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Var - République - Démocratie

bulletin local n°112 - novembre 2017

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

   
Longer les falaises de l'Aurélien
(une magnifique balade sportive à déconseiller à ceux qui ont peur du vide)
 
 
 
 
La nouvelle municipalité de Saint-Maximin élue lors du conseil du 6 octobre 2017
 
Intervention d'Alain Decanis au nom du groupe VRD : "Ce soir nous sommes appelés à élire un nouveau maire afin d’être en conformité avec la loi sur le non cumul des mandats qui interdit à un parlementaire d’être président d’un exécutif.
Or, nous avons le sentiment que vous allez nous proposer un tour de passe-passe visant  à contourner la loi,  dans le but de permettre à notre ex-maire de cumuler de fait deux mandats.
Plus simplement nous allons avoir un père qui va devenir maire pour garder la place à sa fille !
Refusant de cautionner par notre participation cet arrangement familial qui ne s'inscrit pas vraiment dans la tradition républicaine, nous ne prendrons pas part au vote !"
 
Résultat du vote (tous élus avec 23 suffrages, 3 bulletins blancs et 7 qui n'ont pas voté) :
Horace Lanfranchi élu maire
Mireille Boeuf élue 1er adjoint
Jacques Freynet élu 2ème adjoint
Hélène Henri élue 3ème adjoint
Serge Langlet élu 4ème adjoint
Olivier Barrau élu 5ème adjoint
Anne Marie Lamia élue 6ème adjoint
Laurent Martin élu 7ème adjoint
 
 
 
Un salon très sympa dans la rue de la République
 
Il s'agit probablement du plus ancien salon de coiffure de Saint-Maximin. En un demi siècle il n'a connu que quatre propriétaires : Madame Bielli, Marie-Louise Biondi, Lucienne Delhomme, et maintenant Sonia Vullo.
Rachel et Sonia méritent une visite. Elles sont toutes les deux très sympas, elles vous accueilleront avec un grand sourire en vous offrant un café !

 


 
 
 
Comment on a jeté environ 1.5 millions d'Euros par les fenêtres
 
 

Fin 2007 le Conseil Général a engagé, sans concertation préalable, une étude avec pour objectif la création d’une vaste zone d’activités intercommunale de 203 hectares, sur un versant boisé du Mont Aurélien, à cheval sur les trois communes de Pourcieux, Ollières et Saint Maximin.
Après le refus des élus de la  commune de Pourcieux de sacrifier leur patrimoine forestier, la superficie du projet a été ramenée à 80 hectares situés de part et d’autres de la DN7, sur les deux communes restantes.
Fin 2009, les communes d’Ollières et Saint-Maximin ont donc engagé  une procédure de révision de leur POS respectif afin de pouvoir implanter sur leur territoire, en pleine zone naturelle, un parc d’activités.
Au cours de cette procédure, les services de l’Etat ont imposé le respect d’un certain nombre des contraintes environnementales, qui ont conduit à ramener la superficie utilisable à 35 hectares, soit presque 6 fois moins que le projet initial.
Cela montrait déjà à quel point l’emplacement retenu était inadapté.
Néanmoins, en dépit de tous ces signaux négatifs, les élus se sont entêtés, et sans aucune assurance de la faisabilité du projet, ils ont demandé à l’EPFR (Etablissement Public Foncier Régional) d’engager la procédure d’acquisition foncière.
Au 1er trimestre 2015, 19.5 hectares, soit 30% du site, avaient été acquis à l’amiable par l’EPFR pour un total d’environ 900 000 Euros, lorsqu’il a été décidé d’interrompre les achats.
Et pourtant, tout le monde savait que cet aménagement était suspendu à une dérogation demandée au CNPN (Conseil National de Protection de la Nature), car il comportait une destruction d’espèces protégées.
Finalement, en juillet 2017, on a appris ce que l’on pressentait depuis longtemps déjà. Le CNPN rejetait la dérogation et donc mettait un terme définitif au projet. Un recours a bien été entrepris auprès du ministre, mais surtout pour la forme, car il n’a quasiment aucune chance d’aboutir.

Conclusion:
- on a perdu 10 ans pour conduire sur notre territoire un véritable développement économique générateur de richesses et d’emplois.
- on a gaspillé en pure perte environ 1 500 000 Euros (600 000 euros d’études et 900 000 Euros qu’il va falloir rembourser à l’EPFR).

Et maintenant devinez qui va payer !

 
Lors du conseil communautaire du 8 décembre 2011, seul Gérard Bleinc s'était opposé à l'acquisition des terrains par l'EPFR
 
 
 
 
Informations relatives au coût de fonctionnement du complexe aquatique et de l'aire d'accueil des gens du voyage de Brignoles
 
  Voici quelques éléments intéressants communiqués dans des rapports annuels d'activités lors du conseil d’agglomération de la Provence Verte, vendredi 29 septembre, à Brignoles.
   
  Une piscine couverte qui dégage un bénéfice.
L'exploitation du centre intercommunal aquatique Aquavabre à Brignoles a été attribué en délégation de service public à la société Vert-Marine le 25 mai 2016.
Le complexe a enregistré 77 589 entrées entre le 30 juin et le 31 décembre 2016 réparties comme suit : 46 074 au 3ème trimestre (été) et 31 515 au 4ème semestre.
Le bilan financier fait apparaitre un total des produits pour 2016 de 804 365.05 € contre 788 445.85 € de charges, soit un résultat positif d’exploitation de 15 919.25 €.
Cela démontre clairement qu'un complexe aquatique géré correctement n'est pas un gouffre financier comme certains le prétendent.
 
Une aire d'accueil des gens du voyage qui est déficitaire
Cette aire a été attribuée en délégation de service public à l’association ALOTRA le 30 janvier 2012. Chaque année un rapport est remis par le délégataire à la collectivité. On y apprend notamment que, pour l’année 2016, les dépenses se sont élevées à 172 009.43 €, pour 160 320.79 € de recettes, soit un déficit de 11 689 € (il était de 9 645 € en 2015). Le taux d’occupation annuel de cette aire a été de 22 % pour 2016 contre 35 % en 2013.
Ce taux de remplissage faible, et de plus en diminution, conduit à penser qu'il est inutile d'envisager la création d'une nouvelle aire d'accueil sur notre territoire.
 
 
 
Il y a 37 ans des Saint-Maximinois œuvraient à la création d'un musée
 
 

En 1980, une équipe de bénévoles de l'association Polypus présidée par François Carrazé, avait consacré des centaines d'heures à fouiller et à vider l'ancienne citerne de la ville située dans le centre Louis Rostan.
Cela avait permis d'aménager de très belles salles d'exposition dans le but de créer, en ce lieu historique, un musée archéologique et historique.
En effet, au cours des âges ce bâtiment fut utilisé successivement comme citerne de la ville, lupanar, prison, cour de justice, siège de la justice de Paix, local du catéchisme, siège de l'association Polypus et conservatoire du patrimoine du pays saint-maximinois.

Hélas, l'idée de création d'un musée a été abandonnée, les collections dispersées et les salles d'exposition ne sont plus utilisées !

 

La citerne vidée et aménagée en salle d'exposition vers l'an 2000
 
 
 
 
Pourquoi nous devons faire du développement économique une priorité absolue
 
 

Ces chiffres montrent à quel point Saint-Maximin s'est appauvrie cette dernière décennie.
En clair, on doit répondre aux mêmes besoins que les autres communes de la même strate avec de moins en moins de moyens. Poursuivre ainsi est, à terme, suicidaire.
C'est pourquoi nous comptons sur l'agglo, qui en a la compétence, pour redresser la situation en mettant en œuvre sur notre territoire une véritable politique de développement économique génératrice de richesses et d'emplois.
Nous avons assez perdu de temps et d'argent...

 
 
 
Après l'échauguette de la rue Général de Gaulle, c'est au tour du rempart de Barboulin !
Rien ne leur résiste...
 
La tour d'angle de la Grand'rue (XVème siècle)
Avant leur passage   Après leur passage
 
 
Le seul vestige du rempart de Charles II d'Anjou parvenu jusqu'à nous (fin XIIIème siècle)
Avant leur passage   Après leur passage
 
 
Comment vont-ils pouvoir maintenant expliquer aux riverains qu'ils sont tenus de respecter des couleurs de tuiles ou de façades pour ne pas dégrader le site ?
 
 
     
Des performances réalisées par des sportifs du territoire au cours du mois écoulé
     
1 octobre 2017   8 octobre 2017
Charles DELACENNE   Jonathan MONCANY
de Saint-Maximin, licencié au SMAC   de Saint-Zacharie, licencié au SMAC
 
Finisher des 100km de Millau en 14h32min06s   Vainqueur du trail de l'Escarelle (24km, 1250m de dénivelé)
Millau   La Celle (83)
     
1 octobre 2017   1 octobre 2017
Nicolas LIGIER   Yannick SENECHAL
de Saint-Maximin, licencié au SMAC   de Saint-Maximin, licencié aux Vieux Cochons Seillonnais
 
Vainqueur de la Montée de la Sainte-Baume (20 km)   4e au scratch et 2ème Master à la Mauresque (50 km)
Aubagne (13)   Vidauban
     
20 octobre 2017   7 octobre 2017
Jonathan MONCANY 1er et Sébastien HENRI 3ème   Cédric OLIVIER
de Saint-Maximin, licenciés au SMAC   de Saint-Maximin, licencié au SMAC
 
Endurance Trail Millau (100 km pour 5 288 m de D+)   79ème sur 1 803 arrivants à la Spartan Race
Milau (12)   Circuit Paul Ricard du Castellet (83)
     
 
     
Vos élus sur le terrain au cours du mois écoulé
 
25 septembre 2017   29 septembre 2017
Cérémonie en hommage aux Harkis   Conseil d'Agglomération de la Provence Verte
 
Monument aux Morts   Hall des Expositions
Saint-Maximin   Brignoles
     
27 septembre 2017   7 octobre 2017
Soutien aux riverains dénonçant la destruction du rempart   Vernissage du salon d'art contemporain
 
Quartier Barboulin   Couvent Royal
Saint-Maximin   Saint-Maximin
     
7 octobre 2017
Assemblée Générale de la section locale du Souvenir Français et remise de la médaille d'argent à Joël Prats
 
Hôtel de Ville
Saint-Maximin
 
8 octobre 2017
Fête du Parc Naturel Régional de la Sainte-Baume
 
Suzanne Arnaud maire de Riboux et Michel Gros président du syndicat de préfiguration du PNR   Francis Tabary président régional des amis de
Saint-Jacques de Compostelle
Riboux
 
12 octobre 2017
Salon des Entrepreneurs au parc Chanot
 
G.Bleinc (Rougiers) - JC.Felix (Rocbaron) - JL Chauvin (président Chambre Commerce Marseille) - D.Bremond (Brignoles) - Directeur revue Les Echos - A.Decanis (St-Maximin) - Responsable Caisse des Dépôts et Consignation
Marseille
 
12 octobre 2017   14 octobre 2017
Inauguration du magasin Cavavin   Portes Ouvertes de l'association Notre Bibliothèque
 
13 rue Général de Gaulle   rue du 14 juillet
Saint-Maximin   Saint-Maximin
 
15 octobre 2017
Dépôt de gerbe suite à l'Assemblée Générale du Souvenir Français
 
Salle des Fêtes
Rougiers
 
20 octobre 2017   20 octobre 2017
Remise du chèque de 72 000 € pour la Viradabrue 2017   Fête du hameau des Censiés
 
Salle Gavoty   Salle des Fêtes Gilbert Tassy
Brignoles   Brignoles
C
 
 
 
Quelques événements qui se sont produits jadis sur notre territoire au mois de novembre
 
1 novembre 1339 Saint-Maximin : La peste noire est déclarée. Elle fait des ravages considérables
   
13 novembre 1387
Saint-Maximin : Le décés de la reine Jeanne engendre pendant plusieurs années une lutte de succession entre son neveu Louis II et Charles de Duras. des médiateurs sont nommés pour mettre fin au conflit. Il est décidé que toutes les communautés de Provence devront accepter la souveraineté du roi Louis d'Anjou et lui prêter fidélité. La communauté de Saint Maximin délibère dans ce sens et envoie quatre députés (René Gossolen, Bertrand Vicomte, Guillaume Audebrand, André Fresquière) pour porter leur soumission et traiter avec la reine Marie de Blois, régente de son fils mineur. La reine, habile tacticienne, confirme et approuve tous les droits, usages, libertés, franchises, privilèges et en concède même de nouveaux.
   
9 novembre 1595
Saint-Maximin : Alors que le duc de Guise entre en Provence, le duc d'Espernon signe à Saint Maximin un acte de soumission à Philippe II d'Espagne alors en guerre avec Henri IV. Ce traité fait de lui non seulement un rebelle envers son roi, mais aussi un traitre envers sa patrie : "Sa Majesté Catholique fera fournir dans Gennes pour le duc d'Espernon, tant poudre que balles, pour tirer deux mille coups de canon, et quatre cents quintaux de poudre à arquebuses. Tous les mois seront fournis dans la mesme ville de Gennes douze mille escus pour le duc d'Espernon, à commencer du mois d'aoust dernier. Sa Majesté Catholique promet en outre au duc d'Espernon de le protéger luy et ses amis, moyennant secours fournis de toutes sortes, chaque fois que le duc l'en suppliera. En cas de quelque accord ou paix avec le prince du Béarn, Sa Majesté promet en foy et parole de roy, de le comprendre audict traicté et tous ceulx qui despendent de luy, de ses amis, ou des charges qu'ils possèdent maintenant. Donnant Sa Majesté six mille arquebusiers dont elle fournira de quoi faire la levée au duc d'Espernon, parmi lesquels deux mille français, puis la cavalerie nécessaire, payant le tout durant le siège et donnant adsistance de galères en nombre suffisant pour boucher les advenues de la mer ; promets ledict duc d'Espernon d'assiéger la ville, place et forteresse de Tholon, et il espère s'en saisir avec l'aide de Dieu, et après la prise de la bailler à la disposition de Sa Majesté Catholique pour y mettre tel nombre de gens de guerre qu'il luy plaira, et promets aussy Sa Majesté de nommer un gentilhomme français pour gouverneur dudict Tholon, et que nul autre que le duc d'Espernon commandera l'armée audict siège ; que l'on fournira à Bruxelles ou à la ville la plus proche de Belgique, et en toute diligence, 6 000 escus entre les mains de celuy que ledict duc d'Espernon nommera pour subvenir aux besoins de ceste place. 100 000 escus seront en outre déposés en dépost à Gennes entre les mains de marchands solvables, j'usqu'à l'acquittement des conditions susdictes. A Sainct-Maximin ce neufviesme de novembre 1595." (Archives de Simancas - Histoire de la Ligue)
   
10 novembre 1595 Saint-Maximin : Toujours à Saint Maximin, le duc d'Espernon signe cet acte de serment envers la couronne d'Espagne : " Je soussigné, Jean Louis de la Valette, duc d'Espernon, pair et colonel de France, gouverneur, lieutenant général en Provence, Saintonge et Angoumois, promets à Sa Majesté Catholique de faire guerre au prince de Béarn et aux hérétiques et fauteurs d'iceux dans le Royaume de France, et de ne traicter ni résoudre aucun accord ny paix avec eux, sans en avoir la permission de Sa Majesté Catholique et après luy du prince son fils, lesquels me promettront par mesme moyen de me tenir, et mes amis, sous leur protection. Et de leur costé ne concluront aucune paix avec le prince de Béarn que je n'y sois compris pour conservation de moy, de mes amis, de nos biens et charges, enfoy de quoy j'ai dict et signé la présente, et cachetée du sceau de mes armes, pour conserver ce que dessus aux conditions y poser. A Sainct-Maximin ce dixiesme de novembre 1595." (Archives de Simancas - Histoire de la Ligue)
Heureusement, les événements qui se précipitent ne permettront pas à d'Espernon de mettre en application les clauses de ce traité abominable.
   
5 novembre 1622
Saint-Maximin : Visite de Louis XIII accompagné de sa mère, Marie de Médicis, et de son épouse Anne d'Autriche, visite Saint Maximin. Arrivé vers 16h, il est accueilli en grande pompe en haut du chemin d'Aix par les autorités civiles et religieuses. Après avoir passé la nuit au Couvent dans la chambre "prioralle" il repart dès le lendemain matin pour la Sainte Baume.
   
3 novembre 1720 Pourrières : Le lieutenant-colonel de Martois, du régiment d'Artois, vient séjourner dans la cité avec son Etat-Major. Il estime qu'il y a trop d'entrées, qu'il faut fermer la plupart des "avenues" et consolider les murailles.
   
16 novembre 1778 Tourves : Louis XVI à Versailles nomme le Comte de Valbelle "commandant pour le Civil en Provence"
   
18 novembre 1778 Tourves : Le Comte Joseph Alphonse Omer de Valbelle, frappé d'apoplexie, meurt sans laisser de descendance. Le château passe à la famille de Castellane.
   
18 novembre 1788
Pourrières : Par devant Claude Bouchard, notaire royal de la commune, Messire Louis Henri de Gaillard-Longjumeau-Ventabren, comte de Pourrières vends à François Moutte, négociant de Pourrières, la totalité des bâtiments du couvent des Minimes, à l’exception de l’église, pour le prix de quatre mille livres que ledit comte de Pourrières déclare avoir reçu en espèces.
   
18 novembre 1793 Saint-Maximin : Le Conseil Général de la commune délibère pour remplacer le nom de Saint Maximin par celui de Marathon.
   
25 novembre 1793 Saint-Maximin : Une dernière messe est célébrée dans la Basilique qui sera ensuite fermée puis vendue.
   
novembre 1794 Saint-Maximin : Marathon redevient Saint Maximin.
   
26 novembre 1800
Pourrières : La voiture du courrier d'Italie, escortée par 6 militaires, est arrêtée aux environs du village de Pourrières. La malle est pillée et les militaires conduits dans les bois et assassinés. Sur les 18 brigands que compte la bande, neuf sont pourriérois : Louis et Joseph Roche, Daumas, Thomas Durand, François Pazery, Trophime Romanès, Etienne Imbert, François Sumian et Siméon Silvy. Le butin est caché dans un grenier à foin, sous un tas de paille, dans la ferme de la Blaquière.
   
29 novembre 1880 Saint-Maximin : Ouverture de la section Carnoules-Trets de la ligne Carnoules-Gardanne. Quatre omnibus quotidiens passent par la gare de Saint Maximin dans les deux sens.
   
nuit du 17 au 18 novembre 1943 Tourves : Sabotage de la pelle de la Todt, qui stationne à la gare de Tourves, par des maquisards.
   
11 novembre 1957 Saint-Maximin : En début de matinée les Dominicains quittent définitivement Saint Maximin. Ils effectuent en bus le trajet jusqu'à leur nouveau couvent de Toulouse.
 

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