Poilus d'Esparron
Cultivateur, il est ajourné en 1900, 1901 et 1902 pour défaut de taille.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il arrive à la 15ème Section d'Infirmiers de l'Hôpital Maritime de Toulon le 3 août 1914.
Le 9 novembre 1914, il est affecté au 113ème Régiment d'Infanterie Territorial. Il arrive au corps le 27 novembre 1914.
Le 11 novembre 1914 il passe à la 15ème Section d'Infirmiers. Il arrive au corps le 21 janvier 1915.
Il est décédé le 13 mars 1915 à l'hôpital militaire de Marseille (Bouches-du-Rhône)
Cultivateur, il est incorporé le 7 octobre 1906 au 111ème Régiment d'Infanterie.
Le 1 octobre 1908 il passe dans la réserve de l'armée active.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 6 août 1914.
Le 11 septembre 1916 il est cité à l'ordre du régiment (n°270) : "Brancardier exemplaire. Bravant tous les dangers, s'est porté au secours des blessés dans la zone la plus battue sous les tirs de barrage. Toujours volontaire pour les missions les plus dangereuses -combat du 3 septembre 1916 - Croix de Guerre".
Du 16 décembre 196 au 5 mars 1917 il est malade.
Le 5 mars 1917 il est détaché du corps pour être envoyé aux mines de Trets.
Cultivateur à Esparron il est incorporé le 7 octobre 1908 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Il est muletier le 25 septembre 1909. Le 25 septembre 1910 il est renvoyé dans ses foyers.
Il est fait prisonnier le 1 janvier 1916 à l'Hartmannwillerkopf.
Il est interné à Heuberg.
Il est rapatrié le 8 décembre 1918.
Le 15 décembre 1918 il passe au 112ème Régiment d'Infanterie.
Le 11 février 1919 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs.
Le 12 mars 1919 il est démobilisé. Il se retire à Esparron.
Cultivateur, il est incorporé le 4 octobre 1910 au 4ème Régiment d'Artillerie de campagne.
Le 26 octobre 1911 il est nommé 1er canonnier conducteur.
Le 29 février 1912 il se rengage pour 2 ans et 4 jours.
Le 11 août 1918 il passe au 55ème Régiment d'Artillerie de campagne.
Le 28 juillet 1919 il est démobilisé et se retire à Rians.
Fils de Marius Ferdinand et de Clémence Mathilde Marie Dauphin, il est né le 16 août 1886 à Esparron.
Maçon, il est incorporé le 7 octobre 1907 au 58ème Régiment d'Infanterie.
Le 1 octobre 1908 il est promu Caporal.
Le 25 septembre 1909 il est renvoyé dans ses foyers.
Le 10 octobre 1912 il est promu Sergent.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Il passe au Régiment d'Infanterie d'Avignon, puis à celui de Nice.
Le 11 octobre 1914 il passe au 111ème Régiment d'Infanterie.
Le 20 mars 1916 il est fait prisonnier à Malancourt. Il est interné à Homberg.
Il est rapatrié d'Allemagne le 9 janvier 1919.
Le 4 mars 1919 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
Le 2 avril 1919 il est démobilisé. Il se retire à Esparron.
Soldat de 2ème classe au 9ème Régiment de Hussards , il est tué à l'ennemi le 30 août 1914 à Saint Remy (Vosges).
Soldat de 2ème classe au 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins, il est tué à l'ennemi le 16 juin 1915 à la côte 955 à Metzeral (Haut-Rhin).
Soldat de 2ème classe au 113ème Régiment d'Infanterie Territoriale, il est mort d'une gastro-entérite aigüe le 16 juin 1915 à Oujda (Maroc).
Cultivateur, il est incorporé le 10 octobre 1910 au 163ème Régiment d'Infanterie.
Le 27 janvier 1912 il est condamné à 6 mois de prison pour désobéissance. Il effectue sa peine à Grenoble.
Le 27 juillet 1912 il est incorporé au 58ème Régiment d'Infanterie.
Ne s'étant pas présenté au corps à l'expiration d'une permission, il est porté déserteur le 12 août 1912.
Le 22 septembre 1912 il se présente à la mairie d'Esparron.
Le 12 novembre 1912 il est condamné par le Conseil de Guerre à six mois de prison pour désertion.
Il ressort de la prison de Toulon le 21 mars 1913.
Il passe au 40ème Régiment d'Infanterie.
Le 7 juillet 1913 il manque à l'appel. Il est déclaré déserteur le 25 juillet 1913.
Le 22 août 1914 il est amnistié et incorporé au 40ème Régiment d'Infanterie.
Le 26 septembre 1914 il est blessé aux jambes à Issincourt (Meuse) et fait prisonnier. Il est interné à Göttingen.
Il est rapatrié le 4 août 1918.
Le 21 septembre 1919 il est démobilisé.
Viticulteur, il est incorporé le 15 novembre 1901 au 27ème Bataillon de Chasseurs à Pied. Le 18 septembre 1904 il est renvoyé dans ses foyers.
Rappelé lors de la mobilisation générale, il se présente au corps le 4 août 1914.
Le 14 janvier 1915 il est fait prisonnier à Sainte Marguerite. Il est interné à Schneidemühl.
Il est rapatrié le 15 décembre 1918.
Le 4 mars 1919 il passe au 7ème Bataillon de Chasseurs.
Le 21 janvier 1919 il est démobilisé.
Soldat à la 5ème compagnie du 137ème Régiment d'Infanterie, il est mort de ses blessures de guerre le 5 septembre 1916 à Vadelaincourt (Meuse).