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Lors de la dernière séance du conseil municipal, Madame le Maire a demandé au conseil municipal de l'autoriser à créer un poste d'animateur principal de 1ère classe (cadre B) pour le service culturel de la ville. Cela afin de recruter un agent qu'elle a d'ailleurs déjà choisi, puisqu'elle nous a donné son nom.
Autant dire que la procédure de recrutement sera vite bouclée !

Alain Decanis a fait au nom du groupe d'opposition l'intervention suivante : "Comme nous l’avons maintes fois évoqué lors du vote du budget, nous considérons que notre masse salariale est déjà particulièrement élevée par rapport à nos recettes de fonctionnement.
De plus nous estimons que le service culturel fonctionne correctement et que nous n’avons pas besoin aujourd’hui de procéder à un nouveau recrutement.
Un cadre B représente sur une année pleine une charge d’environ 43 000 € pour la collectivité.

"Au terme du contrat actuel, vous envisagez de renouveler la gestion déléguée de l'assainissement.

A l'examen de mes factures sur la période 2007-2014, je constate:
- une certaine maitrise du prix du m3 d'eau = 0.85 €  depuis 2008.
- une maîtrise du taux de la part communale au niveau de l'assainissement, depuis 2007.

En revanche sur la même période la part de la SAUR n'a cessé de grimper. Son augmentation sur 7 ans s'élève à 68,65 % (elle est passée de 0.407 € en 2007 à 0.6864 € en 2014).

Ne pourrait-on pas profiter du fait que le contrat arrive à échéance, pour étudier quelle serait l'incidence du coût de ce service s'il était effectué en régie ?"

Madame le Maire a répondu qu'une étude avait été effectuée, et qu'elle montrait qu'un retour en régie du service assainissement ne serait pas intéressant pour la collectivité.
Nous attendons donc maintenant de connaitre le résultat de cette étude.

Il y a quelques mois, en pleine campagne électorale, l'équipe conduite par la fille du président du conseil général nous a promis un complexe sportif, la réfection du centre-ville... Mais ça c'était avant, depuis elle s'est faite beaucoup plus discrète en matière d'investissement.
Et on comprend pourquoi, car pour financer de grands travaux sans augmenter les impôts il faut diminuer les frais de fonctionnement, c'est à dire le train de vie de la commune. Et ça, les élus majoritaires n'en ont pas vraiment envie.
Néanmoins avec la fin de l'année et les commémorations liées à la première guerre mondiale va débuter le premier des "grands chantiers du mandat"..., la réfection du parvis du Monument aux Morts.
L'ensemble des travaux s'élève tout de même à près de 600 000 € TTC.
Nous ne nous plaignons pas, bien au contraire, il y a longtemps que nous le réclamions. Mais, outre le fait que nous n'avons jamais eu connaissance même d'une ébauche de cet aménagement, nous regrettons qu'il ne s'inscrive pas dans un projet d'ensemble de

Février 1956, un mois calamiteux pour la Provence, qui est resté gravé dans les mémoires en raison de chutes de neige importantes et des températures particulièrement basses. Une des conséquences de tout cela a été la disparition quasi totale des oliviers, victimes du gel, ce qui a entrainé la fermeture des derniers moulins de la commune, propriétés des familles Baude et Porte.
Depuis les oléiculteurs locaux, professionnels ou amateurs, redevenus nombreux ces dernières années, sont contraints d'apporter leur récolte à moudre dans les moulins situés dans les communes voisines de Varages, Tavernes, Mazaugues ou Auriol.
Conscient des contraintes que cela occasionne à nos concitoyens, une famille de producteurs locaux, les Decomis, a décidé de relever le défit et d'aménager un moulin entièrement neuf, équipé de machines à la pointe de la technologie, situé au quartier de la Courtoise, en bordure du chemin reliant Ollières et Saint-Mitre.
Les prix pratiqués sont particulièrement attractifs, et on peut obtenir sa propre huile à partir d'une centaine de kilogrammes d'olives.

Lors du dernier conseil municipal Madame le Maire a demandé aux élus l'autorisation de financer de nouveau une étude pour évaluer le coût d'implantation d'un Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine dans le bâtiment de l'ancien Hôtel Dieu situé rue Colbert.
Une première étude d'un montant de 80 000 € avait déjà été réalisée il y a environ deux ans, avec pour objectif l'implantation du cette même structure dans le Jardin de l'Enclos. Elle avait fait apparaître un coût de travaux dépassant les deux millions d'Euros, et des dépenses de fonctionnement particulièrement élevées.

Petit historique pour mieux comprendre le Sainte Baume Var Hand Ball....

Notre club est né en 2012 suite à un départ de neuf entraineurs et dirigeants du Club de Handball de Saint Maximin. Ceux-ci ont alors décidé de créer, aidé de quelques parents, un nouveau club de Handball familial, convivial et avant tout dévoué aux enfants sur la commune de Nans Les Pins, Saint-Maximin ne voulant pas les accueillir.

 N'ayant pas de gymnase, nous avons eu la possibilité d'entrainer les enfants au collège Leï Garrus, un créneau de 1h30 nous ayant été accordé par le syndicat intercommunal, qui en 2012 était responsable des gymnases des collèges de Saint Maximin.

A la fin de la saison 2012-2013, nous étions 37 licenciés. En 2013-2014 nous avons fini la saison à 96 licenciés venant de toutes les communes du bassin de la Sainte-Baume Mont-Aurélien et de plus loin encore, avec toujours le même et unique créneau d'entrainement et la possibilité de faire jouer les enfants en compétition le week-end.

Cette année, saison 2014-2015 sous prétexte de ne pas vouloir un deuxième club sur sa commune, la Mairie de Saint Maximin, qui gère maintenant les créneaux des collèges (sans pour autant que cela soit officiel), nous a supprimé notre créneau de 90 minutes et ceux des compétitions....le club ayant pourtant un effectif toujours conséquent et les salles étant constatées inoccupées sur ces mêmes périodes. Des personnes nous rejoignent encore malgré des conditions d’entraînements déplorables, nos six équipes, des plus jeunes aux séniors s’entrainant en extérieur sur des terrains non adaptés au hand-ball.

Aujourd'hui et comme depuis la création du SBVHB, tous nos adhérents sont informés des difficultés rencontrées pour l'obtention de créneaux dans les gymnases de Saint Maximin, contrairement aux déclarations faites dans la presse par la présidente du HBCSM .

Depuis le 19 novembre dernier, le créneau de 90 minutes accordé en Août 2014, nous a été retiré : la maire de Saint Maximin gère-t-elle avec la même cohérence toutes les demandes de ses concitoyens ?
De quel droit Mme le Maire peut-elle décider de l'existence d'un club de Hand-ball sur le bassin de Saint Maximin, au mépris de la liberté fondamentale d'associations et en confisquant l'utilisation des biens publics de la communauté ?
Nous nous interrogeons également sur le fait que des équipements collectifs appartenant au département (gymnases....) et financés par les impôts de TOUS les VAROIS puissent servir exclusivement les intérêts électoralistes de Madame le maire de Saint-Maximin ?
Pourquoi le SBVHB, domicilié à seulement 10km de Saint-Maximin, n'a-t-il pas la possibilité d'avoir accès à  ces équipements départementaux ?

Les membres du bureau du SBVHB

Nous attendons toujours l'analyse du percepteur relative au bilan financier de la commune pour l'année 2013 demandé au mois d'avril. Et dire que c'est un document qui est librement communicable à tout contribuable qui en fait la demande ! Dès que nous en disposerons (il ne faut jamais désespérer), nous en ferons un commentaire afin que tous les contribuables sachent où on en est.

Pour consulter les résultats d'un Saint-Maximinois pratiquant la course à pied ayant fait des courses ou des trails, quel que soit son niveau, il suffit de cliquer sur ce lien, puis sur le nom du coureur.