Conseil Municipal du 21 juillet 2015
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Absents représentés : Blandine Gomart-Jacquet (pouvoir à Alain Decanis) - Joëlle Silvy (pouvoir à Pascal Simonetti) - Gilles Perez (pouvoir à Philippe Hrynda) - Clément Deidda (pouvoir à Jacques Freynet) - Horace Lanfranchi (pouvoir à Mireille Boeuf) - Laure Ancolio (pouvoir à Olivier Barau) - Martine Tissier (pouvoir à Anne Marie Lamia) - Olivier Degioanni (pouvoir à Christine Dorgal) - Lombard (pouvoir à Serge Langlet) - Albert (pouvoir à Mohamed Sebbani) |
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Le compte rendu du dernier conseil municipal est approuvé à l'unanimité. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Examen des marchés attribués et des décisions du maire pour le 2ème trimestre 2015 Alain Decanis : Vous avez passé un MAPA pour plus de 12 000 € TTC pour louer un porte-outil équipé d'une épareuse avec chauffeur. Quelle a été la durée de la mission ? Madame le Maire : Trois semaines. |
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97 – CREATION D'UN CHSCT Madame Le Maire, rappelle à l’assemblée : Que conformément aux articles 32 et 33-1 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 et de l’article 27 du décret n° 85-603 du 10 juin 1985 modifié, qu’un Comité d’Hygiène, de sécurité et des conditions de travail est créé dans chaque collectivité ou établissement employant au moins cinquante agents, ainsi qu’auprès de chaque centre de gestion pour les collectivités et établissements employant moins de cinquante agents, Qu’il peut être décidé, par délibérations concordantes des organes délibérants d’une collectivité territoriale et d’un ou plusieurs établissements publics rattachés à cette collectivité, de créer un Comité Hygiène, de Sécurité et des Conditions de travail unique, compétent pour tous les agents des dites collectivités à condition que l’effectif global concerné soit au moins égal à 50 agents. Considérant l’intérêt de disposer d’un Comité Hygiène, de Sécurité et des Conditions de travail unique pour l’ensemble des agents de la Commune et du C.C.A.S. Considérant que les effectifs des fonctionnaires, des agents non titulaires de droit public et de droit privé au 1er janvier 2014 s’élèvent à :
Permettent la création d’un CHSCT Madame le Maire propose à l’assemblée :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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98 - FONCTIONNEMENT DU CHSCT Madame le Maire, rappelle à l’assemblée que : Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et notamment ses articles 32 et 33-1. Vu le décret 85.603 du 10 juin 1985 relatif à l’hygiène et à la sécurité au travail ainsi qu’à la médecine préventive dans la fonction publique territoriale modifié Considérant la consultation des organisations syndicales. Considérant que l’effectif apprécié au 1er janvier 2014 servant à déterminer le nombre de représentants titulaires du personnel est de 310 agents pour la Commune, de 50 agents pour le CCAS et justifie la création d’un CHSCT. Madame le Maire propose à l’assemblée :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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99 - CREATION ET SUPPRESSION DE POSTES Madame le Maire informe les membres du conseil municipal qu’en vertu de l’article 34 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, les emplois de chaque collectivité sont créés par l’organe délibérant. Il appartient donc au conseil municipal de fixer l’effectif des emplois nécessaires au fonctionnement des services. Dans le cadre d’une restructuration des services municipaux et afin d’obtenir une meilleure adéquation entre les qualifications exigées et les postes existants, il serait souhaitable de créer les postes suivants : FILIERE ADMINISTRATIVE
FILIERE TECHNIQUE
Madame le Maire informe également les membres du conseil qu’un certain nombre de postes sont actuellement vacants du fait d’avancements de grade, de promotions internes, de départs à la retraite, d’inaptitude physique. Afin de se mettre en conformité avec les textes qui prévoient que chaque poste figurant en annexe au budget de la commune doit être budgété et après avis favorable du Comité Technique réuni en date du 29 juin 2015, il serait souhaitable de supprimer les postes suivants :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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100 - CESSION D'UNE EMPRISE À DÉTACHER DU CHEMIN DE L’ARGÉRIE AU DROIT DE LA PARCELLE BN 1306 Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Une partie de la maison d’un particulier, Monsieur Gérard BONNAS, propriétaire de la parcelle BN 1306, empiète sur le domaine public routier de la Commune, à savoir un accessoire du le chemin communal de l’Argérie, pour une superficie de 15 m². Cette portion de terrain, qui est en nature de talus arboré, n’assure pas une fonction de desserte. Selon le 2ème alinéa de l’article L. 141-3 du code de la voirie routière, les délibérations du conseil municipal, en matière de classement ou de déclassement, sont dispensées d’enquête publique préalable, sauf lorsque l’opération envisagée a pour conséquence de porter atteinte aux fonctions de desserte ou de circulation assurées par la voie. Le Ministre de l’Intérieur a précisé : En outre, la Jurisprudence considère : Afin de régulariser la situation susvisée, il est envisagé de céder à Monsieur Gérard BONNAS l’emprise correspondante de 15 m², délimitée par un plan de division établi par le cabinet de géomètres experts CURET SEL. En outre, et conformément au 2ème alinéa de l’article L. 141-3 du code de la voirie routière et à la jurisprudence, cette opération ne porte pas atteinte aux fonctions de desserte et de circulation assurée par le chemin de l’Argerie, et dès lors n’est pas soumise à enquête publique préalable. Par ailleurs, dans son avis n° 2015-116V0735, le service France Domaine estime le prix de cette emprise de 15 m² à 2500,00 €. Les frais de géomètre relatifs au détachement de l’emprise de 15 m² du chemin de l’Argerie s’élèvent à 300,00 €. Les frais de rédaction et de publication de l’acte administratif de transfert de propriété sont de 339,00 €, auxquels s’ajoutent les frais de mutation d’un montant d’environ 7% du prix de vente (soit environ 175,00 €). Ainsi, Monsieur et Madame BONNAS ont accepté le prix de cession de 2500 m² et se sont engagés à payer l’ensemble des frais susvisé par courrier du 9 juillet 2015. En conséquence, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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101 - DÉNOMINATION DE VOIES La commune s’est engagée dans une démarche de rénovation des adresses en partenariat avec La Poste, le SDIS 83, la Direction départementale des finances publiques du VAR et l’association des maires du VAR. À ce jour, de nombreux foyers ne bénéficient pas d’une adresse complète : leur adresse ne comporte pas de nom de voie et/ou de numéro de rue. Or, sans nom de voie et/ou de numéro, l’accès au logement est difficile, aussi bien pour les facteurs que pour les services de secours ou les services à domicile. Et chacun sait qu’une intervention rapide et certaine sur le lieu exact d’un sinistre peut sauver des vies. La qualité des adresses est donc indispensable. À partir d’un recensement réalisé par les services municipaux, la démarche engagée consiste à dénommer les voies non dénommées, rebaptiser des voies au nom trop proche ou en doublon, numéroter les habitations en l’absence de numéro ou renuméroter en cas de mauvaise numérotation ou de numérotation partielle. Le maire tient de ses pouvoirs généraux de police le droit de contrôler les dénominations de toutes les voies et d’interdire celles qui seraient contraire à l’ordre public et bonnes mœurs. Il existe plusieurs catégories de voies :
Il s’agit, dans cette délibération, de confirmer des dénominations de voies publiques puisque la dénomination des voiries communales est de la compétence du conseil municipal. L’objectif poursuivi est de mettre à jour le tableau de classement des voies de la commune ainsi que la numérotation des voies par arrêté municipal afin de transmettre ces données à nos partenaires (DGFIP, INSEE, La Poste, SDIS…) par l’intermédiaire du CRIGE PACA. Les voies publiques concernées sont les suivantes :
Pour permettre de communiquer ces informations, Madame le Maire propose de confirmer la dénomination des voies telle que précitée. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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102 - AUTORISATION DONNEE A MADAME LE MAIRE DE SOLLICITER UNE AIDE FINANCIERE POUR LES BORNES D’ACCES À INTERNET Conformément à la loi organique n° 2013-1114 du 6 décembre 2013 portant application de l’article 11 de la Constitution, le référendum d’initiative partagée est entré en vigueur au 1er janvier 2015. Prévu par l’article de la Constitution à la suite de la révision constitutionnelle de 2008, ce dispositif permet aux parlementaires et aux électeurs de soutenir des propositions de loi en vue de les soumettre au référendum. Conformément à l’article 5 de la loi organique, les soutiens des électeurs aux propositions de loi référendaires sont recueillis « sous forme électronique », sur le site internet du Gouvernement. Pour les électeurs ne disposant pas d’un ordinateur connecté à internet, l’article 6 de la loi organique prévoit que « des points d’accès à un service de communication au public en ligne permettant aux électeurs d’apporter leur soutien à la proposition de loi présentée en application de l’article 11 de la Constitution par voie électronique sont mis à leur disposition au moins dans la commune la plus peuplée de chaque canton » et qu’un électeur peut « faire enregistrer électroniquement par un agent de la commune ou du consulat son soutien présenté sur papier » L’arrêté préfectoral du 07 avril 2015 a précisé la liste des communes les plus peuplées de chaque canton, et la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume en fait partie. L’État soutient financièrement la mise en place des bornes d’accès à internet dans la limite maximale de 850 € pour chaque mairie. À ce titre, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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103 - ADOPTION DU REGLEMENT DU SERVICE PUBLIC D'ASSAINISSEMENT COLLECTIF Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que, à ce jour, la Commune de Saint-Maximin la Sainte-Baume n’est pas dotée d’un règlement de service en matière d’assainissement collectif. Aux termes de l’article L.2224-12 du Code général des collectivités territoriales : « Les communes et les groupements de collectivités territoriales, après avis de la commission consultative des services publics locaux, établissent, pour chaque service d'eau ou d'assainissement dont ils sont responsables, un règlement de service définissant, en fonction des conditions locales, les prestations assurées par le service ainsi que les obligations respectives de l'exploitant, des abonnés, des usagers et des propriétaires. Le projet de Règlement de service sera soumis pour avis à la séance de la CCSPL le 21 juillet 2015 Le présent règlement de service qui est soumis au vote du Conseil municipal définit les relations entre le Service Public de l'Assainissement et l'usager du service, ainsi que les conditions et modalités de déversement des effluents dans les réseaux d'assainissement, afin que soient assurés la sécurité, la salubrité, l'hygiène publique et le respect et la protection de l'environnement, conformément à la réglementation en vigueur. Il est rappelé que le service public de l'assainissement non collectif (SPANC) ne relève pas du présent règlement. De même, le présent règlement ne concerne pas les matières de vidange issues des dispositifs d'assainissement non collectifs qui doivent être éliminées conformément aux dispositions règlementaires en vigueur. Le réseau d’assainissement collectif de la commune de Saint-Maximin la Sainte-Baume relève du système de type séparatif, c’est-à-dire qu’il distingue les eaux usées des eaux pluviales. Aux termes des dispositions du règlement, les catégories d'eaux susceptibles d'être déversées dans le réseau public sont : les eaux usées domestiques, les eaux usées assimilables à un usage domestique, les eaux usées autres que domestiques, et, à titre exceptionnel, les eaux de piscines privées réservées à l’usage familial. Le règlement de service prévoit : Madame le Maire invite le conseil municipal à délibérer. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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104 - MOTION DE SOUTIEN À L’ACTION DE L’ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE PAR RAPPORT A LA BAISSE DES DOTATIONS DE L’ÉTAT Madame le Maire informe le conseil municipal que les collectivités locales et leurs intercommunalités, risquent d’être massivement confrontées à des difficultés financières d’une gravité exceptionnelle. Dans le cadre du plan d’économies de 50 milliards d’euros qui sera décliné sur les années 2015-2017, les concours financiers de l’Etat sont en effet appelés à diminuer :
Dans ce contexte, le bureau de l’AMF a souhaité, à l’unanimité, mener une action forte et collective pour expliquer de manière objective la situation et alerter solennellement les pouvoirs publics sur l’impact des mesures annoncées pour nos territoires, leurs habitants et les entreprises.
La diminution drastique des ressources locales pénalisera à terme nos concitoyens, déjà fortement touchés par la crise économique et sociale et pourrait fragiliser la reprise pourtant indispensable au redressement des comptes publics.
Alain Decanis : Ces dernières décennies la dette publique de la France n’a cessé d’augmenter, pour atteindre 2 089 milliards d’Euros au 1er trimestre 2015, soit 97.5 % du Produit Intérieur Brut.
La fonction publique d’Etat a déjà subi une sérieuse cure d’amaigrissement sous l’ère Sarkozy, et certains ministères éprouvent même de sérieuses difficultés pour remplir leur mission de service public.
Nous voterons donc contre la motion de l’AMF, mais assortirons ce refus d'une contre proposition visant à demander le maintien d’un niveau de dotation d’Etat aux collectivités territoriales, uniquement à condition que ces dernières consacrent x% des dotations au financement d’investissements et non à leur fonctionnement. Une telle mesure contribuerait à la relance économique avec des effets positifs sur la création d’emplois dans le secteur marchand, sans accroitre le déficit de l’Etat. aux collectivités territoriales, mais uniquement à condition qu’elles consacrent x% des dotations obtenues au financement d’investissements, et non à leur fonctionnement. Une telle mesure contribuerait à la relance économique avec des effets positifs sur la création d’emplois dans le secteur marchand, sans accroitre le déficit de l’Etat. Les années à venir s’annoncent difficiles et, en qualité de citoyens, nous préférons voir réduit le train de vie des collectivités territoriales et de leurs élus, plutôt que de devoir travailler jusqu’à 67 ans ou subir une diminution sensible de nos salaires ou retraites. Philippe Hrynda : Le groupe bleu marine votera contre cette motion pour les mêmes raisons. La motion est adoptée à la majorité (votes contre de Gilles Perez, Philippe Hrynda, Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascalle Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy). |
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105 - BILAN D'ACTIVITE 2014 DE CINEODE Aux termes de l’Article L1411-3 du Code général des collectivités territoriales : Le délégataire produit chaque année avant le 1er juin à l'autorité délégante un rapport comportant notamment les comptes retraçant la totalité des opérations afférentes à l'exécution de la délégation de service public et une analyse de la qualité de service. Ce rapport est assorti d'une annexe permettant à l'autorité délégante d'apprécier les conditions d'exécution du service public. Depuis la loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité, l'article L 1413-1 du code général des collectivités territoriales précise également le rôle de la commission consultative des services publics locaux (CCSPL) pour l’examen de ces rapports, laquelle a été créée par délibération n° 63 du 23 avril 2014. Madame le Maire rappelle qu’un contrat de délégation de service public a été signé le 09 novembre 2011 avec Cinéode concernant l’exploitation de la salle de cinéma pour une durée de sept ans (prise d’effet le 1er février 2012) Le bilan d’activités 2014 a été adressé par le délégataire. Celui-ci rend compte notamment du bilan financier, des entrées et programmations réalisées en 2014. Conformément à l’article 1411-3 du Code Général des Collectivités Territoriales, l’examen de ce document est être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prendra acte de cette démarche. Le rapport du délégataire présenté au Conseil municipal au titre de l'exercice 2014 comprend :
Le rapport du délégataire sera soumis pour avis à la séance de la CCSPL le 21 juillet 2015. Il appartient donc au Conseil municipal de l'examiner pour en prendre acte. En conséquence, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir prendre acte du rapport de CINEODE afférent à la délégation de service public concernant l’exploitation de la salle de cinéma sise sur le territoire de la Commune de Saint-Maximin. Philippe Hrynda : Lors d'un précédent conseil nous avions émis le souhait qu'un tarif préférentiel soit appliqué pour les habitants de Saint-Maximin. Vous nous aviez répondu que cela serait étudié. Où en est-on ? Madame le Maire : Le tarif est déjà très bas pour tous les spectateurs. Alain Decanis : Cela fait déjà plusieurs années que je réclame le coût de fonctionnement annuel du pôle culturel, cela fait des années qu'on me le promet. Quand pourrais-je effectivement en disposer ? Madame le Maire : Vous l'aurez. Le rapport ne donne pas lieu à un vote. |
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106 - BASILIQUE / CHŒUR / STALLES DU CHŒUR Madame le Maire rappelle que lors de sa séance du 6 juin 2015 le conseil municipal avait approuvé la décision de procéder au traitement des bois des stalles du chœur de la basilique. Afin de mener à bien cette opération, il s’est avéré nécessaire de demander à une entreprise spécialisée de déposer et de reposer les 6 toiles qui ornent à l’intérieur et à l’extérieur cet objet mobilier classé en 1840 Monument Historique au titre immeuble. Un devis a été demandé à l’entreprise Gilles Tournillon Ebéniste, approuvé par la CRMH (Conservation Régionale des Monuments Historiques). Le montant de la prestation est de 3 291,00 € HT (soit 3 949,20 € TTC). L’Etat apporterait une subvention de 1 316,40 € représentant 40 % du montant total H.T de cette opération, dans le cadre du programme de restauration des objets mobiliers protégés au titre des monuments historiques, année 2015. Le plan de financement serait donc :
Madame le Maire demande au Conseil Municipal : La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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107 - BILAN DE FONCTIONNEMENT 2014 DE LA STATION DE POTABILISATION DE LA SOCIÉTÉ DU CANAL DE PROVENCE Aux termes de l’Article L2224-5 du Code général des collectivités territoriales : Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers. Depuis la loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité, l'article L 1413-1 du code général des collectivités territoriales précise également le rôle de la commission consultative des services publics locaux (CCSPL) pour l’examen de ces rapports, laquelle a été créée par délibération n° 63 du 23 avril 2014. Le rapport 2014 de la Société du Canal de Provence rend compte des activités de la société dans le cadre du service de l’eau au titre de la concession régionale PACA et de la concession départementale du Vaucluse, pour le compte des clients agriculteurs, ruraux, urbains et industriels. Il retrace également les opérations d’ingénierie réalisées en France ou à l’International. Le rapport sera soumis pour avis à la séance de la CCSPL le 21 juillet 2015. Il appartient donc au Conseil municipal de l'examiner pour en prendre acte. En conséquence, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
Le rapport ne donne pas lieu à un vote. |
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108 - RAPPORT D'ACTIVITES DE LA SOCIÉTÉ PUBLIQUE LOCALE « ID 83 » Dans le cadre de leurs compétences, les Communes peuvent créer ou participer à des sociétés d’économie mixte locales qui les associent à une ou plusieurs personnes privées, à d’autres personnes publiques pour réaliser des opérations d’aménagement, de construction, pour exploiter des services publics à caractère industriel ou commercial ou pour toute autre activité d’intérêt général. Les collectivités territoriales et leurs groupements peuvent également créer des sociétés publiques locales dont ils détiennent la totalité du capital. Les SPL sont composées d’au moins deux membres et exercent leurs activités exclusivement pour le compte de leurs actionnaires et sur le territoire de leurs membres. Elles sont compétentes pour réaliser des opérations d’aménagement, des opérations de construction ou pour exploiter des services publics à caractère industriel ou commercial ou toutes autres activités d’intérêt général. En matière d’information des élus membres des collectivités territoriales, l’article L.1524-5 du code général des collectivités territoriales dispose : « les organes délibérants des collectivités territoriales et de leurs groupements actionnaires se prononcent sur le rapport écrit qui leur est soumis au moins une fois par an par leurs représentants au conseil d’administration (...) » Par délibération n° 108 en date du 20 juillet 2011, le conseil municipal a adhéré à la Société Publique Locale « Ingénierie Départementale 83 ». Le document présenté au Conseil municipal comprend le rapport d’activité de l’exercice 2014 et plan d’action 2015 des mandataires. Au titre de cet exercice, les représentants de la Commune au sein du Conseil d’administration de la SPL étaient de 1. Il appartient donc au Conseil municipal de l'examiner pour en prendre acte. En conséquence, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
Alain Decanis : Pourriez-vous nous indiquer quelles sont les actions pour lesquelle on a fait appel à cette SPL. Madame le Maire : Le traitement des déchets inertes en 2014. Jacques Freynet : Cette année nous l'utiliserons pour l'élargissement des ponts de la plaine. Le rapport ne donne pas lieu à un vote. |
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109 - RAPPORT 2014 DE L'AUTORITE CONCEDANTE DU SYMIÉLEC Le rapport 2014 est le second consécutif à l’audit réalisé en 2013 par un bureau d’étude spécialisé qui a permis au syndicat de réaliser un bilan patrimonial, financier et technique très important pour la concession. Ce rapport donne des informations très concrètes sur le rôle du Syndicat Mixte de l’Energie des Communes du Var en matière de contrôle de concession dont ErDF a la charge. Conformément à l’article L 1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales, l’examen de ce document doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prendra acte de cette démarche. Le rapport ne donne pas lieu à un vote. |
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110 - DÉGRÈVEMENT DES FACTURES D’EAU DU 1er SEMESTRE 2015 Le décret n° 2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur. Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur. En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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111 - DÉGRÈVEMENT FACTURES D’EAU DU 2ème SEMESTRE 2014 Le décret n° 2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur. Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur. En conséquence, Madame le Maire propose un dégrèvement d’un montant de 143,28 € sur la facture précitée. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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112 - CONVENTION RELATIVE À L’UTILISATION DES LOCAUX DU LYCÉE JANETTI PAR LA COMMUNE Madame le Maire donne lecture de la convention relative à l’utilisation des locaux du Lycée Maurice Janetti par la Commune pour l’année 2015–2016 Elle rappelle qu’il convient de reconduire pour 2015– 2016 cette convention réactualisée (voir ci-dessous) Il est entendu que cette nouvelle convention devra faire l’objet de façon concomitante d’une délibération du conseil d’administration du lycée approuvant les termes et les modalités du document. Madame le Maire demande au Conseil Municipal :
Madame le Maire précise que les dépenses sont inscrites au BP 2015. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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CONVENTION RELATIVE A L’UTILISATION DES LOCAUX, HORS TEMPS SCOLAIRE Entre les soussignés, D’UNE PART :
Ci-après désignée « la Région » ;
Ci-après désigné « L’E.P.L.E. (A) » ;
Ci-après désigné »La Commune » ; VU le code Général des collectivités territoriales, notamment ses articles L.1311-15 et L.4231-4, IL A ETE CONVENU CE QUI SUIT : Préambule : Conformément à l’article L.212-15 du Code de l’éducation et après l’avis du conseil d’administration de l’établissement il peut être prévu l’utilisation des locaux et équipements des lycées à l’initiative du maire et sous sa responsabilité. L’utilisation se déroulera pendant les heures ou les périodes au cours desquelles les locaux ne sont pas utilisés pour les besoins de la formation initiale ou continue. Il convient qu’une convention soit établie entre les parties pour organiser l’utilisation des locaux et l’usage des matériels. ARTICLE 1 : OBJET DE LE CONVENTION La Région autorise l’utilisateur à occuper temporairement et de manière précaire et révocable, les biens suivants :
La présente mise à disposition est réalisée pour les besoins exclusifs de la Commune qui s’engage à ne pas dépasser simultanément un effectif maximum total de 149 personnes sur le gymnase, 50 personnes sur la salle d’expression corporelle, 150 personnes sur l’amphithéâtre. Dans le cas de renonciation ou de non utilisation ou des locaux et des équipements mentionnés à l’article 1 par la Commune, cette dernière est tenue d’en informer par écrit au plus tôt l’E.P.L.E. (A) 15 jours avant la date de début de la mise à disposition. En cas de modification de l’affectation des locaux, la présente convention sera résiliée de plein droit. ARTICLE 2 : NATURE DE L’ACTIVITE La Commune est autorisée à occuper les locaux scolaires et équipements pour réaliser les activités suivantes:
ARTICLE 3 : PERIODE(S) D’UTILISATION La Commune est autorisée à occuper les locaux et à utiliser, le cas échéant, les équipements et matériels pour la ou les période(s) suivantes :
L’amphithéâtre sera utilisé jusqu’au 10 juin 2016 période différente de celle de la convention. Cet espace est destiné à recevoir les épreuves du baccalauréat à compter du 15 juin 2016. ARTICLE 4 : DUREE Cette convention est conclue pour une durée d’un an. Elle prendra effet à compter de sa signature par l’ensemble des parties et de sa notification. Cette autorisation étant accordée sur le domaine public régional, elle est donc précaire et révocable pour tout motif d’intérêt général. Si la Région entreprend des travaux rendant nécessaires la modification des locaux mentionnés à l’article 1er de la présente convention, la Région devra informer les parties de son projet au moins 3 mois avant le début des travaux, sauf en cas de travaux urgents. Une nouvelle convention devra alors être signée entre la Région, le Lycée et la Commune. ARTICLE 5 : DISPOSITIONS FINANCIERES La Commune s’engage à verser à l’E.P.L.E. (A), sur présentation d’une facture par ce dernier, une participation financière d’un montant total de 9.900,00 €, calculée sur la base des tarifs planchers arrêtés par la Région en fonction du type de locaux mis à sa disposition et du nombre de jours ou d’heures d’utilisation, selon le détail suivant :
Trimestre 1 (août-décembre) : 500 heures x 7€ = 3.500,00 €
Le rappel des tarifs adoptés par la Collectivités Régionale figure, pour information, en annexe N°1 de la présente convention. La Région validera au moment de la signature de la convention le montant de la participation financière. Ces participations sont des minimums et ont été calculées par référence aux coûts moyens de fonctionnement constatés au m² en y intégrant notamment l’entretien et la viabilisation. ARTICLE 6 : OBLIGATIONS ET RESPONSABILITES DE LA COMMUNE
La Commune usera des locaux et les matériels visés à l’article 1 mis à disposition pour l’organisation exclusive des activités prévues à l’article 2.
Par la présente convention, la Commune reconnaît avoir souscrit une police d’assurance couvrant tous les dommages causés pendant l’utilisation des locaux et des équipements ou être en capacité de prouver qu’il est son propre assureur (exemple des services de l’Etat).
L’annexe MS 46 (arrêté du 11 décembre 2009, publié au JORF du 16 février 2010) relative à la composition et à la mission du service de sécurité incendie précise que la responsabilité de la sécurité est déléguée au bénéficiaire dans les cas d’activités sans hébergement dont l’effectif maximal ne dépasse pas 300 personnes. La Commune reconnait :
La Commune s’engage à donner au lycée et à la Région :
Il conviendra de renseigner et de signer l’annexe sécurité prévue à cet effet (cf. annexe 2).
L’annexe MS46 précise, dans le cas d’un hébergement, et ce quelque soit le nombre de participants, la responsabilité du système de sécurité incendie relève de la compétence de l’exploitant des locaux, à savoir le lycée. Cette compétence ne peut être déléguée en aucun cas à la Commune. Il appartient donc aux EPLE et EPLEA de veiller au bon fonctionnement des matériels et des équipements de protection contre l’incendie, d’en effectuer ou de faire effectuer les essais et l’entretien, en y affectant si nécessaire une partie des recettes encaissées dans l’occupation du domaine public régional. ARTICLE 7 : CONDITIONS GENERALES La présente convention est effectuée aux conditions ordinaires et de droit et sous celles particulières suivantes que la Commune accepte expressément :
Un état des lieux d’entrée et de sortie sera dressé contradictoirement entre le lycée et l’occupant avant l’entrée en jouissance de ce dernier.
La Commune sera responsable du maintien en bon état des locaux et biens meubles mis à sa disposition, et devra les restituer en l’état à l’issue de la présente convention. En conséquence, la partie prenante s’engage dans le cadre de l’utilisation des locaux et/ou des équipements de l’E.P.L.E. (A) ainsi mis à disposition, à :
ARTICLE 8 : DISPOSITIONS RELATIVES AU LOGEMENT DE FONCTION (LE CAS ECHEANT) Le logement est mis à la disposition de la Commune aux fins d’y installer un agent municipal chargé du gardiennage. Toutefois, la Commune est titulaire d’un droit d’occupation et non d’un bail. Ce droit d’occupation est accordé à titre précaire et révocable. En contrepartie de la mise à disposition de ce logement, la Commune s’engage à ce que le gardien municipal logé :
A toute réquisition, l’agent municipal logé devra justifier du paiement des primes. En aucun cas la responsabilité de la Région ne pourra être recherchée concernant l’occupation courante de ce logement à compter de sa mise à disposition par elle. ARTICLE 9 : RESPONSABILITE DE L’E.P.L.E. (A) Il appartient à l’E.P.L.E. (A) d’informer la Région sur les travaux à mettre en œuvre pour l’entretien des locaux et des équipements mis à disposition. ARTICLE 10 : RESILIATION En cas de non respect de ses obligations, une mise en demeure sera adressée à la partie défaillante par lettre recommandée avec accusé de réception le sommant d’appliquer les termes de la convention. Cette partie aura un mois pour rétablir la situation conformément à la présente convention. A défaut, la présente convention sera résiliée de plein droit, par lettre recommandée avec accusé de réception effectuée par l’une des autres parties. En cas de motif d’intérêt général justifiant la résiliation de la présente mise à disposition, la présente convention sera résiliée de plein droit 1 mois après notification à la partie défaillante par la Région du motif justifiant de ce retrait. ARTICLE 11 : LITIGES Toute contestation qui pourrait surgir à propos de l’existence, de l’exécution ou de la réalisation de la présente convention est de la compétence exclusive du Tribunal Administratif compétent. ARTICLE 11 : ELECTION DE DOMICILE Pour l’exécution des présentes et notamment la réception de tous actes extrajudiciaires ou de poursuites, les parties dont élection de domicile : Pour la Région, en l’Hôtel de Région, 27 Place Jules Guesde, 13 481 Marseille cedex 20 Fait à Marseille, le
Le Chef d’Etablissement, Le Président du Conseil régional, Le Maire,
Jocelyne GIRAULT Michel VAUZELLE C. LANFRANCHI-DORGAL |
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113 - CONVENTION DE MISE À DISPOSITION DE LA PISTE D'ATHLETISME Madame le Maire donne lecture de la convention relative à la mise à disposition du lycée Maurice Janetti de la piste d’athlétisme du parc des sports municipal ainsi que des vestiaires et sanitaires s’y rapportant. Madame le Maire précise que les dépenses sont inscrites au budget 2015 Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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114 - SUBVENTION EXCEPTIONNELLE ATTRIBUEE A L'ATHLÉTIC BASKET CLUB Madame le Maire informe le conseil municipal que l’association « Athletic Basket Club» a déposé une demande de subvention exceptionnelle pour l’année 2015 d’un montant de 2 000 €. En effet, cette association a été victime d’une « arnaque » au photocopieur par une société de location avec laquelle un contrat de longue durée (63 mois) a été signé. L’association s’engageait à louer un photocopieur et sa maintenance, et la société lui versait tous les 20 mois une somme d’argent et un complément en sponsoring couvrant largement les dépenses mensuelles. Il s’est avéré qu’en réalité, il s’agissait d’un contrat tripartite qui n’a été découvert qu’une fois le contrat signé. L’intégralité du contrat est financée par un leaser. La société en reverse une partie aux associations comme participation pour les vingt premiers mois. Par contre, l’association doit rembourser les 63 mois auprès du leaser. Au bout des 20 mois, la société a demandé de signer un nouveau contrat pour 63 mois afin de pouvoir verser leur seconde participation. L’association se retrouve avec le choix de se réengager sur 63 mois ou de rembourser les 43 mois restant auprès du leaser. S’agissant, d’après l’avocat de l’association, d’une stipulation contractuelle ambiguë et d’un régime juridique (LLD) ne correspondant pas au bon de commande (LOA), l’association a donc déposée plainte afin de faire « casser » ce contrat. Une action en justice est donc en cours. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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115 - SUBVENTION EXCEPTIONNELLE ATTRIBUEE A UN SPORTIF DE HAUT NIVEAU Justine REYNAUD et Alexis LÉONARDO sont de jeunes Saint-Maximinois licenciés du Club CAP DANSE. Ils détiennent le statut de sportifs de haut niveau de la liste sénior du ministère des sports. Leur préparation nécessite un gros investissement. Ils doivent notamment suivre des stages, prendre des cours particuliers et se déplacer à leurs frais dans différentes grosses compétitions internationales, le club n’ayant pas les moyens de participer à ces dépenses. Madame le Maire propose au conseil municipal d’octroyer à chaque jeune sportif une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 000 € afin qu’ils puissent poursuivre leur parcours sportif de haut niveau. En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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116 - SUBVENTION EXCEPTIONNELLE ATTRIBUEE A UN SPORTIF DE HAUT NIVEAU Monsieur Grégory FLAYOLS est un jeune Saint-Maximinois licencié de la toute récente association de la commune « St Max Penta ». Il détient également le statut de sportif de haut niveau de la liste du ministère des sports. Il est classé premier junior français pour cette saison dans le classement national des pentathlètes junior, dans les 5 disciplines de ce sport Sa préparation nécessite un gros investissement. Afin d’arriver à ce niveau, il doit suivre des stages et faire de multiples compétitions. Par courrier reçu en mairie, il sollicite une aide financière afin de pouvoir poursuivre son projet. Madame le Maire propose d’octroyer à Monsieur Grégory FLAYOLS une subvention exceptionnelle d’un montant de 1000 €. En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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117 - SUBVENTION EXCEPTIONNELLE ATTRIBUEE A L'ASSOCIATION « LES JARDINIERS DE SAINT-MAXIMIN » Madame le Maire informe le conseil municipal que l’association « Les Jardiniers de Saint-Maximin» a déposé une demande de subvention exceptionnelle pour l’année 2015 d’un montant de 600 €. En effet, cette association est naissante et a besoin d’une aide financière pour pouvoir payer ses premières factures d’eau au Canal de Provence. La petite trésorerie qu’elle possède lui servira à obtenir son rattachement aux Jardiniers du Grand Sud et de ce fait bénéficier de leur assurance responsabilité civile. Madame le Maire propose donc le versement d’une subvention exceptionnelle d’un montant de 600 €.
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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118 - CLASSEMENT DE L’OFFICE DE TOURISME DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME Madame le Maire rappelle que :
Madame le Maire précise que cette décision est arrivée à échéance et qu’il appartient en conséquence à la commune, de solliciter le renouvellement du reclassement de l’Office du Tourisme qui interviendra après avis de la Commission Départementale de l’Action Touristique. Madame le Maire rappelle que l’office de Tourisme de Saint-Maximin répond aux critères permettant son classement.
Au vu de ces éléments, Madame le Maire propose de solliciter le même type de classement que précédemment de l’Office de Tourisme de Saint-Maximin, à savoir 2 étoiles. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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119 - RENOUVELLEMENT DE LA DÉNOMINATION COMMUNE TOURISTIQUE Madame le Maire que par délibération n° 87 en date du 30 juin 2010, le Conseil Municipal de la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume a sollicité auprès des services compétents de l’Etat, la dénomination de commune touristique. Cette dénomination a été accordée par arrêté préfectoral en date du 29 novembre 2010, pour une durée de 5 ans. Vu le code général des collectivités territoriales Vu le code du tourisme, notamment son article L. 133-11 Vu le décret n° 2008-884 du 2 septembre 2008 relatif aux communes touristiques et aux stations classées de tourisme, notamment son article 3 Vu l’arrêté préfectoral en date du 1er juin 2010 classant l’Office de Tourisme de Saint-Maximin dans la catégorie 2*. Vu la délibération n° 118 en date du 21 juillet 2015 demandant le renouvellement du classement de l’Office du Tourisme dans la catégorie 2* Considérant que la commune de Saint-Maximin dispose des moyens exigés pour répondre aux critères d’éligibilité à la dénomination de commune touristique, à savoir :
Considérant que cette demande s’inscrit dans la démarche engagée par la municipalité en faveur de la dynamisation de l’activité touristique et commerciale de la ville. Madame le Maire propose au Conseil Municipal de l’autoriser à solliciter, auprès des services compétents de l’Etat, le renouvellement de la dénomination de Commune Touristique pour la ville de Saint-Maximin et de l’autoriser à signer tous les documents relatifs à cette demande. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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120 - RAPPORT D'ACTIVITES ET FINANCIER 2014 DE L'ASEPARG L'article L. 1611-4 du Code général des collectivités territoriales prévoit que “toute association, œuvre ou entreprise ayant reçu une subvention peut être soumise au contrôle des délégués de la collectivité qui l'a accordée. Tous groupements, associations, œuvres ou entreprises privées qui ont reçu dans l'année en cours une ou plusieurs subventions sont tenues de fournir à l'autorité qui a mandaté la subvention une copie certifiée de leurs budgets et de leurs comptes de l'exercice écoulé, ainsi que tous documents faisant connaître les résultats de leur activité”. L'article L. 1611-4 doit être lu en combinaison avec la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 aux termes de laquelle “lorsque la subvention est affectée à une dépense déterminée, l'organisme de droit privé bénéficiaire doit produire un compte rendu financier qui atteste de la conformité des dépenses effectuées à l'objet de la subvention”. Ce texte ne s'applique qu'en cas de subvention supérieure à 23 000 euros sur un an (Décret n° 2001-495, 6 juin 2001, art. 1er). Le compte rendu financier est remis à la collectivité publique dans les six mois qui suivent la fin de l'exercice subventionné. Aux termes de l'arrêté du ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l'État du 24 mai 2005 (JO 29 mai, p. 9518), ce compte rendu se limite à la description des "opérations comptables destinées à la réalisation de l'action subventionnée", et à l'information de l'autorité de contrôle (l'arrêté détaille les informations requises). Le compte rendu ne saurait donc retracer l'ensemble de la comptabilité ni le compte d'exploitation de l'entreprise (sauf texte spécifique), pas plus que des informations sur le bénéficiaire sans rapport avec l'objet de l'aide. En outre, selon l'article L. 1511-4 du Code général des collectivités territoriales, les collectivités territoriales et leurs groupements déterminent “la nature et le montant des garanties imposées” aux entreprises comme à leurs dirigeants, pour la réalisation de l'objectif aidé. Il s’agit ici d’une véritable obligation. En effet, le bénéficiaire d'une aide n'obtient le concours pécuniaire que parce qu'il s'engage à faire certaines prestations d'intérêt général. Le contrôle du bénéficiaire de l'aide permet d'assurer l'effectivité des conditions à l'aide, et d'en améliorer l'efficacité sur le plan économique et social. Il se matérialise par des conditions à respecter en contrepartie du soutien. L’ASEPARG propose et conduit des actions éducatives auprès des jeunes et des familles en difficulté ou en rupture avec leur milieu. Sa mission est autorisée et conventionnée par le service de l’Aide Sociale à l’Enfance du Département en application du Code de l’Action Sociale et des Familles. Une subvention lui a été accordée par le Conseil municipal de la Commune de SAINT-MAXMIN-LA-SAINTE-BAUME selon la délibération n°48 en date du 14 avril 2015, pour un montant de 28 000,00 €. Une convention de subventionnement a été signée le 30 avril 2015. Dans ce cadre, le rapport d’activité 2014 de cette association rend compte de ses actions éducatives auprès des jeunes et des familles en difficultés ou en rupture avec leur milieu. Les orientations générales de l’association peuvent être définies selon 4 logiques d’intervention :
Il appartient donc au Conseil municipal de l'examiner pour en prendre acte. En conséquence, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
Le rapport ne donne pas lieu à un vote. |
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121 - TARIFS DES TRANSPORTS SCOLAIRES Vu Code Général des Collectivités Territoriales et plus particulièrement l’article L2331-2 ; Vu la délibération n° 132/2014 fixant les tarifs liés à la restauration scolaire, à l’accueil périscolaire et aux transports scolaires pour l’année scolaire 2014/2015 ; Vu la convention d’organisation et de financement des transports scolaires n°2004-229 du 27/01/2004 entre le Département du Var et la commune de St-Maximin, organisateur de 2ème rang ; Vu le règlement départemental des transports, modifié par délibération du 20 août 2012 ; Il est demandé au Conseil municipal de fixer les tarifs tels que définis ci-dessous pour l’année scolaire 2015/2016 Tarifs transport scolaire A – COLLÉGIENS ET LYCEENS Rappel des Tarifs 2014/2015
Tarifs 2015/2016
B – PRIMAIRES ET PRE-ÉLÉMENTAIRES Rappel des Tarifs primaires 2014/2015
Rappel des Tarifs pré-élémentaires 2014/2015
Tarifs primaires 2015/2016
Tarifs pré-élémentaires 2015/2016
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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122 - DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU FONDS INTERMINISTERIEL DE PRÉVENTION DE LA DÉLINQUANCE La lutte contre le terrorisme est une priorité nationale. En complément de l’appel à projet pour 2015 du Fonds Interministériel de prévention de la délinquance (FIPD), l’État lance un appel à projet spécifique aux actions de prévention de la radicalisation. Cet appel à projet s’inscrit dans le cadre du renforcement du dispositif de lutte contre le terrorisme. La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume souhaite s’inscrire activement dans ce dispositif. À ce titre, Madame le Maire demande au Conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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123 - VEILLE MÉDIATION AUX ABORDS DU LYCÉE JANETTI La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume met en place des veilles/médiations aux abords du lycée polyvalent Maurice Janetti deux après-midi par semaine hors vacances scolaires. Celles-ci sont effectuées par les animateurs/médiateurs du service Éducation Jeunesse Citoyenneté. Cette action fait partie du CLSPD. Les objectifs de ces veilles sont :
Le budget prévisionnel s’établit comme suit :
Cette action fait partie du CLSPD. Le contenu et les modalités de sa mise en œuvre sont détaillés dans la fiche action et le prévisionnel joints en annexe. Madame le Maire propose au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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PREVISIONNEL FINANCIER 2015
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124 - DEMANDE DE SUBVENTIONS 2015 AU CONSEIL DEPARTEMENTAL AU TITRE DU CONTRAT DE TERRITOIRE 2013-2015 Madame le Maire informe les membres du Conseil Municipal que l’année 2015 constituera pour le Conseil Départemental du Var, la troisième année de mise en œuvre du Contrat de Territoire 2013-2015. Ce dernier s’inscrit dans une démarche de développement durable, harmonieux et équilibré. Cette démarche de territorialisation du Conseil Départemental du Var nécessite de mettre en cohérence toutes les interventions du département à l’échelle du territoire en considérant tout à la fois l’intérêt local et l’intérêt départemental de chaque projet. Ces interventions participent d’une véritable dynamique de développement concertée. Tous les engagements du département sont formalisés dans le cadre de ce contrat qui porte notamment sur les aides financières aux communes et à leurs groupements. Dans le cadre du contrat de territoire de la Provence Verte, le Département a attribué en 2014 à notre commune une enveloppe financière annuelle de 430 000,00 €. Les investissements proposés à la subvention consistent, pour un montant de 2 035 000,00 € H.T. en des travaux de restauration du patrimoine (Basilique), des travaux d’infrastructure routière, et des travaux de performance énergétique dans les bâtiments communaux. Ils sont caractérisés essentiellement par une volonté de valorisation et de sécurisation de l’espace urbain et du patrimoine communal. Il s’agit d’adapter et de développer les équipements et les infrastructures, tout en préservant l’authenticité et l’harmonie du territoire communal. Ces projets s’inscrivent ainsi dans la démarche départementale en accompagnant les projets structurants engagés sur notre territoire par le Conseil Départemental du Var. Madame le Maire demande au Conseil Municipal :
Dit que la dépense est prévue au Budget 2015. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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125 - PARTICIPATION DE LA COMMUNE AUX FRAIS DE FONCTIONNEMENT DE L’ÉCOLE PRIVÉE MARIE-MADELEINE 2014-2015 Madame le maire rappelle que, par délibération n° 313 du 25 juin 2003, le conseil municipal avait émis un avis favorable concernant :
Conformément à l’article L 442-5 du Code de l’Éducation, les communes sont tenues de participer aux frais de fonctionnement des classes élémentaires des écoles privées sous contrat, sur une base équivalente au coût d’un élève d’élémentaire de l’enseignement public. Par délibération n° 59 en date du 23 avril 2014, le conseil municipal a approuvé la nouvelle convention de participation de la commune aux frais de fonctionnement de l’école privée Marie-Madeleine, d’une durée d’une année et renouvelable cinq fois à la demande de l’organisme de gestion de l'enseignement catholique (OGEC). La participation de la commune s’établit comme suit :
Pour 2015, cette somme s’élève à 434.00 €.
60 élèves sont concernés, soit 21 000.00 €. La subvention 2015 pour l’OGEC Sainte Marie Madeleine s’élève donc à 62 230.00 €. Le présent montant vient annuler et remplacer le montant de 63 230,00 € inscrit sur la délibération générale d’attribution des subventions n° 45 du 14 avril 2015, suite à une erreur matérielle. Madame le maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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126 - GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLUS SANS PRÉFINANCEMENT – REVISABLE LIVRET A Vu la demande formulée par VAR HABITAT et tendant à obtenir la garantie de la Commune de St Maximin pour les emprunts nécessaires au financement de la charge foncière et de la construction de 42 logements à St Maximin, « Mosaïque Provence » Vu les articles L.2252-1 et L.2252-2 du Code général des collectivités territoriales ; Vu l'article 2298 du Code civil ; Madame le Maire PROPOSE Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 1 945 147 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations
dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%. Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité. Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt. Article 6 : Le Conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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127 - GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLAI SANS PRÉFINANCEMENT – REVISABLE LIVRET A Vu la demande formulée par VAR HABITAT et tendant à obtenir la garantie de la Commune de St Maximin pour les emprunts nécessaires au financement de la charge foncière et de la construction de 42 logements à St Maximin, « Mosaïque Provence » Vu les articles L.2252-1 et L.2252-2 du Code général des collectivités territoriales ; Vu l'article 2298 du Code civil ; Madame le Maire PROPOSE Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 245 159 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Ce prêt PLAI Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS - 11 PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin. Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations
dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%. Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité. Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt. Article 6 : Le Conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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128 - GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLAI SANS PRÉFINANCEMENT – REVISABLE LIVRET A Vu la demande formulée par VAR HABITAT et tendant à obtenir la garantie de la Commune de St Maximin pour les emprunts nécessaires au financement de la charge foncière et de la construction de 42 logements à St Maximin, « Mosaïque Provence » Vu les articles L.2252-1 et L.2252-2 du Code général des collectivités territoriales ; Vu l'article 2298 du Code civil ; Madame le Maire PROPOSE Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 666 185 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Ce prêt PLAI est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS - 11 PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin. Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations
dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%. Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité. Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt. Article 6 : Le Conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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129 - GARANTIE D’EMPRUNTS DE VAR HABITAT (Caisse et Dépôts et Consignations) / PRÊTS PLUS SANS PRÉFINANCEMENT – REVISABLE LIVRET A Vu la demande formulée par VAR HABITAT et tendant à obtenir la garantie de la Commune de St Maximin pour les emprunts nécessaires au financement de la charge foncière et de la construction de 42 logements à St Maximin, « Mosaïque Provence » Vu les articles L.2252-1 et L.2252-2 du Code général des collectivités territoriales ; Vu l'article 2298 du Code civil ; Madame le Maire PROPOSE Article 1 : La Commune de St Maximin accorde sa garantie à hauteur de 50 % pour le remboursement, d’un emprunt d’un montant total de 715 824 € euros souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Ce prêt PLUS Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 42 logements (31 PLUS - 11 PLAI), « Mosaïque Provence » à St Maximin. Article 2 : Les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des dépôts et consignations
dont, (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du Livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0%. Article 3 : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité. Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Var Habitat pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Article 5 : le conseil municipal s'engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l'emprunt. Article 6 : Le Conseil municipal autorise le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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130 - ANNULATION DE FACTURES D'ASSAINISSEMENT DU 2ème SEMESTRE 2014 Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler une facture d'assainissement du 2ème semestre 2014 (double emploi), d'un montant de 172.98 €. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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131 – ANNULATION DE FACTURES D'EAU DU 2ème SEMESTRE 2014 Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler trois factures d'assainissement du 2ème semestre 2014 (double emploi), d'un montant total de 212,50 €. La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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132 – DEMANDE DE SUBVENTIONS POUR L'ACQUISITION DE GILETS PARE-BALLES Dans le cadre du renforcement du plan de lutte contre le terrorisme, le 21 janvier dernier, le gouvernement a décidé un accroissement des ressources du fonds interministériel de prévention de la délinquance (F.I.P.D.) afin d’améliorer les conditions de travail et de protection des polices municipales par l’acquisition de gilets pare-balles de protection. L’État subventionnera l’acquisition des gilets pare-balles au taux de 50 %, plafonné à 250 € par gilet. La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume souhaite s’inscrire dans ce dispositif. À ce titre, Madame le Maire demande au Conseil municipal :
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Gilles Perez, Philippe Hrynda). |
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Alain Decanis : Lors du dernier conseil municipal, je vous avais demandé l'analyse financière du percepteur pour l'année 2014, je l'attends toujours. Madame le Maire : Vous l'aurez ! |