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Var - République - Démocratie

bulletin local n°114 - janvier 2018

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

Les élus du groupe VRD vous souhaitent d'excellentes fêtes de fin d'année !
 
   
Une grive musicienne de passage sur notre territoire
 
 
Pour découvrir d'autres animaux sauvages de passage ou vivant sur notre territoire :
http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/FAUNEFLORE/AnimauxSauvages.html
 
 
 
Carole dans la dernière mercerie de Saint-Maximin
 
 
 
 
Que se passe-t-il au Clos de Roques ?
 

Beaucoup s'interrogent sur la nature des travaux de terrassement qui ont été entrepris il y a un peu plus d'un mois et qui sont toujours en cours au Clos de Roques, quartier situé entre le stade et la déviation. Il s'agit en fait de fouilles archéologiques préventives qui font suite à des sondages réalisés dans le même secteur il y a environ 18 mois et qui ont révélé, comme c'est d'ailleurs le cas un peu partout autour de la plaine, la présence d'habitats de l'âge du bronze.

Ces fouilles préventives sont réalisées par l'INRAP de Nîmes et sont rendues obligatoires par la perspective de la création d'un complexe sportif avec piscine couverte que l'on nous fait miroiter depuis 2010 et d'un lotissement dont on parle moins mais qui semble être la véritable priorité.

Normalement :

- les travaux d'aménagement du lotissement devraient démarrer le plus rapidement possible. De ce côté là on peut leur faire confiance, business is business. Ce qui est le plus regrettable c'est que ce lotissement va être aménagé sur l'emplacement initialement prévu pour l'extension du cimetière aujourd'hui saturé. Il va donc falloir créer un nouveau cimetière, qu'ils ont prévu sur la route de Bras. Cependant, contrairement à ce que Madame le Maire a affirmé avec beaucoup d'aplomb en conseil municipal, la totalité des parcelles n'ont pas encore été acquises par la commune. Le projet est donc loin de voir le jour, ce qui risque de poser assez rapidement des problèmes. De plus la création de ce cimetière excentré, va nécessiter la création d'une maison de gardien, ce qui va engendrer des frais de fonctionnement supplémentaires, sans oublier les problèmes que vont rencontrer les personnes âgées qui voudront aller se recueillir sur les tombes familiales.

- le projet d'aménagement du complexe sportif est entouré du flou le plus complet. Un vague descriptif a été présenté lors de la décision de lancer la consultation d'architectes mais Madame le Maire, interrogée, a elle-même été incapable de nous dire pourquoi l'anneau d'athlétisme n'y figurait pas. Dans tous les cas, le plus probable, est qu'ils se hâtent lentement de façon à n'avoir qu'à poser la première juste avant les prochaines municipales et de reporter le problème du financement sur les successeurs.

- le complexe aquatique est encore plus incertain car Madame le Maire, il y a près de deux ans, a décidé d'en transférer la compétence à la communauté de communes. Depuis la fusion elle a échu à l'agglo. La décision de le réaliser ne relève donc plus du conseil municipal mais de la communauté d'agglomération. Tout va donc dépendre des priorités que vont retenir les élus communautaires, car un tel projet peut être estimé à environ 5 millions d'Euros. D'autant plus que l'ex communauté de communes a déjà consacré, quelques jours avant la fusion, 900 000 Euros à l'acquisition de la rue des Poilus qui n'était pas d'une impérieuse nécessité et a gaspillé 900 000 Euros pour acheter des terrains boisés qui ne serviront jamais à rien sur le flanc du Mont Aurélien. La facture à régler vient tout juste d'arriver à l'agglo.

En résumé, les travaux du lotissement devraient démarrer rapidement, pour le reste, on verra sous peu pousser des maisons, mais il est fort peu probable que l'on puisse pratiquer du sport dans ce secteur avant la fin du mandat.

 
 
 
Suivi des questions écrites posées à l'ex Madame le Maire de Saint-Maximin
 

Les commissions municipales ne se réunissant jamais c'est par le biais d'une question écrite que le groupe VRD a fait connaitre son souhait de voir se créer une halle destinée à héberger les producteurs locaux sur le Pré de Foire.
La réponse est venue lors de la séance du 21 septembre : Madame le Maire, compte tenu de l'adhésion de nos concitoyens (et donc de nombreux électeurs) à ce projet, nous a répondu que cela était prévu mais pas sur le Pré de Foire, que cela se ferait sur la place Malherbe.
Depuis plus de nouvelles mais des réunions de présentation du projet d'aménagement de la place Malherbe (auxquelles nous n'avons d'ailleurs pas été conviés) ont eu lieu, et la halle n'ait jamais été évoquée.
Encore une fois : "Parole ! Parole !".
C'est dommage...


 
 
 
Le stationnement en centre-ville
 

Le stationnement dans le centre-ville de Saint-Maximin est un problème majeur, aussi bien pour ceux qui y vivent, que pour les consommateurs qui viennent y faire leurs courses. Trouver une place pas trop éloignée du centre est aujourd'hui synonyme de parcours du combattant.

Régler ce problème doit être un préalable à tous travaux d'aménagement, sinon on est contraint :
- soit de déshabiller Pierre pour habiller Paul. C'est ce qui a été fait au moment de l'aménagement du parvis du monument aux morts que l'on a restitué aux piétons, mais où on a dû dans un même temps restituer aux voitures le parvis du couvent.
- soit de traiter des espaces majeurs, comme la place Malherbe, en conservant quasiment à l'identique la circulation et le stationnement.

Il n'existe pas de baguettes magiques pour régler le problème mais plusieurs possibilités, plus ou moins onéreuses pour la collectivité, ont déjà été expérimentées ailleurs : parking souterrain, aérien, vaste aire de stationnement située en périphérie raccordée au centre par une navette ...

Evaluer les incidences de chacune d'elles aussi bien pour nos concitoyens que pour les finances de la commune sera le premier objectif d'un groupe de travail spécifique, créé par l'association VRD, mais ouvert à tous ceux que le sujet intéresse. Il se réunira régulièrement dès le début de l'année 2018, et sera animée par un élu.
Pour y participer, il suffit de nous l'indiquer par mail, les dates de la première réunion vous sera communiquée en retour.

 

 
 
Question écrite posée par Véronique Boulanger au nom du groupe VRD
au conseil d'agglomération du 11 décembre 2017
 
 

Une commission spécifique à la mise en place d’un agenda 21 pourrait-elle être envisagée ?

Agenda signifie en latin “ce qu’il faut faire”, et 21 fait référence au XXIe siècle.

L’Agenda 21 est un plan d’actions de développement durable qui fait référence au programme « Action 21 » adopté par plus de 170 pays lors du Sommet de la Terre à Rio en 1992. Il fixe donc un programme d’actions précises notamment en matière de santé, logement, pollution de l’air, gestion des mers, des forêts, des montagnes, eau et assainissement...

Ces actions peuvent varier en fonction des compétences de la collectivité territoriale qui le met en place. L’objectif est d’assurer le développement durable de la planète. Et sur un plan local : « Les politiques publiques doivent promouvoir  un développement durable. A cet effet, elles concilient  la protection et la mise en valeur de l’environnement, le développement économique et le progrès social ».

L'idée d'un développement durable est née de ce constat (ressources de la planète limitées, augmentation des besoins et répartition inéquitable des ressources et des richesses). Il s’agit de mettre en œuvre un développement sur la base d'une autre façon de penser et d'agir, avec un nouveau sens des responsabilités et des outils modernes de démocratie.
Le développement durable cherche à répondre à 5 finalités :
- Lutter contre le changement climatique
- Préserver la biodiversité et les ressources naturelles
- Favoriser l’épanouissement de tous les êtres humains
- Favoriser la cohésion sociale et la solidarité entre territoires et entre générations
- Développer des modes de production et de consommation plus responsables

Chacun de nous peut y participer à son niveau, à la maison, au travail, dans sa commune. Nous avons tous un rôle à jouer dès maintenant.
Et notre communauté d’agglomération n’y dérogera pas. Dans le cadre d'actions de développement plus solidaire, plus équilibré de notre territoire, elle pourrait par exemple, promouvoir :
-la mise en place du réseau de transport TAMTAM, permettant ainsi un meilleur maillage de notre territoire si étendu? et de permettre aux différents axes d’être enfin à portée les uns des autres sans pénaliser la population?
-l’introduction de composants bio dans les cantines communales,
-le choix des constructions en ossature bois pour les maisons de la petite enfance,
-l’encouragement plus appuyé et récompensé par l’adoption au compostage domestique,
-les économies énergétiques dans toutes les installations communautaires mais aussi favoriser et encourager toute action conduisant à réaliser des économies d’énergie,
- des campagnes de sensibilisation des enfants au tri des déchets,
- l’accueil d’enfants en situation de handicap dans les centres de loisirs, la mobilisation pour l’accessibilité des personnes handicapées (voirie et bâtiments publics),
-la création de zones d’activité intégrant les enjeux environnementaux,
-la promotion d’un habitat diversifié et économe d’espace au travers du Programme Local de l’Habitat, le projet de Cité de la Confluence, lieu culturel et de mise en valeur d’un espace naturel remarquable...

L’Agenda 21 permet d’aller plus loin, de faire participer davantage les acteurs locaux et de donner de la cohérence à toutes les politiques publiques menées sur le territoire, pour préparer l’avenir, améliorer la qualité de vie des habitants, s’adapter aux nouveaux enjeux
Et il nous semble nécessaire, voire impérieux que notre territoire soit dans l’axe de cette pensée responsable et respectueuse des futurs impératifs qui seront les nôtres à l’échelle planétaire.

« Prévoir c’est à la fois supputer l’avenir et le préparer, prévoir c’est déjà agir »Henri Fayol

 
 
 
Gestion de l'épisode neigeux par les services techniques de la commune de Saint-Maximin
 

  Sur les réseaux sociaux, beaucoup d’articles ont critiqué l’action des services techniques de la commune de Saint-Maximin dans le traitement de l’épisode neigeux que nous avons connu dans les premiers jours de décembre.
Et pourtant, sur le terrain, nous avons constaté que les agents communaux ont fait ce qu’ils ont pu, avec les moyens qu’ils avaient à leur disposition, pour rendre praticable un maximum d’artères.
Simplement, compte tenu de son mode d’urbanisation anarchique, Saint-Maximin compte un très grand nombre de kilomètres de chemins empruntés quotidiennement par des habitants, et tous ne peuvent être traités en même temps.
De plus, les services techniques comptent peu d’agents, car pour la municipalité ça n’est pas une priorité, et peu de matériel.
Dans ces conditions il nous parait injuste de critiquer l’action du personnel, d’autant plus que durant ces dernières heures certains agents se sont dépensés sans compter pour rendre service à un bon nombre de nos concitoyens.
En tant qu’élu d’opposition, nous n'hésitons pas à critiquer ce qui ne nous parait pas aller dans le bon sens, mais il est aussi de notre devoir de défendre le personnel lorsqu’il est attaqué injustement.


 
 
Question relative au petit commerce posée par Alain Decanis
au conseil d'agglomération du 11 décembre 2017
 
  La loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République insère la politique locale du commerce et le soutien aux activités commerciales d'intérêt communautaire dans les compétences obligatoires en matière économique des communautés de communes et des communautés d'agglomération. Ainsi, conformément au IV de l'article L. 5214-16 et au III de l'article L. 5216-5 du CGCT, lorsque l'exercice d'une compétence est subordonné à la reconnaissance de son intérêt communautaire, cet intérêt est déterminé par le conseil de la communauté de communes ou de la communauté d'agglomération à la majorité des deux tiers. Il est défini au plus tard deux ans après l'entrée en vigueur de l'arrêté prononçant le transfert de compétence. À défaut, l'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre exercera l'intégralité de la compétence transférée.

En conséquence, le conseil communautaire devra délibérer pour déterminer les actions de soutien aux activités commerciales du ressort de l'EPCI et celles qui relèveront de la responsabilité communale. L'intérêt communautaire permet de tracer, dans un souci de lisibilité, les axes d'intervention clairs de la communauté. Il s'analyse comme la ligne de partage, au sein d'une compétence, entre les domaines d'actions transférés à la communauté et ceux qui demeurent au niveau des communes. C'est le moyen de laisser au niveau communal des compétences de proximité et de transférer à l'EPCI les missions qui par leur coût, leur technicité, leur ampleur ou leur caractère structurant, s'inscrivent dans une logique intercommunale. En l'espèce, la définition d'un intérêt communautaire permet l'élaboration d'un projet de développement de la politique locale du commerce et de soutien aux activités commerciales sur un territoire ou une thématique pertinents.

Ceci a amené Alain Decanis à poser la question suivante lors du dernier conseil d'agglomération du 11 janvier 2017 : "Au mois de septembre j'avais posé au nom du groupe VRD une question écrite pour vous alerter sur la situation difficile que connaissent un bon nombre de commerce des centres-villes de notre territoire. Certes, nous ne sommes pas les seuls, d'ailleurs le président Macron a annoncé qu'il faisait de la revitalisation des centres anciens une priorité nationale. Néanmoins je vous proposais d'engager une réflexion destinée à définir une politique sur notre territoire en matière de soutien au petit commerce.
Vous m'avez répondu que c'était compliqué car certaines prérogatives demeurent communales alors que d'autres compétences dans le cadre de la loi NOTRe ont été effectivement transférées aux intercommunalités.
Pourriez-vous nous indiquer précisément quelles sont les compétences qui demeurent communales et celles qui sont du ressort de l'agglo en matière de petit commerce ?"

Réponse de Didier Bremond, président de la commission économie : "Effectivement c'est assez compliqué et il va falloir que vous vous penchiez sur le sujet dans le cadre de la commission "Petit commerce" pour définir des perspectives communautaires en la matière."

C'est donc un travail que nous allons engager avec Jean Claude Félix, président de la commission "Petit commerce" dès le mois de janvier.

 
 
 
 

Lors du conseil d'agglomération de la Provence Verte qui s'est déroulé le lundi 11 décembre, il a été décidé d'étendre le tarif préférentiel d'entrée à la piscine de Brignoles, à toutes les communes de la Provence Verte. C'est une bonne nouvelle pour les nageurs du pays saint-maximinois !

Lors du dernier conseil municipal nous avons appris que la municipalité avait décidé la création d'une nouvelle aire de grands jeux en gazon synthétique pour un montant de ... 960 000 Euros TTC ! Est-ce bien raisonnable ? N'y a-t-il pas d'autres priorités ?


Le mardi 9 janvier, 18h30, l'association Var-République-Démocratie présentera les veux au centre Auxilium (en face l'ancienne cave coopérative l'Amicale, avenue Estienne d'Orves à Saint-Maximin). Ce sera également l'occasion pour Christian Gianinetti et Alain Decanis de fêter leur départ à la retraite. Tous les sympathisants qui souhaitent partager ce moment convivial seront les bienvenus.

Quelques dates de vœux qui nous ont été communiquées :
Sébastien Bourlin, Maire de Pourrières, samedi 6 janvier, 11h, salle des fêtes.
Horace Lanfranchi, Maire de Saint-Maximin, samedi 6 janvier, 18h, salle des fêtes.
Jean Claude Félix
, Maire de Rocbaron, samedi 6 janvier, 19h, au Collège.
Didier Brémond, Maire de Brignoles : vendredi 12 janvier, 18h, au Hall des expositions à Brignoles.
Jean Michel Constans, Maire de Tourves, samedi 13 janvier, 11h, à l'Espace culturel.
Gilles Rastello, Maire du Plan d'Aups, dimanche 14 janvier, 11h30, Maison de Pays.
Valérie Gomez-Bassac, Députée de la 6ème circonscription : lundi 15 janvier, 18h, au Hall des Expositions, Brignoles.
Gérard Bleinc, Maire de Rougiers : vendredi 19 janvier, 18h30, au restaurant scolaire.

 
 
 
Témoignage d'un jeune barjolais
 
 
 
     
Des performances réalisées par des sportifs du territoire au cours du mois écoulé
     
25 novembre 2017   26 novembre 2017
Handball Club Saint-Maximinois   Nicolas Ligier (Saint-Maximin)
3ème tour de la Coupe de France   Trail Event Les Saint Cyriennes (13.3 km et 450m D+)
 
Victoire 39 à 14 face à Briançon   Vainqueur en 1h00min04s
Saint-Maximin (83)   Saint-Cyr (83)
     
7 décembre 2017   16 décembre 2017
Camille Cerutti (de Nans, licenciée à Risoul)   Jonathan Moncany
Slalom géant comptant pour la Coupe d'Europe   Trail du Pic des Fées (22 km avec 1100 m de D+)
 
30ème au scratch   Vainqueur en 1h48min02s (12.22 km/h)
Kvitfjell (Norvège)   Hyères
     
 
     
Vos élus sur le terrain au cours du mois écoulé
 
24 novembre 2017
Atelier de cuisine d'épluchures et de fleurs comestibles
 
Journée d'animation de l'association d'insertion Garrigues dans ses locaux traverse Saint Jean
Saint-Maximin
     
28 novembre 2017   5 décembre 2017
Présentation du projet de revitalisation du centre-ville   Hommage aux soldats tués en Algérie, Maroc, Tunisie
 
Hall des Expositions   Monument aux Morts
Brignoles   Saint-Maximin
     
9 décembre 2017   9 décembre 2017
Téléthon   Sainte Barbe
 
Place Malherbe   Caserne de Saint-Maximin
Saint-Maximin   Saint-Maximin
 
16 décembre 2017   15 décembre 2017
Vente solidaire des bénévoles de l'ASP   Repas du Comité d'Action Social de la Mairie
 
Parking de la cave Cantarelle   Domaine des Sources
Saint-Maximin   Saint-Maximin
     
11 décembre 2017   15 décembre 2017
Conseil d'Agglomération Provence Verte   Echange avec des commerçants
 
Hall des Expositions   Centre-Ville
Brignoles   Saint-Maximin
     
16 décembre 2017
Soirée des associations sur le Parvis de la Basilique et rue Général de Gaulle
 
Aïkido   Calinours
Saint-Maximin
C
 
 
 
Quelques événements qui se sont produits jadis sur notre territoire au mois de janvier
 
5 janvier 994 Artigues : Deux habitants de Rians, Geoffroy et son épouse Scocie, font don à l'abbaye Saint-Victor de Marseille de toutes leurs propriétés sur lesquelles se trouvaient autrefois un monastère détruit par les Sarrasins. D’après Jean Belgrand, le village actuel n’occupe plus le site du castrum mentionné dans les chartes. Il suppose que ce dernier s’élevait sur une haute colline et qu’il aurait été détruit au XIV° siècle alors que les deux prétendants à la succession de la reine Jeanne , Louis 1er d’Anjou et Charles de Duras, se disputaient la possession de la Provence.
   
janvier 1038 Saint-Maximin : On peut lire dans un acte du cartulaire Saint Victor: Ponce et Bonnefille son épouse avec leurs fils donnent la huitième partie de l'alleu qu'ils possèdent "In territorio Villa Sancti Maximini subtus Castrum Rhodenas".
   
31 janvier 1235 Bras : Pierre de Pontevès, sa femme, Domina Alasacia, ainsi que Pierre, Andréa, Jordana, Huga, Laura et Guillaumet, enfants de Pierre vendent aux Templiers , pour 15 000 sous raymondins, les 2/5 du dominium et de la seigneurie universelle du castrum de Bras et de son tennement, ainsi qu'un défens dit «défens de Robert» et la moitié indivise, c'est à dire la seigneurie et dominium, un four et trois moulins.
   
janvier 1348 Plan d'Aups : Visite de la reine Jeanne accompagnée de son époux Louis de Tarente, à la Sainte Baume.
   
janvier 1348 Plan d'Aups : La peste bubonique dite Peste Noire fait son apparition. Tous ceux qui sont atteints par ce terrible fléau meurent en deux, trois jours dans d'horribles souffrances. Marseille compte environ 16 000 victimes, c'est toute la Provence qui est ravagée.
   
5 janvier 1367 Esparron-de-Pallières : Le noble Véran Sclaponi, originaire de Barjols, coseigneur d'Esparron-de-Pallières, épouse Catherine d'Esparron, fille de Gui, coseigneur d'Esparron-de-Pallières, et de Béatrix de Barras.
   
du 4 au 7 janvier 1477 Saint-Maximin : Bulle du pape Sixte IV unissant le prieuré de Carnoulles au couvent de Saint Maximin.
   
1er janvier 1516 Plan d'Aups : Visite de François 1er à la Sainte Baume, suite au succès de ses armées à Marignan. Il donne des fonds pour faire reconstruire l'hospice des étrangers, et doter l'hospice des pèlerins de trois chambres supplémentaires. Il fait également élever un portail en pierre de Calissanne, surmonté d'un frontispice remarquable d'ordre corinthien mêlé de formes gothiques, au-dessus de la terrasse, par le sculpteur Jean Guiramand.
   
janvier 1516 Saint-Maximin : François 1er confirme tous les privilèges accordés à la ville de Saint Maximin, notamment l'exemption du logement et de la fourniture de vivres aux gens de guerre.
   
1er janvier 1578 Seillons : La nouvelle église de Seillons est consacrée.
   
30 janvier 1580 Saint-Maximin : Henri d'Angoulême, fils naturel du roi Henri II, gouverneur de Provence, convoque les Etats de Provence à Saint-Maximin (réunion d'environ 120 députés des trois ordres: clergé, noblesse et communautés).
   
6 janvier 1581 Saint-Maximin : Le Révérend Père Odoul, religieux et syndic du couvent, est tué par un coup d'arquebuse, dans le grand réfectoire.
   
25 janvier 1591 Saint-Maximin : En même temps que les Etats ligueurs se réunissent à Aix, La Valette convoque les Etats généraux de son parti le 25 janvier à Riez, en vertu des lettres patentes du roi données à Gisors le 21 octobre de l'année précédente. Treize communautés sont réunies à Riez : Forcalquier, Sisteron, Fréjus, Draguignan, Brignoles, Moustiers, Saint-Maximin, Seyne, Pertuis, Riez, Manosque, Les Mées, Castellane.
   
22 janvier 1593 Saint-Maximin : Après plusieurs années de guerre, la plupart des Provençaux aspirent au repos et à la paix. Le vice-légat d'Avignon d'Aubrès, propose d'œuvrer à une réconciliation entre les ligueurs et les royalistes. Après avoir obtenu l'accord du duc d'Epernon et du comte de Carcès, des députés sont nommés. Le 22 janvier les représentants des deux partis sont convoqués à Saint-Maximin.
Le 29 janvier arrive le duc d'Epernon. Il convoque les députés dans la grande église. Des conciliabules entre d'Epernon et des députés ligueurs ont lieu dans les nefs latérales.
La journée du lendemain se passe en pourparlers stériles et il est convenu que les trois arbitres rédigeront dans la nuit un protocole qui sera soumis pour approbation à la fois au duc d'Epernon et au Parlement d'Aix.
Sollicités à partir du 3 février, le Parlement d'Aix et d'Epernon ne parviennent pas à se mettre d'accord. Après les conférences de Saint-Maximin, la guerre continue.
   
2 février 1644 Saint-Maximin : Bénédiction solennelle de l'église et du couvent des Capucins, situé hors les murs, sur un terrain longeant le Réal Vieux (aujourd'hui entre la rue Mirabeau et l'avenue Jean Jaurès).
   
20 janvier 1655 Pourrières : Création d'un bâtiment destiné à la confrérie de Notre Dame de Miséricorde dont la vocation est de soulager les miséreux du village.
   
janvier 1661 Saint-Martin-de-Pallières : Le fief des seigneurs de Vintimille est érigé en marquisat pour Pierre de Laurens par lettre patente.
   
janvier 1669 Nans : La neige est tombée sans interruption pendant quatre jours
   
du 7 au 20 janvier 1709 Saint-Maximin : Des cristaux glaçants auxquels rien ne peut résister, font périr la quasi totalité des oliviers.
   
8 janvier 1747 Barjols : Une quinzaine de soldats espagnols de la garnison de Barjols, faisant une patrouille du côté de Sillans, tombent sur un détachement allemand qui se dirigeait vers Salernes. Au cours de l'engagement qui s'ensuit les espagnols dispersent les allemands et font prisonnier 8 hussards qu'ils conduisent à Barjols.
Les troupes Austro-Sarde sont forcés de battre en retraite.
   
20 janvier 1747 Barjols : La garnison espagnole quitte Barjols pour se joindre aux troupes qui poursuivent l'ennemi.
   
janvier 1789 Saint-Maximin : Un citoyen de Saint Maximin, Gabriel Joseph Xavier Ricard de Séalt est élu député aux Etats Généraux de Provence, puis député du Tiers Etats aux États Généraux.
   
18 janvier 1791 Saint-Maximin : Les Dominicains sont expulsés du Couvent.
   
7 janvier 1871 Rougiers : Des loups sont empoisonnés à la strychnine
   
20 janvier 1920 Saint-Maximin : Retour des Dominicains au Couvent.
 

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