Conseil Municipal du 10 mars 2015
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Absents représentés : Alain Decanis (pouvoir à Pascal Simonetti) - Gilles Perez (pouvoir à Philippe Hrynda) |
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Le compte rendu du dernier conseil municipal est adopté à l'unanimité. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1 - ELECTION D'UN ADJOINT Par délibération n°43 en date du 5 avril 2014, Madame le Maire rappelle que le conseil municipal a fixé à 7 le nombre d’adjoints. Par délibération n°44 en date du 5 avril 2014, le conseil municipal a ensuite procédé à l’élection des adjoints comme suit :
En raison du décès de Madame Létitia SILENZIANO, 6ème adjoint, survenu le 26 novembre 2014, il est demandé au conseil municipal de se prononcer sur la fixation du nombre d’adjoints. Madame le Maire propose au Conseil municipal de fixer à 7 le nombre d’adjoints. Dans l’hypothèse où le Conseil municipal déciderait de maintenir le nombre d’adjoint à 7, il est également demandé aux membres du conseil municipal d’élire un adjoint. Conformément aux Articles L. 2122-1 à L. 2122-2-1 du Code Général des Collectivités Territoriales, il y a dans chaque commune, un Maire et un ou plusieurs Adjoints élus parmi les membres du Conseil Municipal. « Dans les communes de 1 000 habitants et plus, les Adjoints sont élus au scrutin de liste à la majorité absolue sans panachage ni vote préférentiel. Sur chacune des listes, l'écart entre le nombre des candidats de chaque sexe ne peut être supérieur à un ». « Si, après deux tours de scrutin, aucune liste n'obtenu la majorité absolue, il est procédé à un troisième tour de scrutin et l’élection a lieuà la majorité relative. En casd'égalité de suffrages, les candidats de la liste ayant la moyenne d'âge la plus élevée sont élus ». « Pour toute élection du Maire ou des Adjoints, les membres du Conseil Municipal sont convoqués dans les formes et délais prévusà l'Article L. 2121-10 du Code général des Collectivités territoriales. La convocation contient mention spécialede l’élection à laquelle il doit être procédé ». Chaque Conseiller Municipal ou groupe de Conseillers Municipaux peut présenter une liste au plus tard le jour de l’élection qui doit comporter au plus, autant de conseillers municipaux que d'adjoints à désigner. Après un appel de candidature, les listes de candidats sont les suivantes :
La délibération est adopté par 25 voix pour et 6 abstentions (Pascal Simonetti - Joelle Silvy - Blandine Gomart-Jacquet - Alain Decanis - Philippe Hrynda - Gilles Perez). |
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2 - DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE POUR L'EXERCICE 2015 Vu l’article L. 2312-1 du Code général des collectivités territoriales, Madame le Maire rappelle que l’article L 2312-1 du Code Général des Collectivités Territoriales dispose que : « Le budget de la commune est proposé par le maire et voté par le conseil municipal. Dans les communes de 3 500 habitants et plus, un débat a lieu au conseil municipal sur les orientations générales du budget de l'exercice ainsi que sur les engagements pluriannuels envisagés et sur l'évolution et les caractéristiques de l'endettement de la commune, dans un délai de deux mois précédant l'examen de celui-ci et dans les conditions fixées par le règlement intérieur prévu à l'article L. 2121-8. Les dispositions du présent article s'appliquent aux établissements publics administratifs des communes de 3 500 habitants et plus ». Madame le Maire demande aux membres du conseil municipal de prendre acte de la tenue du débat d’orientations budgétaires. |
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DÉBAT D’ORIENTATION BUDGÉTAIRE - EXERCICE 2015 Le débat d’orientation budgétaire est une étape du cycle budgétaire annuel. En effet, si l’action des collectivités est principalement conditionnée par le rôle de leur budget annuel, leur cycle budgétaire est rythmé par plusieurs jalons ; le débat d’orientation budgétaire constitue la première étape de ce cycle. I – LE CONTEXTE NATIONAL
La loi de finances 2015 a été promulguée le 29 décembre 2014. La Loi de Finances 2015 s’inscrit dans le cadre d’un plan de réduction des dépenses publiques à hauteur de 50 milliard d’euros entre 2015 et 2017, afin de ramener le déficit public sous la barre des 3 % en 2017.
En contre partie du plan d’économies, la loi de finances pour 2015 prévoit un nombre de mesures en faveur des ménages et des entreprises :
Une baisse historique des dotations de l’Etat L’effort se répartit entre les trois catégories de collectivités : Cette « contribution à la réduction du déficit public » se traduit par un prélèvement sur la dotation forfaitaire de la DGF. Un renforcement de la péréquation 2- La refonte de la DGF à partir de 2015 pour les communes La loi de finances prévoit pour 2015 une consolidation des composantes de la dotation forfaitaire. Rappel du calcul de la DGF en 2014 :
Pour 2016, un nouveau projet de réforme est à l’étude pour une DGF territoriale dans le cadre de l’intercommunalité.
3–Autres mesures financières et fiscales -L’enveloppe du FCTVA est augmentée de 166M €. -La DETR est bonifiée à hauteur de 205M€ (616M€ en 2014) afin de soutenir l’investissement local -Remis en question, le fonds départemental de péréquation de la taxe professionnelle est finalement maintenu pour 2015. -Un fonds de 100M€ est créé pour aider les communes à construire des logements destinés à l’accueil des populations nouvelles, à hauteur de 2000€ par logement. -Le coefficient de revalorisation des valeurs locatives reste fixé sur l’inflation de l’exercice écoulé : soit 0,9%. -Modernisation des plafonds et des barèmes de la taxe de séjour, avec une revalorisation annuelle des tarifs. III - ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES DE LA COMMUNE EN 2015 Dans ce contexte, la commune devra poursuivre sa politique en faveur de la qualité du service public autour des axes suivants : 1 - BUDGET PRINCIPAL : SECTION DE FONCTIONNEMENT A) Les recettes de fonctionnement Les recettes fiscales
La commune n’augmentera pas ses taux en 2015. À taux constant, en tenant compte des bases d’imposition prévisionnelles figurant sur l’état fiscal 1259, on obtient les prévisions suivantes :
Les dotations de l’État La taxe additionnelle aux droits de mutation La politique tarifaire Les subventions de fonctionnement B) Les dépenses de fonctionnement Les ressources humaines Les contingents et dépenses obligatoires Autres participations à des organismes de regroupement : Les subventions aux organismes publics Les subventions aux associations Les intérêts de la dette Les charges à caractère général 2 - BUDGET PRINCIPAL : SECTION D’INVESTISSEMENT Les restes à réaliser de l’exercice 2014 représentent 2 206 586,90 € en dépenses et 1 798 365,96 € en recettes, et concernent notamment : A) Les dépenses d’investissement Le programme d’équipement sera doté pour l’année 2015 d’une enveloppe d’environ 5 millions €. En 2015, le remboursement en capital de la dette sera de l’ordre de 725 000, contre 670 000 € en 2014 pour la commune. Il faut ajouter à ce montant 77 754 € pour le remboursement de la dette en capital du Symielec. B) Les recettes d’investissement L’objectif prioritaire est évidemment de maintenir l’équilibre réel du budget. Il s’agit, en section d’investissement, de couvrir le montant du remboursement en capital de la dette par des ressources propres communales : - le FCTVA prévisionnel pour 2015 est de 334 000 €, Outre les ressources propres de la commune, le financement des dépenses d’investissement en 2015 est estimé au minimum à 500 000 € grâce aux subventions de nos partenaires : le conseil général du Var, l’État, le conseil régional PACA et la communauté de communes. Enfin, la commune de Saint Maximin a réussi à rembourser par anticipation fin 2014 le prêt structuré Dexia classé 3E, et à renégocier la reprise du capital restant dû dans un contrat de prêt à un taux fixe de 3,31% sur 19 ans et 6 mois, avec un financement supplémentaire de 800 000€ pour les nouveaux programmes d’investissement. 3 - BUDGETS ANNEXES La loi de finances 2013 a imposé la gestion du recouvrement et du reversement des redevances de l’agence de l’eau au seul service émetteur de factures. La loi de finances 2015, prévoit un prélèvement sur le fonds de roulement des agences de l’Eau
En ce qui concerne la section d’investissement, les opérations prévues en 2015 sont : Pour financer ces investissements, nous faisons appel à l’État par le biais de la dotation d’équipement des territoires ruraux et aux aides précieuses de l’Agence de l’eau.
En ce qui concerne la section d’investissement, 2015 sera consacré à la poursuite du programme de rénovation du réseau d’assainissement. |
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3 - BILAN DE LA CONCERTATION ET ARRÊT DU PROJET DE LAN LOCAL D'URBANISME Madame le Maire indique au Conseil municipal que, par une délibération n°143 du 22 octobre 2008, le Conseil municipal a prescrit l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme (PLU) et a fixé les modalités de concertation publique. Les principaux enjeux et objectifs du PLU tels que définis au travers de cette délibération sont :
La délibération du 22 octobre 2008 mentionnait que dans un souci de faciliter la participation des habitants à la vie de la commune, les obligations de publicité et de transparence afférentes à cette procédure seront complétées à hauteur des enjeux qu’elle présente :
Madame le Maire souhaite également rappeler au Conseil Municipal les conditions dans lesquelles le PLU a été élaboré et à quelle étape de la procédure le projet se situe. Elle expose notamment qu'un premier projet de PLU a été arrêté par délibération n°143 du Conseil Municipal le 25 novembre 2013. Toutefois, et pour des raisons de sécurité juridique, ce projet a du être modifié au regard de deux circonstances :
Suite à cette présentation, Madame le Maire relève que le débat sur les orientations générales du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD) prévu par les dispositions de l’article L.123-9 du Code de l’urbanisme a eu lieu lors de la séance du Conseil Municipal du 30 novembre 2011 (délibération n°158). Madame le Maire rappelle les principales orientations du PADD :
Madame le Maire indique que, conformément aux dispositions de l’article L.300-2 du Code de l’Urbanisme, la concertation publique a été continue tout au long de la démarche d’élaboration du PLU avec notamment :
Madame le Maire précise qu’il convient désormais en application des articles R.123-18 et L.300-2 du Code de l’Urbanisme de tirer le bilan de la concertation en relevant que la population a pu suivre l’évolution du dossier de manière continue. Le bilan de la concertation est annexé à la présente délibération. Suite à ces rappels et ces précisions, Considérant que le conseil municipal a débattu sur les orientations générales du PADD le 30 novembre 2011, Considérant que ces orientations sont conformes aux objectifs définis lors de la prescription du Plan Local d’Urbanisme selon délibération n°143 du 22 octobre 2008 Considérant que les nombreuses études relatives à l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme ont été achevées et que la concertation avec la population sur ces études et la définition progressive du contenu du projet de Plan Local d’Urbanisme ont été effectuées, Considérant qu’il est constaté que la concertation s’est déroulée conformément aux modalités fixées dans la délibération n° 143 du 22 Octobre 2008 et de manière satisfaite, Considérant que les différentes personnes qui doivent être associées ou consultées au cours de l’élaboration ont pu s’exprimer sur ces études et le projet de Plan Local d’Urbanisme en cours de gestation et qu’ils ont pu faire part ainsi, dans leurs domaines de compétences respectives, de leurs observations, Considérant que le dossier du projet de Plan Local d’Urbanisme, comprenant le rapport de présentation (1), le projet d’aménagement et de développement durables (2), les orientations d’aménagement et de programmation (3), le règlement (4), les documents graphiques (5), les annexes (6) a été mis en forme. Considérant que ce projet est prêt à être transmis pour avis aux personnes publiques qui ont été associées à son élaboration et aux organismes qui ont demandé volontairement à être consultés Considérant qu’il appartient désormais au Conseil municipal d’arrêter le projet de Plan local d’urbanisme. Considérant que le PLU arrêté sera transmis aux personnes publiques qui disposeront d’un délai de trois mois pour faire valoir leurs observations. Ensuite, il sera soumis à enquête publique, ce qui permettra aux habitants de s’exprimer une nouvelle fois sur le projet et de faire valoir leurs observations, au cours de l’enquête publique, avant l’approbation du PLU. Considérant que le commissaire enquêteur, ou la commission d’enquête, remettra son rapport et ses observations au terme de ladite enquête. Considérant qu’il appartiendra au Conseil municipal d’approuver le PLU en y apportant, s’il le souhaite, des modifications pour tenir compte des résultats de l’enquête et des avis des personnes publiques. Vu le Code de l’urbanisme et notamment ses articles L. 123-1 et suivants, L. 300-2-I et R. 123-18, Vu la délibération n° 143 en date du 22 octobre 2008 prescrivant l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme et définissant les modalités de concertation en application de l’article L 300-2 du Code de l’Urbanisme, Vu la concertation mise en œuvre Vu le débat sur les orientations générales du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD) lors de la séance du Conseil Municipal du 30 novembre 2011 Vu le projet de Plan Local d’Urbanisme et notamment le rapport de présentation, le projet d’aménagement et de développement durables, les orientations d’aménagement et de programmation, le règlement et ses documents graphiques associés et les annexes, Il est demandé au Conseil Municipal :
Annexe : bilan de la concertation 1 – Les modalitÉs de la concertation Dans un souci de faciliter la participation des habitants à la vie de la commune, les obligations de publicité et de transparence afférentes à cette procédure seront complétées à hauteur des enjeux qu’elle présente :
La concertation publique a été menée tout au long de la procédure de PLU avec notamment :
2 – Les thématiques traitées dans le cadre de la concertation publique On peut distinguer deux types de thématiques, celles traitées dans le cadre des réunions publiques et celles traitées par écrit. 2.1 – Les réunions publiques La première réunion publique a été organisée le vendredi 9 décembre 2011 à la salle des fêtes communale. Elle avait été annoncée par voie de presse et affichage dans les quartiers. Elle a regroupé une centaine de personnes. Ont alors été abordées les principales thématiques suivantes :
Des échanges entre les élus et les participants ont été tenus sur ces thématiques. Sur la question du stationnement, il a notamment été précisé que cette problématique relevait d'abord et avant tout d'une sous utilisation de certains parcs publics de stationnement (notamment le Souvenir Français, sous utilisé), de problèmes d'incivilités (double file, stationnement anarchique sur trottoir) et de problèmes de "voitures ventouses", plus que d'un déficit en offre de stationnement. Sur la question du parc d'activités du Mont Aurélien, il a été précisé que la démarche mise en œuvre se faisait au travers d'une démarche d'Approche Environnementale de l'Urbanisme (AEU) en étroite concertation avec l'ensemble des acteurs et notamment les diverses administrations (DDTM, DREAL, etc...) et que toutes les dispositions pour la protection de l'environnement naturel étaient prises. Sur la question des dysfonctionnements du pluvial au quartier Saint Jean, il y a lieu de préciser que la réunion intervenait quelques jours après les exceptionnelles pluies de novembre 2011 (plus de 400 mm) qui avaient occasionnées quelques saturations du réseau pluvial. Sur la question du projet de réouverture de la ligne ferroviaire Gardanne Carnoules, il a été précisé que la Région PACA, qui conduit les études sur cette question, n'avait porté aucun élément à la connaissance de la commune et n'avait jamais participé aux réunions de travail (réunions PPA) auxquelles elle avait été conviée. Sur la question de la nécessité d'une deuxième déviation, il a été précisé que la création d’une seconde déviation ne paraissait pas possible du fait de la contraintes physiques liées au tracé de l'A8. Sur la question de la règle de superficie minimale requise pour la constructibilité dans les zones NBb s'est organisé un débat, plus technique, relatif à l'importante capacité d'accueil de ces espaces et au risque d'une surdensification en cas d'abaissement de la superficie minimale. La deuxième réunion publique a été organisée le jeudi 28 juin 2012 à la salle des fêtes communale. Elle avait été annoncée par voie de presse et affichage dans les quartiers. Elle a également regroupé une centaine de personnes. Après une introduction de Mr le Maire, les orientations d'aménagement et de programmation (OAP) préfigurant le projet de zonage et de règlement ont été présentées par vidéo projection préalablement à un échange avec les participants. Ont alors été abordées les principales thématiques suivantes :
Des échanges entre les élus et les participants ont ainsi été tenus sur ces thématiques. Sur la question d'un emplacement réservé pour un nouveau groupe scolaire il a été précisé que cela avait été prévu, avec un emplacement réservé de 5000 m2 au quartier Mirade. Sur la question d'une réserve foncière pour l'aménagement d'un parking dans l'hypothèse de la réouverture d'une gare en cas de réouverture de la ligne ferroviaire, il a été précisé que la Région PACA n'avait formulé aucune demande en ce sens. Sur la question de la règle de superficie minimale requise pour la constructibilité dans les zones NBb s'est organisé le même débat technique que lors de la première réunion. La troisième réunion publique a été organisée le lundi 15 décembre 2014 à la salle des fêtes communale. Elle avait été annoncée par voie de presse et affichage dans les quartiers. Elle a également regroupé une centaine de personnes. Après une introduction de Mme le Maire, ont été présentées les principales évolutions du dossier de PLU suite à la promulgation de la loi ALUR et, notamment, les incidences de la disparition du COS et de la règle de superficie minimale qui ont encadré la gestion de la densité urbaine pendant quarante ans. Des échanges entre les élus et les participants ont été tenus sur ces thématiques. 2.2 – Les observations écrites La commune a été rendue destinataire de 71 courriers individuels écrits relatifs au PLU depuis la date de prescription de la procédure jusqu'à ce jour. Ces 71 courriers ont été traités et ont donné lieu à une réponse. Sur ces 71 contributions écrites, il est possible de relever :
La quasi-totalité de ces contributions écrites relève donc de demandes individuelles en vue d’obtenir, au titre du Plan local d’urbanisme, de la constructibilité de terrains. 3 – Bilan de l'efficacitÉ de la concertation mise en œuvre Un bilan peut être tiré quant à l'efficacité des différentes actions de concertation mises en œuvre tout au long de la procédure. 3.1 – Mise à disposition d'un registre. Le bilan peut être qualifié de moyen. Si aucune remarque générale n'a été portée au registre, il faut classer dans cette rubrique les observations écrites transmises à la commune. La plupart des demandes portent sur des déclassements de terrains classés en zone agricole ou naturelle, au profit de secteurs constructibles. Les demandeurs indiquent que leurs terrains ne sont plus cultivés en ce qui concerne les zones agricoles ou sont voisins de zones constructibles en ce qui concerne les zones naturelles. 3.2 – Concertation par quartiers. Le bilan peut être qualifié de très positif. Ces réunions par quartiers ont permis de toucher un très large public et d'expliquer très en amont les grandes orientations du projet communal. Elles ont également permis d'échanger avec les habitants dans un cadre de proximité et de recueillir leurs sentiments quant aux possibilités d'évolution de leur quartier. 3.3 – Exposition publique en mairie. Le bilan peut être qualifié de positif, de nombreuses personnes ayant pu consulter les panneaux de concertation lors de leur venue en mairie. Leurs échanges par la suite avec les élus témoignent de la large diffusion de l'information. 3.4 – Réunions publiques et débat. Le bilan peut être qualifié de très positif puisqu'elles ont donné lieu à une large participation qui témoigne de la bonne information et de l'intérêt de la population à la démarche engagée. Les débats ont porté tant sur des questions d'ordre général que sur des cas particuliers. Il doit être noté qu'aucune opposition n'a été formulée sur les objectifs généraux du PLU. 3.5 – Mise en ligne des documents. Le bilan peut être qualifié de très positif. Lors des réunions publiques, de nombreuses personnes s'étaient en amont procurées des éléments par téléchargements ce qui a permis d'enrichir les débats. Il doit être noté également que ce mode de concertation permet de toucher un très large public. Ainsi, à titre d'exemple, le document OAP mis en ligne sur la page d'accueil du site internet de la commune a été téléchargé 2752 fois depuis juillet 2012. Conclusion La concertation publique a été continue tout au long de la procédure d'élaboration du PLU, dans le respect des dispositions du Code de l'Urbanisme (article L.300-2) et des modalités de concertation définies dans la délibération n° 143 du 22 octobre 2008. La commune a associé l'ensemble de la population par des réunions par quartiers, des réunions générales, des informations dans la lettre de Saint Maximin, la possibilité de télécharger des documents en page d'accueil du site internet de la commune, etc... Ces différentes modalités de concertation se sont révélées parfaitement opérantes puisqu'elles ont permis d'informer, d'échanger et de débattre. Globalement il ressort de l'ensemble des échanges qu’aucune opposition nette et farouche au projet de PLU n’a été formulée. A contrario, la concertation a permis d'apprécier l'attachement des habitants à leur cadre de vie et à la préservation de ce dernier. Le bilan de la concertation peut donc être qualifié de positif. Blandine Gomart-Jacquet renouvelle l'opposition du groupe à l'implantation d'une zone d'activité sur les flancs du Mont Aurélien. La délibération est adoptée à la majorité par 25 voix pour et 6 voix contre (Pascal Simonetti - Alain Decanis - Blandine Gomard-Jacquet - Joëlle Silvy - Gilles Perez - Philippe Hrynda) |
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4 - CREATION DE POSTES Madame le Maire informe les membres du conseil qu’en vertu de l’article 34 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, les emplois de chaque collectivité sont créés par l’organe délibérant. Il appartient au conseil municipal de fixer l’effectif des emplois nécessaires au fonctionnement des services. Ces emplois correspondent également à l’évolution de carrière des agents. Dans le cadre d’une restructuration des services municipaux et afin d’obtenir une meilleure adéquation entre les qualifications exigées et les postes existants, il serait souhaitable de créer les postes suivants : FILIÈRE ADMINISTRATIVE
FILIÈRE SANITAIRE ET SOCIALE
FILIÈRE TECHNIQUE
FILIÈRE ANIMATION
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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5 - CRÉATION DE TROIS EMPLOIS D’AGENTS RECENSEURS ET D’UN COORDONNATEUR D’ENQUÊTE Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, Madame le Maire propose
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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6 - ACQUISITION DE TERRAIN / PARCELLES BH 171 et 172 – QUARTIER BONNEVAL Madame le Maire rappelle que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Or, par courrier du 05 janvier 2015, un propriétaire propose de vendre à la Commune les parcelles cadastrées BH 171 et 172 d’une superficie respectivement de 6 270 m² et 2 923 m², sises au quartier Bonneval, au prix de 10 € le m² conformément à l’accord pris lors de la réunion en mairie le 30 juin 2014. Ce terrain est classé en zone III NAd du Plan d’Occupation des Sols, destinée à recevoir des activités industrielles de production et de recherche, industrielles et artisanales de production vente, des bâtiments de stockage liés à la production ainsi que des services aux entreprises. Dans le projet de Plan Local d’Urbanisme, cette parcelle figure en zone 2AU, et correspond au secteur de Bonneval, destiné à être ouvert à l’urbanisation à moyen terme dans le cadre d’un projet d’éco-quartier à vocation mixte (habitat, équipements, commerces). La maîtrise foncière des terrains de ce secteur par la Commune favorisera la réalisation de ce projet. C’est la raison pour laquelle plusieurs acquisitions ont déjà été réalisées au prix de 10 € le m². Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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7 - ACQUISITION DE TERRAIN / PARCELLE BH 708 – QUARTIER BONNEVAL Madame le Maire rappelle que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Or, par courrier du 8 juillet 2014, un propriétaire proposait de vendre à la Commune la parcelle cadastrée BH 708 d’une superficie de 3 244 m², sise au quartier Bonneval. Ce terrain est classé en zone III NAd du Plan d’Occupation des Sols, destinée à recevoir des activités industrielles de production et de recherche, industrielles et artisanales de production vente, des bâtiments de stockage liés à la production ainsi que des services aux entreprises. Dans le projet de Plan Local d’Urbanisme, cette parcelle figure en zone 2AU, et correspond au secteur de Bonneval, destiné à être ouvert à l’urbanisation à moyen terme dans le cadre d’un projet d’éco-quartier à vocation mixte (habitat, équipements, commerces). La maîtrise foncière des terrains de ce secteur par la Commune favorisera la réalisation de ce projet. C’est la raison pour laquelle plusieurs acquisitions ont déjà été réalisées au prix de 10 € le m². Par courrier en date du 6 août 2014, le propriétaire donnait son accord sur un prix d’acquisition de 32 440 € soit 10 € le m² conformément aux précédentes acquisitions dans ce quartier. Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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8 - CLASSEMENT DANS LE DOMAINE COMMUNAL DE LA VOIRIE ET DES RÉSEAUX DU LOTISSEMENT « LAMBERT et JEAN » – CHEMIN DE LA CROIX ROUGE Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Dans le cadre de l’aménagement du lotissement de deux lots « Lambert et Jean » autorisé par arrêté préfectoral du 20 août 1981, l'aménageur a réalisé une voie interne sous laquelle passe les réseaux d’eau potable et d’égout desservant les lots, nommée récemment « impasse de la Croix rouge » ; cette voie dessert par ailleurs dix autres unités foncières. En absence d’association syndicale libre, les deux colotis du lotissement « Lambert et Jean » qui a maintenant plus de dix ans, ainsi que l’ensemble des propriétaires des terrains desservis par l’impasse de la Croix Rouge, ont sollicité la commune par courrier du 23 mars 2014, en vue de lui céder cette voie et les réseaux pour l’euro symbolique non recouvrable. Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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9 - CESSION D'UN TERRAIN COMMUNAL / APPROBATION DE LA CESSION DU TERRAIN CADASTRÉ AW 200 Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Un agriculteur exploite depuis une vingtaine d’années la parcelle AW 200 d’une superficie de 4 885m² appartenant à la Commune, avec l’autorisation de la Commune, et située en zone NC du plan d’Occupation des Sols. Il souhaite en faire l’acquisition. L’avis de France Domaines n° 2014-116V0240 en date du 14 mars 2014 estime le prix de la parcelle à 5 900 €. L’agriculteur concerné a donné son accord sur ce prix. Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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10 - DÉNOMINATION DE VOIES La commune s’est engagée dans une démarche de rénovation des adresses en partenariat avec La Poste, le SDIS 83, la Direction départementale des finances publiques du VAR et l’association des maires du VAR. À ce jour, de nombreux foyers ne bénéficient pas d’une adresse complète : leur adresse ne comporte pas de nom de voie et/ou de numéro de rue. Or, sans nom de voie et/ou de numéro, l’accès au logement est difficile, aussi bien pour les facteurs que pour les services de secours ou les services à domicile. Et chacun sait qu’une intervention rapide et certaine sur le lieu exact d’un sinistre peut sauver des vies. À partir d’un recensement réalisé par les services municipaux, la démarche engagée consiste à dénommer les voies non dénommées, rebaptiser des voies au nom trop proche ou en doublon, numéroter les habitations en l’absence de numéro ou renuméroter en cas de mauvaise numérotation ou de numérotation partielle. Le maire tient de ses pouvoirs généraux de police le droit de contrôler les dénominations de toutes les voies et d’interdire celles qui seraient contraire à l’ordre public et bonnes mœurs. Il existe plusieurs catégories de voies :
Il s’agit, dans cette délibération, de confirmer des dénominations de voies publiques puisque la dénomination des voiries communales est de la compétence du conseil municipal. L’objectif poursuivi est de mettre à jour le tableau de classement des voies de la commune ainsi que la numérotation des voies par arrêté municipal afin de transmettre ces données à nos partenaires (DGFIP, INSEE, La Poste, SDIS…) par l’intermédiaire du CRIGE PACA. Les voies publiques concernées sont les suivantes :
Pour permettre de communiquer ces informations, Madame le Maire propose d'approuver et/ou de confirmer la dénomination des voies telle que précitée. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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11 - BASILIQUE SAINTE-MARIE-MADELEINE – RESTAURATION FLANC SUD TRAVAUX COMPLÉMENTAIRES / DEMANDE DE SUBVENTION À LA DIRECTION RÉGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES Par décision N°25 en date du 4 avril 2011, Monsieur Vincent BRUNELLE, Architecte en Chef des Monuments Historiques, a été retenu pour la Mission de Maîtrise d’œuvre Mission de base pour la restauration du flanc Sud de la basilique Sainte-Marie-Madeleine. L’étude qu’il a produite prévoyait 4 tranches de travaux répartis comme suit :
La première tranche de travaux a été évaluée à 685 795,00 € H.T, répartis de la manière suivante : 555 795,00 € de travaux et 130 000 € d’études (dont 94 000 € de Maîtrise d’œuvre). Par délibération N°8 du 30 janvier 2013, le conseil municipal approuvé la démarche et autorisait la demande de subvention à l’Etat et au Conseil Régional. L’Etat a apporté une subvention de 274 318,00 € représentant 40 % du montant total H.T de cette opération, dans le cadre de la programmation de restauration des monuments historiques, pour 2013. Le Conseil Régional PACA, a inscrit cette opération dans le cadre du plan concerté de valorisation du patrimoine et a apporté une subvention de 68 579,50 € représentant 10% du montant HT de cette opération. Le chantier de restauration a commencé en juillet 2014. Au fur et à mesure de l’avancement du chantier, il s’est révélé nécessaire d’envisager des travaux complémentaires : reprendre la partie basse de l’encadrement des fenêtres hautes de la nef centrale après la démolition de l’appentis. Les dalles formant l’ancienne couverture du bas-côté ont été découvertes. Puis lors de la démolition des murs accolés perpendiculairement au mur de la nef, les assises des ébrasements anciens des baies sont apparues en très mauvais état. L’appui des baies a été réalisé en béton, avec un remplissage d’allège en tout venant coulé au ciment. Un sondage exécuté dans chaque allège a permis de retrouver les deux anciennes hauteurs d’assise moulurée formant l’appui de la fenêtre et les témoins du meneau. Mais l’ensemble est en très mauvais état. Ces diverses découvertes imprévisibles impliquent la réalisation de travaux, non prévus au marché initial, afin que soit réalisé l'ouvrage tel qu'il est décrit dans le marché initial. Ces travaux complémentaires ne peuvent être techniquement et économiquement séparés du marché principal sans inconvénient majeur au regard du caractère indissociable des travaux complémentaires à réaliser, par rapport aux travaux objet du marché initial, des délais de réalisation des travaux et des surcouts qui seraient engendrés par l’intervention d’entrepreneurs différents. Le coût prévisionnel des travaux complémentaires s’élève à 110 000 € H.T. L’État apporterait une subvention de 44 000 € représentant 40 % du montant total H.T de cette opération, dans le cadre de la programmation de restauration des monuments historiques, pour 2015. Le Conseil Régional PACA, inscrirait cette opération dans le cadre du plan concerté de valorisation du patrimoine et apporterait une subvention de 11 000 € représentant 10 % du montant HT de cette opération. Le plan de financement serait donc :
Il est donc demandé au conseil municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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12 - BASILIQUE / DEMANDE DE SUBVENTION A LA DRAC POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE Madame le Maire rappelle au Conseil Municipal que l’entretien de l’orgue de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine demeure à la charge de la commune. Le Ministère de la Culture (DRAC) est en mesure de subventionner les dépenses de cette opération à hauteur de 25 % du montant H.T de la prestation. Le contrôle de l’opération est toujours assuré par un technicien agréé par la Direction de la Culture et de la Communication. Les éléments détaillés du contrat d’entretien proposé par le facteur d’orgues Yves Cabourdin d’un montant de 5 840 € H.T., sont joints à la présente délibération. Madame le Maire demande au Conseil Municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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13 - BASILIQUE / DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE Madame Maire rappelle que le conseil municipal a approuvé par délibération n° 16 B du 29 janvier 2014 la poursuite de la politique engagée concernant l’entretien de l’orgue de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine. La prestation du contrat d’entretien proposé par le facteur d’orgues Yves Cabourdin, s’élève à 5 840 € H.T. Les éléments détaillés sont joints à la présente délibération. Une demande de subvention de 25 % du montant H.T a été formulée auprès du Ministère de la Culture (DRAC). Madame le Maire demande au Conseil Municipal de l’autoriser à solliciter le Conseil général du var pour une subvention la plus large possible sur le montant restant à la charge de la commune. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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14 - FOIRE MÉDIÉVALE DES 25 ET 26 AVRIL 2015 / DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL ET AU CONSEIL REGIONAL Dans la continuité des années précédentes, La foire médiévale 2015 sera un week-end festif avec défilés costumés, conférences, spectacles de troupes, visites guidées, marché médiéval, tavernes, etc. Cette manifestation permet d’accroître et d’entretenir l’attractivité culturelle et touristique de notre commune, et ses retombées économiques sont tangibles pour les professionnels de l’hébergement, de la restauration, mais aussi tous les commerçants, notamment du cœur de ville, qui profitent de la présence de milliers de visiteurs pendant ces deux journées. Le budget prévisionnel de cette action s’élève à 37 198,23 € T.T.C. (cf. plan de financement prévisionnel joint en annexe). Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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15 - SYMIÉLEC / ADOPTION D'UN FONDS DE CONCOURS AU PROFIT DU SYNDICAT MIXTE DE L'ENERGIE DES COMMUNES DU VAR POUR LA RÉALISATION DES TRAVAUX D'EFFACEMENT DES RÉSEAUX AÉRIENS DE LA PLACE DE LA VICTOIRE Madame le Maire expose au conseil municipal les éléments suivants : Conformément à l’article L 5212-24 du C.G.C.T. modifié par l’article 112 de la loi n° 2009-1673 du 30.12.2009, les travaux réalisés sous la maîtrise d’ouvrage du SYMIÉLECVAR, peuvent faire l’objet de la mise en place d’un fonds de concours sous réserve de délibérations concordantes des deux collectivités. Le plan de financement des travaux est précisé dans le bon de commande joint à la présente. Le montant du fonds de concours à mettre en place est plafonné à 75 % de la participation calculée sur le montant HT de l’opération subventions déduites et peut être inscrit en section d’investissement au compte n° 2041, « subvention d’équipement aux organismes publics ». Montant du fonds de concours : 101 157,19 € Les conditions de versement de la participation sont précisées dans le bon de commande signé des deux parties. Madame le Maire demande au conseil municipal :
Il est précisé que les montants portés sur cette délibération sont estimatifs et qu’un état précis des dépenses et recettes sera réalisé par le SYMIÉLECVAR en fin de chantier, qui servira de base au calcul de la participation définitive de la commune. Le solde de l’opération (25 % des travaux HT et la TVA) est financé sur le budget de la commune. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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16 - CONFIRMATION DE LA PARTICIPATION DE LA COLLECTIVITÉ AU GROUPEMENT DE COMMANDES LANCÉ PAR LE SYMIÉLECVAR EN TANT QUE COORDONNATEUR POUR L’ACHAT D’ÉLECTRICITÉ Vu le Code des marchés publics et notamment son article 8, Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, Madame le Maire rappelle à l’assemblée que la suppression des Tarifs de Vente Régulés est programmée pour les consommateurs finals domestiques et non domestiques ayant des locaux raccordés avec une puissance souscrite égale ou supérieure à 36 kVa (tarifs «jaune» et tarifs «vert») le 31 décembre 2015. Au 1er janvier 2016, les acheteurs soumis au Code des marchés publics ou à une procédure obligatoire de mise en concurrence, notamment les collectivités territoriales et les établissements publics, devront avoir signé un nouveau contrat en offre de marché avec un fournisseur de leur choix. À défaut, ils s’exposent à subir une interruption de service puisque leur contrat au tarif réglementé aura disparu et qu’ils n’auront dès lors plus de contrat de fourniture d’électricité. Dans ce cadre, le regroupement de ces pouvoirs adjudicateurs et entités adjudicatrices, acheteuses d’électricité, de fournitures et de services en matière d’efficacité énergétique, est un outil qui, non seulement, leur permet d’effectuer plus efficacement les opérations de mise en concurrence mais, également, assure une maîtrise de leur consommation d’énergie et renforce la protection de l’environnement dans le respect du développement durable. Dans ce contexte, le SYMIÉLECVAR a consulté l’ensemble des communes adhérentes en vue de connaître leurs intentions en la matière et si elles comptaient profiter de la mise en place d’un groupement de commandes d’achat d’électricité et services associés afin de permettre aux acheteurs soumis aux dispositions précitées de se mettre en conformité avec la loi, tout en optimisant la procédure de mise en concurrence. Afin de préparer la future convention de groupement qui impose que tous les membres soient signataires, il convient que la commune confirme son intention de participer. À la vue de la délibération favorable, le SYMIÉLECVAR intégrera la commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME comme membre du groupement. Une nouvelle délibération sera alors nécessaire pour accepter la convention de groupement définitive. En conséquence, Madame le Maire demande aux membres du Conseil municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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17 - DÉGRÈVEMENT FACTURES D’EAU/ 1er et 2ème semestre 2014 Le décret n°2012-1078 du 24 septembre 2012 relatif à la facturation en cas de fuites sur les canalisations d'eau potable après compteur définit les modalités de facturation de l'eau et de l'assainissement pour des locaux d'habitation en cas de fuites d'eau après le compteur. Les factures établies, à partir du relevé de compteur permettant de mesurer la consommation effective, peuvent donner lieu, de la part des abonnés des services d'eau et d'assainissement, sur justificatif, à une demande de plafonnement en cas de fuite de canalisation après compteur. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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18 - PARTICIPATION DE LA COMMUNE AUX FRAIS DE SÉJOUR DES COLONIES DE VACANCES DE L’ODEL VAR / ÉTÉ 2015 Madame le Maire donne connaissance au conseil municipal des nouveaux tarifs de séjour en colonies de vacances pour l’été 2015 selon tableau communiqué par l’ODEL VAR (joint en annexe). Concernant l’inscription des Saint-Maximinois, Madame le Maire propose de participer financièrement à ces frais de séjour à hauteur de 10 % du prix mentionné dans le tableau, comme les années précédentes. dit que les crédits seront inscrits au budget. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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19 - CONVENTION RELATIVE AU VERSEMENT D’UNE COMPENSATION TARIFAIRE PAR LA COMMUNE AU DÉPARTEMENT DANS LE CADRE DE L’UTILISATION DE LA LIGNE N° 4416 DU RÉSEAU VARLIB Madame le Maire rappelle que par délibération n°184 du 21 décembre 2011, la commune a signé une convention avec le département du Var, relative au versement d’une compensation tarifaire dans le cadre de l’utilisation de la ligne n° 4416 du réseau Varlib (ligne fonctionnant uniquement le mercredi). Ce service était accessible au tarif de 2 € par voyage soit 4 € aller/retour conformément à la tarification adoptée par l’assemblée départementale, la commune de St Maximin ayant souhaité appliquer une tarification plus avantageuse pour ses administrés, soit 0,50 € par voyage. Le département du Var a adressé un avenant à la première convention ayant pour objet de modifier le coût du tarif du billet unité du réseau Varlib, ce service étant depuis accessible au tarif de 3 € par voyage, soit 6 € aller/retour, conformément à la tarification adoptée par l’assemblée départementale Madame le Maire donne lecture de l’avenant de la convention joint en annexe, et demande au conseil municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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20 - OCTROI D’UNE PARTICIPATION FINANCIÈRE EXCEPTIONNELLE POUR UNE CLASSE DE DÉCOUVERTE / ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE PAUL BARLES Par délibération n° 33 du 10 mars 1999, le conseil municipal a décidé de subventionner les séjours en classes transplantées des enfants de Saint-Maximin d’âge scolaire élémentaire, à hauteur de 12,364 € par jour et par enfant, pour un séjour de 10 jours maximum. L’école Elémentaire Paul Barles a présenté un projet de séjour pour une classe de CE2, du 30 mars au 03 avril 2015 (5 jours), au Pradet, en partenariat avec la Ligue de l’enseignement. Le montant total du séjour s’élève à 7 988,00 € pour 28 élèves. Le budget dont dispose l’école Elémentaire Paul Barles s’élève à 6 622 €, soit une différence de 1 366 €. Le Directeur de l’école Elémentaire Paul Barles a donc fait une demande de subvention supplémentaire afin de pouvoir régler ce séjour. En conséquence, Madame le Maire propose d’octroyer à l’école Elémentaire Paul Barles une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 000 € en complément de la subvention autorisée par délibération n° 33 du 10 mars 1999. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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21 - AVENANT AU RÈGLEMENT INTÉRIEUR DES SERVICES MUNICIPAUX PÉRISCOLAIRES Madame le Maire expose au conseil municipal que des modifications doivent être apportées au règlement intérieur des services municipaux périscolaires, approuvé par la délibération n°131 du 16 juillet 2014. Les 2 modifications proposées concernent l’article 2 du chapitre « restauration scolaire » : « Modalités d’admission et de fréquentation ». Il s’agit tout d’abord, de détailler les modalités de demande d’achat d’un repas en dehors du délai maximum de 8 jours. Ensuite, d’élever la capacité maximale, souvent atteinte, du restaurant scolaire des écoles Grand Pin et Paul Verlaine grâce à un réaménagement des locaux réalisé en conformité avec les normes de sécurité. Cela permettra de pouvoir répondre à l’ensemble des demandes de repas de ces 2 écoles. RESTAURATION SCOLAIRE
En dehors des modalités d’admission et de fréquentation exposées ci-dessus et notamment en dehors du délai maximum de réservation de 8 jours avant la consommation, une demande de dérogation écrite doit être effectuée, adressée à l’attention de Madame Le Maire et accompagnée d’un justificatif (ex : attestation de l’employeur, justificatif d’hospitalisation…).
D – NOUVELLES ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRES
E – ACCUEIL DE LOISIRS « LES DRAGONNETS »
Madame le Maire demande au Conseil municipal d’approuver les modifications au règlement intérieur des services municipaux périscolaires. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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22 - SYNDICAT INTERCOMMUNAL VAROIS D’AIDE AUX ACHATS DIVERS (SIVAAD) Madame le Maire expose au conseil municipal que par délibération en date du 14 janvier 2015, le Comité Syndical du SIVAAD a accepté à la majorité la demande de retrait de la commune du Pradet, conformément aux dispositions de l’article 14 de ses statuts. Le Comité Syndical du SIVAAD a également accueilli à l’unanimité les demandes d’adhésion des communes de Carcès et de Montfort-sur-Argens. Conformément aux dispositions des articles L 5211-18 et L 5211-19 du Code Général des Collectivités Territoriales, il est nécessaire de soumettre ces demandes d’adhésion et de retrait au conseil municipal. En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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23 - APPEL À PROJETS 2015 DE L'AGENCE DE L'EAU RHÔNE MEDITERRANÉE ET CORSE Dans le cadre de son programme d’interventions « Sauvons l’eau », l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse soutient les économies d’eau dans un objectif de meilleure gestion de la ressource existante pour atteindre le bon état des eaux. L’agence peut soutenir les opérations d’économies d’eau dans le cadre d’appels à projets. Le plan national d’adaptation au changement climatique de 2011 accorde une part importante aux enjeux sur l’eau et prévoit 20 % d’économie d’eau sur les prélèvements d’ici 2020 (tous usages confondus). La lutte contre le gaspillage constitue également une des 4 mesures phares du Plan Bassin d’Adaptation au Changement Climatique (PBACC) 1, adopté le 28 mai 2014. Il prévoit d’agir prioritairement sur « l’augmentation de la performance des réseaux » et « l’équipement en dispositifs hydro économes ». De plus, le décret du 27 janvier 2012 pris en application de la loi Grenelle 2 crée une obligation de performance minimum des réseaux d’eau potable pour inciter les collectivités à mettre en œuvre une gestion patrimoniale de leurs réseaux d’eau. Il s’applique sur tout le territoire national, en zone prioritaire ou non. La nouvelle réglementation demande aux collectivités d’établir un inventaire de leur patrimoine réseaux (avant fin 2013) et de définir un plan d’actions d’amélioration lorsque le rendement du réseau est inférieur au seuil minimum fixé par le décret (85 % pour les collectivités urbaines et entre 65 et 80 % pour les collectivités rurales). Aujourd’hui, la redevance prélèvement de l’agence de l’eau peut être doublée pour les collectivités qui n’ont pas satisfait l’une de ces deux obligations. En 2012, un premier appel à projets sur le sujet a été fait par l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse : lutte contre les fuites des réseaux d’eau potable et économies d’eau dans les bâtiments publics. En 2015, l’agence de l’eau souhaite à nouveau accompagner les collectivités dans l’effort qu’elles doivent réaliser. C’est pourquoi elle lance cet appel à projets qui ouvre les aides aux opérations d’économies d’eau à tous les territoires des bassins Rhône Méditerranée et Corse. Anticipant depuis longtemps ces politiques de préservation d’une eau en qualité et en quantité pour les générations futures, la commune a également réalisé un diagnostic de son réseau d’adduction d’eau potable. Il s’agissait d’orienter la politique communale en regard des besoins actuels mais aussi en prospective des besoins futurs. Le bureau d’études CIEL en charge de l’élaboration du Schéma Directeur d’Alimentation en eau Potable a remis la synthèse de son travail en septembre 2007. Ce schéma a notamment permis :
Les premières recherches systématiques de fuites effectuées dans le cadre de ce schéma, avec vérification des gains après réparation, ont mis en évidence la fragilité du réseau et la difficulté à améliorer durablement le rendement. La seconde phase du schéma directeur a défini un programme de travaux avec :
La commune mène, par ailleurs, depuis 2009 deux campagnes annuelles de recherches de fuites. Ces campagnes de recherches systématiques de fuites ont permis :
Ø la définition d’un débit nocturne de 258,6 m3/h ;
Ø la définition d’un débit nocturne de 195,4 m3/h ;
Ø la définition d’un débit nocturne de 158,5 m3/h ;
Ces campagnes de fuites, qui se poursuivront en 2015 et 2016, ont permis de mettre en évidence les causes structurelles du mauvais rendement du réseau :
Afin d’améliorer la qualité de distribution du réseau, les élus ont fait le choix de la fiabilité. C’est ainsi qu’un moment envisagé, le 3ème forage sur le site de sceaux a été abandonné. Ce choix a permis de rééquilibrer géographiquement la distribution par la construction de l’unité de potabilisation sur le site du Deffends. Le bilan des actions évoquées ci-dessus est le suivant :
Ø la pression et le débit sont assurés à tout moment et en tout point du réseau ;
L’appel à projets 2012 lancé par l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse a permis de soutenir des actions contribuant à améliorer les performances du réseau de distribution d’eau potable et à la réduction des consommations :
Un programme travaux de 398 000,00 € avait pu être financé par cet appel à projet 2012 à hauteur de 50 %. Pour l’actuel appel à projets 2015, le programme de travaux est estimé à 920 000,00 € H.T. sur 2 ans. Il se décompose comme suit :
Le plan de financement prévisionnel de ce programme serait le suivant :
920 000 € H.T. Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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24 - LOGIS FAMILIAL VAROIS / PRÊT AVEC PRÊFINANCEMENT – DOUBLE REVISABILITÉ LIMITÉE / GARANTIE TOTALE Vu la demande formulée par le Logis Familial Varois afin d’obtenir la garantie de la ville pour les emprunts nécessaires au financement de la charge foncière et la construction de 22 logements sociaux à Saint-Maximin, chemin de Bonneval Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du code général des collectivités territoriales, Madame le Maire demande au Conseil municipal de se prononcer sur la garantie sollicitée par le Logis Familial Varois selon les conditions définies ci-après. Article 1 : la commune de Saint-Maximin accorde sa garantie pour le remboursement, aux conditions définies aux articles 2, 3, 4, 5 et 6 des emprunts d’un montant de 189 658 euros représentant la totalité des emprunts que le Logis Familial Varois se propose de contracter auprès de la caisse des dépôts et consignations Ces prêts sont destinés à financer la construction de 22 logements sociaux sur la commune de Saint-Maximin Article 2 : les caractéristiques des prêts PLA-I consentis par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes : 2-1 – Pour le prêt destiné à la charge foncière Montant du prêt PLA-I……………………………….. 28 973 € Double Révisabilité limitée (DRL)
2-2 – pour les prêts destinés à la construction Double révisabilité limitée (DRL)
Article 3 : la garantie de la commune de Saint-Maximin est accordée pour la durée totale, maximale des prêts : • et 12 mois de préfinancement maximum suivis d’une période de remboursement de 40 ans à hauteur de la somme de 160 685 euros, majorée des intérêts, commissions, frais et accessoires exigibles au titre du contrat de prêt, les intérêts courus pendant la période de préfinancement étant capitalisés au terme de cette période, pour les prêts destinés à la construction. Il est toutefois précisé que si la durée de préfinancement finalement retenue est inférieure à 12 mois, les intérêts courus pendant cette période seront exigibles à son terme. Article 4 : la garantie est apportée aux conditions suivantes : La garantie de la collectivité est accordée pour la durée totale des contrats de prêts, soit 50 ans pour les prêts destinés à la charge foncière et 40 ans pour les prêts destinés à la construction et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Logis Familial Varois, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité. Sur notification de l’impayé par lettre simple de la caisse des dépôts et consignations, la collectivité s’engage à se substituer à Logis Familial Varois pour son paiement, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Article 5 : le conseil s’engagera pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt. Article 6 : le conseil autorisera Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la caisse des dépôts et consignations et l’emprunteur. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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25 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler totalement le titre n° 697 du 08/09/2011, de la commune de Rougiers concernant la participation financière à l’Antenne de Justice pour une somme de 1 851,20 €, suite à la demande de la trésorerie qui nous informe que « la commune de Rougiers refuse de payer ce titre qui ne relève pas des dépenses obligatoires et demande l’annulation de ce titre » Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur 2011, son annulation revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits seront prévus au budget primitif 2015. Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation totale du titre n° 697 du 08/09/2011 pour une somme de 1 851,20 €. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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26 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler totalement le titre n°1044 du 21/10/2013, droit de place pour une somme de 11,00 € pour cause d’erreur de relevé. (L’établissement n’a pas de terrasse) Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation totale du titre n° 1044 du 21/10/2013 pour une somme de 11,00 €. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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27 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler totalement le titre n° 209 du 04/12/2014 pour une somme de 145,26 € pour erreur d’imputation. Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation totale du titre n° 209 du 04/12/2014 pour une somme de 145,26 €. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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28 - ANNULATION FACTURES EAU Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture d’eau du 2ème semestre 2014, au nom de M. SCHNEIDER François (appartement vendu), se décomposant comme suit :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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29 - ANNULATION FACTURES ASSAINISSEMENT Madame le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler les factures assainissement du 2ème semestre 2014, au nom de :
La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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30 - ADMISSION EN NON VALEUR La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état des charges exceptionnelles au 12 janvier 2015 (Etat joint) pour chèques sans provision soit un total de 91,20 €.
Pour pouvoir être validée en autres charges exceptionnelles sur opérations de gestion, ces sommes doivent être soumises au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable pour chèque sans provision est l’émission de mandats imputés au compte 6718 « autres charges exceptionnelles sur opération de gestion », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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31 - ADMISSION EN NON VALEUR La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le Maire l’état de produits irrécouvrables n°22/2014 (Etat joint) soit un total de 138,59 €. Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours. Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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32 - ADMISSION EN NON VALEUR La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le Maire l’état de produits irrécouvrables n°3/2014 (Etat joint) soit un total de 782,07€. Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours. Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |
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33 - ADMISSION EN NON VALEUR La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le Maire l’état de produits irrécouvrables n°2/2015 (Etat joint) soit un total de 1 082,60€. Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours. Madame le Maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées en pièces jointes. La délibération est votée à la majorité par 29 voix pour et 2 abstentions (Gilles Perez et Philippe Hrynda) |