Le tour du Mont Aurélien
 
Itinéraire

Le point de départ (361 m) se situe au bout de l'aire de Pique Nique qui se trouve sur la déviation de Pourcieux. On peut laisser les véhicules à la fin du chemin goudronné , juste avant la barrière.
On suit alors la piste jusqu'à ce qu'on rencontre une grosse citerne verte DFCI (470 m).
De là on quitte la piste pour emprunter un chemin sur la gauche qui conduit jusqu'à une ancienne carrière désaffectée dite "de Rocle".
Derrière un vieux bassin (488 m), se trouve un sentier balisé orienté plein sud, qui s'élève rapidement vers les falaises du Mont Aurélien que l'on voit en levant la tête.
Après un quart d'heure environ d'ascension, le sentier débouche sur la piste (634 m) que l'on emprunte sur la gauche jusqu'à une vaste aire goudronnée située sur un promontoire que l'on appelle "l'héliport" (611m).
Il faut alors suivre le sentier qui s'élève au dessus de l'héliport à travers le Collet Redon. Au début on longe un vieux câble, puis la trace est très bien marquée jusqu'à un passage appelé "Pas du Loup" qui nous conduit au dessus des falaises (830 m).
On longe alors les falaises en se dirigeant vers l'ouest. Par beau temps on découvre un paysage magnifique qui s'étend jusqu'aux sommets alpins.
En continuant, on passe au dessus du Pas des Ifs, puis on rencontre une tour de guêt alimentée par des panneaux solaires (865 m).
Un peu plus loin on longe le Pas de la Croix, le Pas de la Titet puis on atteint l'Olympe (879 m), point culminant du Mont Aurélien.
A partir le l'Olympe on descend les "trois escaliers" formés de grandes barres rocheuses calcaire jusqu'au Pas du Facteur.
A partir de là, on retrouve une piste "carrossable" appelée chemin des contrebandiers.
Elle descend assez vivement à travers l'Aubanède, en longeant le pied des contreforts sur lesquels s'appuient les falaises du Baou.
Sur un des mamelons situé sur la gauche, on distingue des ruines d'un castrum du Xème siècle . Un petit sentier qui serpente à travers la végétation très dense permet d'y accéder : la citerne ainsi que le mur d'enceinte sont encore très visibles. De l'esplanade du château on peut voir en contrebas les restes de fours de verriers de Roquefeuille qui a fonctionné du XVIIème siècle au XIXème siècle.
Revenu sur la piste, on poursuit son chemin vers l'est jusqu'à ce que l'on atteigne un croisement situé derrière la Coquille (645 m) . Là on prend à gauche et on continue à suivre la piste jusqu'au Pique Nique où on retrouve les voitures abandonnées quelques heures auparavant.