Après avoir été sondé en 1967 par M. Gérard, le site a fait l'objet d'un sauvetage d'urgence réalisé par François Carrazé en 1978.
Le premier sondage, effectué à l'occasion du creusement d'un fossé, a révélé la présence de murs bâtis à la chaux, d'enduits peints et de placage de marbre.
L'intervention de 1978 a permis de dégager un bâtiment comportant un sol en béton de tuileau et des enduits peints ainsi que des bassins de décantation d'argile traversés par des drains.
Au cours du second état, ce bâtiment reçu des dolia, quatre alignés ont été fouillés.
Le bâtiment semble dès lors avoir servi de chai à vin, mais l'emplacement des foulois et des pressoirs devait être situé en dehors de la zone fouillée.
Un dernier état correspond à un empierrement et à une reconstruction de certains murs. L'abandon des structures est à situer après le règne de Marc Aurèle.