Conseil Municipal du 6 octobre 2015
 

Absents représentés : Gilles PEREZ (pouvoir à Philippe HRYNDA) - Jacques FREYNET (pouvoir à Clément DEIDDA)
Absents : Michaël GRANIER (excusé)

 
Le compte rendu du dernier conseil municipal est approuvé à l'unanimité.
 

Examen des marchés attribués et des décisions du maire pour le 3ème trimestre 2015

 
Nathalie LAZARE, responsable du service économique de la communauté de commune présente un dispositif destiné à aider financièrement les propriétaires de logements indignes pour qu'ils fassent des travaux de rénovation. L'objectif est de traiter 80 dossiers sur le territoire communautaire en 3 ans.
 

133 - DÉCISION MODIFICATIVE N°1 SUR LE BUDGET PRINCIPAL COMMUNE – EXERCICE 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il est nécessaire d’effectuer les ajustements de crédits selon le tableau ci-dessous.

Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à effectuer les ajustements de crédits précités.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 
FONCTIONNEMENT
 
Objet   Dépenses Recettes
Chap Libellé Montant € TTC Chap Libellé Montant € TTC
Achat divers petit équipement 011 0203 60632 fournitures de petit équipement 5 000          
Apurement rattachement 2014  011 321 6065 Livres, disques, cassettes,.. Bibliothèques 1 255          
Crédit bail effectif au 15/06/15 pour la laveuse et la balayeuse : 1 an terme à échoir 011 813 6132 Crédit Bail mobilier -2 000          
Location materiels et balayeuse en attendant livraison crédit bail 011 813 6135 location mobilière 20 000 74 03 7472 Apurement rattachement 2014 subv Région antenne de justice 15 000
Entretien voies et réseaux 011 822 61523 Entretien voie et réseau -4 000          
Apurement rattachement 2014  011 4222 6251 Frais déplacement 5 740 74 94 7473 Apurement rattachement 2012 subv FISAC fonctt 2ème phase 2 272
Frais réception cérémonies officielles 011 024 6257 Frais de réception 1 049 74 03 74118 Apurement rattachement 2014 subv CDAD erreur 7 000
Ateliers pédagogiques médiathèque 011 321 6288 prestations de services extérieurs 7 000 77 321 7718 Apurement rattachement dépenses 2014 1 255
Prestations, animations, spectacle Noel culture 011 30 6288 prestations de services extérieurs 1 000 77 4222 7718 Apurement rattachement dépenses 2014 5 740
Participation nouvelle Syndicat mixte de l'Argens 65 0202 6554 Contribution orgnismes de regroupement 9 816          
Cotisation SIVAD- complt part variable 65 0202 6554 Contribution orgnismes de regroupement 2 006          
Régularsation contribution 2015 SICTIAM 65 0202 6554 Contribution orgnismes de regroupement 1 858 77 61 7788 Produits exceptionnel : jugement du TA de Toulon sociétés Auxitec et Sotec dommage armoires frigorifiques Epadh : 25 545,46 € principal + intérêts taux légal à compter du 7 juin 2013 ( 178,14 €) + 2 000 € (L761-1)+frais expertise (7 693,94€) 34 418
Régularisation part étalées Symliec ch des Vertus 65 814 6554 Contribution orgnismes de regroupement 9 682          
Régularsation contribution 2015 SMPNRBAUME 65 833 6554 Contribution orgnismes de regroupement 297          
Modif compte annulation titre 2014 participation voiries et réseaux 67 01 673 annulation de titre sur exercice antérieur -7 601 042 413 722 Travaux en régie piscine 20 976
Apurement des rattachements recettes 2014 antenne justice 67 03 6718 Autres charges exceptionnelles sur op de gestion 22 000 042 212 722 Travaux en régie aire de jeux P Barles 11 043
Apurement des rattachements recettes 2012 Fisac 67 94 6718 Autres charges exceptionnelles sur op de gestion 2 272 042 0221 722 Travaux en régie nouvel aménagement service Etat civil 5 088
Subventions exceptionnelles 67 025 6745 Subvention ecxeptionnelles au pers de droit privé -5 000          
Charges exceptionnelles 67 0202 678 Autres charges exceptionnelles -2 000          
Provision indemnisation jugement TA Toulon Auxitec / Sotec 68 61 6875  Dotation pour provision pour risque et charges exceptionnels 34 418          
Ecritures pour indemnité de rembt recapitalisée de l'emprunt à risque Dexia à inscrire opérations réelles même si aucun mouvement de trésorerie (cf mise à jour M14 en 2015) 042 01 6681 autres charges financières -80 000          
Ecritures pour indemnité de rembt recapitalisée de l'emprunt à risque Dexia à inscrire opérations réelles même si aucun mouvement de trésorerie (cf mise à jour M14 en 2015) 66 01 6681 indemnités pour remboursement anticipé d'emprunt à risques" 80 000          
                     
                     
    Total Dépenses Fonctionnement 102 792   Total Recettes Fonctionnement 102 792
 
INVESTISSEMENT
 
    Dépenses Recettes
Objet Chap Libellé Montant € TTC Chap Libellé Montant € TTC
                     
Taxes d'urbanismes 10 01 10223 Remboursement direct à l'Etat des dégrèvements accordés sur taxe urbanisme 16 208 10 01 10222 FCTVA notifié -1 229
Annulation titre 240/2014 participation voirie et réseaux + trop versé à rembourser sur 3 autres participations 13 822 1346 Participation pour voirie et réseau 10 250 10 01 10223 TLE régularisation anciens permis de construire 78 321
Frais études batiments, sondage sols 20 0202 2031 Frais d'étude 10 000 10 01 10226 taxe d'aménagement percues 50 000
MO mise aux normes ISDI  20 812 2031 Mission étude avant travaux 30 000          
Subvention Logis Varois délib 2012/95 -résidence pour Centre hospitalier H Guerin 204 824 20422 Subvention équipement verséé aux personnes privées 10 000          
Travaux de façades- participations 2015 et solde des participations 2013 2014 204 824 20422 Subvention équipement verséé aux personnes privées 30 000 13 114 1321 SUBVENTION FIPD 2015 vidéoprotection noitifiée le 27 mars 14 000
DUP Ilot Rey - Décision TGI Toulon 14/25 du 13/04/2015 21 824 2138 Acquisition autre construction 119 000 13 824 1321 Subvention 2013 RHI ANAH - Ilot Gambetta relogement solde 2 344
frais liés à la DUP  21 824 2138 Acquisition autre construction 10 000 13 824 1321 Subvention 2013 RHI ANAH - Ilot Gambetta 2eme acompte acqusistions 94 496
Emprise alignement ch du Moulin AM 388P, AM 389 P, AM 404 P(délib 40 du 14/04/15) 21 822 2112 Terrains de voirie 15 000 13 824 1321 Subvention 2013 RHI ANAH - Ilot Gambetta 2eme acompte acqusistion Tchouas 60 200
frais liés à l'acquisition divers terrains voirie  21 822 2112 Terrains de voirie 10 000 13 3242 1321 Arrêté du 27/08 subvention restauration stalles Basiliques et chœur (traitement bois..) 3 700
Plantation de platannes parking stade 21 822 2121 Plantation arbres 8 000          
Installations de voirie 21 822 2152 Installations de voirie 15 000 13 01 1342 Amendes de police : notification 2015- complément 24 786
Extension de réseau électrique pour 3 permis construire 23 8142 21534 Réseau électrification 19 000 13 01 1343 Recettes Plan Aménagement Ensemble  12 345
Installations techniques : vidéoprotection 6 caméras suppl suite notif subv 21 822 2158 Travaux vidéoprotection 42 000 13 8141 1346 Participation voirie et réseau: 2  extension réseau EDF  13 843
Signalétique et autres immo corporelles services communaux 21 0202 2188 Autres immobilisations corporelles 25 000          
Travaux Basilique TC2 23 3242 2313 construction -80 259          
Basilique- travaux de restauration retables, chœur de basilique 23 3442 2316 Restauration collections et œuvres d'art 18 500          
Avance versée sur commande  23 822 238 Avances versées sur commandes 8 000          
            040 01 1641 Ecritures pour indemnité de rembt recapitalisée de l'emprunt à risque Dexia à inscrire opérations réelles même si aucun mouvement de trésorerie (cf mise à jour M14 en 2015) -80 000
            16 822 1641 Ecritures pour indemnité de rembt recapitalisée de l'emprunt à risque Dexia à inscrire opérations réelles même si aucun mouvement de trésorerie (cf mise à jour M14 en 2015) 80 000
Travaux en régie piscine 040 413 21318 Travaux en régie piscine 20 976          
Travaux en régie aire de jeux P Barles 040 212 21312 Travaux en régie aire de jeux école P Barles 11 043          
Travaux en régie nouvel aménagement service Etat Civil 040 0221 21311 Travaux en régie service Etat Civil 5 088          
    Total Dépenses Investissement 352 806   Total Recettes Investissement 352 806
 

134 - DÉCISION MODIFICATIVE N°1 SUR LE BUDGET ANNEXE DE L’EAU – EXERCICE 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il est nécessaire d’effectuer les ajustements de crédits selon le tableau ci joint.

Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à effectuer les ajustements de crédits précités.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 
FONCTIONNEMENT
 
  Ch. Libellé Montant € HT Ch. Libellé Montant € HT
Frais ligne de trésorerie 011 627 service bancaire 1 000,00        
Admissions en non valeur 65 6541 admission en non valeur 8 100,00 77 778 Autres produits exceptionnels 4 000,00
Régularisation échéance emprunt 22 du 01/12/14 en intérêts 66 66111 intérêts des emprunts et dettes 900,00        
Virement à la section d'investissement 023 023 virement à la section d'investissement 30 416,61        
Annulation amortissement 2014 erreur de compte pour subv transférable DETR 2013 RAEP 042 6811 dotations aux amortissements 450,00        
Régularisation amortissement compte 2181 de 2009 pour solde 042 6811 dotations aux amortissements 0,02 042 777 Amortissement 2014 rectification de compte pour subv transférable DETR 2013 RAEP 450,00
Régularisation amortissement compte 2151 de 2007 pour solde 042 6811 dotations aux amortissements 12 365,00 042 7811 Régularisation trop amorti sur compte 2181 années antérieures 48 781,63
    Total Dépenses Fonctionnement 53 231,63   Total Recettes Fonctionnement 53 231,63
 
INVESTISSEMENT
 
Objet Ch. Libellé Montant € HT Ch. Libellé Montant € HT
Régularisation échéance emprunt 22 du 01/12/14 en capital 16 1641 Emprunts en euro 1 700,00 13 13118 DETR 2015 notifiée le 12 mai 2015 - Réseaux AEP de Place Malherbes et ch Beauregard 69 300,00
Immobilisations corporelles 21 2188 autres immobilisations corporelles 10 000,00 021 021 virement de la section de fonctionnement 30 416,61
Installations en cours 23 2315 Travaux sur réseaux eau potable 51 600,00 040 13918 Annulation amortissement 2014 erreur de compte pour subv transférable DETR 2013 RAEP 450,00
Amortissement 2014 rectification de compte pour subv transférable DETR 2013 RAEP + amortt 2015 040 139118 Amortissement subventions inscrites au compte de résultat 900,00 040 28181 Régularisation amortissement compte 2181 de 2009 pour solde 0,02
Amortissement 2015 rectification de compte pour subv transférable DETR 2013 RAEP 040 13918 Amortissement subventions inscrites au compte de résultat -450,00 040 28154 Régularisation amortissement compte 2151 de 2007 pour solde 12 365,00
Régularisation trop amorti sur compte 2181 années antérieures 040 28181 Amortissement subventions inscrites au compte de résultat 48 781,63 021 021 virement de la section de fonctionnement  
    Total Dépenses Investissement 112 531,63   Total Recettes Investissement 112 531,63
 

135 - COMPLÉMENT DE RÉMUNÉRATION

Madame le Maire rappelle au conseil municipal qu’en date du 29.09.2004 une délibération concernant le complément de rémunération a été prise.

Celle-ci prévoyait que chaque année, par délibération, le complément de rémunération versé serait revalorisé en fonction de l’indice moyen des prix à la consommation (France entière) indice calculé sur les 12 derniers mois.

Madame le Maire propose donc au conseil municipal de revaloriser le complément de rémunération pour l’année 2015 en fonction de l’indice moyen des prix à la consommation (France entière) indice calculé sur les 12 derniers mois.

L'indice moyen ayant augmenté de 0.2%, cela représente 3 €.
La prime passe donc de 1125 € à 1128€ pour l'année 2015.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

136 – DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DE L'ASSAINISSEMENT COLLECTIF

Par contrat signé le 11 octobre 2003, visé en Préfecture de BRIGNOLES le 14 octobre 2003, la Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME a confié à la Société SAUR France, devenue SAUR, l’exploitation par affermage de son service d’assainissement collectif.

En application des dispositions de l’article 3 du « contrat initial », celui-ci arrive à échéance le 19 octobre 2015.

La Commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME a lancé une consultation, dans le cadre de l’article L. 1411-1 du Code général des collectivités territoriales, en vue de l’attribution d’une délégation de service public par affermage de son service d’assainissement collectif, au terme du contrat de délégation précité.

La commune souhaite s’accorder un délai de réflexion suffisant permettant de mener à bien la procédure de négociation.

Ainsi la procédure ne pourra aboutir avant la date d’échéance rappelée ci-dessus.

Dans l’attente de l’issue de cette procédure, la Collectivité a décidé, dans un but d’intérêt général lié à la nécessité d’assurer la continuité du service public, une prolongation de 73 (soixante-treize) jours du contrat en cours, en application des dispositions de l’article L. 1411-2 du Code Général des Collectivités Territoriales.

Les conventions de délégation de service public doivent être limitées dans leur durée. Celle-ci est déterminée par la collectivité en fonction des prestations demandées au délégataire. Lorsque les installations sont à la charge du délégataire, la convention de délégation tient compte, pour la détermination de sa durée, de la nature et du montant de l'investissement à réaliser et ne peut dans ce cas dépasser la durée normale d'amortissement des installations mises en œuvre. Le délégataire peut également être autorisé, avec l'accord expressément formulé de la personne morale de droit public, à conclure des baux ou droits d'une durée excédant celle de la convention de délégation de service public. Les autorisations données par la personne morale de droit public, ainsi que les baux et droits réels qui en résultent, constituent des accessoires à la convention de délégation de service public et sont, à l'issue de la durée de la convention de délégation de service public, transférés à la personne morale de droit public. Dans le domaine de l'eau potable, de l'assainissement, des ordures ménagères et autres déchets, les délégations de service public ne peuvent avoir une durée supérieure à vingt ans sauf examen préalable par le directeur départemental des finances publiques, à l'initiative de l'autorité délégante, des justificatifs de dépassement de cette durée. Les conclusions de cet examen sont communiquées aux membres de l'assemblée délibérante compétente avant toute délibération relative à la délégation.

Une délégation de service ne peut être prolongée que :
a) Pour des motifs d'intérêt général. La durée de la prolongation ne peut alors excéder un an ;
b) Lorsque le délégataire est contraint, à la demande du délégant, de réaliser des investissements matériels non prévus au contrat initial de nature à modifier l'économie générale de la délégation et qui ne pourraient être amortis pendant la durée de la convention restant à courir que par une augmentation de prix manifestement excessive.

Ces dispositions s'appliquent lorsque les investissements matériels sont motivés par :

- la bonne exécution du service public ;
- l'extension du champ géographique de la délégation ;
- l'utilisation nouvelle ou accrue d'énergies renouvelables ou de récupération, si la durée de la convention restant à courir avant son terme est supérieure à trois ans ;
 - la réalisation d'une opération pilote d'injection et de stockage de dioxyde de carbone, à la condition que la prolongation n'excède pas la durée restant à courir de l'autorisation d'injection et de stockage.

La prolongation mentionnée au a ou au b ne peut intervenir qu'après un vote de l'assemblée délibérante.
Les conventions de délégation de service public ne peuvent contenir de clauses par lesquelles le délégataire prend à sa charge l'exécution de services ou de paiements étrangers à l'objet de la délégation.
Les montants et les modes de calcul des droits d'entrée et des redevances versées par le délégataire à la collectivité délégante doivent être justifiés dans ces conventions. Le versement par le délégataire de droits d'entrée à la collectivité délégante est interdit quand la délégation concerne l'eau potable, l'assainissement ou les ordures ménagères et autres déchets.
La convention stipule les tarifs à la charge des usagers et précise l'incidence sur ces tarifs des paramètres ou indices qui déterminent leur évolution.
Les modalités d'application du présent article sont fixées, en tant que de besoin, par décret en Conseil d'État.

Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal de l’autoriser à signer l’avenant n°4 avec la SAUR et tout document se rapportant à cette affaire.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

137 - DÉNOMINATION DE VOIES

La commune s’est engagée dans une démarche de rénovation des adresses en partenariat avec La Poste, le SDIS 83, la Direction départementale   des finances publiques du VAR et l’association des maires du VAR.

À ce jour, de nombreux foyers ne bénéficient pas d’une adresse complète : leur adresse ne comporte pas de nom de voie et/ou de numéro de rue.

Or, sans nom de voie et/ou de numéro, l’accès au logement est difficile, aussi bien pour les facteurs que pour les services de secours ou les services à domicile. Et chacun sait qu’une intervention rapide et certaine sur le lieu exact d’un sinistre peut sauver des vies.

La qualité des adresses est donc indispensable.

À partir d’un recensement réalisé par les services municipaux, la démarche engagée consiste à dénommer les voies non dénommées, rebaptiser des voies au nom trop proche ou en doublon, numéroter les habitations en l’absence de numéro ou renuméroter en cas de mauvaise numérotation ou de numérotation partielle.

Le maire tient de ses pouvoirs généraux de police le droit de contrôler les dénominations de toutes les voies et d’interdire celles qui seraient contraire à l’ordre public et bonnes mœurs.

Il existe plusieurs catégories de voies :

  • les voies publiques, communales ou départementales, comprennent également les chemins communaux.
  • les chemins ruraux ouverts à la circulation publique.
  • les voies privées.

Il s’agit, dans cette délibération, de confirmer des dénominations de voies publiques puisque la dénomination des voiries communales est de la compétence du conseil municipal. L’objectif poursuivi  est de mettre à jour le tableau de classement des voies de la commune ainsi que  la numérotation des voies par arrêté municipal afin de transmettre ces données à nos partenaires (DGFIP, INSEE, La Poste, SDIS…) par l’intermédiaire du CRIGE PACA.

Les voies publiques concernées sont les suivantes :

  • Impasse de la Loube                         
  • Impasse Hameau Colbert
  • Chemin de la Sorbière                                   
  • Allée Claude Monet
  • Impasse du XVème Corps                   
  • Allée Henri Matisse
  • Impasse Victor Hugo                        
  • Allée Paul Cézanne
  • Chemin de la Jardinière                     
  • Allée Pablo Picasso
  • Chemin de la Revaute                             
  • Allée Bernard Buffet

Pour permettre de communiquer ces informations, Madame le Maire propose d'approuver et/ou de confirmer la dénomination des voies telle que précitée.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

138 - VERSEMENT D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE AU FOYER SOCIO-EDUCATIF DU COLLÈGE HENRI MATISSE

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que le 31 juillet 2015 s’est déroulé le festival « jazz à l’Enclos » organisé par le foyer socio-éducatif du collège Henri Matisse.

Ces concerts ont eu lieu en centre-ville ainsi qu’au Jardin de l’Enclos.

Ce festival a rencontré un vif succès grâce à la qualité des groupes proposés (groupe JAZZISTIC, Trio-PREZIOSO JAZZ, Christophe LAMPIDECCHIA Quintet). Du standard au funk, de la Fusion au rock, de la tradition au jazz déjanté, de nombreux courants ont été abordés et animés ainsi notre ville.

Malgré les entrées payantes réalisées (2 200 €) et les dons faits par divers partenaires Saint-Maximinois pour un montant total de 1 200 €, les frais engendrés par cette manifestation n’ont pu être réglés en totalité.

Par courrier en date du 17 juillet 2015, le collège Henri Matisse nous a sollicité afin d’obtenir une aide financière, afin de couvrir les frais restant dus, notamment une partie des salaires des musiciens et des techniciens.

Au vu des éléments fournis, Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • de reconnaitre l’intérêt communal de cette démarche
  • de l’autoriser à verser au collège Henri Matisse une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 280 €.

Philippe HRYNDA : Peut on savoir le nombre d'entrées payantes ?

Olivier BARRAU : Environ 200.

La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

139 - RAPPORT ANNUEL 2014 DE LA MAISON DE L’ENFANCE

Madame le Maire présente au conseil municipal le rapport annuel d’activités 2014 de la « Maison de l’Enfance », titulaire de la Délégation de Service Public portant sur la gestion des structures d’accueil et des actions en faveur des enfants de 0 à 6 ans résidant sur le territoire de la Communauté de Communes Sainte Baume Mont Aurélien.

Conformément à l’article L 1411-3 du CGCT, l’examen de ce rapport doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui en prendra acte.

Aucun débat.
Le conseil municipal prend acte.

 

140 - CRÉATION D’UN CONSEIL LOCAL DE SANTÉ MENTALE (CLSM)

La souffrance mentale et psychosociale s'exprime diversement, que ce soit dans la rue, auprès du corps médical ou médico-social ou au sein des familles.

Les institutions, les élus, les associations et les habitants peuvent être interpellés par ces manifestations, lesquelles nécessitent une régulation et une approche transversale.

Les acteurs en charge de ces problématiques, souhaitent structurer le travail déjà entrepris autour de ces questions, en le formalisant notamment par la création d'un Conseil Local de Santé Mentale (CLSM).

Les CLSM répondent concrètement aux recommandations :

  • De la stratégie européenne de la santé mentale OMS Europe (Conférence Helsinki, 2005) qui a mis en avant l’importance des décloisonnements, le partenariat multisectoriel et la coordination locale des services et des stratégies politiques.
  • De l’union européenne qui référence les CLSM depuis 2010 comme un des outils techniques permettant de formaliser au niveau local les recommandations formulées par l’OMS.
  • Du plan Psychiatrie et Santé Mentale 2011-2015, paru en février 2012, qui fait référence aux CLSM à plusieurs reprises et affirme les objectifs stratégiques du CLSM.
  • De la Cour des comptes qui recommandait, dans un rapport publié en décembre 2011, de « généraliser les CLSM, regroupant sur un territoire l’ensemble des acteurs de la psychiatrie, les généralistes et leurs partenaires notamment les collectivités territoriales ».
  • Du Haut conseil de la santé publique qui en octobre 2011, d’après l’évaluation du plan psychiatrie et santé mentale préconisait de mieux intégrer la psychiatrie et la santé mentale dans la cité (principe n°4) « les CLSM ont fait leur preuve pour la mobilisation de l’ensemble des acteurs locaux (professionnels, institutions, élus, usagers). Leur développement doit être soutenu ».

Le conseil local de santé mentale (CLSM) est une plateforme de concertation et de coordination entre les élus locaux d’un territoire, la psychiatrie publique, les usagers et les aidants. Il a pour objectif de définir des politiques locales et des actions permettant l'amélioration de la santé mentale de la population.

Les objectifs stratégiques du Conseil Local en Santé Mentale sont :

  • Mettre en place une observation en santé mentale.
  • Permettre l’accès et la continuité des soins.
  • Favoriser l’inclusion sociale et l’autonomie des usagers.
  • Participer aux actions de lutte contre la stigmatisation.
  • Promouvoir la santé mentale.
  • Lorsqu’il existe un Contrat local de santé établi entre la ville et l’ARS, le CLSM est le    dispositif privilégié de la mise en œuvre de son volet « santé mentale ».

Les objectifs opérationnels du CLSM sont :

  • Prioriser des axes de travail en fonction des besoins.
  • Développer une stratégie locale qui réponde aux besoins tant sur le plan de la prévention, de l’accès et de la continuité des soins, que de l’inclusion sociale - mettre en œuvre des actions pour répondre aux besoins et favoriser la création de structures nécessaires.
  • Développer et conforter le partenariat nécessaire et efficace à la réalisation des actions.

Considérant qu’il incombe au Conseil Municipal de décider de la création du CLSM

Madame le Maire demande au Conseil Municipal d’approuver la création du CLSM de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

141 - RECONDUCTION DU DISPOSITIF SERVICE CIVIQUE

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que par délibération n° 109 du 29 septembre 2010, il avait été mis en place le dispositif « service civique », conformément aux dispositions de la loi n° 2010-241 du 10 mars 2010 qui ouvre la possibilité aux jeunes personnes âgées de seize à vingt-cinq ans d’effectuer des missions d’intérêt général reconnues prioritaires pour la Nation.

Cet engagement est effectué auprès de personnes morales agrées, telles les collectivités publiques.

Madame le Maire souligne l’intérêt de ce dispositif :

  • proposer à de futurs jeunes volontaires la possibilité de s’investir dans des missions au bénéfice de la collectivité
  • et, pour la commune, d’améliorer le service rendu grâce au concours de ces jeunes volontaires

Madame le Maire rappelle les conditions que la commune doit assumer et l’aide qu’elle peut recevoir :

  • servir à chaque volontaire une aide en nature ou en espèces d’un montant mensuel de 100,36 € correspondant à la prise en charge de frais d’alimentation (fourniture de repas) ou de transports. Cette aide pourra être versée de différentes manières, (titre repas, accès subventionné à un établissement de restauration collective, remboursement de frais, …)
  • désigner pour chaque jeune un tuteur chargé d’assurer l’accompagnement et le suivi du volontaire dans la réalisation de sa mission et la préparation de son projet d’avenir
  • veiller à dispenser une formation civique et citoyenne (celle-ci pouvant être assurée dans le cadre de l’intermédiation).

Madame le Maire présente l’intérêt pour la commune de reconduire ce dispositif de volontariat des jeunes qui percevront une indemnité directement versée par l’Etat, bénéficieront de la couverture maladie, maternité et des cotisations retraites.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

142 - SIGNATURE D'UNE CONVENTION DE PARTENARIAT FINANCIER AVEC LE DEPARTEMENT ET L'ASEPARG

Madame le Maire rappelle que par délibération n° 171 du 1er octobre 2014, la commune a approuvé la signature d’une convention tripartite afin :

  • D’habiliter l’Association ASEPARG et ses compétences à conduire et à poursuivre des actions visant à prévenir la marginalisation et à faciliter l’insertion des jeunes et des familles.
  • De formaliser cette habilitation ainsi que le partenariat avec le Département par la signature d’une convention tripartite.
  • De verser une subvention à l’Association ASEPARG au titre de l’année 2015 d’un montant de 28 000 €.

Vu le Code de l’Action Sociale et des Familles,
Vu la loi 2002-2 du 2 janvier 2002, rénovant l’action sociale et médico-sociale,
Vu la loi 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance,
Vu la convention-cadre de partenariat entre le Département du Var et l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG du 17 novembre 1999,
Vu la demande de participation financière présentée par l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG pour le fonctionnement de l’association sur le territoire de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, au titre de la Prévention Spécialisée,
Vu le projet de convention définissant le partenariat financier pour l’année 2015 entre la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et l’Association de prévention ASEPARG,

Considérant la mission des Clubs et Associations de Prévention telle que définie à l’article L221-1 alinéa 2 du Code de l’Action Sociale et des Familles exercée par l’Association ASEPARG, laquelle bénéficie depuis son origine de participations financières du Conseil Départemental du Var.

Considérant que l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG a pour but de mettre en place des actions visant à prévenir la marginalisation et à faciliter l’insertion des jeunes et des familles.

Madame le Maire donne lecture du projet de convention tripartite entre le Département du Var, la ville de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et l’Association ASEPARG, convention qui fixe les engagements respectifs des partenaires, les modalités d’évaluation, la durée de la convention et les engagements comptables et le versement de la subvention par la Commune.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal de :

  • reconnaitre l’opportunité de la poursuite de cette opération qui demeure d’intérêt communal
  • l’autoriser à signer cette convention, telle que jointe en annexe qui indique notamment que pour l'année 2015 l'engagement financier du département s'élève à 168 489 € et celui de la commune à 28 000 €.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

143 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR
BUDGET COMMUNE

Madame le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler totalement le titre n° 240 bj n° 47 du 17/03/2014, au nom de la SCCV Le Hameau des Anges concernant la participation Financière due à ERDF pour l’extension et le raccordement du réseau public d’électricité 501 ch. des Anges (PC 83 116 10 O 0069) d’un montant de 7 600,64 €.

En effet, après recherches, les frais de raccordement prévus au devis initial d’ERDF et refacturés à la SCCV Le Hameau des Anges  ont finalement été annulés au motif qu’une autre solution technique n’impliquant pas la participation financière des la Commune de Saint Maximin a été trouvée.

Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur 2014 au compte 1346, son annulation  revient à émettre un mandat au compte de charges 1346, sur lequel des crédits seront prévus à la décision modificative n°1 de 2015.

Madame le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation totale du titre n° 240 du 17/03/2014 pour une somme de 7 600,64 €.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

144 - ANNULATION DE TITRE 2013 SUR LE BUDGET DE LA COMMUNE

Madame le Maire expose au Conseil Municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre suivant :

  • Titre n° 1174 du 28/410/2013 « au nom GB TERRASSEMENT sur le budget de la commune concernant la décharge de classe III pour un montant de 90 € à la demande de la trésorerie pour impossibilité de poursuites pour erreur de tiers.

Il convient donc d’annuler le titre de GB TERRASSEMENT par un mandat au 673 et rétablir un titre de recette au 7034 au nom de Mr BERATO Gabriel pour 90€.

Madame le Maire propose au Conseil Municipal l’annulation de ce titre par un mandat de 90 € au compte 673 « Annulation de titre années antérieures ».

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

145 - ADMISSION EN NON VALEUR SUR LE BUDGET DE LA COMMUNE

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°16/2015 (Etat joint) soit un total de 456 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

147 - ADMISSION EN NON VALEUR SUR LE BUDGET DE L’ASSAINISSEMENT

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le Maire l’état de produits irrécouvrables n°11/2015 (Etat joint) soit un total de 894.02 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

148 - ADMISSION EN NON VALEUR SUR LE BUDGET DE L’ASSAINISSEMENT

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°15/2015 (Etat joint) soit un total de 2 920.63 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

149 - ADMISSION EN NON VALEUR  SUR LE BUDGET DE L’EAU

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°12/2015 (Etat joint) soit un total de 773.47 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

150 - ADMISSION EN NON VALEUR SUR LE BUDGET DE L’EAU

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°14/2015 (Etat joint) soit un total de 3 692.50 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

151 - DÉGRÈVEMENT FACTURES D’EAU / 1er SEMESTRE 2015

Le décret n° 2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur.

Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur.

L'article L 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales prévoit que le service d'eau informe l'abonné en cas d'augmentation anormale de sa consommation. Dans le cas où cette augmentation est due à une fuite de canalisation, le montant de la facture d'eau est plafonné, à condition que l'abonné ait fait réparer la fuite.

Le décret précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d'eau potable après le compteur, à l'exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage. Il précise l'étendue de l'obligation d'information de l'abonné qui incombe au service de distribution d'eau ainsi que la nature des justificatifs à produire par l'abonné pour bénéficier d'un plafonnement de la facture d'eau, le service pouvant procéder au contrôle de ces justificatifs.

Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d'eau sur canalisation après compteur, le volume d'eau imputable à la fuite n'entre pas dans le calcul de la redevance d'assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.

En conséquence, Madame le Maire propose un dégrèvement sur les factures d’eau du 1er semestre 2015, d’un montant total de 7 287,75 €, pour les personnes qui en ont fait la demande (liste jointe en annexe).

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

152 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR FINANCEMENT DES TRAVAUX D'AMENAGEMENT DE LA PLACE MALHERBE

Madame le Maire rappelle que la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume s’est engagée aux côtés de nombreux partenaires dans un projet urbain sur le centre ancien. Touchant à la fois l'habitat, l'urbain et les infrastructures routières, le patrimoine, le social et l'économie, il permet ainsi de traiter durablement l'ensemble des problèmes constatés.

Cette vision globale de la ville vise à requalifier durablement le centre-ville, et promeut la dimension esthétique de l’urbanisme. Elle engage une démarche de renouvellement urbain, complétée par la mise en valeur de l’espace public, du patrimoine architectural et la redynamisation du commerce sédentaire et forain en s’appuyant sur les infrastructures routières existantes.

Les contraintes environnementales, de développement durable et de gestion raisonnée de l’espace, par une utilisation pertinente des infrastructures guident cette réflexion. Il s’agit de créer les conditions du développement harmonieux des quartiers et de leur greffe à la trame urbaine.

La Place Malherbe est une place centrale de la commune, elle se situe au centre de deux axes, un Ouest/Est qui pointe la basilique Sainte-Marie-Madeleine depuis l’avenue Gabriel Péri, et un autre Nord/Sud qui pointe le massif Sainte-Baume depuis l’avenue Maréchal Foch.

Son aménagement participe à la démarche de redynamisation du centre ville et permettra de favoriser la mobilité inter quartiers, en coordonnant tous les modes de déplacements.

Il conviendra de créer un parvis libéré du stationnement anarchique en hiérarchisant les usages et les modes de déplacement, pour offrir un espace paisible et sécurisé aux piétons, ainsi que de larges terrasses aux commerces.

L’aménagement de cette place permettra de réguler les flux quotidiens, d’améliorer la sécurité et fluidifier la circulation.

Le montant des travaux d’aménagement est estimé à 1 000 000,00 € H.T.

Le plan de financement prévisionnel pourrait s’établir comme suit :
Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur :             50 000,00 € H.T.   (5,00 %)
Conseil Général du Var :                                              300 000,00 € H.T.   (30,00 %)
Autofinancement :                                                      650 000,00 € H.T.   (65,00 %)

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’approuver les montants qui figurent au plan de financement
  • de l’autoriser à solliciter auprès du Conseil Régional PACA la demande de subvention,

Alain DECANIS : Nous voterons cette délibération car nous n’avons de raison pour nous opposer à une demande de subvention.
Néanmoins je voudrais formuler deux remarques :
D’une part, pour un projet de cette importance, on peut regretter qu’il n’y ait eu aucune concertation préalable des riverains, des usagers, des commerçants… Nous-mêmes, élus, n’avons pas été associés à la réflexion. Et pourtant, quelle que soit sa sensibilité politique, chacun peut apporter sa contribution à l’aménagement du centre-ville.  En refusant d’associer les deux groupes d’opposition, vous écartez ainsi les représentants de plus de 50% de la population.
D’autre part, je regrette que l’on n’ait pas élaboré un projet global couvrant l’ensemble du centre ancien intra-muros, prenant en compte tous ses aspects (stationnement, circulation, commerce, habitat…). Je suis bien conscient que l’état de nos finances ne peut pas nous permettre de tout faire tout de suite, mais nous aurions ainsi disposé d’un projet global cohérent, à réaliser par tranches au fur et à mesure que l’on aurait été capable de dégager des financements. Une telle démarche aurait pu éviter par exemple de transformer en parking le parvis du couvent après l’aménagement piétonnier des abords du monument aux morts.

Philippe HRYNDA : Nous sommes tout à fait d'accord avec l'intervention de Monsieur DECANIS. Je souhaiterais savoir quand nous pourrons prendre connaissance d'un scéma d'aménénagement.

Madame le Maire : Nous consulterons tout le monde. A ce jour le dossier en est à ses prémices.

La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

153 - ADHESION DES COMMUNES DES ARCS ET DE TRANS AU SYMIELECVAR

Madame le Maire expose aux membres du conseil municipal que le Comité Syndical du SYMIELECVAR a délibéré favorablement le 30 juin 2015 pour l’adhésion des communes des Arcs-sur-Argens et Trans-en-Provence au SYMIELECVAR, en tant que commune indépendante.

Conformément à l’article L 5211-18 du Code Général des Collectivités Territoriales et la loi n° 2004-809 du 13/08/2004, les collectivités adhérentes doivent entériner cette nouvelle demande.

En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • D’accepter l’adhésion au SYMIELECVAR des communes des Arcs-sur-Argens et Trans-en-Provence, en tant que commune indépendantes
  • De l’autoriser à signer toutes les pièces à intervenir pour mettre en œuvre cette décision.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).

 

154 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR L'ANTENNE DE JUSTICE ET DU DROIT

L’Antenne de Justice et du Droit est un service de proximité dont la mission première est l’accès au droit envers tous usagers : elle renseigne sur les droits et devoirs de chacun.

Elle est l’interface entre l’administré et la justice.

Pour mener à bien sa mission, elle est assistée par différents intervenants qui apportent conseils et informations sur toute procédures et ce, gratuitement, en confidentialité totale.

L’Antenne de Justice et du Droit est aussi un service de proximité pour les activités judiciaires, telles que la Protection Judiciaire de la Jeunesse et le Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation.

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • D’approuver la démarche.
  • De l’autoriser à solliciter une subvention d’un montant de 15 000 € auprès du Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur.

Aucun débat.
La délibération est votée à la majorité (abstentions de Gilles PEREZ et de Philippe HRYNDA).