Conseil Municipal du 22 juin 2016
 

Absents représentés : Blandine Gomart-Jacquet (pouvoir à Alain Decanis) - Joëlle Silvy (pouvoir à Pascal Simunetti) - Gilles Perez (pouvoir à Philippe Hrynda) - Jacques Freynet (pouvoir à Clément Deidda) - Nicoles Dervet (pouvoir à Laurent Martin) - Magali Riondet (pouvoir à Arnaud Degioanni) - Denise Vernet (pouvoir à Christine Dorgal)
Absents non représentés : Marie Pierre Bouis Delhomelle

 
Le compte rendu du dernier conseil municipal est approuvé à l'unanimité.
 

104 – APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2015 / BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE

Madame le maire présente au conseil municipal le budget primitif de l'exercice 2015, les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats délivrés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le receveur accompagné des états de développement des comptes de tiers ainsi que l'état de l'actif, l'état du passif, l'état des restes à recouvrer et l'état des restes à payer.

Madame le Maire demande au conseil municipal, après avoir entendu et approuvé le compte administratif de l'exercice 2015, et s'être assuré que le receveur a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2014, celui de tous les titres de recettes émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

Considérant qu’il n’y a ni erreur ni omission,                                                                                                                                                                                                                                      

Statuant sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2015, y compris celles relatives à la journée complémentaire,

Statuant sur l'exécution du budget de l'exercice 2015 en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

Statuant sur la comptabilité des valeurs inactives, de déclarer que le compte de gestion du budget principal de la commune dressé, pour l'exercice 2015, par le receveur, visé et certifié conforme par l'ordonnateur, n'appelle ni observation ni réserve de sa part.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

105 – COMPTE ADMINISTRATIF 2015 / BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE

Madame le Maire, ordonnateur des dépenses et de recettes de la commune, après avoir rappelé au conseil municipal le contenu du budget primitif et des décisions modificatives de l’exercice 2015, lui présente le compte administratif, qui peut se résumer par le tableau suivant :

 

Fonctionnement

Investissement

Ensemble

 

Dépenses / Déficit €

Recettes /
Excédent €

Dépenses /
Déficit €

Recettes /
Excédent €

Dépenses / Déficit €

Recettes /Excédent €

Report 2014

 

1 375 818,37

 

919 637,65

 

2 295 456,02

Réalisations 2015

14 997 662,86

15 615 485,60

4 646 964,61

4 738 611,17

19 644 627,47

20 354 096,77

Résultat 2015

 

617 822,74

 

91 646,56

 

709 469,30

Résultat de clôture 2015

 

1 993 641,11

 

1 011 284,21

 

3 004 925,32

Restes à réaliser 2014

 

 

1 492 890,07

1 346 085,66

1 492 890,07

1 346 085,66

Solde des R.A.R 2015

 

 

146 804,41

 

146 804,41

 

Résultat de clôture corrigé des R.A.R. 2015

 

1 993 641,11

 

864 479,80

 

2 858 120,91

Madame le Maire demande au conseil municipal :                                                                        

  • de lui donner acte de la présentation faite du compte administratif,
  • de constater, aussi bien pour la comptabilité principale que pour chacun des comptes annexes, les identités de valeur avec les indications du compte de gestion relative au report à nouveau, au résultat d’exploitation de l’exercice et au fonds de roulement du bilan d’entrée et du bilan de sortie, aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes,
  • de reconnaître la sincérité des restes à réaliser,
  • d’arrêter les résultats définitifs tels que résumé ci-dessus.

Alain Decanis : A la lecture du compte administratif, je constate que nous n’avons effectué que 37 107 € de travaux en régie, ce qui  représente 0.24% des recettes de fonctionnement.
Cela n’a rien d’étonnant car vous avez fait le choix politique de confier un maximum de tâches à des entreprises privées plutôt que de les faire effectuer par des agents communaux. Dans le même temps vous avez achevé la privatisation de la restauration scolaire.
Dans ce contextes :

  • quand je constate que les dépenses de personnel ont encore augmenté pour atteindre près de 9 millions d’Euros (sans compter tous les budgets annexes),
  • quand je lis qu’en moyenne, les communes de la même strate consacrent aux dépenses de personnel 54% de leurs recettes de fonctionnement alors qu’à Saint-Maximin nous atteignons 61.23% !

Je dis que les difficultés financières que rencontre la commune ne sont pas toutes dues à la baisse des dotations d’Etat mais à votre façon de gérer.
Au moment du vote du budget primitif 2015, j’avais souligné la faiblesse des investissements envisagés : on avait prévu 4 500 000 € de gros travaux et d’acquisition de matériel pour un budget total de 24 000 000 € !
Mais aujourd’hui, à l’heure du bilan, je constate que sur ces 4 500 000 € prévus, seulement 1 800 000 € ont été effectivement utilisés, alors que dans le même temps quasiment toutes les lignes du budget de fonctionnement ont été épuisées.
Ces quelques chiffres caractérisent vos choix budgétaires : privilégier le train de vie de la commune, les dépenses de personnel et le clientélisme, au détriment des grands équipements qui devraient accompagner l’expansion démographique et qui font cruellement défauts.
C’est parce que nous ne sommes pas d’accord avec cette façon de gérer que nous voterons contre votre compte administratif.

Philippe Hrynda : Je suis tout à fait d'accord avec l'intervention précédente on ne peut chaque année imputer l'augmentation de la masse salariale au glissement vieillesse technicité.

Madame le Maire : Vous n'avez que le mot de clientélisme à la bouche. Notre commune est très bien noté et nous ne faisons que ce que nous permet la loi. La Chambre Régionale des Comptes nous a fait d'excellents rapports et grâce à notre bonne gestion, depuis des années nous n'augmentons pas les taxes.

Alain Decanis : Encore heureux que nous n'augmentions pas les taxes, nous sommes une des communes du secteur où les taux de la taxe d'habitation et de la taxe foncière sont les plus élevés. Concernant la Chambre Régionale des Comptes ça fait plus de 10 ans qu'elle n'a pas mis les pieds dans la commune et le contrôle de légalité n'a pas pour vocation de signaler un dérapage de la masse salariale. Il ne faut pas dire n'importe quoi !

La délibération est adoptée à la majorité (vote contre de Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy, Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

106 – AFFECTATION DU RÉSULTAT DE L’EXPLOITATION DE L’EXERCICE 2015 BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE

Après avoir présenté le compte administratif de l’exercice 2015, Madame le Maire demande au conseil municipal de constater les résultats suivants.

 

RÉSULTAT
CLÔTURE 2014
(A)

VIREMENT À LA SECTION D’INVESTISSEMENT
(B)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE 2015
(C)

RÉSULTAT DE CLÔTURE 2015
A-B+C

INVESTISSEMENT

919 637,65 €

 

91 646,56 €

1 011 284,21€

FONCTIONNEMENT

2 375 818,37 €

1 000 000,00 €

617 822,74 €

1 993 641,11 €

RESTES À RÉALISER 2015 (INVESTISSEMENT)

RECETTES

1 346 085,66 €

DÉPENSES

1 492 890,07 €

SOLDE (D)

-146 804,41 €

L’excédent de fonctionnement global cumulé au 31 décembre 2015 (résultat de clôture en fonctionnement) est donc égal à  1 993 641,11 € (A-B+C).
Le résultat de clôture de l’exercice 2015 en investissement corrigé du solde des restes à réaliser est égal à 864 479,80 € (A+C+D). Il est positif ; il n’y a donc pas de besoin de financement en investissement.
Il est cependant proposé d’affecter 1 000 000 € en réserves de la section de fonctionnement vers la section d’investissement.
Considérant que seul le résultat de la section de fonctionnement doit faire l'objet de la délibération d’affectation du résultat, puisque le résultat d’investissement reste toujours en investissement et doit en priorité couvrir le besoin de financement (déficit) de la section d’investissement,

Madame le Maire propose au conseil municipal d’affecter le résultat de la manière suivante.

Affectation obligatoire
(compte 1068 = besoin de financement investissement)

0,00 €

Solde disponible (= résultat de clôture 2015 fonctionnement)

1 993 641,11 €

Affectation complémentaire en réserves (compte 1068)

1 000 000,00 €

Total 1068

1 000 000,00 €

Affectation à l’excédent reporté de fonctionnement
(ligne R 002 = résultat de clôture – affectation au 1068)

993 641,11 €

Résultat d’investissement à reprendre
(ligne R 001 = résultat de clôture 2015 investissement)

1 011 284,21 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy, Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

107 – APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2015 / BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT

Madame le Maire présente au conseil municipal le budget primitif de l'exercice 2015 du service de l’assainissement, les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats délivrés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le receveur accompagné des états de développement des comptes de tiers ainsi que l'état de l'actif, l'état du passif, l'état des restes à recouvrer et l'état des restes à payer.

Madame le Maire demande au conseil municipal, après avoir entendu et approuvé le compte administratif de l'exercice 2015 du service de l’assainissement, et s'être assuré que le receveur a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2014, celui de tous les titres de recettes émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

Considérant qu’il n’y a ni erreur ni omission,                                                                                                                                                                                                                                           
Statuant sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2015, y compris celles relatives à la journée complémentaire,

Statuant sur l'exécution du budget de l'exercice 2015 en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

Statuant sur la comptabilité des valeurs inactives,

  • de déclarer que le compte de gestion du budget annexe du service de l’assainissement dressé, pour l'exercice 2015, par le receveur, visé et certifié conforme par l'ordonnateur, n'appelle ni observation ni réserve de sa part.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

108 – COMPTE ADMINISTRATIF 2015 / BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT

Madame le Maire, ordonnateur des dépenses et de recettes du service de l’assainissement, après avoir rappelé au conseil municipal le contenu du budget primitif et des décisions modificatives de l’exercice 2015, lui présente le compte administratif, qui peut se résumer par le tableau suivant.

 

Fonctionnement

Investissement

Ensemble

 

Dépenses / Déficit €

Recettes / Excédent €

Dépenses / Déficit €

Recettes / Excédent €

Dépenses / Déficit €

Recettes / Excédent €

Report 2014

 

388 189,77

 

430 550,23

 

818 740,00

Réalisations 2015

1 178 230,95

1 162 028,79

335 079,49

483 496,70

1 513 310,44

1 645 525,49

Résultat 2015

 

-16 202,16

 

148 417,21

 

132 215,05

Résultat de clôture 2015

 

371 987,61

 

578 967,44

 

950 955,05

Restes à réaliser 2015

 

 

31 585,20

52 762,50

31 585,20

52 762,50

Solde des R.A.R 2015

 

 

21 177,30

 

21 177,30

 

Résultat de clôture corrigé des R.A.R. 2015

 

371 987,61

 

600 144,74

 

972 132,35

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • de lui donner acte de la présentation faite du compte administratif,
  • de constater, aussi bien pour la comptabilité principale que pour chacun des comptes annexes, les identités de valeur avec les indications du compte de gestion relative au report à nouveau, au résultat d’exploitation de l’exercice et au fonds de roulement du bilan d’entrée et du bilan de sortie, aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes,
  • de reconnaître la sincérité des restes à réaliser,

d’arrêter les résultats définitifs tels que résumé ci-dessus.

La délibération est adoptée à la majorité (vote contre de Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy, Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

109 – AFFECTATION DU RÉSULTAT DE L’EXPLOITATION DE L’EXERCICE 2015 BUDGET ANNEXE DE L’ASSAINISSEMENT

Après avoir présenté le compte administratif de l’exercice 2015, Madame le Maire demande au conseil municipal de constater les résultats suivants.

 

RÉSULTAT
CLÔTURE 2014
(A)

VIREMENT À LA SECTION D’INVESTISSEMENT
(B)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE 2015
(C)

RÉSULTAT DE CLÔTURE 2015
(A-B+C)

INVESTISSEMENT

430 550,23 €

 

148 417,21 €

578 967,44 €

FONCTIONNEMENT

458 189,77 €

70 000,00 €

- 16 202,16 €

371 987,61 €

RESTES À RÉALISER (INVESTISSEMENT)

RECETTES

52 762,50 €

DÉPENSES

31 585,20 €

SOLDE (D)

        1 177,30 €

L’excédent de fonctionnement global cumulé au 31 décembre 2015 est donc égal à 371 987,61 € (A-B+C).

Le résultat de clôture de l’exercice 2015 en investissement corrigé du solde des restes à réaliser est égal à 600 144,74 € (A+C+D). Il est positif ; il n’y a donc pas de besoin de financement en investissement en 31 décembre 2015.
Il est cependant proposé d’affecter 40 000 € en réserves de la section de fonctionnement vers la section d’investissement.
Considérant que seul le résultat de la section de fonctionnement doit faire l'objet de la délibération d’affectation du résultat, puisque le résultat d’investissement reste toujours en investissement et doit en priorité couvrir, le cas échéant, le besoin de financement (déficit) de la section d’investissement,

Madame le Maire propose au conseil municipal d’affecter le résultat de la manière suivante.

Affectation obligatoire
(compte 1068 = besoin de financement investissement)

0,00 €

Solde disponible (= résultat de clôture 2015 fonctionnement)

371 987,61 €

Affectation complémentaire en réserves (compte 1068)

40 000,00 €

Total 1068

40 000,00 €

Affectation à l’excédent reporté de fonctionnement
(ligne R 002 = résultat de clôture – affectation au 1068)

331 987,61 €

Résultat d’investissement à reprendre
(ligne R 001 = résultat de clôture 2015 investissement)

578 967,44 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy, Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

110 – APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2015 / BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’EAU

Madame le Maire présente au conseil municipal le budget primitif de l'exercice 2015 du service de l’eau, les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats délivrés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le receveur accompagné des états de développement des comptes de tiers ainsi que l'état de l'actif, l'état du passif, l'état des restes à recouvrer et l'état des restes à payer.

Madame le Maire demande au conseil municipal, après avoir entendu et approuvé le compte administratif de l'exercice 2015 du service de l’eau, et s'être assuré que le receveur a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2014, celui de tous les titres de recettes émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

Considérant qu’il n’y a ni erreur ni omission,                                                                                                                                                                                                                                           
Statuant sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2015, y compris celles relatives à la journée complémentaire,

Statuant sur l'exécution du budget de l'exercice 2015 en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

Statuant sur la comptabilité des valeurs inactives,

  • de déclarer que le compte de gestion du budget annexe du service de l’eau dressé, pour l'exercice 2015, par le receveur, visé et certifié conforme par l'ordonnateur, n'appelle ni observation ni réserve de sa part.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

111 – COMPTE ADMINISTRATIF 2015 / BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’EAU

Madame le Maire, ordonnateur des dépenses et de recettes du service de l’eau, après avoir rappelé au conseil municipal le contenu du budget primitif et des décisions modificatives de l’exercice 2015, lui présente le compte administratif, qui peut se résumer par le tableau suivant.

 

Fonctionnement

Investissement

Ensemble

 

Dépenses / Déficit €

Recettes / Excédent €

Dépenses / Déficit €

Recettes / Excédent €

Dépenses / Déficit €

Recettes / Excédent €

Report 2014

 

 96 209,70

114 275,68

 

 

-18 065,98

Réalisations 2015

1 504 583,80

1 884 106,71

443 396,00

498 647,90

1 947 979,80

2 382 754,61

Résultat 2015

 

379 522,91

 

55 251,90

 

434 774,81

Résultat de clôture 2015

 

475 732,61

59 023,78

 

 

416 708,83

Restes à réaliser 2015

 

 

293 190,01

190 864,93

293 190,01

190 864,93

Solde des R.A.R 2015

 

 

102 325,08

 

102 325,08

 

Résultat de clôture corrigé des R.A.R. 2015

 

475 732,61

161 348,86

 

 

314 383,75

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • de lui donner acte de la présentation faite du compte administratif,
  • de constater, aussi bien pour la comptabilité principale que pour chacun des comptes annexes, les identités de valeur avec les indications du compte de gestion relative au report à nouveau, au résultat d’exploitation de l’exercice et au fonds de roulement du bilan d’entrée et du bilan de sortie, aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes,
  • de reconnaître la sincérité des restes à réaliser,
  • d’arrêter les résultats définitifs tels que résumé ci-dessus.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy, Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

112 – AFFECTATION DU RÉSULTAT DE L’EXPLOITATION DE L’EXERCICE 2015 BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’EAU

Après avoir présenté le compte administratif de l’exercice 2015 du service de l’eau, Madame le Maire demande au conseil municipal de constater les résultats suivants.

 

RÉSULTAT
CLÔTURE 2014
(A)

VIREMENT À LA SECTION D’INVESTISSEMENT
(B)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE 2015
(C)

RÉSULTAT DE CLÔTURE 2015
A-B+C

INVESTISSEMENT

- 114 275,68 €

 

55 251,90 €

- 59 023,78 €

FONCTIONNEMENT

196 209,70 €

100 000,00 €

379 522,91 €

475 732,61 €

RESTES À RÉALISER (INVESTISSEMENT)

RECETTES

190 864,93 €

DÉPENSES

293 190,01 €

SOLDE (D)

102 325,08 €

L’excédent de fonctionnement global cumulé au 31 décembre 2015 est donc égal à  475 732,61 € (A-B+C).
Le résultat de clôture de l’exercice 2015 en investissement corrigé du solde des restes à réaliser est égal à - 161 348,86 € (A-B+C+D). Il est négatif ; il y a donc un besoin de financement en investissement au 31 décembre 2015.
Il est également proposé d’affecter en réserves complémentaires 88 651,14 € de la section de fonctionnement vers la section d’investissement.
Considérant que seul le résultat de la section de fonctionnement doit faire l'objet de la délibération d’affectation du résultat, puisque le résultat d’investissement reste toujours en investissement et doit en priorité couvrir le besoin de financement (déficit) de la section d’investissement,

Madame le Maire propose au conseil municipal d’affecter le résultat de la manière suivante.

Affectation obligatoire
(compte 1068 = besoin de financement investissement)

161 348,86 €

Solde disponible (= résultat de clôture 2015 fonctionnement)

475 732,61 €

Affectation complémentaire en réserves (compte 1068)

88 651,14 €

Total 1068

250 000,00 €

Affectation à l’excédent reporté de fonctionnement
(ligne R 002 = résultat de clôture – affectation au 1068)

225 732,61 €

Résultat d’investissement à reprendre
(ligne D 001 = résultat de clôture 2015 investissement)

-59 023,78 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Alain Decanis, Blandine Gomart-Jacquet, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy, Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

113 – MODIFICATION DES STATUTS DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES SAINTE-BAUME MONT-AURÉLIEN

Par délibération n°1383 du 02 juin 2016, le conseil communautaire a approuvé la modification des statuts de la Communauté de Communes Sainte-Baume Mont-Aurélien joints en annexe.

Madame le Maire rappelle que la communauté de Communes Sainte-Baume Mont-Aurélien, le SIVED, la Communauté de Communes Cœur du Var, le Syndicat Mixte de la zone du Verdon et le Syndicat Mixte du Haut Var se sont associés par convention de groupement de commande, afin d’étudier et de développer une unité de tri, valorisation dénommée Technovar.

Il est apparu nécessaire que le projet Technovar, compte tenu de ses dimensions techniques, économiques et financières, soit porté par une personne publique morale de droit public, plutôt que porté par le groupement de commandes, sans personnalité morale.

Le choix s’est porté sur le recours à un syndicat mixte ayant au minimum la compétence « traitement » des déchets ménagers et assimilés au sens de l’article L. 2224-13 du CGCT.

Le portage du programme par un syndicat mixte permet d’assurer une meilleure légitimité et visibilité du projet par les administrés.

Il a donc été proposé de modifier les statuts d’un syndicat existant, en l’occurrence le SIVED, pour étendre son périmètre et reformuler son objet.

Madame le Maire demande au conseil municipal d’approuver les nouveaux statuts de la Communauté de Communes Sainte-Baume Mont-Aurélien et de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

114 – AUTORISATION A MADAME LE MAIRE DE SOLLICITER LES SUBVENTIONS 2016 AUPRÈS DU CONSEIL DEPARTEMENTAL

Madame le Maire informe les membres du Conseil Municipal le contrat de territoire signé entre le département du Var et la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume s’est terminé en 2015.

Cette démarche de territorialisation avec le Conseil Départemental du Var a permis de mettre en cohérence toutes les interventions du département à l’échelle du territoire en considérant tout à la fois l’intérêt local et l’intérêt départemental de chaque projet.

Ces interventions participent d’une véritable dynamique de développement et d’aménagement concerté du territoire.

La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume souhaite poursuivre cette démarche dans le cadre du dispositif d’accompagnement des projets d’investissement conduits par les communes et les E.P.C.I. mis en place par le département du Var.

Les investissements proposés aux subventions pour un montant total de 650 000,00 € H.T. concernent :

  • Les travaux de restauration du patrimoine avec la quatrième phase de restauration de la Basilique
  • La création d’une aire de covoiturage Parking San Vincenzo pour favoriser la mobilité durable
  • Le programme 2016 de travaux de requalification et de sécurisation des voiries

Ces investissements sont caractérisés essentiellement par une volonté de structurer et sécuriser l’espace urbain, et de valoriser le patrimoine communal. Il s’agit d’adapter et de développer les équipements et les infrastructures, tout en préservant l’authenticité et l’harmonie du territoire communal.

Ces projets s’inscrivent ainsi dans la démarche départementale en accompagnant les projets structurants engagés sur notre territoire par le Conseil Départemental du Var.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’approuver les montants qui figurent dans les tableaux annexés à la délibération,
  • de l’autoriser à solliciter auprès du Conseil Départemental du Var les demandes de subventions,

Alain Decanis : Pourrait-on connaître la ventilation des demandes sur les trois opérations ?

Madame le Maire : Oui, on va passer au vote.

Alain Decanis : On passe au vote mais vous ne m'avez pas répondu. Quand puis-je espérer avoir la réponse. Un jour ou l'autre ?

Madame le Maire : Demain

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

115 – CESSION D'UN TERRAIN COMMUNAL / PARCELLES BH n°456 ET 457

Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal.

Par courrier en date du 28 avril 2016, Madame Cristel PAYEN a sollicité l’acquisition de deux  parcelles communales cadastrées BH 456 (2915 m²) et 457 (1328 m²) d’une superficie totale de 4 243 m² sises au quartier Bonneval en zone UG du Plan Local d’Urbanisme pour la réalisation d’une chambre funéraire.

Dans l’avis n° 2016-116V0742 de France Domaines établi en date du 3 mai 2016, la valeur estimée de ces parcelles est de 165 000 €.

Par courrier en date du 10 mai 2016, Madame PAYEN a donné son accord sur ce prix.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :

  • approuver le principe de la cession à Madame Christel PAYEN des terrains cadastrés BH 456 et 457 d’une superficie totale de 4 243 m² au prix  de 165 000 €.
  • l'autoriser à signer l’acte de transfert de propriété et tout document se rapportant à cette affaire.
  • Mandater l’agence de Toulon du cabinet TPF INFRASTRUCTURES pour établir et passer l’acte de transfert de propriété en la forme administrative.

Pascal Simonetti : La construction d'une chambre funéraire est plutôt normalement une compétence d'une entreprise funéraire. Or l'acquéreur tient une agence de voyage. Etes vous sûr qu'il ne s'agit pas d'une opération immobilière ?

Madame le Maire : Oui, l'objet de l'acquisition figure dans le contrat de vente.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

116 – CESSION D'UN TERRAIN COMMUNAL /PARCELLE BN n°451

Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal.

La commune a été sollicitée par plusieurs personnes en vue de la cession  de la parcelle BN 451, d’une superficie de 3897 m², sise au chemin des Batailloles, et classée en zone UD du Plan Local d’Urbanisme.

Dans son avis n°2016-116V0383  en date du 25 février 2016, France Domaines estime la valeur de cette parcelle à 436 000 euros.

Afin de départager les personnes intéressées, la procédure proposée est une mise en concurrence sur la base d’un cahier des charges, en fixant comme prix / plancher la valeur estimée par France Domaine, soit 436 000 euros.

Tous les notaires de la commune ont été sollicités en vue de rédiger le cahier des charges, d’établir l’acte de transfert de propriété avec constitution de servitude de passage et de tréfonds au profit de la parcelle BN 38 contiguë, et de réaliser la vente.

Seul Maître CASTELLI a présenté une offre, d’un montant qu’il estime entre 2 500 et 3 000 € correspondant à la rédaction du cahier des charges, auquel s’ajouteront les frais de constitution de servitude d’un montant de 900 €.

Les frais de rédaction de l’acte seront à la charge de l’acquéreur.

Les frais de publicité dans un journal local sont également à prévoir pour un montant d’environ 500 €.

Enfin, il conviendra de constituer une commission ad hoc afin de déterminer le candidat retenu.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :

  • approuver le principe de la vente de la parcelle BN 451 selon une procédure de mise en concurrence sur la base d’un cahier des charges en instituant un prix -  plancher de 436 000 €, avec publicité dans un journal local.
  • désigner Maître CASTELLI pour rédiger le cahier des charges, établir l’acte de transfert de propriété avec constitution de servitude de passage et de tréfonds au profit de la parcelle BN 38 contiguë, et réaliser la vente, pour un montant estimatif de 3900 €.
  • constituer une commission ad hoc chargée de déterminer le candidat retenu.
  • l'autoriser à signer l’acte de transfert de propriété et tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

117 – AUTORISATION A MADAME LE MAIRE DE SAISIR LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'AMENAGEMENT COMMERCIAL

La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume souhaite renforcer l’attractivité commerciale, mais en  évitant  la  multiplication anarchique des implantations commerciales et une surproduction des surfaces de vente au regard des potentiels locaux de consommation.

La SCI JLM a déposé le 2 juin 2016, un permis de construire en vue de la construction d’un local commercial de 677 m2 de commerce sur le Parc d’activités du Chemin d’Aix.
Les plans intérieurs laissent apparaitre l’implantation d’une surface de vente d’électro/ménager et d’image et son.

La volonté des élus est de permettre un développement commercial de la commune harmonieux en préservant un équilibre économique entre les différents pôles commerciaux déjà existants.

Dans les communes de moins de 20 000 habitants, le Conseil Municipal peut décider dans un délai d’un mois à compter du dépôt de permis de construire de saisir la Commission Départemental d’Aménagement Commercial pour tous projets de création, d'extension et de transfert de commerce de détail dont la surface est comprise entre 300 et 1 000 m².

L’article L 752-4 du code du commerce dispose :

Dans les communes de moins de 20 000 habitants, le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale compétent en matière d'urbanisme peut, lorsqu'il est saisi d'une demande de permis de construire d’un équipement commercial dont la surface est comprise entre 300 et 1 000 mètres carrés, proposer au conseil municipal ou à l'organe délibérant de cet établissement de saisir la commission départementale d'aménagement commercial afin qu'elle statue sur la conformité du projet aux critères énoncés à l'article L. 752-6.
Dans ces communes, lorsque le maire ou le président de l'établissement public compétent en matière d'urbanisme est saisi d'une demande de permis de construire d’un équipement commercial visé à l'alinéa précédent, il notifie cette demande dans les huit jours au président de l'établissement public prévu à l'article L. 143-16 du code de l'urbanisme sur le territoire duquel est projetée l'implantation. Celui-ci peut proposer à l'organe délibérant de saisir la commission départementale d'aménagement commercial afin qu'elle statue sur la conformité du projet aux critères énoncés à l'article L. 752-6.
La délibération du conseil municipal ou de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale est motivée. Elle est transmise au pétitionnaire sous un délai de trois jours et affichée pendant un mois à la porte de la mairie de la commune d'implantation.
En cas d'avis défavorable de la commission départementale d'aménagement commercial ou, le cas échéant, de la Commission nationale d'aménagement commercial, le permis de construire ne peut être délivré.
La commission départementale d'aménagement commercial se prononce dans un délai d'un mois.
En cas d'avis négatif, le promoteur peut saisir la Commission nationale d'aménagement commercial qui se prononce dans un délai d'un mois. Le silence de la commission nationale vaut confirmation de l'avis de la commission départementale.

Ainsi le dossier de CDAC permettra d’examiner ce projet plus précisément au regard de l’aménagement du Territoire, du développement durable et de critères économiques.

Madame le Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à saisir la Commission Départementale d’Aménagement Commercial et de signer tout document se rapportant à cette affaire.

Alain Decanis : Lorsque vous nous dites vouloir permettre un développement commercial harmonieux de la commune en préservant un équilibre économique on ne peut qu’applaudir.
Mais lorsqu’on se retourne et qu’on regarde le bilan des années passées, c’est tout le contraire qui a été fait ! Vous n’avez pas hésité à laisser se développer un peu partout des zones commerciales sur lesquelles ont été construits de nombreux bâtiments à usage locatif, sans se préoccuper des dommages collatéraux sur le petit commerce du centre-ville.
Maintenant vous vous acharnez pour éviter que ne s’implante sur la commune l’enseigne Darty, parce qu’elle concurrencerait certains commerçants existants ! C’est une curieuse démarche à géométrie variable.
D’autant plus que je crois savoir, que vous n’avez pas hésité à donner votre bénédiction à une grande enseigne locale qui souhaite implanter une galerie commerciale en un autre point de la commune, et qui concurrencerait directement tous les petits commerçants qui demeurent en centre ville.
D’un côté  vous surprotégez certains gros, et d’un autre vous coulez définitivement les plus petits !
Comment voulez-vous que nous acceptions d’être complices d’une telle manœuvre ?

Madame le Maire : Je n'ai rien contre Darty, mais nous souhaitons un développement harmonieux du commerce, et nous n'en avons pas besoin à Saint-Maximin. Sur l'emplacement que nous avons refusé à Darty, il y aura un Go Sport qui dynamisera la zone de la Laouve. Je ne comprends pas pourquoi vous attaquez Monsieur Apkarian, c'est un chef d'entreprise qui mène bien ses affaires . Je ne le défends pas, j'ai d'ailleurs refusé le permis pour sa galerie commerciale.

Alain Decanis : Il ne vous est pas venu à l'idée que le Go Sport allait concurrencer directement Sport 2000 ? mais là ça ne vous gêne pas. D'autre part je n'ai rien contre Monsieur Apkarian, simplement je veux défendre les intérêts du petit commerce. De plus vous n'avez pas refusé le permis de la galerie commerciale déposé par la société de Monsieur Apkarian comme vous le prétendez, c'est le préfet qui vous l'a imposé, et ils sont aujourd'hui au tribunal. En fait la seule chose que je conteste c'est votre sens de la justice à géométrie variable.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda, vote contre de Alain Decanis, Pascal Simonetti, Charline Hatot, Joëlle Silvy)

 

118 – ADOPTION DU RAPPORT SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE DE L'EAU 2015

La loi n°95-101 du 2 février 1995, dite « loi Barnier » relative au renforcement de la protection de l'environnement insère dans les codes rural et de l’environnement des principes généraux de la déclaration de Rio de 1992 sur l’environnement et le développement.

Il est précisé que les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation.

D’importantes dispositions du droit de l’environnement sont affirmées :

  • La protection de l’environnement est reconnue d’intérêt général,
  • L’objectif de développement durable est défini,
  • Les principes de précaution, d’action préventive, de pollueur-payeur et de participation sont intégrés en droit français.

La loi introduit une réforme dans la gestion des services municipaux de l’eau et de l'assainissement. Elle s'inscrit dans le cadre d'une dynamique de changement, vers davantage de transparence vis-à-vis des élus et des consommateurs.

Aussi dans les domaines de l’eau et des déchets, les maires ou les présidents des syndicats concernés sont tenus de présenter chaque année un rapport sur le prix et la qualité du service public dans les domaines de la collecte et du traitement des déchets ménagers d’autre part, des conditions de financement, de facturation et de fonctionnement des réseaux d’eau d’autre part.

Conformément aux articles D.2224-1 et L.2224-5 du code général des collectivités territoriales,

Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers.
Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.
Le maire y joint la note établie chaque année par l'agence de l'eau ou l'office de l'eau sur les redevances figurant sur la facture d'eau des abonnés et sur la réalisation de son programme pluriannuel d'intervention.
Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article L. 1411-13.
Un décret fixe les indicateurs techniques et financiers figurant obligatoirement dans le rapport prévu ci-dessus ainsi que, s'il y a lieu, les autres conditions d'application du présent article.
Les services d'assainissement municipaux, ainsi que les services municipaux de collecte, d'évacuation ou de traitement des ordures ménagères sont soumis aux dispositions du présent article.

Depuis la loi n°2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité, l'article L 1413-1 du code général des collectivités territoriales précise également le rôle de la commission consultative des services publics locaux (CCSPL) pour l’examen de ces rapports, laquelle a été créée par délibération n°63 du 23 avril 2014. Le rapport sera soumis pour avis à la CCSPL.

Madame le Maire soumet le rapport sur le prix et la qualité du service de l’eau 2015 à l’avis des membres du Conseil Municipal.

Ce dernier sera transmis aux services préfectoraux en même temps que la présente délibération.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

119 – SOCIÉTÉ DU CANAL DE PROVENCE / BILAN DE FONCTIONNEMENT DE LA STATION DE POTABILISATION 2015

Aux termes de l’Article L2224-5 du Code général des collectivités territoriales :

Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers.
Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.
Le maire y joint la note établie chaque année par l'agence de l'eau ou l'office de l'eau sur les redevances figurant sur la facture d'eau des abonnés et sur la réalisation de son programme pluriannuel d'intervention.
Le rappo
rt et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article L. 1411-13.
Un décret fixe les indicateurs techniques et financiers figurant obligatoirement dans le rapport prévu ci-dessus ainsi que, s'il y a lieu, les autres conditions d'application du présent article.
Les services d'assainissement municipaux, ainsi que les services municipaux de collecte, d'évacuation ou de traitement des ordures ménagères sont soumis aux dispositions du présent article.

Depuis la loi n°2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité, l'article L 1413-1 du code général des collectivités territoriales précise également le rôle de la commission consultative des services publics locaux (CCSPL) pour l’examen de ces rapports, laquelle a été créée par délibération n°63 du 23 avril 2014. Le rapport sera soumis pour avis à la CCSPL.

Le rapport 2014 de la Société du Canal de Provence rend compte des activités de la société dans le cadre du service de l’eau au titre de la concession régionale PACA et de la concession départementale du Vaucluse, pour le compte des clients agriculteurs, ruraux, urbains et industriels. Il retrace également les opérations d’ingénierie réalisées en France ou à l’International.

Il appartient donc au Conseil municipal de l'examiner pour en prendre acte.

En conséquence, Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir prendre acte du Rapport de la société du CANAL DE PROVENCE afférent à ses activités de la société dans le cadre du service de l’eau au titre de la concession régionale PACA et de la concession départementale du Vaucluse, pour le compte des clients agriculteurs, ruraux, urbains et industriels.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

120 – SAUR / ADOPTION DU RAPPORT SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT 2015

La loi n°95-101 du 2 février 1995, dite « loi Barnier » relative au renforcement de la protection de l'environnement insère dans les codes rural et de l’environnement des principes généraux de la déclaration de Rio de 1992 sur l’environnement et le développement.

Il est précisé que les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation.

D’importantes dispositions du droit de l’environnement sont affirmées :

  • La protection de l’environnement est reconnue d’intérêt général,
  • L’objectif de développement durable est défini,
  • Les principes de précaution, d’action préventive, de pollueur-payeur et de participation sont intégrés en droit français.

La loi introduit une réforme dans la gestion des services municipaux de l’eau et de l'assainissement. Elle s'inscrit dans le cadre d'une dynamique de changement, vers davantage de transparence vis-à-vis des élus et des consommateurs.

Aussi dans les domaines de l’eau et des déchets, les maires ou les présidents des syndicats concernés sont tenus de présenter chaque année un rapport sur le prix et la qualité du service public dans les domaines de la collecte et du traitement des déchets ménagers d’autre part, des conditions de financement, de facturation et de fonctionnement des réseaux d’eau d’autre part.

Conformément  aux articles D.2224-1 et L.2224-5 du code général des collectivités territoriales,

Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers.
Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.
Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article L.1411-13.
Un décret fixe les indicateurs techniques et financiers figurant obligatoirement dans le rapport prévu ci-dessus ainsi que, s'il y a lieu, les autres conditions d'application du présent article.
Les services d'assainissement municipaux, ainsi que les services municipaux de collecte, d'évacuation ou de traitement des ordures ménagères sont soumis aux dispositions du présent article.

Depuis la loi n°2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité, l'article L 1413-1 du code général des collectivités territoriales précise également le rôle de la commission consultative des services publics locaux (CCSPL) pour l’examen de ces rapports, laquelle a été créée par délibération n°63 du 23 avril 2014. Le rapport sera soumis pour avis à la CCSPL.

Madame le Maire soumet le rapport sur le prix et la qualité du service de l’assainissement 2015 à l’avis des membres du Conseil Municipal.

Ce dernier sera transmis aux services préfectoraux en même temps que la présente délibération.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

121 – DÉGRÈVEMENT FACTURES D’EAU / 1er  SEMESTRE 2016

Le décret n°2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur.

Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur.

L'article L 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales prévoit que le service d'eau informe l'abonné en cas d'augmentation anormale de sa consommation. Dans le cas où cette augmentation est due à une fuite de canalisation, le montant de la facture d'eau est plafonné, à condition que l'abonné ait fait réparer la fuite.

Le décret précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d'eau potable après le compteur, à l'exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage. Il précise l'étendue de l'obligation d'information de l'abonné qui incombe au service de distribution d'eau ainsi que la nature des justificatifs à produire par l'abonné pour bénéficier d'un plafonnement de la facture d'eau, le service pouvant procéder au contrôle de ces justificatifs.

Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d'eau sur canalisation après compteur, le volume d'eau imputable à la fuite n'entre pas dans le calcul de la redevance d'assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.

Les personnes dont listes jointes ont sollicité un dégrèvement sur leurs factures d’eau.

Madame le Maire propose un dégrèvement d’un montant de 28 603,49 € sur les factures précitées.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

122 – DÉGRÈVEMENT FACTURES D’EAU / 2ème SEMESTRE 2015

Le décret n°2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur.

Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur.

L'article L 2224-12-4 du code général des collectivités territoriales prévoit que le service d'eau informe l'abonné en cas d'augmentation anormale de sa consommation. Dans le cas où cette augmentation est due à une fuite de canalisation, le montant de la facture d'eau est plafonné, à condition que l'abonné ait fait réparer la fuite.

Le décret précise que ne sont prises en compte, à ce titre, que les fuites de canalisation d'eau potable après le compteur, à l'exclusion des fuites dues à des appareils ménagers et des équipements sanitaires ou de chauffage. Il précise l'étendue de l'obligation d'information de l'abonné qui incombe au service de distribution d'eau ainsi que la nature des justificatifs à produire par l'abonné pour bénéficier d'un plafonnement de la facture d'eau, le service pouvant procéder au contrôle de ces justificatifs.

Le décret fixe le principe selon lequel, en cas de fuite d'eau sur canalisation après compteur, le volume d'eau imputable à la fuite n'entre pas dans le calcul de la redevance d'assainissement. Il fixe les modalités selon lesquelles ce volume est estimé.

Les personnes dont liste jointe, ont sollicité un dégrèvement sur leurs factures d’eau.

Madame le Maire propose un dégrèvement d’un montant de 6 736,91 € sur les factures précitées.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

123 – CONVENTION RELATIVE À L’UTILISATION DES LOCAUX DU LYCÉE MAURICE JANETTI PAR LA COMMUNE - APPROBATION DE LA RECONDUCTION POUR L'ANNEE 2016/2017

Madame le Maire donne lecture de la convention relative à l’utilisation des locaux du Lycée Maurice Janetti par la Commune pour l’année 2016/2017

Elle rappelle qu’il convient de reconduire pour 2016/2017 cette convention réactualisée (jointe en annexe).

Il est entendu que cette nouvelle convention devra faire l’objet de façon concomitante d’une délibération du conseil d’administration du lycée approuvant les termes et les modalités du document.

Il en va de même pour la Région qui prendra acte par décision de ces mêmes modalités.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’approuver l’intérêt communal de l’occupation des différentes structures du lycée
  • d’approuver la reconduction de la convention et de ses modalités telles que précitées.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

124 – CONVENTION DE MISE À DISPOSITION DE MOYENS TECHNIQUES ET FINANCIERS DE LOCAUX COMMUNAUX / Piste d’athlétisme / Autorisation À Madame le Maire À signer la convention

Madame le Maire donne lecture de la convention relative à la mise à disposition du lycée Maurice Janetti de la piste d’athlétisme du parc des sports municipal ainsi que des vestiaires et sanitaires s’y rapportant.

Madame le Maire précise que les dépenses sont inscrites au budget 2016

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • d’approuver l’intérêt communal de cette mise à disposition
  • d’approuver la convention et ses modalités telles que précisées dans celle-ci.
  • d’autoriser Madame le Maire à signer cette convention et tout document se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

125 – ANTENNE DE JUSTICE ET DU DROIT / DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL RÉGIONAL

L’Antenne de Justice et du Droit est un service public de proximité, dont la mission première est l’accès au droit.

Ainsi, toute personne peut venir se renseigner sur ses droits, ses obligations et sur les démarches à suivre, de fait des consultations gratuites et confidentielles, sur rendez-vous, sont proposées :
• par des Professionnels du Droit, à savoir avocat, notaire, huissier,
• par des Juristes Spécialisés, juriste-famille - CIDFF
Centre d’Information sur le Droit des Femmes et des Familles du Var,
        Juriste - travail - CIDFF
Centre d’Information sur le Droit des Femmes et des Familles du Var,
        Juriste - logement - ADIL
Agence Départementale d’Information sur le Logement.
juriste - victimes - AAVIV
Association d’Aide aux Victimes d’Infractions du Var.
• par des Psychologues Spécialisés : AAVIV
Association d’Aide aux Victimes d’Infractions du Var
soutien psychologique en direction des personnes victimes d’infraction pénale.

L’Antenne de Justice œuvre, également, en faveur de la résolution amiable des litiges : Conciliateurs, défenseur des droits (lutte contre les discriminations, défense des droits de l’enfant, droits des usagers des services publics, déontologie de la sécurité), Médiatrice Familiale (association VAR FAMILLES).

L’Antenne de Justice et du Droit permet également un service judiciaire de proximité :
• les agents du SPIP - Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation,
• les éducateurs de la PJJ - Protection Judiciaire de la Jeunesse

Ce service, ouvert 42 heures au public, rayonne sur un territoire, intégrant les communes suivantes :
Bras, Brue-Auriac, Le Plan d’Aups, Nans les Pins, Ollières, Pourcieux, Pourrières, Rians, Rougiers, Saint-Maximin la Sainte Baume, Saint-Zacharie, Seillons, Tourves.

De ce fait, Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • d’approuver la démarche de continuité de service public,
  • de l’autoriser à solliciter le Conseil Régional sur une demande de subvention à hauteur de 15 000 €,
  • de l’autoriser à émettre le titre de recette correspondant à la dite subvention.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

126 – ANTENNE DE JUSTICE ET DU DROIT / DEMANDE DE PARTICIPATION FINANCIÈRE AUX COMMUNES

L’Antenne de Justice et du Droit est un service public de proximité, dont la mission première est l’accès au droit.

Ainsi, toute personne peut venir se renseigner sur ses droits, ses obligations et sur les démarches à suivre : de fait, des consultations, gratuites, confidentielles, sur rendez-vous, sont proposées :
• par des Professionnels du Droit, à savoir avocat, notaire, huissier,
• par des Juristes Spécialisés, juriste-famille – CIDFF
Centre d’Information sur le Droit des Femmes et des Familles du Var,
  juriste - travail – CIDFF
Centre d’Information sur le Droit des Femmes et des Familles du Var,
  juriste-logement – ADIL
Agence Départementale d’Information sur le Logement.
  juriste –victimes – AAVIV
Association d’Aide aux Victimes d’Infractions du Var.
• par des Psychologues Spécialisés : AAVIV
Association d’Aide aux Victimes d’Infractions du Var
Soutien psychologique en direction des personnes victimes d’infraction pénale.

L’Antenne de Justice œuvre, également, en faveur de la résolution amiable des litiges : Conciliateurs, défenseur des droits (lutte contre les discriminations, défense des droits de l’enfant, droits des usagers des services publics, déontologie de la sécurité), Médiatrice Familiale (association VAR FAMILLES).

L’Antenne de Justice et du Droit permet également un service judiciaire de proximité :
• les agents du SPIP - Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation,
• les éducateurs de la PJJ - Protection Judiciaire de la Jeunesse

Ce service, ouvert 42 heures au public, rayonne sur un territoire, intégrant les communes suivantes :
Bras, Brue-Auriac, Le Plan d’Aups, Nans les Pins, Ollières, Pourcieux, Pourrières, Rians, Rougiers, Saint-Maximin la Sainte Baume, Saint-Zacharie, Seillons, Tourves.

De ce fait, Madame le Maire demande au conseil municipal :

  1. d’approuver la démarche de continuité de service public,
  2. de l’autoriser à solliciter la participation financière  des communes concernées, à hauteur de 1 € par habitant,
  3. de l’autoriser à émettre des titres de recette correspondant à la participation des différentes communes concernées.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

127 – ÉCOLE DU SPECTATEUR 2016 / DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL DEPARTEMENTAL DU VAR

Depuis 2000, un projet appelé École du Spectateur a été mis en œuvre par la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume en collaboration étroite avec le Conseil Départemental du Var.

Ses objectifs sont de :

  • sensibiliser les Saint-Maximinois, en particulier les enfants et les jeunes, à la pratique artistique et ainsi, accompagner la programmation du Pôle Culturel.
  • développer, à travers la pratique artistique, la personnalité des individus (la créativité, l’originalité et non des connaissances purement théoriques et techniques).
  • favoriser la rencontre et l’échange entre la diversité des publics et les artistes et leurs créations en « cassant » les freins culturels ou sociaux.

Pour cela des actions de pratique artistique variées (carnaval, peinture de rue, les Collégiens en scène, accompagnement aux spectacles, visite de centres artistiques, stage d’art plastique …) sont mises en place. Elles sont encadrées par la médiatrice socio culturelle, les animateurs et les artistes. Le tarif est adapté au revenu des familles, voire gratuit selon les actions.

Par délibération n°66 en date du 20 mai 2015, le conseil municipal avait :

  • accepté la reconduction du projet École du spectateur pour l’année 2015,
  • autorisé Madame le Maire à solliciter le concours financier le plus large possible auprès du Conseil Départemental du Var.

Le projet de l’École du spectateur 2016 joint en annexe reprend les actions proposées.

Le budget prévisionnel du projet École du spectateur 2016 s’établit comme suit :

  • Département :                                                  60 000,00 €
  • Ville de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume :         73 400,00 €
  • Participation du public                                         500,00 €
  • TOTAL                                                            133 900,00 €

Considérant :

  • que ce projet de développement de la pratique culturelle à destination de tous les publics a dépassé le cadre expérimental pour entrer dans une phase de droit commun culturel,
  • que ce projet inscrit dans la programmation culturelle de la Ville, est déployé dans différents lieux et particulièrement le Pôle Culturel Provence Verte. Il permet, par différentes actions (médiation, ateliers, stages, événementiels…)  l’ouverture à tous les publics à des disciplines artistiques variées telles que la danse contemporaine, les cultures urbaines, les Arts de la rue, les musiques actuelles, les arts plastiques…

Madame le Maire propose au conseil municipal :

  • de reconduire le projet « École du Spectateur » pour l’année 2016,
  • de solliciter le concours financier le plus large possible auprès du Conseil Départemental du Var,
  • de l’autoriser à signer la convention avec le Conseil Départemental et tous documents se rapportant à cette affaire.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

128 – ANNULATION FACTURES ASSAINISSEMENT/ 1er semestre 2013

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture assainissement du 1er  semestre 2013 (départ non signalé), au nom de :

  • CASELLI-BOURSIN         n°facture 1405                                      85,66 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

129 – ANNULATION FACTURES EAU / 1er   semestre 2013

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture eau du 1er  semestre 2013 (départ non signalé), au nom de :

  • CASELLI-BOURSIN       facture n° 1405                            65,55 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

130 – ANNULATION FACTURES EAU / 2ème semestre 2015

Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture eau du 2ème  semestre 2015 (factures établies sur estimation – relevé mis à jour), au nom de :

  • FIXY Florence       facture n° 10893                         59,27 €

Facture redevance pollution                          15,30 €

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

131 – REMBOURSEMENT D’UN POT DE LASURE SUITE AU DYSFONCTIONNEMENT DES ARROSEURS DU STADE

Madame le Maire informe le Conseil Municipal qu’en date du 22 avril 2016, un dysfonctionnement des arroseurs du stade a dirigé les jets d’eau sur la façade de l’immeuble où est situé l’appartement  de Monsieur CARRERE André, sis 128 Traverse de Magdala, ce qui a occasionné quelques dégâts.
La force du jet a entre autre fait tomber au sol un pot de lasure, abîmant le carrelage de la terrasse.

Par courrier en date du 25 avril 2016, Monsieur CARRERE précise qu’il ne souhaite pas donner suite à  cette affaire. Il demande à Madame le Maire le remboursement d’un pot de lasure  et des produits de nettoyage pour un montant de 40 €.
Madame le Maire rappelle au conseil municipal que le contrat responsabilité civile de la ville prévoit une franchise de 800 €. Le montant des dégâts étant bien inférieur à la franchise, elle demande au conseil municipal  d’approuver le remboursement de la somme précitée.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)

 

132 – OFFICE NATIONAL DES FORÊTS / DESTINATION DES COUPES DE BOIS DE L’EXERCICE 2017

Madame le Maire informe le Conseil Municipal qu’à la section 3 du chapitre IV du titre Ier du livre II du code forestier, il est inséré un article D. 214-21-1 ainsi rédigé :


Art. D. 214-21-1. - L'Office national des forêts propose, le cas échéant, à la collectivité ou personne morale propriétaire les coupes à inscrire à l'état d'assiette.

Dans le cas de coupes prévues par le document d'aménagement de la forêt, la collectivité ou personne morale propriétaire dispose d'un délai d'un mois à compter de la date de réception de cette proposition pour faire connaître son éventuelle opposition. Le silence gardé au-delà de ce délai vaut acceptation de l'inscription des coupes à l'état d'assiette.
Toute opposition doit faire l'objet d'une décision écrite et motivée, adressée au préfet de région.
Si celui-ci considère, après avis de l'Office national des forêts, que les motifs d'ajournement invoqués par la collectivité ou personne morale propriétaire ne présentent pas de caractère réel et sérieux, il le notifie au représentant de la collectivité ou de la personne morale propriétaire dans les deux mois suivant la réception de la décision d'ajournement.
Cette notification rappelle les termes de l'article L. 124-1.

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que par délibération n°47 en date du 15 mars 2016,  la commune a approuvé le programme d’action proposé par l’ONF ainsi que la mission de maîtrise d’œuvre afférente.

Conformément aux articles L 214-6 à L 214-11, L. 243.1 et L 315-2 du code forestier et sur proposition de l’ONF, Madame le Maire propose de fixer pour les coupes de bois de l’exercice 2017, les destinations suivantes :

MISE SUR LE MARCHÉ


Forêt

Parcelle n°

Surface à parcourir
(ha)

Nature de la coupe

Proposition de l’ONF

Justification de la proposition ONF

Décision du propriétaire

St Maximin

1_x

8.94

TS

2022

Programme coupes modifiées

Vente sur pied

St Maximin

2_x

8,39

TS

2017

 

Vente sur pied

Madame le Maire demande au Conseil Municipal d’approuver le programme d’action proposé par l’ONF.

La délibération est adoptée à la majorité (abstentions de Michaël Granier, Gilles Perez, Philippe Hrynda)