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La tribune du groupe d'opposition de Saint Maximin

n°43 - janvier 2012

"Ceux qui luttent ne sont pas sûrs de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu" - Berthold Brecht

   
Si les chemins étaient dotés d'un pluvial !
   
Compte tenu de l'urbanisation étendue sur la quasi totalité de son territoire, la commune de Saint Maximin compte une très importante longueur de chemins communaux.
 
Pour la plupart d'entre eux, ils sont goudronnés en totalité au moins une fois tous les six ans, à l'approche des élections municipales, mais c'est de bonne guerre.
 
En revanche quasiment aucun n'est doté d'un pluvial.  

Par conséquent, lors d'épisodes pluvieux importants, l'eau ravine, arrache peu à peu le goudron et des "nids de poules" se forment. On les rebouche alors plus ou moins bien avec du goudron à froid, réparation qui ne tient le plus souvent que jusqu'à la pluie suivante.

 
Ne serait-il pas plus judicieux de mettre en œuvre un programme étalé sur plusieurs années de réfection de l'ensemble des chemins communaux en y incluant la création d'un pluvial ?
 
Cela présenterait l'avantage :  
- de limiter les dégâts des eaux que subissent régulièrement certains riverains,  
Chemin des Batailloles
- d'éviter que les chemins ne deviennent en certaines occasions des lits de torrent, et donc de les conserver en bon état plus longtemps, engendrant par là même des économies sur le long terme.

 

 
 
 
Comment peuvent-ils prétendre qu'il n'y a pas de zone inondable ?
     
Lors du conseil municipal du mois de novembre le maire, en réponse à une question écrite, a indiqué qu'à Saint Maximin il n'y avait pas de zones inondables.  
Il a confirmé ces propos lors de la présentation du PADD du PLU à la salle des Fêtes, en justifiant cela par le fait que Saint Maximin n'était pas traversé par un cours d'eau....  
Mais comment le faire admettre :  
- aux riverains du bassin de rétention situé sur le chemin du Claret qui déborde régulièrement après chaque épisode pluvieux important (voir photo ci-contre).
 
- aux habitants du lotissement Saint Jean qui reçoivent désormais toutes les eaux provenant de l'autre côté de la route. D'autant plus que leur situation risque de se révéler encore plus délicate lorsque la zone de Bonneval sera aménagée et donc les terrains étanchéifiés.
 
 
 
- aux résidents du clos Madeleine qui ont vu leur cave et leurs garages complètement inondés par 60 cm d'eau.

- et à beaucoup d'autres qui ont connu des dégâts importants...

 
   
 
     
L'accès à un quartier très dangereux qu'il convient d'aménager au plus tôt
     
Cela fait très longtemps que le chemin des Rabassières débouche directement sur la DN7, à la sortie de la commune, en direction de Nice.
 
Au début, seulement quelques véhicules l'empruntaient chaque jour, mais aujourd'hui, compte tenu de l'urbanisation importante qu'a connue le quartier, de plus en plus de riverains utilisent ce carrefour quotidiennement.
 
Sortir du chemin pour accéder à la nationale n'est pas sans danger mais pour ceux qui arrivent du centre-ville, ralentir, puis immobiliser son véhicule sur la bande centrale en attendant que la voie soit libre pour tourner à gauche est extrêmement périlleux.
 
Avant que ne se produisent de nouveaux accidents nous demandons à ce que les autorités compétentes (dépendant du Conseil Général) se saisissent du problème pour proposer des solutions adaptées.
Créer une voie de stockage, avec un tourne à gauche, pourrait en être une.
     
 
     
Un carrefour a équiper d'urgence de panneaux de priorité
     
Deux artères importantes (la route de Barjols et le prolongement de la rue des Poilus), situées à deux pas du centre-ville, à proximité d'établissements scolaires, se croisent en X sans aucune signalétique.
 
Le carrefour est également très dangereux pour les piétons.  
Ne serait-il pas souhaitable d'équiper ce carrefour avec des balises de priorité. Contrairement à d'autres aménagements routiers dont le montant est très élevé et l'utilité pas toujours démontrée, cela ne coûterait pas très cher, et assurerait la sécurité des usagers et des riverains, aussi bien motorisés que piétons.  
 
 
 
 
   
Chronique d'une concertation escamotée
     
Le PLU est un document extrêmement important qui fixe le droit du sol et organise le développement d'une commune. La loi SRU qui a créé le PLU demande à ce que son élaboration se fasse en concertation avec la population.
Mais concertation ne rime pas avec Saint Maximin !
La première étape consiste à confier à un bureau d'étude la réalisation d'un diagnostic. Ensuite (normalement), il est rendu public, et on s'appuie dessus pour organiser des commissions de travail thématiques. Ces dernières ont pour objet de réaliser le PADD (Projet d'Aménagement et de Développement Durable) véritable fil conducteur de la politique communale pour la décennie à venir (création d'infrastructures, circulation, stationnement, développement économique...).
A Saint Maximin rien de tout ça, il a fallu attendre plus de trois ans après que le PLU ait été mis en oeuvre, pour que la mouture définitive du PLU, réalisée en catimini par quelques élus et initiés (de nombreux conseillers municipaux ont été maintenus dans l'ignorance la plus totale), soit présentée au conseil municipal du mercredi 30 novembre, puis à la salle des fêtes quelques jours plus tard.
Cette dernière réunion a été d'ailleurs, à bien des égards, décevantes : seulement 72 personnes, dont environ 22 élus et employés, y ont assisté. C'est normal, car à Saint Maximin on fonctionne un peu comme à la cour de Louis XIV, lorsque le roi n'est pas là, rien ne sert de venir s'y faire voir, car le spectacle n'a que peu d'intérêts.
Le bureau d'études a présenté, sous forme de diaporama, un mélange de diagnostic de réalisations ou en cours, et quelques vagues déclarations d'intention.
Le maire a ensuite répondu aux questions concernant:
- la difficulté de stationner en centre-ville : pas de problème, il y a assez d'aires de stationnement à Saint Maximin (chacun appréciera sa clairvoyance...),
- les zones inondables : pas de souci, il n'y en a pas à Saint Maximin (dans ce cas, on se demande pourquoi le préfet a classé Saint Maximin commune sinistrée ?),
- l'atteinte à l'environnement causée par le choix du lieu d'implantation de la future zone d'activités au pied du Mont Aurélien pour y aménager une base de logistique Systeme U : nous avons besoin de créer des emplois (réponse démagogique qui n'a rien à voir avec le problème évoqué, le choix du lieu),
- la réouverture de la ligne Carnoules-Gardanne : je ne suis pas contre, mais nous ne souhaitons pas que ça soit écrit (un numéro d'équilibriste pour ne pas être contre, sans chagriner ceux qui y sont favorables...),
- le fait que la déviation en cours de réalisation risque d'être saturée dès son inauguration, et qu'il conviendrait de réfléchir au tracé d'une future voie au nord de l'autoroute : la déviation n'est pas encore achevée, ensuite on verra (si on n'évoque que les projets réalisés ou en cours, à quoi sert un PADD ?),
- l'extension du réseau d'assainissement collectif à certains quartiers fortement urbanisés : inutile puisque les représentants de l'Etat nous autorisent à conserver nos zones NBb constructibles à 5000 m² avec assainissement autonome (tant pis pour les promesses électorales qui n'engagent que ceux qui y croient !).

Et puis est enfin arrivée l'heure du traditionnel apéro sur lequel on pouvait compter autrefois, mais qui ne suffit plus aujourd'hui à mobiliser les foules.

Finalement, la seule chose qui compte, est que l'article de Var Matin relatant la réunion soit bon !
 
 
 
     
La destruction d'un élément important de notre patrimoine
 
La tour dénommée improprement "échauguette" est située à l'angle de la rue Général de Gaulle et Denfert Rochereau.
 
Datant de la fin du XVème siècle, elle fait partie d'un hôtel particulier qui appartenait jadis à la famille Puget de Saint Marc, dont l'un des membres fit édifier en 1460 le Saint Pilon pour marquer le croisement entre la voie Aurélienne et la route qui conduisait à la Sainte Baume.
 
Durant la Renaissance, Saint Maximin comptait de nombreuses tours d'angle de ce type.
 
Au cours du XXème siècle la façade de cet édifice, comportant des fenêtres à meneaux, a été passablement endommagée, mais la tour avait, jusqu'à il y a quelques jours encore, traversé les siècles indemnes.
 
Il a fallut que la commune engage cet ilot de maison dans une opération de Résorption de l'Habitat Insalubre, pour que, cette tour qui avait été préservé depuis plus de 500 ans, soit irrémédiablement défigurée.
 
Le Maire, interrogé lors du dernier conseil municipal, nous a indiqué qu'au contraire, il s'agissait uniquement de travaux de consolidation, que le crépi revêtant la façade avait été apposé pour la préserver, que toutes les moulures désormais noyées dans le ciment seraient reproduites au dessus.
 
Bref il s'agit du massacre organisé d'un élément majeur de notre patrimoine historique !
 
Il ne reste plus à souhaiter qu'ils ne s'y prennent pas de la même façon pour restaurer la nef sud de la Basilique.
 
 
 
 
 
Le clientélisme tourne toujours à plein régime
 
Au début de mandat, nous nous étions élevés contre le gaspillage d'argent que représentait le recrutement d'un directeur de cabinet pour le maire, poste qui n'a d'ailleurs pas fait long feu, puisque l'heureux bénéficiaire "un ami politique dans le besoin" qui venait d'être remercié par la mairie de Brignoles, nous a quitté quelques mois après sa nomination, sans être remplacé.
 
Lors du conseil municipal de fin novembre, nous avons appris qu'une indemnité d'expertise en communication s'élevant à environ 650 € allait être attribuée à un agent bénéficiant déjà d'un traitement confortable à la communauté de communes.
 
Deux questions nous viennent à l'esprit :  
- a-t-on réellement besoin d'un "expert" en communication à la mairie de Saint Maximin aujourd'hui ? N'y aurait-il pas d'autres priorités ?
 
- s'il s'avère que nous en avons vraiment besoin pourquoi ne pas recruter à mi temps un jeune diplômé, plutôt que de verser l'équivalent à quelqu'un qui bénéficie déjà d'un emploi à temps plein dans une autre collectivité.
En une période où il est aussi difficile pour des jeunes de trouver un emploi, cette façon de remercier un ami politique, qui de plus n'est pas dans le besoin, nous parait indécente.
 
 
 
 
Notre territoire sera représenté lors des élections législatives
 

Les 10 et 17 juin 2012 auront lieu les élections législatives.

 
Bien que ce scrutin soit, pour l'instant, moins médiatisé que les élections présidentielles, il revêt une importance au moins aussi grande.
En effet, le candidat élu lors des élections présidentielles, qui se dérouleront quelques semaines auparavant, aura besoin de disposer d'une majorité à l'assemblée nationale pour mettre en œuvre sa politique.
D'un autre côté, il est souhaitable que notre territoire soit représenté au palais Bourbon, où aujourd'hui ne siègent quasiment que des députés provenant du littoral varois.
C'est dans cette perspective, pour représenter les Varois de la Provence Verte, que Gérard Bleinc, maire de Rougiers va déposer sa candidature aux législatives sous l'étiquette divers gauche.
Ont également annoncé leur intention de se porter candidat dans la sixième circonscription :
Josette Pons (UMP)
Alain Bolla (Front de Gauche)
Armelle de Pierrefeu (FN)
Delphine Van Hoorebeke (EELV, soutien PS)
 
 
 
 
La position de Jean Yves Petit, vice-président de la région PACA, sur la réouverture de la ligne Carnoules-Gardanne
 
La Provence Verte et la zone de Saint Maximin connaissent aujourd’hui un fort développement démographique, avec un accroissement de population provenant surtout d’actifs qui viennent résider en centre Var mais dont l’activité se situe principalement à l’extérieur du territoire et surtout dans l’aire métropolitaine d’Aix – Marseille. La dernière étude INSEEE sortie en décembre indique que les déplacements entre le centre Var et le Pays d’Aix sont deux fois plus nombreux en 10 ans, et atteignent 4000 déplacements quotidiens aujourd’hui. Et ce nombre doit être doublé si on y ajoute les déplacements entre le centre Var et l’aire Marseillaise. Comme il n’est pas prévu que cette dynamique s’inverse dans la prochaine décennie, l’opportunité qu’offrirait à ces « pendulaires » la réouverture de la ligne Carnoules – Brignoles - Gardanne est plus que jamais d’actualité.
 
Sur le plan technique, nous sommes aujourd’hui sur le chemin qui conduit à la réouverture ; En 2011, sous l’égide de Réseau Ferré de France, ont été menées les études préalables pour déterminer un scenario de réouverture. A partir de ce scénario, nous entrons dans un programme d’études techniques (avant projet sommaire, avant projet détaillé, étude d’impact) et de concertation pour aboutir à l’enquête publique. Cette phase se conclura, selon le calendrier prévu, fin 2013 ce qui permet de prévoir les travaux dans le cadre du prochain contrat de projet 2014 – 2020. Techniquement, la réouverture totale ou partielle de la ligne peut – être envisagée vers 2018 – 2020. Cela peut sembler long, mais il est difficile de passer outre des procédures qui s’imposent dés lors qu’on remet en activité une voie qui n’était plus ouverte aux voyageurs depuis longtemps. La suppression des passages à niveau, rendue obligatoire par un récent décret, conditionne notamment la faisabilité et le coût du projet.
 
J’ai pris en 2010 le relai, en tant que Vice – Président délégué aux Transports, d’une politique volontariste de relance des transports régionaux en Provence Alpes Côte d’Azur. Cette politique a conduit, lors de la précédente mandature, à la réouverture de la ligne Cannes – Grasse. D’ici 2014 nous réouvrirons également la ligne Avignon – Carpentras. Par ailleurs des études sont programmées pour préparer, dans le prochain contrat de projet , la réouverture de Digne–Saint Auban, d’Aix–Rognac et bien sûr de Carnoules–Gardanne en même temps que d’importants programmes d’amélioration des voies existantes, en particulier entre Aix et Marseille et entre Cannes et Grasse.
 
Aujourd’hui face à l’augmentation de la fréquentation des TER et à une demande grandissante des usagers, notre région est confrontée à des choix, avec un budget qui stagne du fait de l’Etat et sans ressource propre dédiée aux transports. Dans ce contexte, où tout ne pourra pas être fait en même temps, la volonté manifestée par les élus et les acteurs du territoire pour porter un projet comme Carnoules – Gardanne sera déterminante. Or, je veux attirer l’attention sur le déséquilibre qu’on observe à ce jour en ce qui concerne l’engagement des collectivités locales autour des projets. Si sur les Bouches du Rhône le Conseil Général et la Communauté du Pays d’Aix soutiennent les projets de réouverture pour la partie qui les concerne, ce n’est pas le cas sur le Var, où le département n’a pas souhaité s’engager sur les études et où n’existe pas de communauté d’agglomération associée au pilotage du projet. Même si les infrastructures ferroviaires relèvent de l’Etat et que la Région est l’autorité organisatrice des transports régionaux, il semble difficile d’envisager une réouverture dans le calendrier prévu si toutes les collectivités n’y participent pas. Il me semble donc essentiel, si l’on veut que la réouverture de Carnoules–Gardanne aboutisse, de faire l’union des acteurs du territoire en sa faveur. Les habitants du secteur de Saint Maximin en seraient sans doute les principaux bénéficiaires.
 
La Région en tout cas sera présente à leur coté pour réussir ce projet.
 
 
 
 
La corruption et la fraude fiscale renforcent la crise de l'Euro
 
Depuis des années Transparency International, traque les «voleurs et les fraudeurs».
 
Le 1er décembre, l’ONG a rendu public son rapport annuel dans lequel elle indique que les difficultés économiques que traverse la zone euro sont "en partie liées à l'incapacité des pouvoirs publics à lutter contre la corruption et l'évasion fiscale, qui comptent parmi les causes principales de la crise".
Chaque Etat est noté sur une échelle de 0 (niveau de corruption perçue comme la plus forte) à 10 (niveau le plus vertueux) en fonction du niveau perçu de corruption affectant leur administration publique et classe politique.
Dans la zone Euro, on notera un 3.9 attribué à l'Italie et un 3.4 à la Grèce. Ces notes valent à ces deux Etats de figurer respectivement aux 69e et 80e places sur 183 pays.
La France, quant à elle, s’octroie une peu glorieuse 25e place.
Selon Robin Hodess, directrice de recherche au sein de Transparency : «la crise européenne reflète une faible gestion financière, un manque de transparence, ainsi qu’une mauvaise utilisation des fonds publics».
En tête du classement on trouve : la Nouvelle-Zélande (9,5 points), le Danemark (9,4), la Finlande (9,4) et la Suède (9,3).
 
 
 
Non à la ZAC du Mont Aurélien
 
Les opposants à l'aménagement d'une nouvelle zone destinée à implanter la base de logistique Systeme U au pied du Mont Aurélien sont de plus en plus nombreux. Vous pouvez les rejoindre ou échanger sur leur page Facebook :
http://www.facebook.com/groups/non.a.la.zac/?ref=ts
 
 
 
     
Des évènements qui se sont produits jadis à Saint Maximin au mois de janvier
     
janvier 1038
 
On peut lire dans un acte du cartulaire Saint Victor: Ponce et Bonnefille son épouse avec leurs fils donnent la huitième partie de l'alleu qu'ils possèdent "In territorio Villa Sancti Maximini subtus Castrum Rhodenas". C'est la première mention de Saint Maximin dans une charte.
     
31 janvier 1246
 
Après la mort du Comte catalan Raymond Berenger V, sa fille cadette Beatrix, héritière du comté de Provence. épouse à Aix Charles 1er d'Anjou (frère de Saint Louis) Jusque là possession de la maison de Barcelone, Saint Maximin passe sous tutelle de la maison d'Anjou.
     
janvier 1516
 
François 1er confirme tous les privilèges accordés à la ville de Saint Maximin.
     
1er janvier 1578
  La nouvelle église de Seillons est consacrée.
     
30 janvier 1580
 
Henri d'Angoulême, fils naturel du roi Henri II, gouverneur de Provence, convoque les Etats de Provence à Saint-Maximin (réunion d'environ 120 députés des trois ordres: clergé, noblesse et communautés).
   
22 janvier 1790
 
Les députés de Provence décident par délibération (décret du 29 janvier 1790) de diviser le Var en neuf districts. Celui de Saint Maximin compte 106 feux.
   
18 janvier 1791
 
Les Frères Precheurs sont expulsés du Couvent. Ils n'y reviendront qu'en 1859.
   
20 janvier 1920
 
Après une nouvelle expulsion en 1903, retour des Dominicains au couvent
 

 
 
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