Conseil Municipal du 21 février 2017
 

Absents représentés : Blandine Gomart-Jacquet (pouvoir à Alain Decanis) - Marie François Bertin-Maghit (pouvoir à Laure Ancolio) - Nicole Drevet (pouvoir à Anne Marie Lamia) - Martine Tissier (pouvoir à Christian Lombard) - Olivier Degioanni (pouvoir à Serge Langlet) - Fabrice Albert (pouvoir à Mohamed Sebbani) - Clément Deidda (pouvoir à Jacques Freynet) - Gilles Perez (pouvoir à Philippe Hrynda) - Vesselina Garello (pouvoir à Olivier Barrau)
Absent : Michaël Granier

 

Le compte rendu du dernier conseil municipal est approuvé à l'unanimité.

 

Examen des décisions du maire et des marchés passés par la commune au cours du 4ème trimestre 2016

Pas d'observation.

 

1 – RAPPORT SUR LES ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES / EXERCICE 2017

Vu l’article L. 2312-1 du Code général des collectivités territoriales,
Vu la note de synthèse adressée aux conseillers municipaux avec l’ordre du jour,

Madame le Maire rappelle que l’article L 2312-1 du Code Général des Collectivités Territoriales dispose que :

Le budget de la commune est proposé par le maire et voté par le conseil municipal.

Dans les communes de 3 500 habitants et plus, le maire présente au conseil municipal, dans un délai de deux mois précédant l’examen du budget, un rapport sur les orientations budgétaires, les engagements pluriannuels envisagés ainsi que sur la structure et la gestion de la dette. Ce rapport donne lieu à un débat au conseil municipal, dans les conditions fixées par le règlement intérieur prévu à l’article L. 2121-8. Il est pris acte de ce débat par une délibération spécifique.

Dans les communes de plus de 10 000 habitants, le rapport mentionné au deuxième alinéa du présent article comporte, en outre une présentation de la structure et de l’évolution des dépenses et des effectifs. Ce rapport précise notamment l’évolution prévisionnelle et l’exécution des dépenses de personnel, des rémunérations, des avantages en nature et du temps de travail. Il est transmis au représentant de l’Etat dans le département et au président de l’établissement public de coopération intercommunale dont la commune est membre ; il fait l’objet d’une publication. Le contenu du rapport ainsi que les modalités de sa transmission et de sa publication sont fixés par décret.

Les dispositions du présent article s'appliquent aux établissements publics administratifs des communes de 3 500 habitants et plus.

Madame le Maire demande aux membres du conseil municipal de prendre acte de la tenue du débat d’orientations budgétaires.

Alain Decanis : Le débat sur les orientations budgétaires est destiné à examiner la situation financière de la commune et à présenter des perspectives visant à élaborer le budget primitif.

Ainsi j’ai noté qu’en cinq ans, soit de 2011 à 2016, les recettes de fonctionnement de la commune ont augmenté de 2.57 %.

- 2011 : 15 162 000 €
- 2012 : 15 441 000 €
- 2013 : 15 846 000 €
- 2014 : 15 901 000 €
- 2015 : 15 561 000 €
- 2016 : 15 552 435 €

Au cours de cette même période, compte tenu du transfert de compétences, donc de personnel à l’agglo (antenne de justice notamment), ainsi que des privatisations de services tels que le nettoyage ou la restauration scolaire, on aurait pu espérer que la masse salariale au moins se stabilise. Et bien pas du tout ! Dans ce même temps elle augmenté de près de 20%, 19.86 % exactement. 

- 2011 : 7 424 000 €
- 2012 : 7 893 000 €
- 2013 : 8 116 000 €
- 2014 : 8 526 000 €
- 2015 : 8 749 000 €
- 2016 : 8 898 451 €

On pourrait alors imaginer que cela est dû à une politique salariale trop généreuse en faveur des agents communaux. Là encore les chiffres que vous publiez dénient cette hypothèse. Je cite : « Le salaire moyen d’un fonctionnaire à Saint-Maximin  est de   1 531 € net mensuel, contre  2 225 € net mensuel pour la moyenne nationale en 2014 ».

Cela nous conduit  à penser que ce qui est en cause ça n’est pas le montant du salaire des agents, il est en moyenne relativement bas, mais votre organisation des services qui a conduit à des recrutements pas forcément dans les secteurs où la commune en avait le plus besoin

Conséquence directe de tout ça, les investissements se sont réduits comme peau de chagrin.
En 2011 nous consacrions encore 4 179 000 € aux dépenses d’équipement. Cinq ans plus tard, soit l’année qui vient de s’écouler, nous avons à peine réalisé 2 416 000 €, de  travaux.

Pour conclure, la politique que nous préconisons est, à peu de choses près, l’inverse de ce que vous avez fait.
Nous considérons qu’il est aujourd’hui impératif, dans un premier temps, de contenir nos dépenses de fonctionnement pour restaurer l’équilibre budgétaire devenu très précaire. Et, dans la foulée, engager une véritable politique de développement économique génératrice de richesses et d’emplois dans le but de dégager des marges nécessaires aux financements des équipements que nos concitoyens attendent de plus en plus impatiemment.

Philippe Hrynda : Je suis tout à fait d'accord avec ce que Monsieur Decanis vient d'exposer.

 

2 – OPPOSITION AU TRANSFERT DE COMPETENCES EN MATIERE DE PLU A LA COMMUNAUTE D'AGGLOMERATION DE LA PROVENCE VERTE

Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal les dispositions du paragraphe II de l'article 136 de la loi n°2014-366 du 24 mars 2014 parue au journal officiel n°0072 du 26 mars 2014, pour l'Accès au Logement et pour un Urbanisme Rénové, dite loi ALUR :

II. ― La communauté de communes ou la communauté d'agglomération existant à la date de publication de la présente loi, ou celle créée ou issue d'une fusion après la date de publication de cette même loi, et qui n'est pas compétente en matière de plan local d'urbanisme, de documents d'urbanisme en tenant lieu ou de carte communale le devient le lendemain de l'expiration d'un délai de trois ans à compter de la publication de ladite loi. Si, dans les trois mois précédant le terme du délai de trois ans mentionné précédemment, au moins 25 % des communes représentant au moins 20 % de la population s'y opposent, ce transfert de compétences n'a pas lieu.
Si, à l'expiration d'un délai de trois ans à compter de la publication de la présente loi, la communauté de communes ou la communauté d'agglomération n'est pas devenue compétente en matière de plan local d'urbanisme, de documents d'urbanisme en tenant lieu ou de carte communale, elle le devient de plein droit le premier jour de l'année suivant l'élection du président de la communauté consécutive au renouvellement général des conseils municipaux et communautaires, sauf si les communes s'y opposent dans les conditions prévues au premier alinéa du présent II.
Si, à l'expiration d'un délai de trois ans à compter de la publication de la présente loi, la communauté de communes ou la communauté d'agglomération n'est pas devenue compétente en matière de plan local d'urbanisme, de documents d'urbanisme en tenant lieu ou de carte communale, l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale peut également à tout moment se prononcer par un vote sur le transfert de cette compétence à la communauté. S'il se prononce en faveur du transfert, cette compétence est transférée à la communauté, sauf si les communes membres s'y opposent dans les conditions prévues au premier alinéa du présent II, dans les trois mois suivant le vote de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.

Madame le Maire précise qu'ainsi au regard de ces dispositions, la Communauté d'Agglomération de la Provence Verte va devenir de facto compétente en matière de PLU au 27 mars 2017, sauf si au moins 25 % des communes représentant au moins 20 % de la population s'y opposent.

Madame le Maire précise également que le transfert de compétence PLU à la Communauté d'Agglomération supposerait également de facto l'élaboration d'un nouveau Plan Local d'Urbanisme Intercommunal (PLUi) à l'échelle de l'ensemble du périmètre de l'intercommunalité.

Au terme de ces rappels, Madame le Maire propose au Conseil Municipal de débattre sur l'opportunité de ce transfert de compétence et de délibérer sur cette question.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

3 – AUTORISATION A MADAME LE MAIRE D'ENGAGER LA MODIFICATION N°2 DU PLAN LOCAL D'URBANISME

Madame le Maire rappelle la délibération du 19 janvier 2016 approuvant le Plan Local d'Urbanisme. Elle rappelle que le PLU identifiait le secteur du Clos de Roques comme un secteur stratégique du développement et de l'aménagement urbain communal. Le caractère stratégique de ce secteur est notamment lié à :

  • sa proximité immédiate avec le centre ville,
  • sa situation en entrée de ville Nord et aux potentialités qu'il offre en terme de structuration urbaine communale,
  • la maîtrise foncière communale de l'ensemble du secteur,
  • etc...

Madame la Maire rappelle que ce secteur a fait l'objet de nombreuses études préalables : étude de programmation des équipements sportifs communaux, études préalables d'aménagement au travers du PLU, études paysagères CAUE, études techniques de sols, etc...

Elle rappelle également qu'au regard des contraintes du secteur et notamment des perceptions visuelles sur la Basilique, la mise en œuvre de ce projet doit se faire en concertation avec les services compétents et notamment le Service Territorial de l'Architecture et du Patrimoine (STAP). Elle précise à ce sujet que les modalités de mise en œuvre de ce projet ont pu être définies lors d'une réunion tenue le 9 janvier 2017 sous l'autorité de Monsieur le Sous-Préfet de Brignoles.

Madame le Maire précise que la mise en œuvre de ce projet qui combine un programme d'équipements sportifs, du logement et un projet global de réaménagement de l'entrée de ville Nord (organisation viaire, cheminements piétonniers, etc...) suppose une nouvelle modification du PLU, le PLU approuvé ayant identifié le secteur en zone à urbaniser (zone AU).

Madame la Maire rappelle qu'au terme de l'article L.153-38 du Code de l'Urbanisme,

Lorsque le projet de modification porte sur l'ouverture à l'urbanisation d'une zone, une délibération motivée de l'organe délibérant de l'établissement public compétent ou du conseil municipal justifie l'utilité de cette ouverture au regard des capacités d'urbanisation encore inexploitées dans les zones déjà urbanisées et la faisabilité opérationnelle d'un projet dans ces zones.

Suite à ces rappels, Madame le Maire précise :

  • que l'utilité de l'ouverture à l'urbanisation du secteur du Clos de Roques se justifie par la nécessité de poursuivre les programmes de réalisation des équipements publics structurants
  • que l'utilité de l'ouverture à l'urbanisation du secteur du Clos de Roques se justifie par la nécessité de diversifier le parc de logements de la commune, en cohérence avec les objectifs affichés dans le PLU et dans le Programme Local de l'Habitat
  • que les zones déjà urbanisées de la commune ont une vocation principalement résidentielle et qu'elles n'offrent aucune capacité d'accueil résiduelle pour un programme mixte équipements structurants/logements

Au terme de ces rappels, Madame le Maire propose au Conseil Municipal d'engager la modification n°2 du PLU pour l'ouverture à l'urbanisation du secteur du Clos de Roques.

Madame le Maire propose :

Vu le PLU approuvé le 19 janvier 2016 et modifié le 27 septembre 2016

Vu le Code de l'Urbanisme et notamment ses articles L.153-36 à L.153-40,

Considérant que le projet d'ouverture à l'urbanisation du secteur du Clos de Roques est justifié par la nécessité de poursuivre les programmes d'équipements structurants,

Considérant que le projet d'ouverture à l'urbanisation du secteur du Clos de Roques est justifié par la nécessité de poursuivre les actions en faveur de la diversification du parc d'habitat,

Considérant que les capacités d'urbanisation encore inexploitées dans les zones déjà urbanisées du PLU n'offrent pas les conditions permettant une faisabilité opérationnelle d'un projet mixte équipements/logements dans ces zones d'engager la modification n°2 du PLU pour l'ouverture à l'urbanisation du secteur du Clos de Roques.

Alain Decanis : Au début, il y a quelques années, on nous a expliqué que le Clos de Roques était destiné à recevoir un complexe sportif. On nous a présenté un beau dessin avec piscine couverte, tennis, piste d’athlétisme…
Nous avions émis quelques réticences sur le lieu retenu en raison des contraintes liées à la fenêtre de la Basilique et à l’impossibilité d’extension de ce projet coincé entre deux lotissements et l’autoroute.
Ensuite on nous a expliqué qu’on allait réduire un peu l’espace sportif, non pas pour une extension du cimetière, comme cela aurait pu paraitre logique, mais pour aménager un nouveau lotissement à usage d’habitation.
Maintenant, si j’ai bien compris, vous nous dites que finalement pour le complexe sportif on verra plus tard, mais qu’en revanche  le lotissement est devenu une priorité.
Nous aurions préféré l’inverse. C'est-à-dire, privilégier la réalisation du parc sportif et conserver le reste pour l’extension du cimetière. C’est la raison pour laquelle nous nous prononcerons contre cette délibération.

Laurent Martin lui coupe la parole à haute voix mais en tenant des propos impossibles à rapporter car inintelligibles.

Alain Decanis : Vous pouvez me laisser terminer ? Qu'est ce que vous avez à aboyer comme ça ?

Horace Lanfranchi : Maintenant ça suffit ! Vous racontez n'importe quoi, toujours la même chose. Il a raison de vous couper.

Alain Decanis : Quelle que soit l'appréciation que vous portez sur ce que je dis, la moindre des choses c'est au moins de me laisser m'exprimer ! Sinon, si on vous gêne, on peut vous laisser entre vous et s'en aller.

Madame le Maire : Vous êtes contre tout, vous êtes contre le complexe sportif !

Alain Decanis : Vous avez de plus en plus de mal à supporter que des élus aient une opinion différente de la vôtre. A force, vous arrivez à coaliser à peu près tout le mondre contre vous. Nous ne sommes pas contre le parc des sports, bien au contraire. Simplement ça nous parait être un non sens d'aménager un second cimetière perdu au milieu des champs de vignes sur la route de Bras, pour laisser la place à un nouveau lotissement dans le prolongement de l'existant, projet qui parait être votre véritable priorité !

La délibération est adoptée à la majorité (vote contre de Philippe Hrynda, Gilles Perez, Blandine Gomart-Jacquet, Joëlle Silvy, Alain Mussillon, Charline Hatot-Médarian, Pascal Simonetti, Alain Decanis).

 

4 – ACQUISITION DES PARCELLES AN 420 ET AN 430 PAR EXERCICE DU DROIT DE PRÉEMPTION URBAIN

Madame le Maire rappelle que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal.

Par déclaration d’intention d’aliéner (DIA) transmise par Maître Frédéric SEVRIN, notaire à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, reçue en mairie en date du 6 octobre 2016 et enregistrée sous le n° 83 116 16 I O0359, la Commune a été informée de la mise en vente au prix global de 150 000 € des parcelles cadastrées :

  • AN 420 d’une superficie de 36 m² consistant en une construction à usage de remise élevée d’un rez-de-chaussée sur étage, sise 5 rue du 4 septembre.
  • AN 430 d’une surface de 81 m², consistant en un immeuble en très mauvais état élevé de trois étages sur rez – de – chaussée et sous- sol comprenant au sous- sol une cave, au rez – de chaussée une chambre, une cuisine, une buanderie et WC, au premier étage deux chambres, une salle de bains, un wc, au deuxième étage une grande chambre, une grande cuisine, et au troisième étage un grenier, sise 2 rue Colbert.

Ces parcelles sont classées en zone UA du Plan Local d’Urbanisme approuvé le 19 janvier 2016, modifié le 27 septembre 2016, et sont soumises au droit de préemption urbain.

Elles sont situées dans le périmètre Rue de la République - Place Martin Bidouré - Rue Colbert, prévu pour la création d’une zone d’art et d’artisanat d’art.

C’est la raison pour laquelle Madame le Maire a exercé le droit de préemption urbain au nom de la Commune en date du 1er décembre 2016, conformément à la délégation qui lui a été attribuée par délibération du Conseil municipal n°45 en date du 16 avril 2014, complétée par la délibération n°108 du 16 juillet 2014, au prix demandé par le vendeur, soit 150 000 € .

Par ailleurs, le service France Domaine, dans son avis n° 2016-116V2416 du  28 novembre 2016 a estimé la valeur vénale de ce bien à 155 000 €.

L’acquisition de ces parcelles devant concourir à la création de la zone d’art et d’artisanat d’art en centre-ville, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :

  • confirmer l’acquisition des immeubles cadastrés section AN n° 420 d’une superficie de 36 m², et AN 430 d’une superficie de 81 m²au prix demandé par le vendeur, soit 150 000 €.
  • L’autoriser à signer l’acte de transfert de propriété et tout document se rapportant à cette affaire.
  • mandater Maître SEVRIN, notaire à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume pour établir l’acte de transfert de propriété au bénéfice de la commune et réaliser la vente

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

5 – DÉNOMINATION DE VOIES

La commune s’est engagée dans une démarche de rénovation des adresses en partenariat avec La Poste, le SDIS 83, la Direction départementale   des finances publiques du VAR et l’association des maires du VAR.

À ce jour, de nombreux foyers ne bénéficient pas d’une adresse complète : leur adresse ne comporte pas de nom de voie et/ou de numéro de rue.

Or, sans nom de voie et/ou de numéro, l’accès au logement est difficile, aussi bien pour les facteurs que pour les services de secours ou les services à domicile. Et chacun sait qu’une intervention rapide et certaine sur le lieu exact d’un sinistre peut sauver des vies.
La qualité des adresses est donc indispensable.

À partir d’un recensement réalisé par les services municipaux, la démarche engagée consiste à dénommer les voies non dénommées, rebaptiser des voies au nom trop proche ou en doublon, numéroter les habitations en l’absence de numéro ou renuméroter en cas de mauvaise numérotation ou de numérotation partielle.

Le Maire tient de ses pouvoirs généraux de police le droit de contrôler les dénominations de toutes les voies et d’interdire celles qui seraient contraire à l’ordre public et bonnes mœurs.

Il existe plusieurs catégories de voies :

  • Les voies publiques, communales ou départementales, comprennent également les chemins communaux.
  • Les chemins ruraux ouverts à la circulation publique.
  • Les voies privées.

Il s’agit, dans cette délibération, de confirmer des dénominations de voies publiques puisque la dénomination des voiries communales est de la compétence du conseil municipal. L’objectif poursuivi  est de mettre à jour le tableau de classement des voies de la commune ainsi que  la numérotation des voies par arrêté municipal afin de transmettre ces données à nos partenaires (DGFIP, INSEE, La Poste, SDIS…) par l’intermédiaire du CRIGE PACA.

Les voies publiques concernées sont les suivantes :

  • Chemin de Vaoulongue
  • Rue de l’Ancienne Poste
  • Boulevard Rey
  • Traverse Rey
  • Chemin des Vertus
  • Place Barboulin
  • Rue du 11 Novembre

Pour permettre de communiquer ces informations, Madame le Maire propose d'approuver et/ou de confirmer la dénomination des voies telle que précitée.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

6 – CREATION DE POSTES

Madame le Maire informe les membres du conseil que l’article 34 de la loi du 26 janvier 1984 stipule que :


Les emplois de chaque collectivité ou établissement sont créés par l'organe délibérant de la collectivité ou de l'établissement.

La délibération précise le grade ou, le cas échéant, les grades correspondant à l'emploi créé. Elle indique, le cas échéant, si l'emploi peut également être pourvu par un agent contractuel sur le fondement de l'article 3-3.Dans ce cas, le motif invoqué, la nature des fonctions, les niveaux de recrutement et de rémunération de l'emploi créé sont précisés.

Aucune création d'emploi ne peut intervenir si les crédits disponibles au chapitre budgétaire correspondant ne le permettent.

Pour renforcer les services il serait souhaitable de créer les postes permanents suivants :

  • 1 poste d’Adjoint d’animation à temps complet
  • 1 poste de Chef de service de police municipale à temps complet

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • de l’autoriser à créer les postes sus-indiqués

Dit que les crédits nécessaires à la dépense font l'objet d'une inscription au B.P du budget de la commune.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

7 – IDENTITÉ CANINE  / AUTORISATION A MADAME LE MAIRE DE SIGNER UNE CONVENTION RELATIVE A LA MISE EN FOURRIERE DES ANIMAUX ERRANTS

Madame le Maire informe le conseil municipal que conformément aux termes des articles L. 211-22,

Les maires prennent toutes dispositions propres à empêcher la divagation des chiens et des chats. Ils peuvent ordonner que ces animaux soient tenus en laisse et que les chiens soient muselés. Ils prescrivent que les chiens et les chats errants et tous ceux qui seraient saisis sur le territoire de la commune sont conduits à la fourrière, où ils sont gardés pendant les délais fixés aux articles L. 211-25 et L. 211-26.

Les propriétaires, locataires, fermiers ou métayers peuvent saisir ou faire saisir par un agent de la force publique, dans les propriétés dont ils ont l'usage, les chiens et les chats que leurs maîtres laissent divaguer.

Les animaux saisis sont conduits à la fourrière.

Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités d'application du présent article.

L’article L. 211-24 du Code rural dispose que,

Chaque commune doit disposer soit d'une fourrière communale apte à l'accueil et à la garde des chiens et chats trouvés errants ou en état de divagation jusqu'au terme des délais fixés aux articles L. 211-25 et L. 211-26, soit du service d'une fourrière établie sur le territoire d'une autre commune, avec l'accord de cette commune.

Chaque fourrière doit avoir une capacité adaptée aux besoins de chacune des communes pour lesquelles elle assure le service d'accueil des animaux en application du présent code. La capacité de chaque fourrière est constatée par arrêté du maire de la commune où elle est installée.

La surveillance dans la fourrière des maladies classées parmi les dangers sanitaires de première et deuxième catégories au titre de l'article L. 221-1 est assurée par un vétérinaire sanitaire désigné par le gestionnaire de la fourrière, dans les conditions prévues par la section 1 du chapitre III du titre préliminaire.

Les animaux ne peuvent être restitués à leur propriétaire qu'après paiement des frais de fourrière. En cas de non-paiement, le propriétaire est passible d'une amende forfaitaire dont les modalités sont définies par décret.

Afin de prévenir les accidents graves que peuvent occasionner les chiens et chats errant en état de divagation, il est nécessaire de signer une convention relative à la mise en fourrière des animaux errants.

À cet effet, Madame le Maire propose de signer une convention (jointe en annexe) avec « Identité Canine », sise quartier les Fauvières – 83116 Garéoult, afin de définir les modalités d’application de mise en fourrière des animaux errants.

Madame le Maire demande au Conseil municipal de l’autoriser à signer une convention avec « Identité Canine », sise quartier les Fauvières - 83116 Garéoult, afin de définir les modalités de mise en fourrière des animaux errants.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

8 – OFFICE MUNICIPAL DE LA CULTURE / autorisation À madame le maire À Verser un acompte sur subvention 2017

Madame le Maire informe le conseil municipal que l’association Office Municipal de la Culture a déposé une demande de subvention pour l’année 2017 d’un montant de 180 000 €.

Cependant, ayant une trésorerie en difficulté, l’association a demandé le versement d’un acompte sur cette subvention.

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que :

  • par délibération n°65 en date du 12 avril 2016, une subvention d’un montant de 170 000 € a été octroyée à l’OMC
  • par délibération n°77 du 12 avril 2016, une convention de partenariat financier a été signée avec l’OMC, qui précisait notamment le montant du 1er versement, soit 27 000 €

En raison des besoins de trésorerie de l’association, Madame le Maire propose au conseil municipal de l’autoriser à verser à l’O.M.C un acompte d’un montant de 20 000 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

9 – APPROBATION DES RÈGLEMENTS INTÉRIEURS /  HALL D’EXPOSITION ET SALLE DE SPECTACLE DU PÔLE CULTUREL LA CROISÉE DES ARTS

Madame le Maire rappelle que par délibération n°148 du 18 décembre 2013 le conseil municipal a :

  • approuvé les règlements intérieurs du hall d’exposition et de la salle de spectacle du pôle culturel la Croisée des Arts
  • autorisé Monsieur le Maire à signer les conventions de mise à disposition afférentes.

Des modifications ont été apportées à ces règlements intérieurs.

En conséquence, Madame le Maire demande de bien vouloir :

  • approuver les règlements intérieurs du hall d’exposition et de la salle de spectacle du pôle culturel tels que joints en annexe.
  • l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

10 – AUTORISATION A MADAME LE MAIRE DE METTRE A DISPOSITION A TITRE GRATUIT LA SALLE DE SPECTACLE DE LA CROISEE DES ARTS AUX ASSOCIATIONS QUI CONCOURENT A LA SATISFACTION DE L'INTERET GENERAL

Vu l’article L 2121-29 du Code général des collectivités territoriales,
Vu l’article L 2122-22 du Code général des collectivités territoriales,
Vu l’article L 2144-3 du Code général des collectivités territoriales,
Vu l’article L 2122-1 du Code général de la propriété publique,
Vu l’article L 2125-1 du Code général de la propriété publique,
Vu l’article L 2125-3 du Code général de la propriété publique,
Vu la loi n°2007-1787 du 20 décembre 2007, relative à la simplification du Droit, a permis aux associations de la loi de 1901,
Vu les délibérations n° 45 du 16 avril 2014 et n° 108 du 16 juillet 2014,

Considérant que le Conseil municipal règle par ses délibérations les affaires de la Commune,

Considérant qu’à ce titre, il lui appartient de délibérer sur les conditions générales d’administration du domaine communal, sur les conditions d’occupation des propriétés communales, la nature des contrats à passer et leurs modalités financières, et les modalités d’affectation,

Considérant qu’il appartient au maire de préparer ces décisions et de les exécuter,

Considérant que dans le cadre du règlement adopté par le conseil municipal pour l’utilisation, le maire détermine les conditions dans lesquelles ces locaux peuvent être utilisés, « compte tenu des nécessités de l’administration des propriétés communales, du fonctionnement des services et du maintien de l’ordre public »,

Considérant que dans le cadre du règlement adopté par le conseil municipal pour l’utilisation, le maire détermine les conditions dans lesquelles ces locaux peuvent être utilisés, « compte tenu des nécessités de l’administration des propriétés communales, du fonctionnement des services et du maintien de l’ordre public ».

Considérant que la mise à disposition de salles communales appartenant au domaine public donne lieu à redevance.

Qu’il appartient au conseil municipal de fixer, en tant que de besoin, la contribution due à raison de cette utilisation

Considérant que la loi n° 2007-1787 du 20 décembre 2007, relative à la Simplification du Droit, a permis aux associations de la loi de 1901 de bénéficier d’une autorisation gratuite d’occupation du domaine public communal, si l’utilisation qui en est faite ne présente pas un caractère commercial.

Considérant que cette exception au principe de non-gratuité, fixée à l’article 2125-1 du CG3P, bénéficie aux associations à but non lucratif qui concourent à la satisfaction d’un intérêt général.

Considérant que la mise à disposition de la salle Croisée des Arts participe à l’engagement de la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume en faveur du développement culturel et artistique (danse, musique et théâtre) et à la vie associative.

Considérant qu’il y a lieu de faire application du principe de gratuité de mise à disposition de la salle Croisée des Arts a toute association à but non lucratif qui concourt à la satisfaction de l’intérêt général.

Madame le Maire demande au Conseil municipal d’instaurer le principe de gratuité de la mise à disposition de la salle de spectacle de La Croisée des Arts pour les associations qui concourent à la satisfaction de l’intérêt général.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez)

 

11 – TARIFS DE MISE À DISPOSITION DE LA SALLE DE SPECTACLE LA CROISÉE DES ARTS

Vu l’article L.2121-29 du Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu l’article L. 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu l’article L. 2144-3 du Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu l’article L. 261-7 du Code Général des Impôts,
Vu l’article L. 2121-1 du Code Général de la Propriété des Personnes Publiques,
Vu l’article L. 2122-1 du Code Général de la Propriété des Personnes Publiques,
Vu l’article L. 2125-1 du Code Général de la Propriété des Personnes Publiques,
Vu l’article L. 2125-3 du Code Général de la Propriété des Personnes Publiques,
Vu les délibérations n°45 du 16 avril 2014 et n°108 du 16 juillet 2014,

Considérant que le conseil municipal règle par ses délibérations les affaires de la commune,

Considérant que dans le cadre du règlement adopté par le conseil municipal pour l’utilisation de la salle « La croisée des arts », le Maire détermine les conditions dans lesquelles ces locaux communaux peuvent être utilisés, « compte tenu des nécessités de l’administration des propriétés communales, du fonctionnement des services et du maintien de l’ordre public »,

Considérant que la mise à disposition de salles communales appartenant au domaine public donne lieu à redevance,

Considérant qu’il appartient au Conseil municipal de fixer, en tant que de besoin, la contribution due à raison de l’utilisation des propriétés communales,

Considérant qu’il y a ainsi lieu de fixer le montant de la redevance due pour la mise à disposition de la salle de spectacle « La Croisée des Arts »,

Considérant que le montant de la redevance tient compte des avantages de toute nature procurés au titulaire de l’autorisation

Considérant qu’eu égard à l’ouvrage mis à disposition, il convient de fixer la redevance selon les tarifs suivants :

Article 1 : Tarif normal

 

Salle sans régie par jour

2 800,00

 

Mise à disposition salle pour montage matériel par jour

650,00

 

Ajout régisseur « son » par jour

315,00

 

Ajout régisseur « son & lumière » par jour

630,00

 

Ajout vidéo projection

300,00

 

Forfait entretien obligatoire

200,00

 

Article 2 : Tarif exceptionnel
Eu égard à l’affectation de l’ouvrage au service public culturel de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, et plus particulièrement aux activités de danse, de musique et du théâtre, il est instauré un tarif exceptionnel pour la mise à disposition, une fois par an, de la salle de spectacle de « La Croisée des Arts » pour toute association Saint-Maximinoise qui concourt à la satisfaction de ce développement dans les domaines de la danse, de la musique et du théâtre,

 

Salle sans régie par jour

1,00

Madame le Maire demande au conseil municipal,

  • d’approuver le montant de la redevance due pour la mise à disposition de la salle de spectacle de La Croisée des Arts,
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

12 – BASILIQUE / RESTAURATION DU PAVEMENT DE LA TRIBUNE DES GRANDES ORGUES JEAN-ESPRIT et JOSEPH ISNARD / autorisation À madame le maire À solliciter les subventions

 

Madame le Maire rappelle que par délibération n°58 du 12 avril 2016, le Conseil Municipal a approuvé les travaux de relevage des Grandes Orgues Jean-Esprit et Joseph ISNARD.

Monsieur Thierry SEMENOUX, (Technicien-Conseil agréé pour les Orgues protégées au titre des Monuments Historiques auprès de la Direction Générale des Patrimoines), maître d’œuvre des travaux de relevage, préconise dans son étude des travaux de restauration du pavement de la tribune des orgues.

Monsieur Corrado de Giuli Morghen (Fabrica Tracerum), architecte du patrimoine, a été retenu pour le marché de maîtrise d’œuvre. L’objet de sa mission est la définition d’un projet de restauration de la tribune et de son pavement.

L’entreprise VIVIAN et Cie a été retenue pour le marché de maçonnerie et son estimation du coût des travaux est de 40 000 € H.T.

La Direction régionale des affaires culturelles est en mesure de subventionner les dépenses de cette opération à hauteur de 16 000,00 €, représentant 40 % du montant H.T. de la restauration.

Le Conseil Régional PACA, pourrait subventionner cette opération à hauteur de 16 000,00 € représentant 40 % du montant H.T de cette opération.

Le plan de financement prévisionnel s’établirait comme suit,

Direction régionale des affaires culturelles

40 %

16 000,00 €

Conseil régional PACA

40 %

16 000,00 €

Autofinancement

20 %

8 000,00 €

Total

100 %

40 000,00 €

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’approuver le plan de financement
  • de l’autoriser à solliciter une subvention de la Direction régionale des affaires culturelles à hauteur de 40 % du montant H.T,
  • de l’autoriser à solliciter le Conseil Régional PACA pour une subvention de 40 % du montant H.T.,
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.
La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).
 

13 – FOIRE MÉDIÉVALE DES 29 ET 30 AVRIL 2017 / DEMANDE DE SUBVENTIONS

Dans la continuité des années précédentes, la foire médiévale 2017 sera un week-end festif avec défilés costumés, conférences, spectacles de troupes, visites guidées, marché médiéval, tavernes, etc.

Cette manifestation permet d’accroître et d’entretenir l’attractivité culturelle et touristique de notre commune, et ses retombées économiques sont tangibles pour les professionnels de l’hébergement, de la restauration, mais aussi tous les commerçants, notamment du cœur de ville, qui profitent de la présence de milliers de visiteurs pendant ces deux journées.

Le budget prévisionnel de cette action s’élève à 38 701,60 €. (cf. plan de financement prévisionnel joint en annexe).

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • d’approuver la démarche entreprise
  • de l’autoriser à solliciter le concours financier du Conseil Départemental du Var à hauteur de 6 000 € et du Conseil Régional Provence-Alpes-Côte-d’Azur à hauteur de 5 000 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

14 – AGENCE DE L'EAU RHÔNE MÉDITERRANÉE ET CORSE/ DEMANDE DE SUBVENTIONS

Dans le cadre de ses programmes d’interventions « Sauvons l’eau », l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse soutient les économies d’eau dans un objectif de meilleure gestion de la ressource existante pour atteindre le bon état des eaux.

Le plan national d’adaptation au changement climatique de 2011 accorde une part importante aux enjeux sur l’eau et prévoit 20 % d’économie d’eau sur les prélèvements d’ici 2020.
La lutte contre le gaspillage constitue également une des 4 mesures phares du Plan Bassin d’Adaptation au Changement Climatique (PBACC) 1, adopté le 28 mai 2014. Il prévoit d’agir prioritairement sur « l’augmentation de la performance des réseaux » et « l’équipement en dispositifs hydro économes ».

De plus, le décret du 27 janvier 2012 pris en application de la loi Grenelle 2 crée une obligation de performance minimum des réseaux d’eau potable pour inciter les collectivités à mettre en œuvre une gestion patrimoniale de leurs réseaux d’eau. La réglementation demande aux collectivités d’établir un inventaire de leur patrimoine réseaux, et de définir un plan d’actions d’amélioration lorsque le rendement du réseau est inférieur au seuil minimum fixé par le décret.

En 2012 puis en 2015, deux appels à projets sur le sujet ont été lancés par l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse : lutte contre les fuites des réseaux d’eau potable et économies d’eau dans les bâtiments publics.

Anticipant ces politiques de préservation d’une eau en qualité et en quantité pour les générations futures, la commune a réalisé un diagnostic de son réseau d’adduction d’eau potable. Il s’agissait d’orienter la politique communale en regard des besoins actuels mais aussi en prospective des besoins futurs. Le bureau d’études CIEL en charge de l’élaboration du Schéma Directeur d’Alimentation en eau potable a remis la synthèse de son travail en septembre 2007.

Ce schéma a notamment permis :

  • d’établir une cartographie du réseau ;
  • d’éradiquer les manques d’eau chronique dans les quartiers sud du territoire ;
  • de concevoir un fonctionnement sécuritaire du réseau ;
  • de mettre en évidence l’intérêt de la diversification des sources d’approvisionnement de l’eau avec la construction d’une unité de potabilisation sur le réseau du canal de Provence ;
  • de mettre en évidence un rendement du réseau de l’ordre de 50 %.

Les premières recherches systématiques de fuites effectuées dans le cadre de ce schéma, avec vérification des gains après réparation, ont mis en évidence la fragilité du réseau et la difficulté à améliorer durablement le rendement.

La seconde phase du schéma directeur a défini un programme de travaux avec :

  • des renouvellements de pompes ;
  • la pose de vannes motorisées et de bypass permettant d’inverser en cas de besoins le sens préférentiel de circulation de l’eau ;
  • la rationalisation des points de chloration ;
  • la pose de compteurs de sectorisation ;
  • le démaillage du réseau pour permettre la sectorisation ;
  • la réhabilitation du central de gestion du réseau et sa modification pour gérer les indicateurs du diagnostic permanent.

La commune mène, par ailleurs, depuis 2009 deux campagnes annuelles de recherches de fuites. Ces campagnes de recherches systématiques de fuites ont permis :

  • en 2010 :         Ø l’identification et le contrôle de 68 secteurs ;

Ø la définition d’un débit nocturne de 258,6 m3/h ;
Ø le repérage et la réparation de 23 fuites sur 50 km de réseau inspectés ;

  • en 2011 :         Ø l’identification et le contrôle de 93 secteurs ;

Ø la définition d’un débit nocturne de 195,4 m3/h ;
Ø le repérage et la réparation de 49 fuites sur 60 km de réseau inspectés ;

  • en 2012 :         Ø le contrôle général du réseau et la sectorisation partielle ;

Ø la définition d’un débit nocturne de 158,5 m3/h ;
Ø le repérage et la réparation de 59 fuites sur 55 km de réseau inspectés.

  • en 2013 :         Ø le repérage et la réparation de 163 fuites sur 120 km de réseau inspectés.
  • en 2014 :         Ø le repérage et la réparation de 158 fuites sur 100 km de réseau inspectés.
  • en 2015 :         Ø le repérage et la réparation de 220 fuites sur 168 km de réseau inspectés.
  • en 2016 :         Ø le repérage et la réparation de 202 fuites sur 156 km de réseau inspectés.

Ces campagnes de fuites permettant de mettre en évidence les causes structurelles du mauvais rendement du réseau se poursuivront en 2017 :

  • fragilité des joints de  certaines canalisations ;
  • mauvaise exécution des travaux de pose des canalisations et utilisation de matériaux défectueux ;
  • importance du linéaire situé dans le domaine privé.

Le bilan des actions évoquées ci-dessus est le suivant :

  • les améliorations apportées au fonctionnement du réseau sont significatives :

Ø la pression et le débit sont assurés à tout moment et en tout point du réseau ;
Ø le système de distribution est redondant, ce qui permet de pallier des dysfonctionnements en n’importe quel point du réseau ;

  • les efforts pour améliorer le rendement par la réparation de fuites ont mis en évidence la vulnérabilité du réseau.
  • le diagnostic permanent est entré dans sa phase opérationnelle ;
  • la connaissance du réseau s’est nettement améliorée.

Les appels à projets 2012 et 2015 lancés par l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse ont permis de soutenir des actions contribuant à améliorer les performances du réseau de distribution d’eau potable et à la réduction des consommations :

  • Achèvement de la mise en place du diagnostic permanent ;
  • Réalisation de travaux préventifs de réparation de fuites en changeant des tronçons de canalisation les plus fragiles et les réparations de fuites issues des indications des campagnes de recherches ;
  • Achèvement de l’inventaire patrimonial et mise en place d’un outil de suivi du réseau.

Un programme travaux de 398 000,00 € avait pu être financé par l’appel à projets 2012 à hauteur de 199 000,00 €.
Pour l’appel à projets 2015, le programme de travaux estimé à 920 000,00 € H.T. sur 2 ans, avait été soutenu à hauteur de 506 000,00 €.

La présente demande concerne une programmation de travaux préventifs de réparation de fuites en changeant des tronçons de canalisation les plus fragiles et les réparations de fuites issues des indications des campagnes de recherches, sur les années 2017 à 2019, soit 3 ans et se décompose comme suit :

 

Montant € h.t.

Travaux sur canalisations

950 000,00

 

total

950 000,00

 

Les chemins concernés et les montants prévisionnels seraient les suivants :

Chênes Kermès 2

150 000,00 € H.T.

 

Route de Mazaugues

150 000,00 € H.T.

 

Chemin des Bergers

140 000,00 € H.T.

 

Chemin des Hauts de Resty

100 000,00 € H.T.

 

Chemin des Rabassières

100 000,00 € H.T.

 

Chemin du Claret 2

90 000,00 € H.T.

 

Rue de l’Enclos

80 000,00 € H.T.

 

Rue Denfert Rochereau

50 000,00 € H.T.

 

Route de Rougiers

30 000,00 € H.T.

 

Chemin du Petit Nice

30 000,00 € H.T.

 

Chemin du Saint Pilon

30 000,00 € H.T.

 

Le montant total du plan de financement prévisionnel de ce programme s'élève à 950 000 € décomposé comme suit  :

  • Agence de l’eau Rhône-Méditerranée & Corse          50,00 % soit    475 000 € H.T.
  • DETR                                                                          9,47 % soit      90 000 € H.T.
  • autofinancement                                                        40,53 % soit    385 000 € H.T.

Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :

  • d’adopter le projet de travaux préventifs de réparation de fuites en changeant des tronçons de canalisation les plus fragiles et les réparations de fuites issues des indications des campagnes de recherches sur le réseau d’eau potable, évalué à 950 000,00 € HT ;
  • de réaliser cette opération sur le réseau d’eau potable (études et travaux), selon les principes de la Charte Qualité nationale des réseaux d’eau potable ;
  • de mentionner dans les pièces du Dossier de Consultation des Entreprises que l’opération sera réalisée sous charte qualité nationale des réseaux d’eau potable ;
  • de l’autoriser à solliciter l’aide de l’Agence de l’Eau pour la réalisation de cette opération.

Dit que la dépense sera inscrite au budget 2017.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

15 – AGENCE DE L'EAU RHÔNE MÉDITERRANÉE ET CORSE/ DEMANDE DE SUBVENTIONS / PLACE MALHERBE / DEMANDE DE SUBVENTIONS

La commune a pris toute la mesure des enjeux de la ville d’aujourd’hui, en luttant contre la périurbanisation et le gaspillage de l’espace, en favorisant le renouvellement urbain, et en mettant en œuvre une politique au service du développement durable.

Le Plan Local d’Urbanisme adopté le 19 janvier 2016 est un des outils de cette politique.

Pour être éligible aux aides financières de l’Agence de l’eau, toute opération doit procéder d’une cohérence des politiques, être précédée d’une étude préalable de type schéma directeur et être inscrite dans le cadre d’un programme de travaux issu de cette étude.

Bien avant les lois Grenelle 1 (2009) et 2 (2010), la commune a adopté le 15 mai 2002 par délibération n°80 un schéma d'assainissement collectif comprenant un descriptif détaillé des ouvrages de collecte et de transport des eaux usées.

Avec ce souci de mettre en cohérence les politiques urbaines et environnementales avec les documents de planification, la commune a mis en œuvre un schéma directeur d’adduction d’eau potable en 2006.

En avril 2008, la commune a réceptionné la nouvelle station d’épuration, anticipant encore les recommandations des lois Grenelle 1 et 2. D’une capacité de 16 000 Eq/hab, et répondant aux orientations du schéma directeur d’assainissement, elle permet d’appréhender sereinement les évolutions urbaines du territoire.

Un intérêt du schéma directeur réside dans l’analyse et le diagnostic de l’existant. Des indications de travaux sont données, avec le recensement des points les plus sensibles et les linéaires de réseau les plus vétustes.

La maîtrise des eaux pluviales constitue un enjeu pour la collectivité. Car s’il est relativement facile de prévoir les volumes d’eaux usées domestiques rejetés dans les réseaux d’assainissement, il en va différemment des eaux pluviales dont les brutales variations de débit peuvent provoquer des déversements d’eaux usées non traitées dans les milieux.

Le schéma directeur d’assainissement des eaux usées a, notamment, identifié l’entrée d’importantes eaux parasites dans le réseau depuis le secteur des Fontaines, de la zone d’activités du chemin d’Aix et sur le collecteur final. Ces apports sont de l’ordre de 16 m3/h depuis les fontaines et de l’ordre de 30 m3/h provenant du collecteur final.

L’objectif est de réduire les entrées d’eaux parasites dans le réseau d’assainissement des eaux usées, et par conséquent la charge hydraulique de la STEP. Il s’agit également de réduire les débordements des systèmes d’assainissement en cas de pluie.

Cette réduction des eaux claires parasites passe par des travaux sur les réseaux d’assainissement des eaux pluviales et eaux usées. Afin de réduire le volume d’eaux pluviales strictes collectées dans les réseaux unitaires, il est indispensable de les séparer, de les renouveler et de réaliser des ouvrages de traitement.

L’objet de l’appel à projet 2013 de l’Agence de l’eau de lutte contre la pollution pluviale était d’ouvrir l’accès à des subventions sur tout projet permettant de réduire le volume d’eaux pluviales strictes collecté dans les réseaux unitaires.

L’Agence de l’eau a ainsi soutenu les travaux de mise en séparatif des réseaux d’eaux usées et d’eaux pluviales à hauteur de 255 525,00 € sur un montant total de travaux de 851 750,00 €.

Le projet proposé de la réduction de la pollution par les eaux pluviales par la mise en séparatif des réseaux d’assainissement des eaux usées et pluviales sur la Place Malherbe s’inscrit parfaitement dans cette démarche de réalisation d’ouvrage de traitement et de réduction des eaux pluviales strictes.

Les montants prévisionnels des travaux sont :
► Réseaux d’assainissement des eaux usées et pluviales :

  • Place Malherbe :                                                               250 000,00 € H.T.

Le financement prévisionnel des 250 000 € peut se décomposer comme suit :

  • Agence de l’eau Rhône Méditerranée & Corse          50 % soit         125 000,00 € H.T.
  • autofinancement                                                       50 % soit         125 000,00 € H.T.

Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :

  • d’approuver le plan de financement ;
  • d’adopter le projet de travaux de réseaux d’assainissement Place Malherbe / Mise en séparatif des réseaux d’assainissement des eaux usées et eaux pluviales, évalué à 250 000,00 € HT,
  • de réaliser cette opération d'assainissement collectif (études et travaux), selon les principes de la Charte Qualité nationale des réseaux d’assainissement (ou le cas échéant de sa déclinaison régionale),
  • de mentionner dans les pièces du Dossier de Consultation des Entreprises que l’opération sera réalisée sous charte qualité nationale des réseaux d’assainissement,
  • de solliciter l’aide de l’Agence de l’Eau pour la réalisation de cette opération,
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.
  • dit que la dépense sera inscrite au budget 2017.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

16 – DÉGRÈVEMENT FACTURES D’EAU / 2ème  SEMESTRE 2016

Le décret n°2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur, définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur.

Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur.

La III bis de L'article L 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales précise que :

Dès que le service d'eau potable constate une augmentation anormale du volume d'eau consommé par l'occupant d'un local d'habitation susceptible d'être causée par la fuite d'une canalisation, il en informe sans délai l'abonné. Une augmentation du volume d'eau consommé est anormale si le volume d'eau consommé depuis le dernier relevé excède le double du volume d'eau moyen consommé par l'abonné ou par un ou plusieurs abonnés ayant occupé le local d'habitation pendant une période équivalente au cours des trois années précédentes ou, à défaut, le volume d'eau moyen consommé dans la zone géographique de l'abonné dans des locaux d'habitation de taille et de caractéristiques comparables.

L'abonné n'est pas tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne s'il présente au service d'eau potable, dans le délai d'un mois à compter de l'information prévue au premier alinéa du présent III bis, une attestation d'une entreprise de plomberie indiquant qu'il a fait procéder à la réparation d'une fuite sur ses canalisations.

L'abonné peut demander, dans le même délai d'un mois, au service d'eau potable de vérifier le bon fonctionnement du compteur. L'abonné n'est alors tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne qu'à compter de la notification par le service d'eau potable, et après enquête, que cette augmentation n'est pas imputable à un défaut de fonctionnement du compteur.

A défaut de l'information mentionnée au premier alinéa du présent III bis, l'abonné n'est pas tenu au paiement de la part de la consommation excédant le double de la consommation moyenne.

Les redevances et sommes prévues par le premier alinéa de l'article L. 2224-12-2 sont calculées en tenant compte de la consommation facturée.

Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent III bis.

Le décret n°2012-1078 du 24 septembre 2012 précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d'eau potable après le compteur, à l'exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage.

Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d'eau sur canalisation après compteur, le volume d'eau imputable à la fuite n'entre pas dans le calcul de la redevance d'assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.

Les personnes dont listes jointes en annexe, ont sollicité un dégrèvement sur leurs factures d’eau.

En conséquence, Madame le Maire propose un dégrèvement d’un montant de 13 779,20 € et de
1 634,05 € sur les factures du 2ème semestre 2016.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

17 – OCTROI SUBVENTION EXCEPTIONNELLE

Madame le Maire informe le conseil municipal que Monsieur Alexis LÉONARD est un jeune Saint-Maximinois licencié du Club CAP DANSE qui détient le statut de sportif de haut niveau de la liste senior du Ministère des Sports.

Afin d’atteindre ce niveau, il doit suivre des stages, prendre des cours particuliers et se déplacer dans les différents championnats, à ses frais.

Afin de l’aider à poursuivre son parcours de sportif de haut niveau, .Madame le Maire propose d’octroyer à Monsieur Alexis LÉONARD une subvention exceptionnelle de 1 000 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

18 – OCTROI SUBVENTION EXCEPTIONNELLE

Madame le Maire informe le conseil municipal que Mademoiselle Justine REYNAUD est une jeune Saint-Maximinoise licenciée du Club CAP DANSE qui détient le statut de sportive de haut niveau de la liste senior du Ministère des Sports.

Afin d’atteindre ce niveau, elle doit suivre des stages, prendre des cours particuliers et se déplacer dans les différents championnats, à ses frais.

Afin de l’aider à poursuivre son parcours de sportif de haut niveau, Madame le Maire propose d’octroyer à Mademoiselle Justine REYNAUD une subvention exceptionnelle de 1 000,00 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

19 – OSM / VERSEMENT D'UN ACOMPTE SUR SUBVENTION 2017

Madame le Maire informe le conseil municipal que l’association « Olympique Saint-Maximinois » a déposé une demande de subvention pour l’année 2017 d’un montant de 50 000 €.

Cependant, ayant une trésorerie en difficulté, l’association a demandé le versement d’un acompte sur cette subvention.

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que par délibération n° 65 en date du 12 avril 2016, une subvention d’un montant de 36 000 € a été octroyée à l’OSM.

En conséquence, Madame le Maire propose au conseil municipal de l’autoriser à verser à l’O.S.M un acompte de cette subvention, à hauteur de 50 % du montant attribué en 2016, soit 18 000 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

20 – REMBOURSEMENT MONTANT RÉSERVATION SALLE ÉLYSIUM

Madame le Maire informe le conseil municipal que Madame Solange COLOMBO avait réservé la salle Elysium à la date du 08 janvier 2017, et s’était acquittée de la somme de 70 € correspondant au montant de la location.

Madame COLOMBO a bien utilisé cette salle à la date convenue, mais a rencontré un certain nombre de déboires (chauffage en panne, puis panne électrique), ce qui a fortement nuit au bon déroulement de cette journée.

En conséquence, Madame le Maire propose de rembourser la somme de 70 € à Madame  COLOMBO suite aux désagréments survenus lors de cette journée.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

21 – COLLÉGIENS EN SCÈNE 2017 / DEMANDE DE SUBVENTIONS AUPRES DU CONSEIL DEPARTEMENTAL

L’action « COLLÉGIENS EN SCÈNE » est mis en œuvre par la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume en partenariat avec l’éducation nationale et en collaboration étroite avec le Conseil Départemental du Var.

Ses objectifs sont de :

  • permettre aux jeunes collégiens de se confronter à l’expérience de la scène et développer leur démarche créative.
  • valoriser la jeunesse à l’échelle de la ville.
  • créer du lien et de la cohésion entre les jeunes des deux collèges.

Pour cela un travail est réalisé tout au long de l’année au sein des deux collèges, notamment par les professeurs d’éducation musicale. Il est organisé en fin d’année un grand concert au jardin de l’Enclos. L’organisation de cet évènementiel avec en amont les répétitions, le filage et le passage sur scène le jour J constituent l’action COLLÉGIENS EN SCÈNE.

Le projet COLLÉGIENS EN SCÈNE 2017 est détaillé dans la fiche action ci-jointe.

Le budget prévisionnel de l’action COLLÉGIENS EN SCÈNE 2017 s’établit comme suit :

  • Département :                                                           5 000,00 €
  • Ville de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume :                  5 500,00 €
  • TOTAL                                                                      10 500,00 €

Considérant :

  • Que ce projet de développement de la pratique culturelle à destination des jeunes collégiens touche des jeunes adolescents et leurs familles bien au-delàs des habitants de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (carte scolaire des 2 collèges)
  • Que ce projet s’inscrit pleinement dans la programmation culturelle et dans la politique jeunesse de la Ville,

Madame le Maire propose au conseil municipal :

  • de l’autoriser à solliciter le concours financier à hauteur de 5 000,00 euros auprès du Conseil Départemental du Var,
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette action.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

22 – ADMISSION EN NON VALEUR / BUDGET DE LA COMMUNE

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°2210710233/17 (Etat joint) soit un total de 852,98 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.
La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

23 – ADMISSION EN NON VALEUR / BUDGET DE LA COMMUNE

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°2223500533/16 101 (État joint) soit un total de 2 727,30€.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

24 – ADMISSION EN NON VALEUR / BUDGET  EAU

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°2228130233 (État joint) soit un total de 518,00 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.
La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

25 – ADMISSION EN NON VALEUR / BUDGET  EAU

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°2464200233/16 (Etat joint) soit un total de 1041,27 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

26 – ADMISSION EN NON VALEUR / BUDGET  ASSAINISSEMENT

La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°2464380233/2016 (Etat joint) soit un total de 1357,95 €.

Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement.

La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours.

Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours.

Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

27 – ANNULATION FACTURES ASSAINISSEMENT / 1er  SEMESTRE 2016

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler les factures assainissement du 1er semestre 2016 en raison de la mise en liquidation judiciaire au nom de :

SARL SC SUD ST MAX                    facture n° 3278                                  29,22 € TTC

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

28 – ANNULATION FACTURES ASSAINISSEMENT / 2ème SEMESTRE 2016

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler les factures assainissement du 2ème semestre 2016 (départs non signalés dans les délais et mise en liquidation judiciaire), au nom de :

CORONELLO Christian                   facture n° 10309                      30,95 € TTC
DAMIANO Anaïs                            facture n° 12964                      50,51 € TTC
Sa ESSILOR                                    facture n° 15059                      29,97 € TTC
SARL NOM D’UNE GALETTE           facture n° 15229                     19,33 € TTC
SARL SC SUD ST MAX                    facture n° 15250                      28,99 € TTC
__________
Montant total              159,75 € TTC

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

29 – ANNULATION FACTURES EAU / 1er SEMESTRE 2016

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture d’eau du 1er semestre 2016 en raison d’une mise en liquidation judiciaire :

SARL SC SUD ST MAX                    n° facture 3278                       12,32 € TTC

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).

 

30 – ANNULATION FACTURES EAU / 2ème SEMESTRE 2016
(Redevance pollution et modernisation des réseaux de collecte)

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler 6 factures d’eau du 2ème semestre 2016 (départs non signalés dans les délais et liquidation judiciaire), pour un montant total de 161.92 €.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Philippe Hrynda et de Gilles Perez).