Conseil Municipal du 26 janvier 2016
 

Absents représentés : Blandine Gomart-Jacquet (pouvoir à alain Decanis) - Charline Hatot-Medarian (pouvoir à Pascal Simonetti) - Alain Kambele (pouvoir à Mohamed Sebbani) - Clément Deidda (pouvoir à Arnaud Degioanni - Denise Vernet (pouvoir à Hilda Martinez)
Absents : Gilles Perez - Marie Pierre Bouis-Delhomelle

 
Le compte rendu du dernier conseil municipal est approuvé à l'unanimité.
 

Examen des marchés attribués et des décisions du maire pour le 4ème trimestre 2015

 

2 - AUTORISATION A MADAME LE MAIRE DE SIGNER AVEC LA CCSBMA UNE CONVENTION DE MISE A DISPOSITION DU PERSONNEL

La Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME est membre, depuis 2001, de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN.

Dans ce cadre, la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME a transféré à la Communauté de Communes la part de sa compétence « tourisme » revêtue d’un intérêt communautaire.

La Commune SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME dispose donc d’une compétence résiduelle en matière de « tourisme », correspondant aux missions strictement revêtues d’un intérêt local.

La fraction de la compétence revêtue d’un intérêt communautaire est évaluée à 60 % de l’entière compétence « tourisme ».

Dans ces conditions, le transfert de la gestion de la compétence « tourisme » au profit de la Communauté de Communes, implique le transfert partiel du service de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME affecté à l’administration des missions touristiques.

Afin de permettre à la Communauté de Communes de mener à bien l’exercice de cette gestion déléguée de la compétence « tourisme », la convention a pour objet de mettre à disposition permanente et pour une durée indéterminée de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN, le personnel de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, dont le service « tourisme » a partiellement été transféré.

Les agents partiellement mise à disposition de la Communauté de Communes consacrent 40 % de leur activité à la compétence résiduelle conservée par la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

Vu l’avis du Comité Technique

Madame le Maire donne lecture de la convention jointe en annexe et demande au conseil municipal :

  • de l’autoriser à signer la convention précitée et tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL

ENTRE LES SOUSSIGNÉS :

La COMMUNE DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, sise Hôtel de Ville 83 470 SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, représentée par son Maire en exercice, Madame Christine LANFRANCHI-DORGAL, agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal en date du

Désignée ci-après « La Commune »

Et

La COMMUNAUTÉ DE COMMUNES SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN, sise 6 rue des poilus, BP 522, 83 470 SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, représentée par sa Présidente, Madame Christine LANFRANCHI-DORGAL, agissant en application d’une délibération du Conseil communautaire en date du                 

Désignée ci-après « La Communauté de Communes »

  • Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale,
  • Vu la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 relative à la réforme des collectivités territoriales,
  • Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment ses articles L. 5711-1 et suivants et L. 5214-16-IV,
  • Vu l’article L. 5211-4-1, I, du Code Général des Collectivités Territoriales,
  • Vu le Code de Tourisme et notamment les dispositions de l’article
    L. 133-3 ;
  • Vu le décret n° 2011-515 du 10 mai 2011 relatif au calcul des modalités de remboursement des frais de fonctionnement des services mis à disposition,
  • Vu les Statuts de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN
  • Vu la convention de délégation de gestion de la compétence tourisme conclue entre l’office du Tourisme LA PROVENCE VERTE et le Syndicat Mixte du PAYS DE LA PROVENCE VERTE,
  • Vu la convention de délégation de gestion de la compétence tourisme conclue entre le Syndicat Mixte du PAYS DE LA PROVENCE VERTE et la Communauté de communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN,
  • Vu l’avis de la Commission Administrative paritaire,

PRÉAMBULE
La Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME est membre, depuis 2001, de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN.

Dans ce cadre, la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME a transféré à la Communauté de Communes la part de sa compétence « tourisme » revêtue d’un intérêt communautaire.

La Commune SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME dispose donc d’une compétence résiduelle en matière de « tourisme », correspondant aux missions strictement revêtues d’un intérêt local.

La fraction de la compétence revêtue d’un intérêt communautaire est évaluée à 60 % de l’entière compétence « tourisme ».

Dans ces conditions, le transfert de la gestion de la compétence « tourisme » au profit de la Communauté de Communes, implique le transfert partiel du service de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME affecté à l’administration des missions touristiques.

Afin de permettre à la Communauté de Communes de mener à bien l’exercice de cette gestion déléguée de la compétence « tourisme », la présente convention a pour objet de mettre à disposition permanente et pour une durée indéterminée de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN, le personnel de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, dont le service « tourisme » a partiellement été transféré.

Les agents partiellement mise à disposition de la Communauté de Communes consacrent 40 % de leur activité à la compétence résiduelle conservée par la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

Ceci préalablement exposé,

Il est convenu ce qui suit :

Article 1 : Objet
Dans le cadre de la présente Convention, la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME met à la disposition permanente de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN pour une durée indéterminée, son personnel relevant du service « tourisme » transféré à hauteur de 60 %.

La liste mentionnant le nom et la catégorie des agents mis à disposition est annexée à la présente convention.

Article 2 : Conditions de mise à disposition de l’Agent     

2 a : Règles applicables
La mise à disposition des agents est prononcée par arrêté individuel de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

L’agent mis à disposition continue à bénéficier de toutes les règles applicables au personnel de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, en particulier les règles d’évaluation et de promotion, ainsi que des prestations sociales, restant notamment affilié aux régimes d’assurance maladie, de retraite et de prévoyance dont relèvent les agents de la Commune d’origine.

Les périodes de mise à disposition sont prises en compte intégralement dans la détermination des droits liés à l’ancienneté.

Les droits à congé de l’agent sont ceux prévus par le Statut.

Les demandes de congés sont soumises à l’autorisation de la Communauté de Communes et transmises au service Administration des Ressources Humaines de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

Pendant toute la durée de la mise à disposition, l’Agent applique l’horaire et les modalités d’organisation et d’aménagement du temps de travail de la Communauté de communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN.

En cas de faute disciplinaire commise par l’agent et notamment sur proposition de la Communauté de Communes, la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME se réserve le droit de mettre en œuvre une procédure disciplinaire.

Les autorisations de travail à temps partiel, les congés de formation professionnelle ou pour formation syndicale sont autorisés par la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME après accord de la Communauté de Communes.

Le président de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN dresse chaque année un rapport sur la manière de servir des fonctionnaires mis à disposition qu’il transmet à la Direction des ressources humaines de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

2 b : Rémunération 
Pendant toute la durée de la convention, la Commune continue d’assurer la rémunération de l’agent.

Le personnel mis à disposition ne peut nullement recevoir une rémunération supplémentaire au titre de cette mise à disposition émanant soit de la Communauté de Communes soit de la Commune.

2 c : Régimes indemnitaire et avantages 
L’agent mis à disposition de la Communauté de Communes conserve à titre individuel, les avantages acquis en application du troisième alinéa de l'article 111 de la loi 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, ainsi que l’intégralité de son régime indemnitaire.

2 d : Formation continue
La formation des Agents mis à disposition est assurée conjointement par la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME et la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN.

2 e : Remboursement de frais
La Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN remboursera à la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME le montant de la rémunération des agents mis à sa disposition ainsi que les cotisations et contributions afférentes.

Pendant toute la durée de la convention, la Communauté de Communes assure le remboursement des frais de déplacement, missions et réceptions que l’Agent est amené à engager dans le cadre de ses fonctions, conformément à la convention.

Les règles propres à la Communauté de Communes en matière de remboursement de frais sont communiquées à  l’agent lors de sa prise de fonction.

2 f : Affectation géographique
Compte-tenu de la compétence résiduelle conservée par la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME en matière « touristique » le service afférent n’est que partiellement transféré.

L’agent mis à disposition conserve donc pour unique lieu de travail l’affectation géographique dans les locaux que lui attribue la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

Article 3 : Durée et fin de la mise à disposition
Cette mise à disposition sera prononcée par arrêté individuel, pour une durée indéterminée après signature de la présente convention.

La mise à disposition du personnel cesse de plein droit dans le cas où la Convention de délégation de gestion des missions touristiques, conclue entre la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN et la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME arrive à terme, est résiliée ou si la compétence « tourisme » est déchue de son intérêt communautaire.

La mise à disposition peut prendre fin, avant le terme fixé, à la demande :
- de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME ;
- de la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN ;
- du fonctionnaire mis à disposition ;

La fin de mise à disposition peut également intervenir :
- par retour individuel notamment à l’occasion des offres d’emploi ouvertes par la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME avec un préavis de quatre (4) mois pour les cadres et de deux (2) mois pour les non cadres,
- en cas de démission de l'Agent, sous le respect du préavis statutaire,
- en cas de sanction disciplinaire de l’agent.

Article 4 : Réintégration
Au terme de la mise à disposition, le fonctionnaire territorial est réintégré dans son emploi ou dans un emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente.

Les promotions et augmentations au choix actées par une décision de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME sont opposables en cas de réintégration en ce qui concerne le niveau d’emploi et la rémunération.

Article 5 : Organisme destinataire
La compétence « tourisme » revêtue d’un intérêt communautaire a intégralement été déléguée à un Établissement Public Industriel et Commercial, l’Office Intercommunal de Tourisme « LA PROVENCE VERTE ».

Par voie de conséquence, l’agent mis à disposition dans le cadre du transfert partiel du service « tourisme » de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME exerce ses fonctions à destination de cette unique structure.

La Communauté de Communes ne confie aucune mission ne relevant pas de la compétence du service transféré à l’agent mis à disposition.
Article 6 : Conditions financiÈres
L'ensemble des frais de personnel mis à disposition est intégralement pris en charge par la Communauté de Communes.

Article 7 : Contrôle et Évaluation de l’activité
Un rapport annuel portant sur la manière de servir des agents dans le cadre de leur mise à disposition sera établi par la Communauté de Communes et transmis à la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME qui établira la notation.

Article 8 : Discipline
Le pouvoir disciplinaire est exercé par l'administration d'origine, qui peut être saisie par l'organisme d'accueil.

Article 9 : Assurances
Dans le cadre de ses missions, le personnel mis à disposition bénéficie, en matière d’assurance et d’accident de travail, des garanties statutaires analogues à celle du personnel de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME.

Article 10 : Modifications
En cas de demande d’évolution de la présente convention de la part d’une des parties, celle-ci propose les modifications souhaitées par écrit au Maire de la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME
ou au Président de la Communauté de Communes qui étudient la faisabilité de la modification.

L’autorité compétente formule son avis par écrit au Président ou au Maire de la partie demanderesse dans un délai d’un (1) mois maximum, à compter de la réception de la demande d’évolution formulée par l’autre Partie.

La présente Convention et les modifications ultérieures qui peuvent survenir doivent être soumises à l’approbation du Conseil municipal pour la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME et de du Conseil Communautaire pour la Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN.

Toute modification d’un des éléments constitutifs de la présente convention fait l’objet d’un avenant à cette convention, approuvée par un arrêté de mise à disposition.

Article 9 : Inexécution des obligations
En cas de litiges relatifs à l'exécution de la présente Convention, les parties doivent tenter de bonne foi de parvenir à un accord amiable permettant de régler cette difficulté.

À défaut d’accord amiable dans les trois (3) mois de la survenance du litige, chacune des parties peut résilier la présente Convention par lettre recommandée avec accusé de réception.

Cette résiliation prend effet après mise en demeure par lettre recommandée avec avis de réception, restée infructueuse pendant un délai de trois (3) mois, sans préjudice de tous dommages et intérêts auxquels la partie non défaillante peut prétendre du fait du manquement susvisé.

Article 10 : Litiges
En cas de litiges relatifs à l'exécution, la formation, la résiliation, et/ou l'interprétation de la présente convention, le Tribunal Administratif de TOULON sera compétent pour juger ce différend.

Fait à SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, le

Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME

Pour le Conseil Municipal,

Le Maire, Madame Christine LANFRANCHI-DORGAL

Communauté de Communes SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN

La Présidente, Madame Christine LANFRANCHI-DORGAL

ANNEXE A : AGENTS MIS À DISPOSITION

Liste des agents mis à disposition

Nom

PrÉnom

Fonction

BOLEY

Anna

Adjoint Administratif 1ère classe

ROULLIERE épouse LE CAM

Odile

Adjoint Administratif 2ème classe

BENCHEIKH

Noémie

Adjoint Administratif 2ème classe

Les agents mis à disposition de la Communauté de Commune SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN, le sont à 60 % de leur temps de travail, pour participer à la mission résultant de la compétence « tourisme » revêtue d’un intérêt communautaire et déléguée à l’Office Intercommunal de Tourisme « LA PROVENCE VERTE ».

 

3 – AUTORISATION A MADAME LE MAIRE DE SIGNER AVEC LA MAISON DE L'EMPLOI ET DE LA FORMATION DE LA PROVENCE VERTE HAUT-VAR UNE CONVENTION RELATIVE A L'INTRODUCTION D'UNE CLAUSE SOCIALE DANS LES MARCHES PUBLICS DE LA COMMUNE

Le lien existant entre le développement économique, l’emploi et l’insertion est un enjeu primordial : il permet de garantir la cohésion sociale et territoriale tout en répondant à des objectifs en termes de compétitivité et d’attractivité du territoire.

Dans le cadre des objectifs de la politique de cohésion sociale, la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume entend faire en sorte, que dans le respect du Code des Marchés Publics, la commande publique puisse favoriser l’accès ou le retour à l’emploi des personnes rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières.

Depuis 2006, l’article 5 du Code des Marchés Publics prend en compte les objectifs du développement durable. Pour respecter ces obligations, les collectivités ont la possibilité d’insérer dans leurs appels d’offre des clauses environnementales, mais aussi des clauses sociales à l’occasion des travaux ou services réalisés sous maîtrise d’ouvrage de la Commune.

En application de l’article 14 du Code des Marchés Publics, la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume fixera dans le cahier des charges de certains marchés publics choisis en fonction de leur objet, de leur durée, de leur montant ou de leur localisation, des conditions d’exécution permettant de promouvoir l’emploi des personnes rencontrant des difficultés particulières d’insertion.

L’utilisation de la clause sociale d’insertion permettra de favoriser un rapprochement qui doit s’opérer entre les structures d’insertion par l’activité économique, le Pôle Emploi, la Mission Locale et les entreprises du secteur privé, dans l’intérêt des personnes engagées dans un parcours d’insertion. Il permettra également de répondre au besoin de main d’œuvre des entreprises qui connaissent dans certains secteurs, des difficultés de recrutement.

Afin d’assurer la mise en œuvre de la clause sociale dans les marchés de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, une convention d’assistance à maîtrise d’ouvrage sera signée avec la Maison de l’Emploi de la Provence Verte, dans le cadre de sa mission de service public administratif pour l’emploi et l’insertion.

La proposition de service concerne toutes les phases du marché public, à savoir :

  • Présentation de la démarche aux services.
  • Identifier les lots sur lesquels mettre en œuvre l’action de promotion de l’emploi.
  • Fournir un appui à la rédaction des pièces des marchés publics.
  • Repérer et qualifier les demandeurs d’emploi pouvant répondre aux besoins des entreprises.
  • Proposer un service d’appui aux entreprises soumissionnaires.
  • Fournir un appui aux entreprises retenues pour mettre au point les modalités de leurs engagements/formaliser leur engagement.

La convention jointe en annexe définit les conditions de coopération entre la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var dans le cadre de la mise en œuvre opérationnelle des objectifs d’insertion inscrits dans les différents marchés.

Madame le Maire donne lecture de la convention et demande au conseil municipal :

  • de l’autoriser à signer la convention précitée et tout document se rapportant à cette affaire

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

CONVENTION DE PARTENARIAT

Entre

La COMMUNE DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, sise Hôtel de Ville 83 470 SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, représentée par son Maire en exercice, Madame Christine LANFRANCHI-DORGAL, agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal en date du

Et

La Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var, sise Quartier du Plan 83 170 Brignoles, représentée par son Président en exercice, Monsieur Jean Pierre MORIN,

Il est convenu ce qui suit :

PrÉambule
La mise en œuvre des clauses d’insertion dans les marchés publics représente un levier important dans la construction de parcours d’insertion et associe le développement local et le développement de l’offre d’insertion.

Cette démarche associe étroitement les maîtres d’ouvrage, les entreprises, les services publics de l’emploi dans une dynamique partenariale concrète au bénéfice des demandeurs d’emploi.

L’introduction, dans le cadre des procédures d’appels publics à la concurrence, d’une clause liant la commande de certains travaux ou de services de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, à une action de lutte contre le chômage et pour l’insertion professionnelle, est l’occasion de favoriser l’accès à l’emploi de personnes en parcours d’insertion.

Afin de mettre en œuvre cette démarche, la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume institue un partenariat avec la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var au travers de la présente convention relative à la mise en œuvre de la clause sociale dans les marchés publics de la Commune.

Cette procédure s’inscrit dans une démarche de développement durable et constitue une opportunité d’insertion professionnelle pour des publics en difficulté.

Article 1 : L'objet de la convention
La présente convention définit les conditions de coopération entre la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var dans le cadre de la mise en œuvre opérationnelle des objectifs d’insertion inscrits dans les différents marchés.
Article 2 : Les objectifs de la convention
La présente convention a pour objectifs de :

  • Promouvoir l’inscription des clauses de promotion de l’emploi dans les marchés de travaux et de services de la compétence de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume afin de développer l’offre d’insertion et de qualification sur le territoire.
  • Apporter une réponse cohérente aux partenaires du monde économique.
  • Recenser et traiter l'ensemble des offres d'emploi générées par les clauses de promotion de l’emploi sur les marchés de la Commune.
  • Favoriser l'insertion des publics éligibles aux clauses en mobilisant les mesures d'aide à l'embauche, les actions de mobilisation et de formation.
  • D’assurer le suivi et la bonne exécution de la clause de promotion de l’emploi.

Article 3 : Les publics concernés par la convention
Les Publics concernés sont des personnes identifiées par les prescripteurs du territoire (Pôle Emploi, Mission Locale, Cap Emploi, CEDIS …) et validés par la facilitatrice « clauses sociales »  de la Maison de l’Emploi et de la Formation de la Provence Verte et du Haut Var.

  • Les Demandeurs d'Emploi de Longue Durée,
  • Les jeunes sans qualification,
  • Les personnes salariées des SIAE,
  • Les personnes bénéficiaires des minimas sociaux,
  • Les personnes handicapées,
  • Les Demandeurs d'Emploi de plus de 50 ans.

Article 4 : Les engagements des partenaires
Les engagements de chaque partie sont les suivants :
4.1 : Les actions à mettre en œuvre par l’Association de la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var en lien avec ses partenaires :

  • Repérer avec les services compétents les opérations permettant l’insertion de clauses sociales,
  • Assister les donneurs d’ordre dans la rédaction de la clause dans les pièces du marché,
  • Informer les entreprises sur les dispositifs mis en place pour répondre à leurs besoins,
  • Analyser les besoins prévisionnels d'embauche et mobiliser les outils et actions de formation pour répondre aux besoins des entreprises,
  • Traiter les offres d’emploi de manière concertée avec l’ensemble des partenaires du service public de l’emploi,
  • Assurer le suivi de l’obligation d’insertion (relevé d’heures) et en rendre compte au donneur d’ordre.

4.2 : Les actions à mettre en œuvre par la Commune de Saint Maximin la Sainte Baume :

  • Favoriser le recours à la clause de promotion de l’emploi dans les marchés de travaux et de services,
  • Fournir à la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var l’ensemble des informations nécessaires à la conduite du projet tout au long de l’opération,
  • Solliciter la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var pour définir la répartition de l’effort d’insertion demandé aux entreprises adjudicataires en fonction des lots,
  • Présenter la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var comme l’interlocuteur unique dans le cadre de l’application opérationnelle des objectifs d’insertion prévus dans les pièces du marché : validation des profils avant embauche pour vérifier l’éligibilité du public, son inscription dans un parcours d’insertion, et réalisation du suivi mensuel des heures réalisées au titre de l’insertion,
  • Repérer les lots ou marchés accessibles à des structures d’insertion par l’activité économique et communiquer l’annonce légale à la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var,
  • Mobiliser les entreprises attributaires des marchés tout au long de l’opération, 
  • Désigner un référent interne chargé de la coordination entre les services internes et la Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var.

Article 5 : Déontologie et communication
5.1 : Déontologie
Les partenaires s'engagent à respecter les valeurs et principes d'action liés au Service Public, et notamment, les principes d'égalité, de gratuité, de neutralité et de continuité.

5.2 : Communication
Les partenaires s'engagent à s'informer mutuellement avant de communiquer à l'externe au sujet des actions de la présente convention. Les partenaires s'engagent aussi à informer à l'interne de leur propre structure du contenu de la présente convention.

5.3 : Confidentialité
Les signataires et leurs collaborateurs sont tenus au secret professionnel pour tout ce qui a trait aux renseignements et documents recueillis au cours de leur mission.

Ils ne pourront faire aucun usage des éléments échangés et de ceux fournis par les entreprises dans le cadre de leurs obligations.

Les signataires s’engagent, chacun pour leur part, à ne divulguer aucune information confidentielle qui, émanant de l’autre partie (ou d’un tiers, entreprises) pourrait parvenir à leur connaissance à l’occasion de l’exécution de la mission.

Les montants des marchés, des estimations de travaux, du mode de calcul du pourcentage permettant de calculer le nombre d’heures à effectuer au titre de l’insertion, devront rester confidentiel.

Article 6 : Suivi et Évaluation de la convention
La Maison de l’Emploi et de la Formation Provence Verte Haut Var assure pour le compte de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume le suivi de la bonne exécution de la clause de promotion de l’emploi auprès du titulaire du marché et en informe semestriellement  la Commune.

Article 7 : Dur2e de la convention et de la rÉsiliation
La présente convention est signée pour une période de un an.

Elle prend effet à compter de la date de signature de toutes les parties contractantes et sera renouvelée chaque année par reconduction tacite.

Elle pourra être modifiée par voie d'avenant à l'issue de l'évaluation prévue à l'article 6 ou être résiliée par l'une ou l'autre des parties moyennant un préavis de 3 mois avant l'échéance annuelle.

Fait à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, le

Madame Christine LANFRANCHI-DORGAL
Maire de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume

Monsieur Jean-Pierre MORIN
Président de la Maison de l’Emploi et de la Formation de la Provence Verte et du Haut Var

 
4 - MODIFICATION DE LA LOCALISATION DU LOGEMENT DE FONCTION ACCORDE AU DIRECTEUR GENERAL DES SERVICES

Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que par délibération n°90 du 11 juin 2014,  la Conseil municipal a attribué au Directeur Général des Services de la ville un logement de fonction pour nécessité absolue de service afin qu’il puisse assurer la continuité des services publics communaux et prendre, sous l’autorité du Maire, toute mesure d’urgence destinée à résoudre un problème  grave pouvant surgir sur le territoire communal.

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • de prendre en compte, selon l’annexe jointe, la nouvelle localisation du logement de fonction accordé par nécessité absolue de service

Cette attribution est consentie gratuitement moyennant les conditions suivantes :

  • la fourniture d’eau, gaz, électricité, chauffage et téléphone sera à la charge du bénéficiaire du logement qui devra souscrire une assurance personnelle contre l’incendie des locaux qu’il occupe. Le bénéficiaire devra s’acquitter des impôts et taxes liés au dit logement.

Madame le Maire demande au Conseil municipal :

  • de l’autoriser à prendre l’arrêté individuel correspondant et à signer tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 
5 – ACQUISITION DES PARCELLES AT 385, 388 et 390 SITUEES CHEMIN DES CATALANS

Madame le Maire rappelle d’une part que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. 

D’autre part, dans le cadre de la prévention des risques d’incendie, il est souhaitable de réaliser une liaison entre les chemins de Barcelone et l’ancien Chemin de Pourrières.

Afin de mettre en œuvre ce bouclage, la commune souhaite acquérir les parcelles cadastrées AT 385 (1106 m²), 388 (494 m²) et 390 (591 m²), lesquelles  longent le chemin rural des Catalans, et appartiennent à monsieur et madame MARTINELLI Giuseppe, domiciliés au quartier Barcelone.

Elles sont  classées en zone NBc du Plan d’Occupation des Sols, destinée à l’habitat résidentiel où la superficie minimale des terrains est fixée à 10 000 m² pour qu’ils soient constructibles.

Dans le projet de Plan Local d’Urbanisme soumis à l’approbation du Conseil Municipal le 19 janvier 2016, ces terrains figurent en zone Nh inconstructible, où seule l’extension des maisons d’habitation existantes est autorisée.

Dans le cadre de la délivrance du permis de construire n° 83 116 07 OC 064 à monsieur et madame MARTINELLI en date du 20 septembre 2007, la cession gratuite de ces parcelles était mentionnée dans l’arrêté, et confirmée par protocole d’accord signé par eux en août 2011.

Or, par décision en date du 22 septembre 2010, le Conseil Constitutionnel a invalidé les cessions gratuites de terrain demandées dans le cadre des permis de construire, les déclarants contraires à la Constitution.

Ainsi, Monsieur et Madame MARTINELLI sont d’accord pour céder ces parcelles à la Commune,  mais moyennant la réfection d’une clôture entre le terrain restant leur propriété et la future voie communale, soit sur une longueur de 75 mètres environ.

S’agissant d’une acquisition d’un montant inférieur à 75 000 €, la commune n’a pas l’obligation de recourir à l’estimation de France Domaine.

Enfin, la commune dispose de la faculté d’avoir recours à la forme administrative pour entériner les actes de transfert de propriété.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :

  • APPROUVER  l’acquisition des parcelles cadastrées AT 385 (1106 m²), 388 (494 m²) et 390 (591 m²) en vue de leur classement en voie communale, moyennant la réfection d’une clôture le long de ces parcelles sur une longueur de 75 mètres environ.
  • l'AUTORISER à signer tout document et l’acte de transfert de propriété se rapportant à cette affaire.
  • MANDATER l’agence de Toulon du cabinet TPF INFRASTRUCTURES pour établir et passer l’acte de transfert de propriété en la forme administrative.
  • DÉCIDER que cette voie sera intégrée au domaine public communal, dans le cadre d'une procédure spécifique de mise à jour du tableau de classement des voies communales.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

6 – SUBVENTION DEMANDEE A LA DRAC POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que l’entretien de l’orgue de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine demeure à la charge de la commune,

La Direction Régionale des Affaires Culturelles est en mesure de subventionner les dépenses de cette opération à hauteur de 25 % du montant H.T de la prestation. Le contrôle de l’opération est toujours assuré par un technicien agréé par la Direction de la Culture et de la Communication.

Les éléments détaillés du contrat d’entretien proposé par le facteur d’orgues Yves Cabourdin d’un montant de 5 840,00 € H.T., sont joints à la présente délibération.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • de reconnaître l’opportunité de la poursuite de cet entretien,
  • de solliciter une subvention de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et la participation de l’état à hauteur de 25% du montant H.T. de la prestation.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

7 – SUBVENTION DEMANDEE AU CONSEIL DEPARTEMENTAL POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE

Madame Maire rappelle que le conseil municipal a approuvé par délibération n° 6 la poursuite de la politique engagée concernant l’entretien de l’orgue de la Basilique Marie-Madeleine.

La prestation du contrat d’entretien proposé par le facteur d’orgues Yves Cabourdin s’élève à 5 840,00 € HT.

Les éléments détaillés sont joints à la présente délibération.

Une demande de subvention de 25 % du montant H.T a été formulée auprès de La Direction Régionales des Affaires Culturelles.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • de l’autoriser à solliciter le Conseil départemental du Var pour une subvention la plus large possible sur le montant restant à la charge de la commune
  • de signer tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

8 – CONVENTION QUADRIPARTITE DE DÉPOTAGE ET DE TRAITEMENT DES MATIÈRES DE VIDANGE À LA STATION D’ÉPURATION DE LA COMMUNE DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME AVEC LES ENTREPRISES ADHERENTES AU GROUPEMENT VAROIS D'ASSAINISSEMENT

Les territoires des différentes communes de la communauté de communes Sainte-Baume-Mont-Aurélien, à dominante rurale, ont connu un développement conséquent ces dernières années, qui s’est traduit notamment par la création de zones nouvelles de construction d’habitation. Un certain nombre de celles-ci est situé dans des secteurs définis comme « zone d’assainissement non collectif », pour lesquelles l’assainissement des eaux usées est réalisé par le biais d’un système d’assainissement à la parcelle. L’entretien de tels dispositifs impose une vidange ponctuelle, réalisée par une entreprise spécialisée.

La communauté de communes, dans le cadre de sa compétence de « contrôle obligatoire des dispositifs d’assainissement non collectif », réalise le diagnostic ponctuel des systèmes recensés sur son territoire (environ 4.500). La vérification du bon entretien des systèmes apparaît comme une mission réglementaire du contrôle, avec notamment la vérification du « bon de vidange », présenté par l’usager.

Or, l’expérience de terrain montre qu’un très faible taux de « factures » ou « bons de vidange » émis par les entreprises spécialisées en curage fait apparaître la destination des boues, notamment faute de sites de réception référencés à proximité.

Ce défaut d’information met les propriétaires et usagers de dispositifs d’assainissement non collectif dans l’impossibilité de pouvoir justifier que l’élimination des matières de vidange pompées dans leur dispositif est réalisée de façon réglementaire.

En complément, les évolutions réglementaires récentes (arrêté interministériel du 7 septembre 2009, pris en application de la loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006) sont venues cadrer, de façon approfondie, les obligations des entreprises de vidanges. Celles-ci devront notamment, pour pouvoir travailler sur un territoire, disposer d’un agrément préfectoral. Or, ce dernier ne sera accordé qu’à la condition, pour le vidangeur, de disposer d’un site de dépotage référencé à proximité de sa zone de rayonnement.

La commune a réalisé, dans le cadre de la construction de sa nouvelle station d’épuration des eaux usées, un ouvrage de dépotage et stockage des matières de vidange, placé en tête de la filière « eau ». La station d’épuration des eaux usées a été conçue pour que son étage de traitement accepte l’injection quotidienne de 10 m3 de matières de vidange (après dégrillage simple) au niveau de la filière eau.

Le groupement d’intérêt économique Groupement Varois d’Assainissement, dont les adhérents sont des entreprises vidangeuses, a ainsi sollicité la commune afin d’utiliser cette station d’épuration pour le dépotage.

Or, depuis le 11 octobre 2003, c’est la société SAUR qui gère, en vertu d’un contrat d’affermage, le service d’assainissement collectif de la commune.

Il est ainsi nécessaire d’établir une convention, entre la commune, la communauté de communes, le fermier et le groupement varois d’assainissement, qui définisse les conditions techniques, administratives et financières selon lesquelles sont admises, dans la station d’épuration des eaux usées de la commune, les matières de vidange d’origine domestique (provenant de l’entretien des dispositifs d’assainissement non collectif) collectées par les entreprises membres du GIE GVA sur le territoire de la communauté de communes.
La part de la commune sera déterminée par décision du maire en fonction de l’amortissement de l’investissement pour le poste des matières de vidange, soit 1647,49 € par an pour une fosse de 25 m3.

Ceci exposé, Madame le Maire demande au conseil municipal d’approuver la démarche entreprise, de l’autoriser à signer la convention.

Alain Decanis : Toutes les matières de vidange d'origine domestique collectées sur toutes les communes du territoire communautaire seront donc traitées par la station d'épuration de la commune de Saint-Maximin. Quelles sont les contreparties pour la commune ?

Madame le Maire : Notre préoccupation est d'améliorer l'environnement sur tout le territoire, notre démarche est vertueuse.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

9 – CONVENTION QUADRIPARTITE DE DÉPOTAGE ET DE TRAITEMENT DES MATIÈRES DE VIDANGE À LA STATION D’ÉPURATION DE LA COMMUNE DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME AVEC LES ENTREPRISES NON ADHERENTES AU GROUPEMENT VAROIS D'ASSAINISSEMENT

Madame le Maire rappelle que le conseil municipal a approuvé la démarche entreprise pour le DÉPOTAGE ET LE TRAITEMENT DES MATIÈRES DE VIDANGE À LA STATION D’ÉPURATION DE LA COMMUNE DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME, et l’avait autorisé à signer une convention quadripartite avec la communauté de communes, le fermier SAUR, et le groupement des vidangeurs du Var.

Aujourd’hui, d’autres entreprises, non adhérentes au groupement, souhaitent bénéficier de cette même convention.

Monsieur le maire demande donc au conseil municipal de l’autoriser à conventionner avec les entreprises non membres du GIE GVA qui solliciteraient la signature de la convention. 

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

10 - DÉGRÈVEMENT FACTURE D’EAU / 1er SEMESTRE 2015

Le décret n° 2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur.

Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur.

L'article L 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales prévoit que le service d'eau informe l'abonné en cas d'augmentation anormale de sa consommation. Dans le cas où cette augmentation est due à une fuite de canalisation, le montant de la facture d'eau est plafonné, à condition que l'abonné ait fait réparer la fuite.

Le décret précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d'eau potable après le compteur, à l'exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage. Il précise l'étendue de l'obligation d'information de l'abonné qui incombe au service de distribution d'eau ainsi que la nature des justificatifs à produire par l'abonné pour bénéficier d'un plafonnement de la facture d'eau, le service pouvant procéder au contrôle de ces justificatifs.

Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d'eau sur canalisation après compteur, le volume d'eau imputable à la fuite n'entre pas dans le calcul de la redevance d'assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.

En conséquence, Madame le Maire propose un dégrèvement sur la facture d’eau du 1er semestre 2015 au nom d'un contribuable de Saint-Maximin pour un montant de 214,58 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

11 - DÉGRÈVEMENT FACTURE D’EAU / 2ème SEMESTRE 2015

Le décret n° 2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur.

Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur.

L'article L 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales prévoit que le service d'eau informe l'abonné en cas d'augmentation anormale de sa consommation. Dans le cas où cette augmentation est due à une fuite de canalisation, le montant de la facture d'eau est plafonné, à condition que l'abonné ait fait réparer la fuite.

Le décret précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d'eau potable après le compteur, à l'exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage. Il précise l'étendue de l'obligation d'information de l'abonné qui incombe au service de distribution d'eau ainsi que la nature des justificatifs à produire par l'abonné pour bénéficier d'un plafonnement de la facture d'eau, le service pouvant procéder au contrôle de ces justificatifs.

Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d'eau sur canalisation après compteur, le volume d'eau imputable à la fuite n'entre pas dans le calcul de la redevance d'assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.

En conséquence, Madame le Maire propose un dégrèvement des factures d’eau du 2ème trimestre 2015 s'élevant à 34 492.59 € pour un montant de factures s'élevant à 43 506.77 €. Le montant restant dû après dégrèvement est de 9 014.18 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

12 – ACCEPTATION D'UN DEFIBRILLATEUR DONNE PAR L'ASSOCIATION PERSAV

Créée en 2002, l’association Persav (Production Et Réalisation Spectacles Artistes Variété) a mis l’humain au cœur de tout.

Sa présidente, Madame Sonia IMPROTA s’est engagée au service des Saint-maximinois, en organisant divers spectacles et manifestations. Elle parvenait à trouver les fonds nécessaires pour offrir aux séniors des moments de convivialités, indispensables à leur bien-être.

Par courrier en date du 7 janvier dernier, Madame IMPROTA informait Madame le Maire de la dissolution de l’association PERSAV, et de sa volonté d’acheter un défibrillateur pour la ville.

La commune souhaite l’accepter, et Madame le Maire demande aux membres du Conseil municipal de l’autoriser :

  • à accepter le don d’un défibrillateur par l’association PERSAV
  • à signer tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 
13 - GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que par délibérations n° 126, 127, 128 et 129 en date du 21 juillet 2015 le conseil municipal a approuvé la demande formulée par VAR HABITAT tendant à obtenir la garantie de la Commune de St Maximin pour les emprunts nécessaires au financement de la charge foncière et de la construction de 42 logements à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, « Mosaïque Provence ».

Pour des raisons techniques, La Caisse des Dépôts et Consignations nous a demandé de regrouper les quatre délibérations en une seule.

En conséquence, 

Vu les articles L.2252-1 et L.2252-2 du Code général des collectivités territoriales ;

Vu l'article 2298 du Code civil ;

Madame le Maire

PROPOSE, à la demande de la Caisse des Dépôts et Consignation, de regrouper les quatre délibérations précitées en une seule, dont détail ci-dessous :

A – GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLUS SANS PRÉFINANCEMENT – Révisable Livret A

Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 1 945 147 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.
Ce prêt PLUS est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS -  11  PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin.

Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations sont les suivantes :

  • Montant du prêt : 1 945 147 €
  • Durée totale du prêt : 40 ans

dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement

  • Périodicité des échéances : annuelles
  • Index : livret A
  • Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt + 60 pdb
  • Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)

Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%.

Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Article 4 : Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt.

Article 6 : Le conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

B – GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLAI  SANS PRÉFINANCEMENT – Révisable Livret A

Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 245 159 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLAI Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS -  11  PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin.

Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations sont les suivantes :

  • Montant du prêt : 245 159 €
  • Durée totale du prêt : 50 ans

dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement

  • Périodicité des échéances : annuelles
  • Index : livret A
  • Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt – 20 pdb
  • Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)

Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%.

Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Article 4 : Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt.

Article 6 : Le conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

C – GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLAI  SANS PRÉFINANCEMENT – Révisable Livret A

Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 666 185 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLAI est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS -  11  PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin.

Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations sont les suivantes :

  • Montant du prêt : 666 185 €
  • Durée totale du prêt : 40 ans

dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement

  • Périodicité des échéances : annuelles
  • Index : livret A
  • Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt – 20 pdb
  • Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)

Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%.

Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Article 4 : Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt.

Article 6 : Le conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

D – GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLUS SANS PRÉFINANCEMENT – Révisable Livret A

Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 715 824 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLUS Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS -  11  PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin.

Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations sont les suivantes :

  • Montant du prêt : 715 824 €
  • Durée totale du prêt : 50 ans

dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement

  • Périodicité des échéances : annuelles
  • Index : livret A
  • Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt + 60 pdb
  • Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)

Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%.

Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Article 4 : Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt.

Article 6 : Le conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

14 - MARCHE PUBLIC POUR LA FOURNITURE DE CARBURANT

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que le marché n° FCS 15 FC 44 concernant la fourniture de carburants pour les véhicules de la commune a été lancé par la voie d’une procédure d’appel d’offre ouvert en application des articles 33 3°al et 57 à 59 du code des marchés publics.

Vu le code des marchés publics ;
Vu le code général des collectivités territoriales et notamment l’article L.2122-21

Sous le contrôle du conseil municipal et sous le contrôle administratif du représentant de l'État dans le département, le maire est chargé, d'une manière générale, d'exécuter les décisions du conseil municipal et, en particulier :

6° De souscrire les marchés, de passer les baux des biens et les adjudications des travaux communaux dans les formes établies par les lois et règlements ;

Vu l’Avis d’Appel Public à la Concurrence (annonce n°15-144203) publié lundi 21 septembre 2015 sur le Bulletin Officiel des Annonces des Marchés Publics (BOAMP) ;

Vu la (1) proposition transmise avant la Date Limite de Réception des Offres fixée au mardi 17 novembre 2015 à 16h00 ;

Vu le procès-verbal de la Commission d’Appel d’Offres du jeudi 19 novembre 2015 (ouverture des plis) et notamment sa décision :

La commission d’appel d’offre décide de procéder à une étude approfondie des éléments présentés par la société sur les plans techniques et financiers.

À cet égard, elle propose aux services de procéder à cette analyse.

La commission sera réunie et prendra connaissance de l’analyse, après quoi elle arrêtera un classement et désignera l’attributaire.

Vu le procès-verbal de la Commission d’Appel d’Offres du vendredi 22 janvier 2016 (décision d’attribution)

Madame le Maire propose au Conseil Municipal de suivre l’avis de la Commission d’Appel d’Offres et de retenir la société … pour la fourniture de carburants pour les véhicules de la commune.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal de l’autoriser à signer le marché public relatif à la fourniture de carburants avec la société et tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

15 – ANNULATION DE TITRE 2013 SUR LE BUDGET DE LA COMMUNE

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre suivant :

  • Titre n° 1316 du 28/11/2013 « au nom SOTRAM VAR » sur le Budget de la commune concernant les droits de places Taxis pour un montant de 220 € pour erreur de tiers. (Recensement Droit de places taxis Police municipale erroné)

Il convient donc d’annuler ce titre par un mandat au 673 d’un montant de 220 € et rétablir un titre de recette au 7336 au nom de Sté Gardiol pour 220 € pour l’année 2013 sur l’exercice 2016.

Madame le Maire propose au conseil municipal l’annulation de ce titre par un mandat de 220 € au compte 673 « Annulation de titre années antérieures ».

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

16 – ANNULATION DE TITRE 2014 SUR LE BUDGET DE LA COMMUNE

Madame le Maire expose au Conseil Municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre suivant :

  • Titre n° 837 du 30/09/2014 « au nom SOTRAM VAR » sur le Budget de la commune concernant les droits de places Taxis pour un montant de 220 € pour erreur de tiers (Recensement Droit de places taxis Police municipale erroné)

Il convient donc d’annuler ce titre par un mandat au 673 d’un montant de 220 € et rétablir un titre de recette au 7336 au nom de Sté Gardiol pour 220 € pour l’année 2014 sur l’exercice 2016.

Madame le Maire propose au Conseil Municipal l’annulation de ce titre par un mandat de 220 € au compte 673 « Annulation de titre années antérieures ».

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

17 – ANNULATION PARTIELLE DE TITRE SUR LE BUDGET DE L'EAU

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre suivant :

  • titre eau n° 269/2015 du 07.12.2015 établi au nom d'une contribuable de la commune, d’un montant de 345,51 €  sur le Budget de l’eau en raison d’une erreur matérielle (erreur dans le montant facturé)

Madame le Maire propose au conseil municipal l’annulation partielle du titre précité.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

18 – ANNULATION FACTURES EAU / 2ème SEMESTRE 2014

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture eau du 2ème semestre 2014 (erreur informatique), au nom de :

  • .........................                 Facture n° 13869                    30,49 € 10,04 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

19  – ANNULATION FACTURES EAU / 1er SEMESTRE 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture eau du 1er semestre 2015 (erreur sur relevé), au nom de :

  • .........................                Facture n° 2547                      12,24 € 35,87 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

20 – ANNULATION FACTURES EAU / 2ème  SEMESTRE 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler trois factures d'eau du 2ème semestre 2015 (erreur sur relevé), pour un montant total de 77,01 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

21 – ANNULATION FACTURES ASSAINISSEMENT/ 1er  SEMESTRE 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture assainissement du 1er semestre 2015 (erreur sur le relevé), au nom de :

  • ............................                      Facture n° 2415                      333,91 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

22 – ANNULATION FACTURES ASSAINISSEMENT / 2ème SEMESTRE 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler six factures d'assainissement du 2ème semestre 2015 pour un montant total de 401.08 € (erreur sur le relevé).

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

23 – ADMISSION EN NON VALEUR / BUDGET DE L’ASSAINISSEMENT

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°1/2016 (Etat joint) soit un total de 636,61 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6 542 sur l’exercice en cours.

Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

24 -  – FONDS D’INTERVENTION POUR LES SERVICES, l’ARTISANAT ET LE COMMERCE (FISAC)/ APPROBATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU NOUVEAU PROGRAMME FISAC EN CENTRE VILLE / APPROBATION DE L’ENGAGEMENT FINANCIER DE LA COMMUNE CONCERNANT CE NOUVEAU PROGRAMME / AUTORISATION À MADAME LE MAIRE DE SOLLICITER LES SUBVENTIONS

La ville de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume s’est engagée, depuis plusieurs années, dans un projet global de requalification de son centre ville.

Ce projet global, touchant à la fois l’habitat, l’urbain, les infrastructures routières, le patrimoine, le social et l’économique, permettra de traiter durablement et globalement l’ensemble des problèmes constatés.

Dans ce contexte, la municipalité a entrepris, depuis plusieurs années, une procédure FISAC,  outil  d’accompagnement nécessaire pour l’évolution des secteurs du commerce, de l’artisanat, et des services. Il vise, en priorité, à préserver et à développer un tissu d’entreprises de proximité.

Un animateur technique a été recruté, afin de veiller à la mise en place, et au suivi opérationnel et  administratif de l’ensemble des actions inscrites dans chaque phase du FISAC. Celui-ci sera l’interface entre les différents partenaires pendant toute sa durée. Le nouveau programme FISAC comporte obligatoirement une phase, pour une durée variant de douze à trente six mois maximum, après  réception de la notification de l’Etat. Le FISAC, se compose de deux volets, un volet investissement, et un autre concernant le fonctionnement.

La phase 1, engagée au  début d’année 2009, a été achevée fin 2011.

La première phase de l’opération urbaine FISAC,  s’est achevée sur un bilan très positif. Elle a permis de mettre en place différentes actions commerciales à des périodes données, ainsi que la réalisation et l’achèvement d’aménagements  urbains favorisant le stationnement et les accès vers le centre ville, et valorisant le commerce du cœur de ville.

Concernant, la phase 2, engagée en 2012, et malgré de nombreuses suppressions d’actions d’investissement par l’Etat, les objectifs de redynamisation du centre ville se  sont poursuivis, un programme d’animations et de communication commerciale a été mis en place par l’association des commerçants Cœur de Ville, permettant de créer une véritable dynamique autour du commerce local.

Le but étant  de retenir les consommateurs, de les fidéliser dans leurs habitudes d’achat et d’attirer des clients supplémentaires.  Les actions réalisées  par  la commune ont consisté, à  l’étude et à la mise en place d’une signalétique de jalonnement  piétonnier  favorisant les déplacements vers les rues commerçantes  et d’autre part, permettre l’identification et la localisation des différents parkings du centre-ville. Cette action, doit s’achever, prochainement, avec l’implantation de la signalétique directionnelle, permettant de diriger les automobilistes vers les divers parcs de stationnement, de proche périphérie, inclus dans le périmètre FISAC.

LES ACTIONS COLLECTIVES :

Le décret  ministériel n°2015-542  du 15 mai 2015, a notifié un recentrage important du dispositif pour les communes de plus de 3000 habitants, en particulier, sous la forme d’un appel à projets, et dans la réalisation d’une étude préalable socio-économique, répondant aux critères et thèmes imposés par les services de l’Etat.  Un certain nombre d’actions d’investissement restent maintenues dans le cadre du FISAC, en particulier, les actions de communication, de signalétique, ainsi que les opérations collectives urbaines, attribuées sous forme d’aides directes aux entreprises et se rapportant aux aménagements suivants : la modernisation des locaux d’activité, la sécurisation des locaux, actions prises en charge à hauteur de 20%, ainsi que les travaux favorisant l’accessibilité des entreprises à tous publics, pris en charge à hauteur de 30%.

L’ensemble de ces opérations visent à maintenir, et à améliorer le tissu économique urbain des entreprises commerciales, et artisanales de proximité.

Les actions d’investissement et de fonctionnement  qui avaient été définies initialement au début du programme FISAC, sont toujours éligibles dans ce nouveau dispositif.

Le dispositif FISAC repose sur cinq partenaires qui composent le Comité de Pilotage à savoir : la Mairie, l’association des commerçants Cœur de Ville, l’Etat, la Chambre de Commerce et d’Industrie, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat.

Madame le Maire expose au Conseil Municipal, qu’il convient, aujourd’hui, d’approuver les actions et l’engagement financier, concernant ce dispositif, notamment sur les montants de financement :

  • Prise en charge de 30 % des dépenses HT de fonctionnement.
  • Prise en charge de 20 ou 30 % des dépenses HT  d’investissement.
  • Prise en charge partielle du poste d’animateur FISAC, rémunéré sur une base de 30 500 € par an (le FISAC finance 15 000 € par phase).

Les actions proposées à l’approbation du Conseil Municipal, concernant le dispositif FISAC sont les suivantes :

Volet Fonctionnement :

Action n° 1 : Site Vitrine Internet

Montant de l’action
H.T.

FISAC
30 %

Part Communale
30 %

Part association
Cœur de Ville

             3 804  €

            1 141    €

            1 141   €

            1 522  €

Il s’agit de créer et de réaliser la mise en place d’un site internet , action entreprise par  l’association des commerçants Cœur de Ville, regroupant , et identifiant les commerces situés dans le périmètre FISAC. L’objectif est de promouvoir l’image dynamique de l’association et de ses adhérents, par la valorisation des différentes enseignes et  permettre de rendre interactif leurs activités.

Action n° 2 : Etude complémentaire d’évaluation

Montant de l’action
H.T.

FISAC
30 %

Part Communale
70 %

11 050 €

3 315 €

7 735 €

Etude permettant de réaliser une évaluation à mi-parcours du programme, et de définir les préconisations à élaborer, les directives à appliquer, pour la mise en place d’une charte commerciale concernant les commerçants et artisans du centre ville.

La participation totale de la commune pour le volet des actions de fonctionnement est estimée à  8 876 € H.T.

Volet Investissement :

Action n° 1 : Signalétique / Étude, et réalisation complémentaire d’une signalétique commerciale  au moyen de QR  Code.

      Montant de l’action
H.T.

                  FISAC
20 %

        Part Communale
80 %

20 000 €

4 000

16 000 €

Mise en place d’une signalétique commerciale évolutive et novatrice, au moyen de Flash Code, ou QR Code, permettant d’identifier, et de localiser les commerces du périmètre FISAC, de délimiter les rues et places commerçantes du centre ville, en s’inscrivant dans la logique de continuité des aménagements et supports implantés  dans la phase 2. Application permettant également une connexion sur le site internet de l’association des commerçants, ainsi que sur le site de la commune.

Action n° 2 : Communication / Déplacement et extension du réseau de sonorisation du centre ville.

 Montant de l’action
H.T.

           FISAC
30 %

  Part Communale
30 %

    Part Cœur de Ville 

8 590 €

2 577 €

2 577 €

3 436 €

Déplacement, extension du réseau de sonorisation du centre ville, utilisé exclusivement  pour les animations  commerciales de l’association des commerçants. Installation du matériel de sonorisation dans un local permanent, sécurisé et adapté pour le matériel électronique, et élargissement du secteur sonorisé pour animer des rues  commerçantes supplémentaires.

Action n° 3 : Opération collective urbaine- Aides directes aux entreprises.

Montant
de  l’action
H.T.

FISAC
20%

FISAC
30%

Part communale 20%

Part communale 30%

Part entreprises

146 740 €

27 218 €

3 196 €

27 218 €

3 196 €

85 912 €

Prise en charge partielle des travaux et aménagements réalisés, par les commerçants et artisans ayant déposé leur dossier individuel,  correspondant aux critères d’attribution définis par les services de l’État.  Action collective, ayant pour objectif la revalorisation, et  la mise aux normes d’un certain nombre de  magasins du centre ville.

La participation communale totale pour les actions d’investissement est estimée à  48 991,00  € H.T.

Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :

  • d’approuver la mise en œuvre de l’appel à projets FISAC
  • d’approuver les actions de fonctionnement et d’investissement du nouveau dispositif FISAC
  • d’approuver l’engagement financier de la commune pour le nouveau programme du FISAC
  • de l’autoriser à solliciter l’Etat, ou d’autres collectivités afin d’obtenir les subventions les plus larges possibles
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire

Alain Decanis : Je constate que l'on va financer une énième étude pour un montant de 11 050 € Hors Taxe. Est-ce le FISAC qui nous l'impose ? On va consacrer également 20 000 € pour une étude accompagnée de la mise en oeuvre d'une signalétique commerciale au moyen de QR Code. Cela me parait beaucoup. Est-ce vraiment nécessaire dans une commune où l'espace commercial est concentré dans une rue essentiellement ? Et enfin quelles seront les opérations qui pourront être financées avec la dotation de 146 740 € ?

Martine Tissier : L'étude complémentaire d'évaluation est obligatoire. La dotation de 146 740 € servira à financer en partie des travaux visant à réhabiliter des locaux commerciaux et en partie à les rendre accesibles aux handicapés.

Philippe Hrynda : Je ne comprends pas pourquoi de l'argent public va être utilisé pour financer des locaux privés.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Michael Granier).

 

25 - RAPPORT D'ACTIVITE 2015 DU SICTIAM

Conformément aux dispositions de la loi du 12 juillet 1999, le rapport d’activité 2015 nous a été adressé par le SICTIAM.

Ce document permet de retracer les éléments majeurs du syndicat et les actions qui ont été menées au cours de l’année 2015.

Conformément à l’article L 1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales, l’examen de ce document doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prendra acte de cette démarche.

Ce rapport est consultable sur le site www.sictiam.fr ainsi qu’au secrétariat général.

L'assemblée prend acte que le rapport a été communiqué.