La Sainte Baume et le Compagnonnage |
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Marie-Madeleine est une des figures emblématiques de notre civilisation judéo-chrétienne, que les Compagnons ont pris comme symbole. Ce qui explique le lien étroit tissé à travers le temps entre les différentes sociétés compagnonniques, Saint Maximin, et la Sainte Baume. |
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Le livre des passages des Compagnons à la Sainte Baume | |||
De 1840 à 1921, un libre de passage est tenu à Saint Maximin. Il témoigne du passage durant cette période de 2 938 Compagnons venus faire un pélerinage à la Sainte Baume. |
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Après le décès de Louis-Octave Aubebaud (Provencal la Fidélité) en 1922, le livre de passage de Saint Maximin est fermé. |
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Un quart de siècle plus tard, le 21 juillet 1947 un livre de passage, le fer à frapper les couleurs, ainsi qu'un tampon à encre sont déposés par l'association ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France (fondée en 1941) à la grotte de la Sainte Baume. |
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Le 19 septembre 1960, la Fédération Compagnonnique des Métiers du Bâtiment (créée en 1952). |
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Le 13 juin 1976, l'Union Compagnonnique (Compagnons du Tour de France des Devoirs Unis créée en 1889) dépose à l'hôtellerie de la Sainte Baume un livre d'or et le sceau |
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Les cachets et le fer destinés à marquer les couleurs des différentes sociétés compagnonniques lors du passage de leurs membres à la Sainte Baume |
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Cachet à encre de l'Union Compagnonnique des Devoirs Unis (1976). | Cachet à encre de la Fédération Compagnonnique des Métiers du Bâtiment (1960) . Le cachet porte le nom d'un gardien civil de la grotte, Honnoraty (1851-1859) |
Cachet à encre, en buis, déposé à la grotte le 21 juillet 1947, par l'Association ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France, destiné à marquer les anciennes couleurs en soie. | Fer de frappe à chaud, déposé le 21 juillet 1947 avec le précédent. Il a été conçu pour marquer les nouvelles couleurs en velour. |