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Var - République - Démocratie

bulletin local n°82 - janvier 2015

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

Nous souhaitons à toutes et à tous de Joyeuses Fêtes de fin d'année
 
 
Aménagement du parvis du Monument aux Morts
 
Dans le précédent bulletin nous dénoncions le fait que le conseil municipal n'avait pas été informé du projet de réfection du parvis du Monument aux Morts.
Quand le 10 décembre, on a vu que tous les platanes du haut du boulevard Bonfils avait été abattus pour les besoin de cet aménagement, on a compris pourquoi on ne nous avait pas consultés.
 
 
Depuis on nous a expliqué en ne lésinant pas sur les moyens que les platanes étaient malades. C'est probablement vrai, au moins pour une partie d'entre eux, comme sur toutes les places et artères arborées de Saint-Maximin.
En revanche, il y en avait aussi, comme en témoignent les troncs qui apparaissent sur la photo au-dessus, qui étaient parfaitement sains. Pourquoi les avoir tous abattus ?
S'il s'agit d'une mesure nécessaire pour éviter la propagation de la maladie, tous les platanes de la place Malherbe et du boulevard Bonfils devront subir le même sort. Mais cela serait-il bien raisonnable ?
En fait, nous avons plutôt tendance à penser que tous ces arbres ont été abattus pour les besoins d'un aménagement pensé par quelques uns, en catimini, jamais même présenté au conseil municipal, et que maintenant face à l'indignation que cela suscite dans la population, la Municipalité tente par tous les moyens de justifier son acte.
Bref, comme d'habitude ! Rien de nouveau dans le ciel saint-maximinois.
 
 
 
Pourquoi le clientélisme est préjudiciable à l'économie
 

On entend souvent dire que dans la gestion d'une commune il n'y a pas de grandes différences entre la gauche et la droite, et c'est probablement en grande partie vrai.

 
 
En revanche on peut observer, toutes tendances politiques confondues, deux modes de gestion radicalement opposés :
 

- l'un consiste à privilégier sa clientèle électorale. C'est un système qui, depuis l'ère Soldani, a connu beaucoup d'adeptes dans le Var. Il a montré son efficacité puisqu'il a permis à bon nombre de personnalités politiques varoises d'être élues tantôt sous une étiquette, tantôt sous une autre. Le problème est qu'il coûte très cher en raison de la multiplication des postes de dépenses destinés à faire plaisir aux amis.

- l'autre nécessite de maîtriser toutes les dépenses de fonctionnement, de personnel

notamment, afin de dégager des marges permettant de financer des grands travaux sans avoir à augmenter les impôts. Cette solution privilégie l'intérêt de la collectivité, et contribue à enrichir la commune en augmentant son capital fixe.
 

Par exemple un élu peut être confronté à un choix :
- recruter le fils d'un ami très influent dans la commune, ce qui peut s'avérer très intéressant pour assurer sa réélection. Le coût du salaire de ce dernier, cadre B, revient  à environ 63 000 € par an.
- réhabiliter  la place Malherbe pour un montant total de 1 900 000 € TTC, soit 1 583 000 € HT (la TVA est remboursée par l'Etat aux communes). Ces  travaux étant financés à hauteur de 30% par le Conseil Général, il ne reste plus à la commune qu'à débourser 1 108 000 €. Ce montant emprunté à 3% sur 25 ans génère des remboursements annuels de 63 630 €.

 
La question qui se pose est donc : doit-on dans l'intérêt de la collectivité recruter ce cadre B, ou utiliser le même montant pour réaliser 1 900 000 € de travaux, sachant que l'incidence financière est identique ?
 
A Saint-Maximin, lorsqu'on regarde l'évolution de la masse salariale on comprend qu'il y a longtemps que les élus ont fait leur choix !
 
Cela est d'autant plus regrettable que la mise en œuvre de grands travaux, financés par des économies de fonctionnement, contribuerait à relancer l'activité économique, et donc l'emploi dans le BTP notamment.
 
 
A
 
Au sujet du Petit Chemin, quartier Bonneval
   
Question écrite posée par Alain Decanis au conseil municipal du 10 décembre 2014
     

A l’occasion d’une visite de quartier, j’ai été sollicité par les riverains du Petit Chemin, quartier Bonneval,  route de Bras.
Ce chemin privé est en très mauvais état, les dernières pluies n’ont rien arrangé, et les habitants éprouvent de plus en plus de difficultés pour rentrer chez eux.
Ils m’ont indiqué qu’une procédure de classement dans le voirie publique avait été entreprise il y a quelques années, mais qu’elle n’avait pas abouti en raison du refus d’un des copropriétaires de céder sa fraction de chemin.
Depuis, ce dernier a déménagé, une nouvelle procédure a été engagée. Cette fois tous les riverains ont donné leur accord, mais ils ne voient rien venir.
Pourriez-vous m’indiquer où en est ce dossier et quel est l’échéancier prévu :

 
  • pour le transfert des voiries dans le domaine public,
  • pour la réalisation des travaux nécessaires à l’évacuation des eaux, et à la remise en état de cette artère.
 
Réponse de Madame le Maire
Pour le transfert de propriété : pas de réponse.
Concernant les travaux, c'est au groupe Eiffage que le marché a été attribué. Ils devraient débuter courant février.
 
En clair cela signifie qu'un marché a été passé pour refaire un chemin privé, alors que la procédure de transfert des voiries n'a pas encore été effectuée. Curieuse façon de procéder tout de même !
 

 

 
 
Le point sur les élections départementales
 

Dans moins de trois mois auront lieu les élections départementales.
Le nouveau canton de Saint-Maximin comprend les communes d'Ollières, Pourcieux, Pourrières, Saint-Maximin ajoutées aux communes des anciens cantons de Rians et de Barjols. Il représente environ 39 000 électeurs.

Pour la première fois on élira non pas un candidat et un suppléant, mais un binôme formé d'un homme et d'une femme, dotés chacun d'un suppléant du même sexe.
A ce jour, bien que les échéances soient relativement proches, peu de candidats se sont déclarés. Nous les présenterons dans un numéro spécifique début janvier.

 
 
 
A
 
Enquête de Gaspard
 

En marchant dans les quartiers, je suis tombé par hasard sur une affichette annonçant une réunion publique destinée à présenter le nouveau PLU.

 

Mes amis ne comprenant pas pourquoi l’un a pu diviser sa parcelle et déposer un permis de construire alors que ses deux voisins ont essuyé des refus, j’ai décidé d’assister à cette réunion.

 

Il me semblait avoir entendu une émission sur le sujet à la radio. J’ai retrouvé  le podcast de l’interview de Christine Lanfranchi du  21 février dernier (vous pouvez consulter un extrait sur http://youtu.be/XOyPkO0oLxw)

 

 Mais alors qui croire ?

 
La version radio de Madame Lanfranchi-Dorgal dans laquelle Saint Maximin ne devra pas dépasser 20 000 habitants à l’horizon 2020 ou celle de la salle des fêtes dans laquelle Madame le Maire en annonce désormais au moins 25 000 ?
 
La candidate qui disait  il y a dix mois que les équipements de la ville étaient prévus pour 20 000 habitants ou Madame le Maire qui aujourd’hui soutient que désormais ils le sont aisément pour 30 000 ?
Difficile de suivre et de comprendre, j’étais pourtant bien attentif…  Sous couvert de haute technicité du dossier, j’ai assisté à une présentation confuse, des slides illisibles, une sono qui larcène.
Mais pourquoi tout cela, quel est le message ?
J’apprends que même si la Mairie refuse la division de parcelles, Madame le Maire reconnait qu’elle perdra au tribunal car depuis la loi ALUR de mars 2014, chacun peut diviser son terrain, que la Mairie n’a pas le droit d’empêcher la construction de maisons, de lotissements…

Alors ce nouveau PLU prévoira des petites zones protégées placées de façon aléatoire, deci delà pour interdire uniquement à ceux qui se retrouveront concernés, de construire ou diviser. Est-ce bien applicable ainsi ?

Comment  réguler la démographie lorsque l’on dérégule l’urbanisme ? Avons-nous assisté à la présentation d’un  projet d’action ou à un aveu de faiblesse ? Pas facile à décrypter…

Et puis il y a  ce projet de parc des sports. Madame le Maire explique que le schéma présenté pendant la dernière campagne électorale n’est pas le bon. A la présentation du nouveau plan d’implantation force est de constater que l’emplacement réservé aux terrains de sport est devenu très petit puisque désormais entouré d’habitations.

Alors si vous voulez vous lancer dans une recherche sur le site le la Mairie de Saint Maximin, des téléchargements de plus de 100 Mo, si vous possédez un logiciel de dézippage et un lecteur de PDF, vous pourrez peut être consulter cette présentation, avec notamment les cartes qui devraient être mises en ligne ? A ce jour, je ne les ai pas encore retrouvées…

Plutôt moins que plus ce PLU...

 
 
 
 
Le PLU nouveau vient de sortir
 

En novembre 2013 le conseil municipal a arrêté le PLU de la commune. Ce dernier avait pour objectif de limiter l'expansion démographique à 20 000 habitants.

Nous avions alors souligné le nombre très insuffisant d'emplacements réservés destinés à accueillir des équipements collectifs (scolaire, petite enfance, équipements sportifs...) nécessaires pour une cité de 20 000 habitants.

 
Le PLU a néanmoins été arrêté en l'état et, depuis, plus de nouvelles. Le sujet n'a jamais été évoqué, ne serait-ce qu'une fois en conseil municipal.
Ce n'est que la semaine dernière que nous avons appris, tout à fait par hasard, en lisant un panneau d'informations dans un quartier, qu'un PLU "Nouveau" allait être présenté à la salle des Fêtes lors d'une réunion publique, le lundi 15 décembre 2014.
 
En dépit d'une présentation assez confuse nous avons retenu de cette réunion :
- que l'objectif de population avait été porté de 20 000 à 30 000 habitants, en dépit des promesses de campagne de Madame le Maire.
- que le nombre d'équipements collectifs était resté le même, malgré une croissance démographique beaucoup plus importante,
- que la ZAC du Mont Aurélien avait du plomb dans l'aile (ce qui ne nous a pas fait vraiment peine),
- que le beau dessin du complexe sportif prévu au clos de Roque, avait été supprimé à la demande de l'Architecte des Bâtiments de France. A la place figure un emplacement réservé en vue de réaliser un projet restant à définir.
 
Pour le reste, on s'achemine vers :
- une densification des constructions dans les zones déjà urbanisées,
- quelques dizaines d'hectares de zones agricoles qui vont devenir constructibles, en dépit des préconisations du SCOT,
- aucun emplacement réservé supplémentaire malgré une augmentation importante du nombre d'habitants.
 
 
 
Ca n'est pas nous qui le disons, mais le percepteur !
 

Le 10 décembre 2014 nous avons enfin reçu l'analyse financière des finances de la commune de Saint-Maximin pour l'exercice 2013, que nous réclamions depuis des mois.

Voici les principaux constats présentés en page 2 de ce document :

"La situation financière de la commune de Saint-Maximin en 2013 nécessite de retrouver et conforter certains équilibres fondamentaux.

- La Capacité d'Autofinancement (CAF) est en chute du fait d'une progression des produits de fonctionnement inférieure à celle des charges.

- Malgré une annuité en capital en diminution, la CAF brute n'assure pas le remboursement de la dette qui doit être couvert par les ressources propres de la commune.

 

- La commune n'a toutefois pas souscrit d'emprunt pour financer ses dépenses d'investissement qui sont en baisse par rapport aux années précédentes. Elle les a financées en utilisant son fonds de roulement.

- Son encours de dette a ainsi diminué.

La commune a besoin de conforter sa capacité d'autofinancement à un niveau lui permettant de couvrir le remboursement en capital de sa dette afin de dégager un excédent pour financer ses investissements.

Ses marges de manœuvres sont étroites: elle ne peut agir que sur ses bases pour accroître ses recettes fiscales compte tenu du niveau des taux et elle doit maîtriser ses charges de fonctionnement.

Dans l'attente de la restauration de ces équilibres fondamentaux, sa politique d'investissement doit rester mesurée."

 
En clair cela signifie :
- que ces derniers années les dépenses de fonctionnement de la commune (c'est à dire son train de vie) ont augmenté plus vite que ses recettes provoquant un déséquilibre.
- que la dette en capital diminue car la commune n'investit plus (donc n'emprunte pas).
- qu'en même temps la commune éprouve de plus en plus de difficultés à rembourser la dette en capital car son autofinancement diminue.
- que les taux d'imposition étant déjà très élevés, il n'y a plus beaucoup de marge de ce côté là, que la seule solution passe par une véritable maîtrise des dépenses de fonctionnement, de personnel notamment.
- que l'on ne peut plus financer les grands projets évoqués pendant la campagne, tant qu'on n'aura pas assaini la situation financière.
 
C'EST BIEN LA POLITIQUE QUE LE GROUPE D'OPPOSITION DENONCE DEPUIS SIX ANS QUI NOUS A CONDUIT DANS CETTE SITUATION DIFFICILE
RETARDER L'ECHEANCE EN ACCUEILLANT DES NOUVEAUX HABITANTS EN GRAND NOMBRE NE PEUT QUE S'AVERER SUICIDAIRE A MOYEN TERME
 
Pour recevoir l'étude complète au format pdf, il suffit de nous la demander à alain.decanis@neuf.fr
 
 
 
 
Une augmentation d'impôt déguisée
 

Lors du conseil municipal du mercredi 10 décembre Madame le Maire a décidé d'augmenter le prix de l'eau de la façon suivante :

  1. le prix de référence du m3 d’eau passe de 0.85 à 0,89 € H.T
  2. le montant de la prime fixe semestrielle passe de 7.62 € à 8,00 € H.T
  3. la location de compteur semestrielle passe de 3.51 € à 3,68 € H.T.
 

Le budget de l'eau étant en équilibre rien ne justifie cette augmentation, que l'on ne peut en fait considérer que comme une augmentation d'impôt déguisée. Cette hausse permettra de ponctionner annuellement 60 000 € de plus dans la poche des contribuables saint-maximinois.

Les cinq membres du groupe d'Alain Decanis et les trois du groupe Bleu Marine se sont prononcés contre cette augmentation

 
 
A
 
Brèves
 

Nos factures d’assainissement ont augmenté de 2007 à 2014  dans des proportions non négligeables essentiellement en raison de l’augmentation de la part de la SAUR (de 0.407€ à 0.6864€,soit 68.65% d’augmentation).
Le contrat arrivant à son terme ça aurait pu être l’occasion d’entreprendre une étude comparative entre le coût d’une régie et celui d’une Délégation de Service Public dans l'intérêt des contribuables.
Madame le Maire refusant d’entreprendre cette démarche, les élus du groupe d'Alain Decanis, considérant ne pas avoir tous les éléments pour se prononcer sur le bien fondé de la reconduction de la DSP, se sont prononcés « contre ».

 
 

La Brigade Motorisée de Gendarmerie (BMO) avait quitté notre commune en 2009 pour prendre ses quartiers à Brignoles. C'est avec plaisir que nous avons appris que la Préfecture du Var avait décidé de son retour à Saint-Maximin. Même si la principale mission de la BMO est de lutter pour la sécurité routière, le renforcement des effectifs est un atout supplémentaire pour agir efficacement contre la délinquance qui se développe, en provenance essentiellement des Bouches-du-Rhône.

 
 
 
Événements qui se sont produits jadis à Saint-Maximin au mois de janvier
   
janvier 1038  
Plus ancienne mention de Saint-Maximin retrouvée dans les textes. Il s'agit d'un acte du cartulaire Saint Victor dans lequel on peut lire : Ponce et Bonnefille son épouse avec leurs fils donnent la huitième partie de l'alleu qu'ils possèdent "In territorio Villa Sancti Maximini subtus Castrum Rhodenas".
 
31 janvier 1246  
Après la mort du Comte catalan Raymond Berenger V, sa fille cadette Beatrix, héritière du comté de Provence. épouse à Aix Charles 1er d'Anjou (frère de Saint Louis) Jusque là possession de la maison de Barcelone, Saint Maximin passe sous tutelle de la maison d'Anjou.
 
30 janvier 1580
  Henri d'Angoulême, fils naturel du roi Henri II, gouverneur de Provence, convoque les Etats de Provence à Saint-Maximin (réunion d'environ 120 députés des trois ordres: clergé, noblesse et communautés).
 
6 janvier 1581
  Le Révérend Père Odoul, religieux et syndic du couvent, est tué par un coup d'arquebuse, dans le grand réfectoire.
     
25 janvier 1591
  En même temps que les Etats ligueurs se réunissent à Aix, La Valette convoque les Etats généraux de son parti le 25 janvier à Riez, en vertu des lettres patentes du roi données à Gisors le 21 octobre de l'année précédente. Treize communautés sont réunies à Riez : Forcalquier, Sisteron, Fréjus, Draguignan, Brignoles, Moustiers, Saint-Maximin, Seyne, Pertuis, Riez, Manosque, Les Mées, Castellane.
     
22 janvier 1593
  Après plusieurs années de guerre, la plupart des Provençaux aspirent au repos et à la paix. Le vice-légat d'Avignon d'Aubrès, propose d'œuvrer à une réconciliation entre les ligueurs et les royalistes. Après avoir obtenu l'accord du duc d'Epernon et du comte de Carcès, des députés sont nommés. Le 22 janvier les représentants des deux partis sont convoqués à Saint-Maximin.
Le 29 janvier arrive le duc d'Epernon. Il convoque les députés dans la grande église. Des conciliabules entre d'Epernon et des députés ligueurs ont lieu dans les nefs latérales.
La journée du lendemain se passe en pourparlers stériles et il est convenu que les trois arbitres rédigeront dans la nuit un protocole qui sera soumis pour approbation à la fois au duc d'Epernon et au Parlement d'Aix.
Sollicités à partir du 3 février, le Parlement d'Aix et d'Epernon ne parviennent pas à se mettre d'accord. Après les conférences de Saint-Maximin, la guerre continue.
     
22 janvier 1790
  Les députés de Provence décident par délibération (décret du 29 janvier 1790) de diviser le Var en neuf districts. Celui de Saint Maximin compte 106 feux.
     
18 janvier 1791
  Les Dominicains sont expulsés du Couvent. Ils ne reviendront qu'en 1859.
     
20 janvier 1920
  Retour des Dominicains expulsés en 1903 au Couvent
     
A
 
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A

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