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Var - République - Démocratie

bulletin local n°111 - octobre 2017

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire"
Albert Einstein

   
 
 
 
La table de Bruno, un établissement gastronomique de qualité,
situé route de Barjols à St-Maximin
 
 
 
 
Saint-Maximin va changer de maire !
 
En septembre 2014 ont eu lieu les élections sénatoriales pour désigner les 4 sénateurs varois. Il s'agit d'élection au scrutin de listes à la proportionnelle. Ont été élus les deux premiers de liste LR (Hubert Falco et Christiane Hummel), le premier de la liste FN (David Rachline) et le premier de la liste de la gauche varoise (Pierre Yves Collombat).
Depuis a été votée une loi qui entrera en application le 1er octobre 2017. Elle interdit le cumul entre un mandat de parlementaire et celui d'un président ou vice-président d'exécutif local.
Trois des sénateurs varois sont concernés par cette loi, David Rachline qui préfère rester maire de Fréjus, Hubert Falco qui a choisi de conserver son poste de maire de Toulon et de président de TPM, ainsi que Christiane Hummel qui préfère aussi conserver son mandat de maire de La Valette et de vice-présidente de TPM.
Pour remplacer ces trois sénateurs démissionnaires, ce sont donc les suivants sur leur liste qui sont appelés.
Sur la liste LR viennent dans l'ordre du tableau Georges Ginesta et Christine Lanfranchi.
Cette dernière ayant choisi d'occuper le poste de sénateur, a donc démissionné de son mandat de maire ainsi que de celui de vice-présidente de l'agglomération de la Provence Verte. Cela va donc entrainer des élections au sein de ces deux assemblées : le conseil municipal de Saint-Maximin va devoir élire en son sein un nouveau maire, et le conseil d'agglomération de la Provence Verte devra également élire parmi ses membres un nouveau vice-président.

Beaucoup espéraient que ça soit l'occasion d'avoir un maire tout neuf. Hélas, nous aurons de nouveau droit à une transmission du flambeau au sein du clan familial comme c'est devenu la tradition dans notre commune.
 
 
 
Interview d'Alain Decanis réalisée fin août 2017 au sujet de l'agglo
 

  Vous êtes quatre élus (Gérard Bleinc, Alain Decanis, Pascal Simonetti, Véronique Boulanger) à avoir décidé de créer un groupe au sein de la communauté d’agglomération. Pouvez-vous nous en indiquer les raisons ?
   
  Dès sa création, la composition de cette assemblée a résulté d’un arrangement entre les trois anciens présidents des communautés de communes (André Guiol, Josette Pons, Christine Dorgal) et les maires. De ce fait ceux qui, comme trois d’entre-nous, sont élus en qualité de représentants de l’opposition dans leur commune, ont été écartés de tout poste de responsabilité.
Comme nous considérons que nous ne sommes pas élus pour faire de la figuration mais pour œuvrer dans l’intérêt de tous les habitants de ce territoire nous avons décidé de créer un groupe.
 
Gérard Bleinc qui siège dans votre groupe n’a pourtant pas été écarté puisqu’il siège en qualité de vice-président ?
 

C’est vrai, mais il est le seul à avoir été réellement élu lors d’un scrutin où il y avait deux candidats. Il n’était pas celui qui résultait du consensus. Il ne doit sa légitimité qu’aux membres de l’assemblée qui ont décidé de l’élire vice-président.

 
Cela signifie-t-il que cette assemblée n’est pas démocratique ?
 

Par rapport à la communauté de communes Sainte-Baume Mont-Aurélien, même si tout n’est pas parfait, nous reconnaissons qu’il y a un réel progrès. Dans la précédente structure, on déniait même le droit à des conseillers d’opposition dans leur commune, quelle que soit leur étiquette, de siéger dans des commissions de travail. A l’agglo ça n’est pas le cas. Chacun a pu choisir plusieurs commissions, et nous pouvons participer aux travaux. C’est tout de même à mettre au crédit de l’actuelle présidente.

 
Comment envisagez-vous votre rôle dans cette assemblée ?
 

Nous travaillons avec tous les membres de l’association Var-République-Démocratie, élus ou pas, ainsi qu’avec des représentants du monde professionnel et du tissu associatif. Ensemble nous identifions les besoins qui nous paraissent les plus urgents, avec pour objectif de proposer des solutions à court terme, tout en s’assurant qu’elles soient cohérentes avec un projet de territoire plus global. Nous ferons remonter ces propositions à l’exécutif au nom du groupe, en espérant qu’elles soient prises en considération.

 
N’est-il pas incompatible d’être responsable d’un comité En Marche et à la tête d’un groupe politique indépendant ?
 

Pas du tout, Var-République-Démocratie est une association 1901 qui a pour vocation de rassembler tous les élus républicains qui le souhaitent, indépendamment à la fois de leur étiquette politique mais aussi de la commune qu’ils représentent. On y retrouve des gens de toutes sensibilités partageant le même objectif d’œuvrer dans l’intérêt de tous les habitants de ce territoire. Et ça fonctionne bien. Nous sommes nombreux à penser que si nous voulons avancer, le temps est venu de sortir des guéguerres de partis, mais aussi des querelles de clochers.

 
Quelles sont vos priorités ?
 

Nous les présenterons au fur et à mesure de l’état d’avancement de nos travaux. Mais plusieurs thèmes qui nous paraissent particulièrement importants sont déjà sur le métier : la revitalisation des centres-villes avec pour objectif d’éviter que nos communes ne deviennent définitivement des cités dortoirs, la défense de notre environnement et la préservation de notre qualité de vie, la mise en œuvre d’une véritable politique économique permettant de créer des richesses et des emplois pour nos enfants dont la plupart sont obligés de s’expatrier après avoir terminé leurs études.

 
 
 
A tous ceux qui attendent un jardin d'enfants !
 
  Le 31 mai 2016 question posée écrite par Alain Decanis à Madame le Maire : Le seul jardin d’enfants en centre-ville est doté uniquement d’un toboggan. C’est peu pour une commune de 17 000 habitants. Est-il prévu d’en réaliser un de plus grande capacité qui permettrait de satisfaire aux besoins des nombreuses familles qui y vivent dans le courant de ce mandat ? Sinon serait-il possible d’agrandir l’espace destiné aux enfants dans l’Enclos en y ajoutant quelques jeux ?
  Réponse de Madame le Maire : Nous allons en aménager un en bas à gauche au fond du jardin de l'Enclos.
  Alain Decanis : Je prends acte !
Seize mois plus tard on nous l'annonce (Var Matin du 16/09/2017) pour 2018 : Patience !!!
 
 
 
En souvenir d'une époque où ceux qui géraient la commune
étaient attachés au patrimoine !
 
 
Soit les platanes sont réellement malades et il faut les abattre, tous, et tout de suite ! Y compris ceux du boulevard Bonfils, de l'avenue Jean Jaurès et du jardin de l'Enclos. Il n'y a aucune raison de ne sécuriser que la place Malherbe et laisser ailleurs un danger aussi important planer au-dessus de nos têtes.
Soit ils ne sont pas vraiment malades, mais souffrent d'un mauvais traitement (suppression du canal d'irrigation qui existait jadis et goudronnage jusqu'aux racines) qui conduit à un dessèchement du tronc. Si cette dernière hypothèse est juste (seul un expert indépendant de la commune pourrait nous le dire), cela signifie que l'on aurait pu épargner plus de la moitié des arbres et ne remplacer que ceux qui pouvaient présenter un danger.
Dans tous les cas il est pour le moins suspect que l'on n'abatte que les platanes compris dans le périmètre de l'aménagement projeté.

 
 
 
Question écrite posée par Pascal Simonetti au nom du groupe VRD au conseil d'agglomération du 29 septembre 2017
 
 

Comme nous l'avions annoncé lors de la constitution de notre groupe, nous nous sommes mis au travail afin de formuler des propositions destinées à apporter une réponse concrète aux problèmes que rencontrent  nos concitoyens dans différents domaines.
Dans ce cadre nous souhaiterions que cette assemblée se saisisse du problème causé par la perte d’attractivité que connaissent tous nos centres villes et les conséquences engendrées par cette évolution sur le petit commerce.
Ces dernières décennies quasiment toutes nos communes de la Provence Verte ont connu une expansion démographique particulièrement importante.

Parallèlement on a assisté à une multiplication de grandes zones commerciales en périphérie et par voie de conséquence au déclin du commerce de proximité.
Cela est préoccupant à la fois sur le plan économique mais aussi et surtout en matière de lien social, car nos  villages ruraux se sont peu à peu transformés en communes dortoirs où les habitants ont perdu tout sentiment d’appartenir à une même collectivité.
Lutter contre cette tendance n’est pas chose aisée, nous en convenons, mais cela nous parait être une des priorités que nous devons retenir car il en va de notre identité.
Nous proposons la démarche suivante :

- dans un premier temps, engager des réunions d’écoute et de concertation avec les commerçants et les riverains des centres villes.

- effectuer une synthèse permettant d’élaborer un plan d’action pour nos centres anciens intégrant à la fois la dimension commerciale, la circulation, le stationnement et l’habitat.

- enfin, réaliser un phasage dans le temps en fonction des financements que nous serons capables de trouver et des moyens que nous serons en mesure d’y consacrer.

Personne ne dispose aujourd’hui de baguettes magiques mais des villes et des intercommunalités se sont déjà penchés sur le problème et ont expérimenté avec succès des solutions innovantes. Il serait souhaitable de s’en inspirer.
Dans tous les cas il nous parait urgent de montrer à nos concitoyens que nous sommes conscients de l’étendue du problème et que nous sommes prêts à initier une démarche visant à les associer à une réflexion, afin de rechercher et de mettre en œuvre des solutions adaptées.
De notre côté nous sommes prêts à nous engager dans cette voie.

 
 
 
Ouverture d'un Darty à Saint-Maximin au mois de mars
 
  Lors de l'Assemblée Générale des chefs d'entreprises du Parc d'Activité du Chemin d'Aix à Saint-Maximin, nous avons appris qu'un Darty d'une surface de vente de 1000 m² ouvrira ses portes au mois de mars sur cette zone.

C'est le futur directeur de cette nouvelle entreprise qui a lui même annoncé la nouvelle.
Ce nouvel établissement va très certainement dynamiser la zone, mais il va aussi générer des dificultés de stationnement et de flux de véhicules qu'il va falloir gérer.
 
 
 
La randonnée de la Viradabrue 2017
 
 

Beaucoup de participants et une météo très clémente cette année encore pour la 2ème édition de la randonnée de la Viradabrue qui a permis de découvrir de nombreux éléments de notre patrimoine rural des villages du Haut-Var traversés.

Toutes les photos que nous avons effectuées lors de cette sortie conviviale peuvent être consultées et récupérées sur le site : http://var-republique-democratie.fr/PAGESWEB/HISTOIRE/AUTRESCOMMUNES/brueauriac/fete/Viradabrue2017.html

 
 
 
Au sujet du parc des sports (dans Var-Matin du 16 septembre)
 
Annoncer la pose de la première pierre n'engage pas à grand chose, c'est à partir de la deuxième que les choses se compliquent !
Dire qu'on s'engage à poser la première pierre durant ce mandat revient à reconnaitre qu'au mieux les premiers travaux du parc des sports seront de la responsabilité du futur maire ! Rien d'étonnant à cela car en dépit de la multiplication des effets d'annonce la commune n'ait jamais prévu aucun financement pour cet aménagement.
 
 
 
 
1 500 000 Euros jetés par les fenêtres !
 
 
Lors de l'Assemblée Générale des chefs d'entreprises du Parc d'Activité de la Zone du Chemin d'Aix à Saint-Maximin, nous avons appris de la bouche de Madame le Maire que le projet du Parc d'Activité du Mont Aurélien avait été rejeté pour des raisons liées à la préservation de l'environnement par le Conseil National de Protection de la Nature.
C'est avec plaisir que nous avons pris cette nouvelle et la préservation du versant boisé du Mont Aurélien.
Cependant le bilan financier de l'opération est moins réjouissant.
Depuis près de dix ans nous disons que le lieu en bordure d'une ZNIEFF et d'une zone Natura 2000 est mal placé. Nous avons même lancé une pétition qui a recueilli des milliers de signatures contre ce projet, mais rien n'y a fait.
Pire ! Pour crédibiliser cet aménagement et faire miroiter des milliers d'emplois à l'approche des municipales l'équipe en place a lancé en 2013 la procédure d'acquisition des terrains sans s'assurer de la faisabilité du projet. Une fois les élections passées, lorsqu'il n'a plus été utile d'acheter, ils ont stoppé les acquisitions mais 900 000 Euros d'argent public avaient déjà été dépensés. Maintenant il va falloir rembourser cette somme à l'Etablissement Public Foncier Régional mandaté pour acheter.
Si on ajoute les 600 000 Euros d'études de toute nature, c'est un total d'environ 1 500 000 Euros qui ont été jetés par les fenêtres.
Bravo pour la rigueur de gestion !
 
 
 
Question écrite posée par Alain Decanis au nom du groupe VRD au
conseil municipal du 28 septembre 2017
 

Les producteurs locaux jouent un rôle particulièrement important en matière d’animation du centre-ville. Or, ces dernières années, leur nombre n’a cessé de diminuer car ils rencontrent des difficultés de plus en plus importantes liées à la perte d’attractivité du centre ancien, à la concurrence de la grande distribution et aux difficultés de stationnement…
Afin de les aider à maintenir leur activité, et pour permettre à nos concitoyens de s’approvisionner avec des denrées de qualité issues de circuits courts,  nous préconisons la construction d’une halle couverte au Pré de Foire.
Cela serait certainement un aménagement utile qui contribuerait à redynamiser l’ensemble du petit commerce de proximité
.
Ne serait-il pas judicieux de se mettre tous autour d'une table afin d'œuvrer à la réalisation d'un projet de ce type ?

 
 
 
 
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Des performances réalisées par des sportifs du territoire au cours du mois écoulé
     
26 et 27 août 2017   1 et 2 septembre
Phase finale du Championnat de France de Jeu Provençal   Courmayeur-Champex-Chamonix (100 km et 6 127 m D+)
Sébastien LECOLE - Roger CASINI   Régis NARDELLA
 
Eliminés en 16ème de finale   389ème place en 18h21min48s.
Palavas-les-Flots (34)   massif du Mont Blanc
     
10 septembre 2017   17 septembre 2017
Championnat du Var Cadets au Jeu Provençal 2 X 2   Défi de Marius Caïus (25 km pour 1 200 m de dénivelé)
Hocine KADRI - Lorenzo BOTTIGLIERI vice champions   Nicolas LIGIER
 
Driss CHERCHOUR - Samy CHARMASSON demi-finalistes   3ème au scratch
Saint-Maximin (83)   Pourrières (83)
     
 
     
Vos élus sur le terrain au cours du mois écoulé
 
31 août 2017
Avec Véronique Boulanger, conseiller VRD à l'agglo, visite du chantier participatif de William
 
Extérieur prêt à être crépis   Murs en blocs de paille comprimée et sol en argile
Pourcieux
     
3 septembre 2017
Course des Vignobles
 
Pré de Foire
Saint-Maximin
     
3 septembre 2017   9 septembre 2017
Aïoli de la fête Sainte Anne   Dédicace du dernier ouvrage de Martine Pilate
 
Cours   Jardin des Lettres
Rougiers   Saint-Maximin
     
10 septembre 2017
Fête des pois chiches
 
Cours
Rougiers
     
14 septembre 2017
Balisage
 
Randonnée de la Viradabrue
d'Artigues à Brue-Auriac
     
14 septembre 2017
Participation à l'Assemblée Générale
 
Association des chefs d'entreprises de la ZA du chemin d'Aix
Saint-Maximin
     
14 septembre 2017   15 septembre 2017
Participation à l'Assemblée Générale   Inauguration du magasin bio Marcel et fils
 
Association Notre Bibliothèque   ZA du chemin d'Aix
Saint-Maximin   Saint-Maximin
     
15 septembre 2017   16 septembre 2017
Inauguration d'Evidence après changement de propriétaire   Organisation et participation à la randonée
 
ZA Laouve   de la Viradabrue
Saint-Maximin   Brue-Auriac
     
17 septembre 2017   23 septembre 2017
Avec des conseillers de l'agglo de la Provence Verte   Fête de la petite enfance
 
Fête de la prune   Agglomération de la Provence Verte
Brignoles   Brignoles
     
23 septembre 2017   23 septembre 2017
Avec le comité d'organisation   Inauguration du restaurant Etoile de la Ste Baume
 
14e festival de la BD   ZA La Laouve
Bras   Saint-Maximin
     
24 septembre 2017
Forum des associations
 
Cloitre du Couvent Royal
Saint-Maximin
C
 
 
 
Quelques événements qui se sont produits jadis sur notre territoire au mois d'octobre
 
6 octobre 1241 Bras : Raimond Berenger, comte de Provence, fait don du fief de Bras à l'évêque de Riez.
   
4 octobre 1296 Saint-Maximin : Sur les 2000 livres prévues pour financer la construction de l'église, le sénéchal de Provence doit payer des indemnités pour la démolition des maisons avoisinantes. Il faut libérer de la place pour l'église.
   
18 octobre 1375 Tourves : Raymond de Baux étant mort sans enfant, la reine Jeanne fait don des châteaux de Tourves de Gueillet de de Seissons à Jacques d'Arcussia, originaire de Naples, comte de Minerbin et Grand Chambellan de Sicile.
   
octobre 1389 Saint-Maximin : Visite du roi de France, Charles VI, accompagné de son jeune cousin âgé de 12 ans, Louis II, qui vient tout juste d'être sacré et couronné roi de Naples et comte de Provence par le pape Clément VII à Avignon.
   
12 octobre 1399 Tourves : Louis II confirme à François d'Arcussia, fils de Jacques, la donation que la reine Jeanne lui avait faite de la terre de Tourves.
   
16 octobre 1460 Tourves : Le roi René confirme à Louis d'Arcussia et à ses successeurs de défendre aux habitants de construire des fours et des moulins, et de pêcher.
   
octobre 1520 Saint-Maximin : Le roi de France, François 1er, suite à une requête des habitants de Saint Maximin, déclare la franchise de la foire qui se tient le quinzième jour après Pâque charnelle (elle dure trois jours du lundi au mercredi), créée par Charles II d'Anjou en souvenir de la translation des reliques.
   
24 octobre 1564 Pourrières : Charles IX et sa mère Catherine de Médicis font une halte pour dîner à Pourrières avant de se rendre à Saint-Maximin. En cette occasion, il donne à la communauté des lettres patentes portant la création de la foire des 15,16 et 17 août à Pourrières, chaque année, afin que les habitants de ce lieu "trafiquent" avec leurs voisins.
   
24 octobre 1564 Saint-Maximin : Charles IX, arrive à Saint Maximin en compagnie de sa mère Catherine de Médicis et de son frère le duc d'Anjou qui régnera sous le nom d'Henri III. Les consuls sont Jean de Virgily, noble, et Maurisy Foulquette, bourgeois.
   
25 octobre 1564 Saint-Maximin : Le jour du départ du Roi la peste est publiée dans la cité.
   
20 octobre 1578 Pourrières : Toutes les portes de la ville sont fermées à la chaux et à sable, exceptée celle du portail de Laygue, où se tient une garde de 4 hommes, jour et nuit. Il s'agit de se prémunir de l'épidémie de peste qui cause des ravages.
   
octobre 1589 Saint-Maximin : Bernard de Nogaret de la Valette, qui est à la tête du parti royaliste en Provence, confie à Valavoire, un de ses fidèles capitaines, le commandement de la ville de Saint-Maximin. C'est lui qui repoussera quelques mois plus tard les troupes du duc de Savoie qui assiégeaient la cité.
   
6 octobre 1720 Pourrières : Une grande épidémie de peste vient de dévaster la Provence mais Pourrières est épargnée. Les consuls, les intendants du bureau de Santé et la plus grande partie de la population se rendent à l’église de Notre Dame du Bois. Les magistrats s’approchent de l’autel de Notre Dame de Miséricorde et prononcent le vœu solennel dont la tradition est perpétuée chaque année.
   
20 octobre 1720 Nans : La dernière grande épidémie de peste (ramenée d'Orient par le navire le Grand Saint Antoine ayant accosté à Marseille le 25 mai 1720) fait de gros dégâts à Nans. Dans le village l'épidémie apparait le 20 octobre 1720, mais considérée par les médecins comme une simple fièvre, la peste n'est identifiée que le 23 novembre 1720. En dix mois l'épidémie cause la mort de 230 habitants sur une population d'environ 670 personnes.
   
10 octobre 1799 Pourrières : Vers 16h, un convoi escorté de 6 personnes chemine lentement et s'apprête à atteindre les bastides-auberges de la Galinière. L'une d'elles, connue sous le nom d'auberge des Banettes appartient à un certain Nicolas Micoureou, moitié paysan, moitié aubergiste, quelque peu brigand. Au moment où les voyageurs se présentent au relais pour changer leurs chevaux, ils sont encerclés par 32 brigands (dont François Gouirand de Pourrières), au visage dissimulé par des foulards ou noircis au charbon. Tous sont armés de fusils à deux coups ou de carabines. Saisis d'effroi les voyageurs n'opposent aucune résistance. Les brigands ne se doutent pas de l'importance du butin. Il s'agissait des bagages du général Bonaparte qui, revenant d'Egypte avait accosté à Fréjus d'où il était parti directement pour Paris avec Berthier, Monge et Berthollet dans une berline. Ses bagages devaient le rejoindre escortés par Aimé Poulet son homme de confiance, du mameluck Roustam, de Danger, de Gailon et d'un bijoutier de Fréjus accompagné de sa femme.
Les voitures sont pillées et les caisses brisées. Le butin est composé de linge, de chemises, mouchoirs, couverts d'argent, salières, cafetières, chandeliers d'argent, deux ou trois paires de pistolets, un beau sabre, une montre à répétition, une pendule de prix, et une somme en monnaie d'or.
 

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