat dans le cadre de nos institutions.
Restons dignes, resserrons les rangs et inspirons nous de nos aïeux « Ami si tu tombes, un autre sort de l’ombre à ta place ».
Montrons que la République est plus forte que tous les fanatismes.

 
 
 
 
Séances de dédicace à la librairie Mirabeau
 
Samedi 12 décembre : Jean Siccardi
 
Jean Siccardi, que beaucoup connaissent car il a passé une bonne partie de sa jeunesse à Saint-Maximin, sera présent pour présenter son dernier ouvrage "Le grand voyage de Martin" co-signé avec l'illustratrice Audrey Garnier.
 
Jeudi 24 décembre : Serge Scotto et Eric Stoffel
 
Quelques jours plus tard, deux marseillais bien connus dans le monde de la bande dessinée, Serge Scotto et Eric Stoffel, viendront présenter "La gloire de mon père" et "Topaze", il s'agit des deux premiers volumes de l'oeuvre de Marcel Pagnol adaptée à la BD.
 
 
 
 
Le Téléthon à Saint-Maximin
 

 
 
 
Des événements qui se sont produits jadis sur notre territoire aux mois de décembre
   
décembre 1038   Pierre 1er, archevêque d'Aix, et ses trois frères, ainsi que la femme et les enfants d'un quatrième déjà mort, font donation au monastère Saint Victor d'une partie de l'alleu qu'ils tiennent de leurs parents dans le comté d'Aix, "in territorio castri quod vocatur Rodenas" : ce sont les églises de Saint Maximin, de Sainte Marie, de Saint Jean et de Saint Mitre avec les droits attachés à leurs autels et certaines terres adjacentes, toutes situées dans le territoire de Castrum Rodanas.
     
9 décembre 1279   Charles II, prince de Salernes, fait pratiquer des fouilles sous une église primitive dédiée à Saint Maximin. Il y découvre une crypte contenant quatre sarcophages (il attribue l'un d'entre eux à Sainte Madeleine). Il décide de détruire l'ancienne église et d'édifier sur la crypte, une Basilique.
     
5 décembre 1296   De Rome où il séjourne, Charles II ordonne , à l'évêque de Sisteron et au sénéchal de Provence, de mettre à la tête des travaux de l'église de Saint Maximin, maître Pierre le Français, expert dans l'art de construire églises et autres édifices. Maître Matthieu, que le frère Pierre de Lamanon avait engagé pour cet ouvrage, n'est pas congédié mais devient subordonné de maître Pierre.
     
9 décembre 1296   Charles II écrit à maître Pierre pour lui signifier qu'il le met à la tête de la construction de l'église et lui attribue juridiction sur les maîtres et ouvriers pour tout ce qui concerne la direction des travaux. C'est très certainement maître Pierre qui est responsable du plan de l'édifice, et du tracé au sol en vertu duquel la crypte de l'église primitive se trouve au centre de la 4ème travée.
     
29 décembre 1300   Un document fait état de l'ouverture d'une nouvelle rue en ligne droite, partant de l'église et aboutissant à la croix de pierre située à l'endroit appelé "Luperia". Cette nouvelle artère reliait l'église à la voie Aurélienne, en empruntant la porte de Marseille.
     
15 décembre 1319   Le roi Robert impose aux représentants municipaux d'accueillir le prieur du couvent au sein du conseil de ville, pour éviter que des décisions contraires aux intérêts des religieux soient prises.
     
5 décembre 1400   Louis III, devenu majeur, ratifie et confirme les concessions octroyées par sa mère quelques années auparavant, aux habitants de Saint Maximin. Il concède notamment "le fumier entraîné par les eaux pluviales" mais se réserve la propriété des fossés de la ville. De plus Saint Maximin devient chef-lieu de baillage.
     
20 décembre 1429
  Le prieur du couvent, André Abellon, fait construire deux moulins à Sceaux par Antoine Giraud, maître charpentier.
   
5 décembre 1443
  Marie d'Anjou confisque les quatre moulins de la Bouisse aux seigneurs d'Auriac, pour les donner en dotation au couvent, pour l'entretien d'une chapellenie. Ces moulins sont réputés pour être "les meilleurs et les plus forts de toutte la province".
   
13 décembre 1476
  Création d'un Collège théologique, philosophique et canonique par le roi René, pour l'enseignement des jeunes religieux. Au siècle suivant, tous les cours furent ouverts gratuitement aux jeunes saint-maximinois. Situés tout près de l'emplacement occupé aujourd'hui par le Monument aux Morts, les locaux du Collège menaçant ruine furent démolis en 1832.
     
11 décembre 1481   Décès à Marseille de Charles III du Maine (neveu du roi René), Comte de Provence et de Forcalquier qui désigne par testament son cousin germain le Roi de France Louis XI comme héritier. Huit jours après le décès de Charles III, Louis XI nomme pour gouverneur, véritable lieutenant du roi, Palamède de Forbin. Le 14 janvier 1482, il convoque les Etats de Provence, où le changement de souverain n'a suscité aucun mouvement d'hostilité. Selon le processus habituel, les Etats ont préparé une série de requêtes qui, en l'occurrence, témoignent de leur volonté de conserver à la Provence ses caractères et sa personnalité. Le roi se voit ainsi demander de maintenir les lois et les usages propres au pays. C'est donc un régime d'union entre deux royaumes que les états revendiquent et que Forbin avalise. Les Saint Maximinois, comme tous les Provençaux, deviennent Français.
     
31 décembre 1516
  Visite de François 1er qui revient d'Italie, auréolé de sa victoire de Marignan. Il retrouve à Saint Maximin un cortège parti de Paris composé de la reine Claude sa femme, de Louise de Savoie sa mère, de sa sœur Marguerite duchesse d'Alençon et d'un grand nombre de seigneurs.
     
décembre 1591
  Le Comte de Carcès, revenu à Aix après la prise de Tour-de-Bouc, envisage de prendre Saint-Maximin. Il se met en route avec une compagnie de cavalerie et un pétardier fort en renom, dont la mission est de faire sauter la porte principale de la ville.
La troupe arrive dans la nuit et campe dans un ravin sans être aperçue des sentinelles. Tout de suite le pétardier aidé de quelques cavaliers se met à l'œuvre. Il avait déjà placé sa saucisse de poudre et se disposait à y mettre le feu lorsque deux femmes, arrivées la veille au soir trop tard pour entrer dans la place, et qui avaient été contraintes à passer la nuit dans le fossé, se glissent dans l'ombre jusqu'à une poterne voisine, appellent un soldat de garde et lui racontent avec effroi les manœuvres dont elles viennent d'être les témoins.
En un instant l'alarme est donnée dans la ville, la garnison prend les armes. Valavoire, commandant la place, fait une sortie qui force les cavaliers ligueurs à battre en retraite précipitamment, abandonnant leurs artifices et leurs instruments de travail.
     
10 décembre 1828
  L'autorisation royale de démolir les remparts de Saint-Maximin, est accordée par Louis XVIII. Le premier coup de pioche est donné en 1829, mais la destruction de l'ensemble prendra plusieurs années. La porte d'Aygadier est démolie la dernière vers le milieu du XIXème siècle.
     
5 décembre 1851
  Attachés à la République de nombreux Saint Maximinois s'insurgent contre le coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte. Dans l'après midi, ils prennent la Mairie, destituent le Maire et mettent en place une commission municipale avec, à sa tête un Maire insurrectionnel.
     

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