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Var - République - Démocratie

bulletin local n°80 - novembre 2014

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

 
A
 
Que penser de la multiplication des logements sociaux en centre-ville ?
 

Jeudi 28 septembre, lors de la réunion du conseil communautaire, le groupe Var-République-Démocratie a refusé de voter une délibération relative à la construction de logements sociaux aux Arcades. Alain Decanis a justifié le sens du vote du groupe de la façon suivante :
"Nous sommes favorables à la construction de logements sociaux. Il en manque beaucoup sur notre territoire en général, et à Saint-Maximin en particulier, pour satisfaire notamment aux besoins des jeunes qui ne parviennent pas à se loger compte tenu du niveau des loyers.

 
Cependant, à Saint-Maximin, la plus grande proportion de foyers de condition modeste se trouve déjà dans le centre ancien et il ne nous apparait pas opportun, dans un souci de mixité sociale, d'encore y ajouter de nouveaux logements sociaux. C'est pourquoi nous voterons contre cette délibération."
 
Quelques jours plus tard, mercredi 1 octobre, au conseil municipal cette fois, a été présentée une nouvelle opération relative à un projet de construction de logements sociaux rue Gambetta. Le groupe d'Alain Decanis a voté cette délibération mais non sans émettre des réserves : "Continuer à multiplier les logements sociaux dans le centre-ancien ne nous parait pas être une bonne idée. Cela va complètement à l’encontre du principe de mixité sociale. Cependant, compte tenu de la nécessité de restaurer cet îlot, rue Gambetta, qui se trouve particulièrement en mauvais état, nous voterons pour cette acquisition."
 
 
A
 
Interventions d'Alain Decanis lors du conseil municipal au sujet de l'acquisition
d'un terrain pour réaliser un équipement sportif
   

Il s'agit d'une intervention relative à l'acquisition d'un terrain où était implantée la carrière Milesi, quartier des Batailloles, en vue d'y aménager un équipement sportif :"Aménager des aires de sport et de loisir est nécessaire. La commune en manque cruellement, surtout pour les enfants dans le centre-ville. Mais acheter une ancienne carrière plus de 40 000 €, en pleine colline, pour y aménager une aire de jeux, ne nous parait pas très opportun. Cette aire risque de subir le même sort que le parcours sportif du Défends dont l’aménagement avait coûté une fortune aux contribuables, et qui est aujourd’hui complètement à l’abandon.

 
 
 
Nous aurions préféré que ces 40 000 € soient consacrés au financement d'un complexe sportif aménagé autour d'une piscine couverte, comme présenté pendant la campagne électorale."

 


 
 
Divisions de parcelles et constructibilité, tout cela est-il bien légal ?
 

Beaucoup de nos concitoyens ont été surpris de constater, dans des zones réputées constructibles avec une surface minimum de 5000 m², l'affichage de déclarations préalables de divisions de parcelles et de permis de construire.
Soucieux de la préservation de leur environnement, ils nous ont interrogés afin de connaitre l'origine et le pourquoi de ces  dérogations.

Avec l'arrivée de la loi ALUR, loi destinée à  densifier les zones urbaines, tous les PLU édictant un COS et/ou une règle de superficie minimale, sont illégaux. Mais dans les communes non régies par un PLU, avec des POS imposant un COS, les règles anciennes restent applicables. C'est le cas de Saint-Maximin.

Cependant ces POS seront caduques au 31 décembre 2015 et les nouvelles règles s'imposeront.

 
Dans notre commune, en octobre 2013, les services de l'urbanisme et les élus responsables ont vu arriver des demandes de division de parcelles de 5000 m², puis des demandes de permis de construire sur ces nouvelles parcelles.

Le POS restant applicable, ces demandes auraient du être refusées, mais les élections approchant, les divisions et les permis ont été acceptés ......

Il en a été ainsi jusqu'en août 2014, date à laquelle les élus ont fini par prendre conscience des risques que pouvaient engendrer une urbanisation complètement incontrôlée (600 hectares concernés). Ils ont alors pris la décision de tout arrêter.

En fait, ils n'ont fait que revenir à l'application de la loi.

Mais que dire aujourd'hui à tous les non-initiés qui ne sont pas allés assez vite ?

Et que doit on penser des permis de construire accordés généreusement pendant la période électorale de façon illégale ?
 
 
A
 
Enquête de Gaspard
 
Gaspard de Besse a continué à arpenter  les rues de notre cité.  
Toujours aussi curieux et à l’affût des moindres informations de sa ville, Gaspard  possède vraiment de grandes oreilles.
A l’approche des fêtes de fin d’années, des rumeurs courent au sujet des décorations de Noël. Gaspard n’en croit pas ses oreilles.
La pose et la dépose des guirlandes coûteraient aux saint maximinois la modique somme de 55 000€...
Si au lieu d’être confiées à une société extérieure, les services techniques de la ville assumaient ces installations temporaires, la facture ne serait pas aussi astronomique. Simple déduction d’un Gaspard à l’esprit pragmatique !
Dans une conjoncture économique plutôt difficile, Gaspard se pose la question de savoir s’il est raisonnable de dépenser de telles sommes ?
Ne serait-il pas plus judicieux de faire des efforts pour restreindre ces dépenses dans l'intérêt des saint maximinois ? 
D’autant plus que Saint Maximin serait tout aussi bien illuminée avec ces mêmes guirlandes installées par les services techniques de la ville. 

 

 
 
 
Un devoir de mémoire pour le centenaire de la 1ère Guerre Mondiale
 

En cette année du centenaire du début de la 1ère Guerre Mondiale qui a endeuillé un grand nombre de familles, nous avons commencé à procéder à un recensement des Poilus originaires de nos communes du nord-ouest varois. La démarche n'est pas facile, surtout pour retrouver ceux qui sont revenus. C'est pourquoi nous faisons appel à tous ceux qui possèdent des photos ou des documents sur cette époque, pour nous aider à compléter cette base de données que chacun peut consulter sur :

 
http://saintmaximin2014.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/MILITAIRE/1GM/PoilusTerritoire.html  
   
Comme la plupart de nos aïeux ne parlaient pas ou mal le français, ils étaient regroupés par régiments originaires de la même région. C'est ainsi que l'on retrouve un grand nombre de jeunes de nos villages dans les 27ème BCA, 163ème RI et 363ème RI.
Voici quelques batailles auxquelles ont participé ces régiments formés en grande partie de Provençaux.
 

Le 163ème Régiment d'Infanterie de Nice :
 
Louis REBUFFAT du 163e RI
originaire de Saint-Maximin
 
Le 363ème Régiment d'Infanterie de Nice (réserve du 163ème RI) :
 
Le 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins :
 

 

 
 
Aidons une Saint-Maximinoise qui a entrepris une action humanitaire
en Guinée Konakry
 

Flore de Boisgelin est une religieuse de la congrégation des sœur de St Jean. Elle anime une école maternelle à 7km de Koyah en République de Guinée Conakry depuis plus deux ans.
Bien souvent en Afrique ( surtout en brousse) l’école primaire publique est inexistante. Ce sont des initiatives privées catholiques, musulmanes ou laïques, qui organisent la scolarité des plus jeunes. A charge aux parents de cotiser chaque mois pour rémunérer les instituteurs et les éducateurs.
Ses élèves sont pour 30% d’entre eux des enfants catholiques et pour 70% des enfants musulmans.

 
Enfants de l'école St Odile
La demande de scolarité est forte et Flore ne peut accepter que 40% de la demande.
De plus, cette année, en raison des risques de contamination liés à l'épidémie du virus Ebola, le gouvernement impose de ne pas procéder á la rentrée scolaire.
L’école est donc fermée, et nul ne sait quand elle va rouvrir, car il faut une période de 7 semaines minimum sans nouveau cas pour déclarer la fin de l’épidémie.
L'absence de salaire, incitant les instituteurs á immigrer en Côte D’ivoire pour assurer leurs fins de mois, peut conduire à une fermeture définitive de l'institut.
Dans ce contexte, nous vous proposons d'aider Flore de Boisgelin à sauver son école. Des dons, mêmes minimes pourront contribuer à redonner espoir à tout une famille.

Il n'y a aucun intermédiaire, nous garantissons que chaque Euro versé par un donateur arrivera bien en Guinée Konakry et sera utilisé exclusivement pour cette école.

Les chèques doivent être libellés à l'ordre du "trésorier de la Voix Aurélienne", et adressés à Jean Pierre Demerens, 400 chemin de Fontrouvade, 83470 Saint-Maximin.
 
 
 
 
Une curieuse tendance à réécrire l'histoire !
 
Lors du conseil municipal du 1 octobre 2014, Alain Decanis regrettait qu'on demande aux élus de voter l'acquisition de parcelles, sans qu'on leur indique l'usage qu'on allait en faire. Il s'en est suivi un échange entre Horace Lanfranchi et Alain Decanis qui mérite d'être éclairci.
 

M. DECANIS
Pense qu’il y a confusion sur les dates d’acquisition du projet du Pôle Culturel (Sica Racine) et du parking des Cerisiers (Cabasson) car  cela avait été fait sous la municipalité de M. GINOT, et dans les deux cas les projets avaient été présentés avant d’acheter le foncier.

M. LANFRANCHI
Fait remarquer à M. DECANIS qu’il n’a pas une bonne mémoire.
En effet, dans un premier temps l’équipe de M. GINOT avait laissé acheter le bâtiment de SICA RACINE  par le Crédit Agricole.
 M. LANFRANCHI en avait fait la remarque à l’époque et il lui avait été répondu de s’occuper de ses affaires.
Par la suite, la municipalité de M. GINOT avait rectifié la démarche, mais c’est M. LANFRANCHI qui a conclu l’achat.
En ce qui concerne le parking des Cerisiers, M. LANFRANCHI a tracté lui-même l’affaire avec le juge de tutelle de M. CABASSON qui avait fixé le prix.  La preuve peut être trouvée dans les archives de la mairie.
Ce serait bien que M. DECANIS retrouve la mémoire, car cela simplifierait les explications données aux conseillers municipaux.

C’est également notre majorité qui avait acheté le terrain où a été construite l’école Victor Hugo, le terrain où il y a la crèche, les terrains du parking du cimetière, les terrains du parking des écoles, ….
C’est pour cela que nous sommes bien contents de disposer de foncier afin de réaliser les projets futurs, même si au départ cela n’apparait pas comme une vraie réalisation.
Il serait nécessaire de faire des recherches dans les archives afin d’apporter la preuve de ce que je dis.

M. DECANIS
Répond qu’il fera lui-même les recherches et qu’en ce qui concerne l’acquisition du terrain pour la construction du parking des Cerisiers, M. LANFRANCHI n’était pas favorable à l’expropriation de M CABASSON.
La finalisation de cet achat a peut- être été faite sous la mandature de M. LANFRANCHI, mais le projet avait été initié bien avant.

M. LANFRANCHI
Rétorque que l’acquisition du parking des Cerisiers a été faite avant 1989.

 

Voici la preuve que :
- la procédure d'acquisition du parking des Cerisiers a été engagée dès le 28 avril 1989, et non pas avant comme l'a affirmé à tort Monsieur Lanfranchi.
- les négociations avec Monsieur Cabasson concernant l'acquisition de cette parcelle avaient bien été engagées en avril 1989 sous la municipalité Ginot (qui a siégé de mars 1989 à avril 1993).

 
 
Cela est-il imputable à des troubles de la mémoire ou à de la mauvaise foi ?
 
 
A
 
Brèves

 

Depuis les élections le projet de parc et sports et loisirs avec piscine couverte n'a jamais été évoqué au conseil municipal.
Mais, à la lecture des décisions du maire, nous avons appris, lors du dernier conseil, qu'un montant de 25 000 € TTC, avait été consacré à la réfection de trois courts de tennis, chemin du Resty.
Si une telle dépense est engagée, il est donc fortement probable que la commune n'envisage pas le déménagement du club durant ce mandat. et que donc le projet de complexe sportif soit enterré jusqu'aux prochaines élections.
Il pourra toujours être ressorti des tiroirs comme argument de campagne.

 
 
Avant le vote du compte administratif, c'est-à-dire l'arrêté des comptes pour l'année 2013, nous avions demandé à Madame le maire, conformément à la loi, que nous soit communiquée l'analyse financière du percepteur. Elle nous a répondu qu'on ne la lui avait pas encore fournie... Il y a quelques jours, nous avons renouvelé notre demande. Même réponse : l'analyse n'a toujours pas été communiquée par la Trésorerie Générale ! Faudra-t-il encore une fois saisir la Commission d'Accès aux Documents Administratifs pour avoir accès à ce document qui est normalement librement consultable par tout contribuable qui en fait la demande ?
Et ensuite on nous parle à tout moment de volonté de transparence... !

 
 
 
Trois nouvelles communes sur le site http://saintmaximin2014.fr
 
Le pays saint-maximinois, tel que nous l'avons défini sur notre site http://saintmaximin2014.fr, comprend toutes les communes des anciens cantons de Barjols, Rians, Saint-Maximin ainsi que la commune de Tourves toute proche.
Vous pouvez découvrir sur ce site l'histoire, le patrimoine de ces villages à travers de nombreuses photos anciennes et documents, mais aussi de nombreuses informations récentes liées à l'actualité.
Voici les trois dernières communes que nous venons d'ajouter pour couvrir tout le territoire. Pour découvrir les premières informations les concernant, il suffit d'aller sur le site et de cliquer sur l'onglet "les communes".
 
   
Barjols   Châteauvert   Pontevès
 
 
 
 
Des sportifs au tableau d'honneur ces dernières semaines
         
Franck PEYRONEL   Garçons de moins de 14 ans
Saint Maximin Athletic Club   Hand Club Saint-Maximin
27 septembre 2014 il Trois victoires en trois rencontres : 27 septembre, 4 et 11 octobre 2014
 
12ème aux 100 km de Millau   1er du challenge de rentrée
en 8h52min45s  
 
 
 
Événements qui se sont produits jadis à Saint-Maximin au mois de novembre
A
13 novembre 1387  
Après des années de désordre, des médiateurs sont nommés pour mettre fin au conflit. Il est décidé que toutes les communautés de Provence devront accepter la souveraineté du roi Louis d'Anjou et lui prêter fidélité. La communauté de Saint Maximin délibère dans ce sens et envoie quatre députés (René Gossolen, Bertrand Vicomte, Guillaume Audebrand, André Fresquière) pour porter leur soumission et traiter avec la reine Marie de Blois, régente de son fils mineur. La reine, habile tacticienne, confirme et approuve tous les droits, usages, libertés, franchises, privilèges et en concède même de nouveaux.
 
9 novembre 1595  
Alors que le duc de Guise entre en Provence, le duc d'Espernon signe à Saint Maximin un acte de soumission à Philippe II d'Espagne alors en guerre avec Henri IV. Ce traité fait de lui non seulement un rebelle envers son roi, mais aussi un traitre envers sa patrie : "Sa Majesté Catholique fera fournir dans Gennes pour le duc d'Espernon, tant poudre que balles, pour tirer deux mille coups de canon, et quatre cents quintaux de poudre à arquebuses. Tous les mois seront fournis dans la mesme ville de Gennes douze mille escus pour le duc d'Espernon, à commencer du mois d'aoust dernier. Sa Majesté Catholique promet en outre au duc d'Espernon de le protéger luy et ses amis, moyennant secours fournis de toutes sortes, chaque fois que le duc l'en suppliera. En cas de quelque accord ou paix avec le prince du Béarn, Sa Majesté promet en foy et parole de roy, de le comprendre audict traicté et tous ceulx qui despendent de luy, de ses amis, ou des charges qu'ils possèdent maintenant. Donnant Sa Majesté six mille arquebusiers dont elle fournira de quoi faire la levée au duc d'Espernon, parmi lesquels deux mille français, puis la cavalerie nécessaire, payant le tout durant le siège et donnant adsistance de galères en nombre suffisant pour boucher les advenues de la mer ; promets ledict duc d'Espernon d'assiéger la ville, place et forteresse de Tholon, et il espère s'en saisir avec l'aide de Dieu, et après la prise de la bailler à la disposition de Sa Majesté Catholique pour y mettre tel nombre de gens de guerre qu'il luy plaira, et promets aussy Sa Majesté de nommer un gentilhomme français pour gouverneur dudict Tholon, et que nul autre que le duc d'Espernon commandera l'armée audict siège ; que l'on fournira à Bruxelles ou à la ville la plus proche de Belgique, et en toute diligence, 6 000 escus entre les mains de celuy que ledict duc d'Espernon nommera pour subvenir aux besoins de ceste place. 100 000 escus seront en outre déposés en dépost à Gennes entre les mains de marchands solvables, j'usqu'à l'acquittement des conditions susdictes. A Sainct-Maximin ce neufviesme de novembre 1595." (Archives de Simancas - Histoire de la Ligue)
 
10 novembre 1595
  Toujours à Saint Maximin, le duc d'Espernon signe cet acte de serment envers la couronne d'Espagne : " Je soussigné, Jean Louis de la Valette, duc d'Espernon, pair et colonel de France, gouverneur, lieutenant général en Provence, Saintonge et Angoumois, promets à Sa Majesté Catholique de faire guerre au prince de Béarn et aux hérétiques et fauteurs d'iceux dans le Royaume de France, et de ne traicter ni résoudre aucun accord ny paix avec eux, sans en avoir la permission de Sa Majesté Catholique et après luy du prince son fils, lesquels me promettront par mesme moyen de me tenir, et mes amis, sous leur protection. Et de leur costé ne concluront aucune paix avec le prince de Béarn que je n'y sois compris pour conservation de moy, de mes amis, de nos biens et charges, enfoy de quoy j'ai dict et signé la présente, et cachetée du sceau de mes armes, pour conserver ce que dessus aux conditions y poser. A Sainct-Maximin ce dixiesme de novembre 1595." (Archives de Simancas - Histoire de la Ligue)
Heureusement, les événements qui se précipitent ne permettront pas à d'Espernon de mettre en application les clauses de ce traité abominable.
 
5 novembre 1622
  Visite de Louis XIII accompagné de sa mère, Marie de Médicis, et de son épouse Anne d'Autriche, visite Saint Maximin. Arrivé vers 16h, il est accueilli en grande pompe en haut du chemin d'Aix par les autorités civiles et religieuses. Après avoir passé la nuit au Couvent dans la chambre "prioralle" il repart dès le lendemain matin pour la Sainte Baume.
   
18 novembre 1793
  Le Conseil Général de la commune délibère pour remplacer le nom de Saint Maximin par celui de Marathon.
   
25 novembre 1793
  Une dernière messe est célébrée dans la Basilique qui sera ensuite fermée puis vendue.
   
novembre 1794
  Marathon redevient Saint Maximin.
     
29 novembre 1880
  Ouverture de la section Carnoules-Trets de la ligne Carnoules-Gardanne. Quatre omnibus quotidiens passent par la gare de Saint Maximin dans les deux sens.
     
11 novembre 1957
  En début de matinée les Dominicains quittent définitivement Saint Maximin. Ils effectuent en bus le trajet jusqu'à leur nouveau couvent de Toulouse.

A
 
A découvrir sur le site http://saintmaximin2014.fr
 
Un espace destiné aux associations des communes du territoire
Des topos pour effectuer des randonnées ou des balades dans le secteur
Éléments d'histoire relatifs à toutes les communes du territoire
A

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