Conseil Municipal du 1er octobre 2014
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Absents représentés : Latitia SILENZIANO (pouvoir à Christine DORGAL) - Clément DEIDDA (pouvoir à Jacques FREYNET) - Alain KANBELLE (pouvoir à Serge LANGLET) - Martine TISSIER (pouvoir Anne Marie LAMIA) - Hilda MARTINEZ (pouvoir à Mireille BOEUF) - Gilles PEREZ 'pouvoir à Philippe HRYNDA) Absente : Véronique ANDRIEU |
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Approbation du compte rendu du dernier conseil municipal. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Examen des décisions du Maire prises au cours du 3ème trimestre 2014 Alain DECANIS : Dans la décision n°34 on apprend que la pose et dépose des guirlandes de fin d’année va coûter à la commune 45 640 € HT, soit à peu près 55 000 € TTC. C’est quasiment le coût de 2.5 employés à l’année, cotisations patronales comprises… Il est important de fêter dignement la nouvelle année, mais tout de même ! Dans le contexte économique difficile que nous connaissons, où on se plaint de la baisse des dotations, où on recherche un peu partout des économies de fonctionnement, est-ce bien raisonnable ? Christine DORGAL : Nous n'avons pas de nacelle. Alors on sous-traite. |
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138 – ABROGATION DE LA DELIBERATION N° 117 du 16 juillet 2014 Par délibération N°117 en date du 16 juillet 2014, le Conseil municipal a voté la réactualisation des droits d’occupation du domaine public. Par recours gracieux datée du 24 juillet 2014, le Syndicat des commerçants des Marchés de France-Var a formé un recours contestant la légalité de la délibération précitée sur le fondement de l’article L.2224-18 du code des Collectivités Territoriales compte tenu de l’absence de concertation préalable. Afin de pouvoir entendre utilement les organisations professionnelles intéressées, il convient d’abroger, dans l’attente de l’avis de ces dernières, la délibération N°117 en date du 16 juillet 2014. Considérant qu’il incombe au Conseil municipal de décider de l’abrogation de la délibération N°117 en date du 16 juillet 2014 : Madame le Maire demande au conseil municipal : ARTICLE 1 : d’abroger la délibération N°117 en date du 16 juillet 2014. article 2 : de l’AUTORISER à prendre toutes les mesures nécessaires à l’exécution de la présente délibération. Article 3 : La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Article 4 : Le Président et le Directeur Général des Services/Secrétaire de Mairie seront chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution de la présente décision. Philippe HRYNDA : Cela devient une habitude chez vous d'annuler des délibérations après un recours. Nous sommes d'autant plus étonnés que vous avez tout au long de la campagne électorale, mis en avant votre compétence, et votre expérience... La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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139 - RAPPORT D'ACTIVITE ANNUEL DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES STE BAUME MONT AURELIEN L’examen de ce document doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prend acte de cette démarche. Madame le Maire demande au conseil municipal de bien vouloir prendre acte du rapport d’activité annuel 2013. Le conseil municipal a pris acte. |
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140 - RAPPORT D'ACTIVITE ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE D'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES STE BAUME MONT AURELIEN Conformément à l’article L 5211-39 du Code Général des Collectivités Territoriales, le président de l’établissement public de coopération intercommunale adresse chaque année au maire de chaque commune membre un rapport retraçant l’activité de l’établissement. L’examen de ce document doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prend acte de cette démarche. Madame le Maire demande au conseil municipal de bien vouloir prendre acte du rapport annuel 2013 sur le prix et la qualité du service d’assainissement non collectif (SPANC). Le conseil municipal a pris acte. |
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141 - RAPPORT D'ACTIVITE ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE D'ELIMINATION DES DECHETS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES STE BAUME MONT AURELIEN Conformément à l’article L 5211-39 du Code Général des Collectivités Territoriales, le président de l’établissement public de coopération intercommunale adresse chaque année au maire de chaque commune membre un rapport retraçant l’activité de l’établissement. L’examen de ce document doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prend acte de cette démarche. Madame le Maire demande au conseil municipal de bien vouloir prendre acte du rapport annuel 2013 sur le prix et la qualité du service d’élimination des déchets. Le conseil municipal a pris acte. |
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142 - RAPPORT ANNUEL 2013 DE L'ASSOCIATION "LA MAISON DE L'ENFANCE" DELEGATAIRE DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES STE BAUME MONT AURELIEN Conformément à l’article L 5211-39 du Code Général des Collectivités Territoriales, le président de l’établissement public de coopération intercommunale adresse chaque année au maire de chaque commune membre un rapport retraçant l’activité de l’établissement. L’examen de ce document doit être mis à l’ordre du jour du conseil municipal qui prend acte de cette démarche. Madame le Maire demande au conseil municipal de bien vouloir prendre acte du rapport annuel 2013 de l’association « la Maison de l’enfance ». Le conseil municipal a pris acte. |
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143 - 2ème APPEL DE COTISATION 2014 DE L'ASSOCIATION DES MAIRES DU VAR
En raison de difficultés financières de l’AMV, un nouveau barème a été établi et un 2ème appel de cotisation mieux adapté nous a été adressé par l’association.
La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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144 - COMITE TECHNIQUE
Après avis favorable du comité technique paritaire recueilli en date du 22 septembre 2014,
Christine DORGAL : Nous ne voulons pas conformément à l'esprit des nouveaux textes, supprimer le paritarisme. Nous voulons au contraire le conserver. Joëlle SILVY : Le Comité technique est une instance de concertation chargée d’examiner les questions relatives à l’organisation et au fonctionnement des services. Une instance représentative de tous les personnels. Les principales modifications portent surtout :
Il me semble que les 6 mois étaient hier le 30 septembre 2014. Bien que toutes ces modifications soient une avancée importante pour les représentants du personnel, l’actuel CTP a donné un avis favorable aux propositions de Mme le Maire remettant la parité (collectivité et personnel) ainsi que de recueillir l’avis du collège des représentants de la collectivité. Alain DECANIS : Dans votre grand souci d'équité, prévoyez vous la représentation des élus minoritaires dans cette structure , Christine DORGAL : Non, il y en aura 5, tous issus de la majorité. La délibération est adoptée par 26 voix "pour" et 6 abstentions (Blandine GOMART-JACQUET, Marie Pierre DELHOMELLE, Joëlle SILVY, Pascal SIMONETTI, Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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145 - ACQUISITION DE TERRAINS SITUES SUR LA CARRIERE MILESI – QUARTIER LES BATAILLOLES Madame le Maire rappelle que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Par déclaration d’intention d’aliéner (DIA) en date du 20 mai 2014 transmise par maître SEVRIN, notaire à Saint–Maximin, enregistrée sous le n° 83 116 14 I O111, la Commune a été informée de la mise en vente au prix de 40 000 € des parcelles BN 64 (2 315 m²), BN 67 (1 965 m²), E 73 (6 537 m²) et E 74 (12 110 m²), appartenant à Madame MASSON Martine veuve MILESI et Monsieur Antoine MILESI, site d’une ancienne carrière au chemin des Batailloles. La parcelle BN 64 se trouve à cheval sur la zone UD du plan d’Occupation des Sols, pour 2061 m², soumise au droit de préemption urbain, et sa partie résiduelle de 254 m² ainsi que les parcelles BN 67, E 73 et E 74, en zone II NC réservée à l’exploitation de carrière. Dans le projet de Plan Local d’urbanisme arrêté le 25 novembre 2013, la parcelle BN 64 conserve 2061 m² en zone UD, tandis que sa partie résiduelle de 254 m² et les parcelles BN 67, E 73 et E 74 sont classées en zone Nl, correspondant à un secteur de taille et de capacité d’accueil limitées (STECAL) à vocation de loisir au sein de la zone N (naturelle à protéger). Afin de pouvoir concrétiser ce projet, Madame le Maire a exercé le droit de préemption au nom de la Commune en date du 18 juillet 2014, sur la partie de la parcelle BN 64 de 2061 m² située en zone UD, conformément à la délégation qui lui a été attribuée par délibérations du Conseil municipal n° 45 en date du 16 avril 2014 et n° 108 du 16 juillet 2014, au prix de 31 862,26 € . Les consorts MILESI ont donné leur accord par courrier du 11 août 2014, sous réserve expresse que la Commune se porte également acquéreur de la partie résiduelle de la parcelle BN 64 pour 254 m², de même que des parcelles BN 67, E 73 et E 74, et que le montant total de la transaction (préemption plus acquisition amiable), corresponde au prix indiqué dans la DIA, soit 40 000 €. Le service France Domaine, dans l’avis n° 2014-116V1134 du 17 juillet 2014, complété par l’avis n° 2014-116V1625 du 22 septembre 2014, a respectivement estimé la valeur vénale de la parcelle BN 67 à 766,35 € arrondie à 800 €, E 73 à 2 549,43 € arrondie à 2 500 €, E74 à 4 722,90 € arrondie à 4 700 €, et les 254 m² de la parcelle BN 64 situés en zone IINC à 100 €, soit un montant total arrondi de 8 100 €.
Alain DECANIS : Aménager des aires de sport et de loisir est nécessaire. La commune en manque cruellement, surtout pour les enfants dans le centre-ville. Mais acheter une ancienne carrière 40 000 €, en pleine colline pour y aménager une aire de jeux, ne nous parait pas très opportun. Cette aire risque de subir le même sort que le parcours sportif du Défends dont l’aménagement avait coûté une fortune, et qui aujourd’hui est complètement à l’abandon. Il faudrait mieux consacrer ces 40 000 € à l'aménagement du complexe présenté pendant la campagne électorale autour d'une piscine couverte. Philippe HRYNDA : Je rejoins Monsieur DECANIS sur la nécessité de créer une aire de jeu dans le village et pas dans la colline. La délibération est adoptée par 25 voix "pour" et 7 vois "contre" (Alain DECANIS, Blandine GOMART-JACQUET, Marie Pierre DELHOMELLE, Joëlle SILVY, Pascal SIMONETTI, Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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147 - ACQUISITION DE LA PARCELLE BH 194 – QUARTIER BONNEVAL Madame le Maire rappelle d’une part que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. Or, par courrier du 28 avril 2014, un propriétaire proposait de vendre à la Commune la parcelle cadastrée BH 194 d’une superficie de 3 625 m², sise au quartier Bonneval. Ce terrain est classé en zone III NAd du Plan d’Occupation des Sols, destinée à recevoir des activités industrielles de production et de recherche, industrielles et artisanales de production vente, des bâtiments de stockage liés à la production ainsi que des services aux entreprises. Dans le projet de Plan Local d’Urbanisme arrêté le 25 novembre 2014, cette parcelle figure en zone 2AU, et correspond au secteur de Bonneval, destiné à être ouvert à l’urbanisation à moyen terme dans le cadre d’un projet d’éco-quartier à vocation mixte (habitat, équipements, commerces). La maîtrise foncière des terrains de ce secteur par la Commune favorisera la réalisation de ce projet. C’est la raison pour laquelle plusieurs acquisitions ont déjà été réalisées au prix de 10 € le m². Par courrier en date du 10 juillet 2014, le propriétaire donnait son accord sur un prix d’acquisition de 36 250 €, soit 10 € le m² conformément aux précédentes acquisitions dans ce quartier, et à l’avis de France Domaine. Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
Alain DECANIS : Comme nous l’avions souligné dans le précédent mandat, nous voulons bien voter l’acquisition de terrains, à condition que l’on nous dise précisément pourquoi on les achète. Aménager un éco-quartier composé d’habitat et de commerces comme indiqué dans la délibération ne nous parait pas être aujourd’hui une priorité pour la commune. Nous préférerions que ces montants soient consacrés pour démarrer le projet de complexe sportif dont on n’entend plus du tout parler. Christine DORGAL : Il est important pour une commune d'avoir des réserves foncières. Heureusement que par le passé nous avons acheté le terrain pour édifier le pôle culturel, l'école Victor Hugo, le lycée Janetti ou le parking des Cerisiers. Alain DECANIS : Vous vous trompez de dates, les projets d'acquisition de la Sica Racine et du parking Cabasson avaient été présentées au conseil municipal sous la municipalité Ginot, et dans les deux cas on avait présenté le projet que l'on souhaitait réaliser avant d'acheter. Horace LANFRANCHI : Votre mémoire est défaillante, c'est moi qui ai décidé d'acheter tout ça. Nous avons toujours anticipé. Vous pourrez regarder les actes. Alain DECANIS : La passation des actes peut être mais pour les projets, ils ont été présentés bien avant. J'irai d'ailleurs rechercher tout ça dans les archives. Blandine GOMART-JACQUET : Vous avez anticipé pour acheter le terrain sur lequel a été construit l'école Victor Hugo, mais pas pour l'achat d'un parking. L'école n'en a aucun, et cela n'est pas aujourd'hui sans poser problème aux parents. Christine DORGAL : Il y a beaucoup de communes où les écoles en centre-ville n'ont pas de parking. La délibération est adoptée par 25 voix "pour" et 7 abstentions (Alain DECANIS, Blandine GOMART-JACQUET, Marie Pierre DELHOMELLE, Joëlle SILVY, Pascal SIMONETTI, Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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148 - ACQUISITION DE LA PARCELLE AT 12 – BOIS DU CHEMIN D’AIX, BIEN VACANT SANS MAÎTRE Madame le Maire rappelle que la modification du patrimoine communal est de la responsabilité du Conseil Municipal. En outre, Madame le Maire expose la règlementation des « biens vacants sans maître ». Or, la Communauté de Communes Sainte – Baume – Mont Aurélien demande à la Commune de lancer une procédure de « bien vacant sans maître » pour la parcelle AT 12, d’une superficie de 6 195 m², sise Bois du Chemin d’Aix, classée en zone 4NA du plan d’Occupation des Sols destinée à accueillir un projet communautaire de zone d’activités économiques. En effet, les recherches effectuées prouvent que le propriétaire de ce terrain, monsieur Dominique Marius Louis DROGNON, célibataire, est décédé depuis plus de trente ans, précisément le 15 janvier 1964, à l’Hospice de Toulon, sans héritier. Par conséquent, la parcelle AT 12, sise dans le périmètre du projet communautaire de parc d’activité du Mont Aurélien peut revenir à la commune si cette dernière ne renonce pas à ce droit. Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir:
La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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149 - ACQUISITION DE LA PARCELLE AN 375 – ÎLOT GAMBETTA, DANS LE CADRE DE LA RESORPTION DE L’HABITAT INSALUBRE Madame le Maire rappelle qu’en séances des 22 avril 2009 et 25 mai 2011, le conseil municipal a approuvé la mise en œuvre d’une Opération de Résorption de l’Habitat Insalubre (R.H.I) qui vise à requalifier durablement l’habitat en centre ancien dans une démarche de renouvellement urbain. Une étude opérationnelle a été diligentée. La commission nationale pour la lutte contre l’habitat indigne de l’ANAH a validé en date du 08 décembre 2011 le projet sur l’ilot Gambetta (parcelles AN 375 et AN 376). L’immeuble cadastré AN 376 sis 18, rue Gambetta, déclaré insalubre irrémédiable par arrêté préfectoral n° 201026 en date du 08 juillet 2010, a été acquis amiablement par la ville en date du 24 janvier 2014. Le prix retenu est conforme à l’estimation du bien par le Service France Domaine référencé 2014-116V1113 en date du 03 juillet 2014. Il est à noter que ces dépenses d’acquisition seront financées en grande partie par l’ANAH dans le cadre du déficit de l’opération. Madame le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir :
Alain DECANIS : Continuer à multiplier les logements sociaux dans le centre-ancien ne nous parait pas être une bonne idée. Cela va complètement à l’encontre du principe de mixité sociale. Cependant, compte tenu de la nécessité de restaurer cet îlot, rue Gambetta, qui se trouve particulièrement en mauvais état, nous voterons pour cette acquisition. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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150 - DENOMINATION DE VOIES
Il s’agit, dans cette délibération, de confirmer des dénominations de voies publiques puisque la dénomination des voiries communales est de la compétence du conseil municipal. L’objectif poursuivi est de mettre à jour le tableau de classement des voies de la commune ainsi que la numérotation des voies par arrêté municipal afin de transmettre ces données à nos partenaires (DGFIP, INSEE, La Poste, SDIS…) par l’intermédiaire du CRIGE PACA. Pour permettre de communiquer ces informations, Madame le Maire propose :
La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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151 - DEMANDE DE SUBVENTION A L'OFFICE NATIONAL DES ANCIENS COMBATTANTS POUR FINANCER UNE PARTIE DES TRAVAUX DES ABORDS DU MONUMENT AUX MORTS L’année 2014 manque le début des commémorations de la guerre de 1914-1918 que la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume souhaite célébrer au travers d’un ensemble de manifestations, ainsi que par la mise en valeur du Monument aux Morts situé sur la Place de la Victoire. Madame le Maire rappelle que la maitrise d’œuvre de la requalification de la Place de la Victoire a été confiée à OPSIA MEDITERRANEE et que le montant total de l’opération est estimé à 500 000€ H.T. Dans le cadre du PAS (Politiques d’Aménagement Solidaire), le Conseil Régional PACA a accordé une subvention de 199 000,00€. Le Conseil Général du Var apporterait une subvention de 150 000,00€ représentant 30% du montant H.T de cette opération. L’ONAC (L’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre) apporterait une subvention de 1600,00€ représentant 0,32% du montant H.T. de cette opération. Le plan de financement serait donc : - Conseil Régional PACA 39,8% 199 000,00€ Il est donc demandé au conseil municipal :
Alain DECANIS : Serait-il possible de nous réunir pour nous présenter l'aménagement envisagé. Christine DORGAL : Oui, mais les travaux commencent le 11 novembre. Alain DECANIS : J'espère que vous nous réunirez avant que les travaux ne soient terminés. Philippe HRYNDA : Vous nous demandez de voter sans même nous indiquer le contenu du projet. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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152 - SYMIELEC Vu l’article 18 de la loi de finances rectificative du 08/08/2014, venu modifier l’article L 5212-24 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT) Vu l’article L 5212-24 du CGCT Vu la délibération du Comité Syndicat du SYMIELECVAR du 17 mars 2014 fixant le taux de reversement de la TCCFE par le syndicat à 50 % Vu la délibération du bureau du SYMIELECVAR du 04 septembre 2014 fixant les nouvelles modalités de reversement Vu la délibération de la commune en date du 16 juillet 2014 fixant le taux de reversement par le SYMIELECVAR à 50 % Madame le Maire expose à l’assemblée
En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
Christine DORGAL : avec toutes ces tergiversations, l'Etat nous oblige à annueler et à reprendre des délibérations. Ce qui fait perdre beaucoup de temps. Alain DECANIS : C'est un peu comme vous avec la délibération sur le marché hebdomadaire... La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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153 - ADHESION DE LA COMMUNE DU MUY AU SYMIELECVAR Conformément à l’article L 5211-18 du Code Général des Collectivités Territoriales et la loi n° 2004-809 du 13 août 2004, les collectivités adhérentes doivent entériner cette nouvelle demande. En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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154 - RAPPORT D'ACTIVITE 2013 DE LA SOCIETE PUBLIQUE LOCALE « ID 83 » Madame le Maire rappelle au conseil municipal la délibération n° 108 en date du 20 juillet 2011 par laquelle le conseil municipal a adhéré à la Société Publique Locale « Ingénierie Départementale 83. Les collectivités territoriales actionnaires de la Société Publique Locale doivent exercer un contrôle. A cet effet, un rapport d’activités pour l’année 2013 a donc été établi. Madame le Maire demande donc au conseil municipal de prendre acte du rapport d’activités 2013 de la Société Publique Locale « ID 83 ». La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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155 - OCTROI SUBVENTION EXCEPTIONNELLE
Jeune judokate Saint-Maximinoise est cette année vice- championne de France par équipe juniors. Elle a été troisième aux championnats d’Europe universitaire et 3ème aux championnats de France juniors. Elle est également ceinture noire 1er Dan et a le statut Sportif de Haut Niveau du Ministère des Sports.
Jeune karatéka Saint-Maximinoise est devenue en 2014, championne de France universitaire, championne de France senior et vice- championne du Monde universitaire. Elle a, elle aussi, le statut Sportif de Haut Niveau du Ministère des Sports.
Est un jeune pentathlète Saint-Maximinois qui a le statut Sportif de Haut Niveau du Ministère des Sports. Cette année, il a été champion de France junior par équipe et champion d’Europe par équipe à Saint-Pétersbourg. Afin qu’ils puissent continuer à évoluer et progresser dans leur discipline, ces jeunes athlètes auraient besoin d’une aide financière de la commune. En conséquence, Madame le Maire propose d’octroyer à chaque athlète une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 000 € afin de les accompagner dans leurs divers déplacements. Ce sera ainsi l’occasion de faire briller les couleurs de St Maximin en France et à l’étranger. Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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156 - VERSEMENT D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE AU JUDO CLUB DE SAINT MAXIMIN Madame le Maire informe le conseil municipal que l’association « Judo club St Maximin » a souhaité récompenser 4 jeunes judokas en les faisant participer à des stages de haut niveau. Le coût du stage, effectué du 19 au 26 juillet 2014, auquel ont participé les 4 judokas, encadrés par un éducateur diplômé d’Etat, s’élève à 760 €. L’association « judo club St Maximin » demande une subvention exceptionnelle pour récompenser ces jeunes sportifs en devenir. Madame le Maire propose donc le versement d’une subvention exceptionnelle de 400 € à l’association « Judo Club St Maximin ». La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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157 - CONVENTION AVEC LE SYNDICAT INTERCOMMUNAL VAROIS D’AIDE AUX ACHATS DIVERS (SIVAAD) Le Groupement des Collectivités Territoriales du Var arrivant à son terme, il est nécessaire de le reconstituer pour la durée du mandat électoral, afin de poursuivre les objectifs de rationalisation et d’optimisation de l’achat public qui lui ont été confiés. En conséquence, Madame le Maire demande au conseil municipal :
La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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158 - DEMANDE DE FONDS D’AMORCAGE POUR L'ORGANISATION DES RYTHMES SCOLAIRES – RENTREE 2014 Conformément aux engagements gouvernementaux, l’article 125 de la loi de finances pour 2014 a prorogé les aides du fonds d’amorçage pour la réforme des rythmes scolaires pour l’année 2014-2015. Toute commune peut bénéficier de ces aides, soit 50€ par élève si l’organisation des enseignements dans les écoles publiques de son territoire répond aux dispositions de l’article D.621-10 du code de l’Education ou aux dérogations prévues au 2ème alinéa de l’article D.621-12 du même code mais également si une partie ou la totalité de ces écoles est autorisée à mettre en œuvre des adaptations des organisations scolaires en application du décret n° 2014-457 du 7 mai 2014. La commune de Saint-Maximin la Sainte Baume répondant à ces dispositions, souhaite bénéficier de l’attribution de ce fonds d’amorçage pour l’année 2014-2015. Madame le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à signer le formulaire de demande d’aide du fonds d’amorçage pour la réforme des rythmes scolaires pour l’année 2014-2015. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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159 - ABROGATION DES STATUTS DE LA REGIE DE L’EAU ET ADOPTION DES NOUVEAUX STATUTS Par délibération en date du 15 décembre 2010, le Conseil municipal a créé, à la demande de Monsieur le Préfet du Var, une régie pour la gestion du service public de l’eau dotée de la seule autonomie financière. En outre, la délibération a fixé et approuvé les statuts de la régie et a désigné les membres du Conseil d’exploitation de la régie. Lesdits statuts étant incomplets et non conformes au droit applicable, il conviendra de les abroger ainsi que de fixer et approuver les nouveaux statuts de la régie. Considérant qu’il incombe au conseil municipal de décider de l’abrogation et de l’adoption des nouveaux statuts et de déterminer les conditions du remboursement des sommes mises à sa disposition. Madame le Maire demande au conseil municipal ARTICLE 1 : D’ABROGER les statuts adoptés par la délibération du 15 décembre 2010. Article 2 : DE FIXER ET APPROUVER les statuts de la régie reproduits ci-dessous. article 3 : DE L’AUTORISER à prendre toutes les mesures nécessaires à l’exécution de la présente délibération. Article 4 : La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par le représentant de l’Etat. Article 5 : Le Président et le Directeur Général des Services/Secrétaire de Mairie seront chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution de la présente décision. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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STATUTS DE LA REGIE DE L’EAU DE LA COMMUNE DE SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME Adoptés par délibération du Conseil Municipal de la commune de SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME le XXX TITRE 1ER : CREATION ET OBJET DE LA REGIE DE L’EAU ARTICLE 1ER : la régie de l’Eau de la Commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME est principalement chargée de l’exploitation de la distribution publique de l’eau potable sur le territoire de la Commune. ARTICLE 2 : la régie de l’Eau de la Commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME est organisée sous la forme d’une régie dotée de la seule autonomie financière conformément aux articles L. 2221-11 à L. 2221-14, R. 2221-1 à R. 2221-17 et R. 2221-63 à R. 2221-94 du code général des collectivités territoriales. Les dispositions de ces articles sont complétées par celles des présents statuts. TITRE 2 : ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET FONCTIONNEMENT DE LA REGIE Chapitre 1 : DISPOSITIONS GENERALES ARTICLE 3 : La régie dotée de la seule autonomie financière est administrée, sous l’autorité du maire et du conseil municipal, par un conseil d’exploitation et son président ainsi qu’un directeur. ARTICLE 4 : Le maire est le représentant légal d'une régie dotée de la seule autonomie financière et il en est l'ordonnateur. Chapitre 2 : LE CONSEIL D’EXPLOITATION SECTION 1 : LES MEMBRES ARTICLE 5 : Le Conseil d’exploitation est composé de 7 membres : 6 membres choisis au sein du conseil municipal et une personnalité qualifiée. ARTICLE 6 : Les membres du conseil d'exploitation sont désignés par le conseil municipal, sur proposition du maire. Il est mis fin à leurs fonctions dans les mêmes formes. ARTICLE 7 : Les membres du conseil d'exploitation ne peuvent : En cas d'infraction à ces interdictions, l'intéressé est déchu de son mandat soit par le conseil d'exploitation à la diligence de son président, soit par le préfet agissant de sa propre initiative ou sur proposition du maire. ARTICLE 8 : les membres du conseil d’exploitation sont choisis parmi les personnes qui ont acquis une compétence spéciale en matière d’exploitation de l’eau, cette compétence pouvant résulter notamment de l’expérience des affaires ou de l’administration, de la profession exercée, des études faites. ARTICLE 9 : Les membres du conseil d'exploitation doivent jouir de leurs droits civils et politiques. ARTICLE 10 : Les représentants de la commune doivent détenir la majorité des sièges du conseil d'exploitation. ARTICLE 11 : Les membres du conseil d’exploitation sont nommés pour la durée du mandat municipal par le Conseil municipal. Le mandat des membres du conseil peut être renouvelé. En cas de démission ou de décès, il est procédé, dans le plus bref délai, au remplacement du membre démissionnaire ou décédé et le nouveau membre exerce son mandat pour une durée égale à celle qui restait à courir pour le membre remplacé. Le conseil d’exploitation est renouvelé en totalité au début de chaque mandat du conseil municipal. ARTICLE 12 : Le conseil d'exploitation élit, en son sein, son président et un ou plusieurs vice-présidents. ARTICLE 13 : Les fonctions de membre du conseil d'exploitation sont gratuites. Toutefois, les frais de déplacement engagés par les administrateurs pour se rendre aux réunions du conseil d'exploitation peuvent être remboursés, sur justificatifs, dans les conditions définies par les articles 9, 10 et 31 du décret no 90-437 du 28 mai 1990 fixant les conditions et les modalités de règlement des frais occasionnés par les déplacements des personnels civils sur le territoire métropolitain de la France lorsqu'ils sont à la charge des budgets de l'Etat, des établissements publics nationaux à caractère administratif et de certains organismes subventionnés. SECTION 2 : LE FONCTIONNEMENT ARTICLE 14 : Le conseil d'exploitation se réunit au moins tous les trois mois sur convocation de son président. Il est en outre réuni chaque fois que le président le juge utile, ou sur la demande du préfet ou de la majorité de ses membres. L’ordre du jour est arrêté par le président. Les séances du conseil d'exploitation ne sont pas publiques. ARTICLE 15 : La convocation du Conseil d’exploitation, faite sous le contrôle de son Président, indique les questions portées à l’ordre du jour. Elle est adressée par écrit et à domicile trois jours francs avant la date de réunion. En cas d’urgence, ce délai peut être abrégé par décision de son Président sans toutefois être inférieur à un jour franc. ARTICLE 16 : le conseil d’exploitation ne peut valablement délibérer que lorsque la moitié des membres en exercice assiste à la séance. Quand, après la première convocation, le conseil ne s’est pas réuni en nombre suffisant, les délibérations, prises par le Conseil après une deuxième convocation, seront valables quel que soit le nombre des membres présents. ARTICLE 17 : Les délibérations sont prises à la majorité absolue des membres présents. En cas de partage égal des voix, celle du président est prépondérante. Le directeur assiste aux séances avec voix consultative sauf lorsqu'il est personnellement concerné par l'affaire en discussion. ARTICLE 18 : Le conseil d’exploitation désigne en son sein, un secrétaire qui signe le procès verbal de séance. Les avis sont inscrits par ordre de dates sur un registre coté et paraphé par son Président ou par un membre du Conseil habilité à cet effet par le Président. ARTICLE 19 : Le conseil d'exploitation délibère sur les catégories d'affaires pour lesquelles le conseil municipal ne s'est pas réservé le pouvoir de décision ou pour lesquelles ce pouvoir n'est pas attribué à une autre autorité par les statuts. ARTICLE 20 : Le conseil municipal, après avis du conseil d'exploitation et dans les conditions prévues par les statuts : ARTICLE 21 : Les corps d'inspection habilités à procéder aux vérifications prévues par l'article L. 2221-6 sont l'inspection générale de l'administration, l'inspection générale des finances et l'inspection générale des affaires sociales avec le concours, le cas échéant, des inspections ministérielles intéressées. Chapitre 3 : LE DIRECTEUR ARTICLE 22 : Le Maire nomme le directeur dans les conditions prévues à l'article L. 2221-14. Il met fin à ses fonctions dans les mêmes formes. ARTICLE 23 : Les fonctions de directeur sont incompatibles avec un mandat de sénateur, député, représentant au Parlement européen. Elles sont également incompatibles avec un mandat de conseiller à l'Assemblée de Corse, conseiller régional, conseiller général, conseiller municipal, conseiller de Paris ou conseiller d'arrondissement détenu dans la ou les collectivités intéressées ou dans une circonscription incluant cette ou ces collectivités. ARTICLE 24 : Le directeur assure le fonctionnement des services de la régie. A cet effet : Le Directeur peut, sous la surveillance et la responsabilité du Président, recevoir en toutes matières intéressant le fonctionnement de la Régie de l’eau, délégation de signature de celui-ci. ARTICLE 25 : Le directeur nomme et révoque les agents et employés de la régie, sous réserve des dispositions des statuts. Chapitre 4 : LE COMPTABLE ARTICLE 26 : Les fonctions de comptable de la régie sont remplies par le comptable de la commune. ARTICLE 27 : L'agent qui remplit les fonctions d'agent comptable est nommé par le préfet sur proposition du maire. ARTICLE 28 : L'agent comptable est soumis à la surveillance du trésorier-payeur général ou du receveur des finances, ainsi qu'au contrôle de l'inspection générale des finances. ARTICLE 29 : Les comptes de l'agent comptable sont rendus dans les mêmes formes et délais et jugés dans les mêmes conditions que ceux du comptable de la commune. TITRE 3 : REGIME FINANCIER Chapitre 1 : DISPOSITIONS GENERALES ARTICLE 30 : Les règles de la comptabilité communale sont applicables aux régies dotées de la seule autonomie financière, chargées de l'exploitation d'un service public à caractère industriel et commercial, sous réserve des dérogations prévues au présent paragraphe. ARTICLE 31 : La comptabilité des régies est tenue dans les conditions définies par un plan comptable conforme au plan comptable général. Ce plan comptable est arrêté par le ministre chargé des collectivités locales et le ministre chargé du budget, après avis du Conseil national de la comptabilité. Des plans comptables particuliers à certaines activités peuvent être définis selon la même procédure. La définition des chapitres et articles des crédits budgétaires est fixée par arrêté conjoint du ministre chargé des collectivités locales et du ministre chargé du budget. Des instructions conjointes du ministre chargé des collectivités locales et du ministre chargé du budget fixent les principes comptables, les règles de fonctionnement des comptes ainsi que la liste et la contexture des documents budgétaires et comptables à tenir par l'ordonnateur et le comptable. ARTICLE 32 : La comptabilité des matières, qui a pour objet la description des existants et des mouvements concernant les stocks et les biens meubles, est tenue sous la responsabilité du directeur de la régie. ARTICLE 33 : Lorsque le fonctionnement du service nécessite l'affectation d'immeubles appartenant à la commune, le loyer de ces immeubles, fixé par le conseil municipal suivant leur valeur locative réelle, est porté en dépense au budget de la régie et en recette au budget de la commune. ARTICLE 34 : Le montant des rémunérations du personnel communal mis à la disposition de la régie est remboursé à la commune. Il est porté en dépense au budget de la régie et en recette au budget de la commune. ARTICLE 35 : Les dotations aux amortissements et aux provisions sont liquidées selon les dispositions et les durées d'usage applicables aux entreprises commerciales du même secteur d'activité. L'amortissement porte sur les biens meubles autres que les collections et oeuvres d'art, les immeubles à l'exception des terrains non productifs de revenus et les immobilisations incorporelles. Les immobilisations peuvent être réévaluées selon les dispositions applicables aux entreprises commerciales. Chapitre 2 : LE BUDGET ARTICLE 36 : Le budget est exécutoire dans les mêmes conditions que le budget de la commune. Il peut être modifié dans les mêmes formes. ARTICLE 37 : Lors de la présentation du budget, le maire fournit à l'appui de ses propositions un exemplaire du dernier compte financier ainsi qu'un rapport faisant ressortir la situation financière et économique de la régie. ARTICLE 38 : Le budget est présenté en deux sections :
ARTICLE 39 : La section d'exploitation ou compte de résultat prévisionnel fait apparaître successivement :
ARTICLE 40 : Les recettes de la section d'investissement comprennent notamment : ARTICLE 41 : Les dépenses de la section d'investissement comprennent notamment : ARTICLE 42 : Les crédits budgétaires de la section d'exploitation du budget non engagés à la clôture de l'exercice ne peuvent être reportés au budget de l'exercice suivant. Les dépenses de la section d'exploitation régulièrement engagées, non mandatées, et pour lesquelles il y a eu service fait au 31 décembre calendaire, sont notifiées par le directeur au comptable et rattachées au résultat de l'exercice qui s'achève. Les crédits budgétaires de la section d'investissement du budget régulièrement engagés et correspondant à des dépenses non mandatées, pour lesquelles il y a eu service fait au 31 décembre calendaire, sont notifiés par le directeur au comptable et reportés au budget de l'exercice suivant. ARTICLE 43 : Le conseil municipal délibère sur l'affectation du résultat comptable de la section d'exploitation du budget selon les modalités suivantes : I. - L'excédent comptable est affecté : Chapitre 3 : COMPTE DE FIN D'EXERCICE ARTICLE 44 : Un inventaire, dont les résultats sont produits au juge des comptes à l'appui du compte financier, est dressé en fin d'exercice conformément aux principes du plan comptable général. ARTICLE 45 : A la fin de chaque exercice et après inventaire, le comptable prépare le compte financier. ARTICLE 46 : Le compte financier comprend : ARTICLE 47 : Indépendamment des comptes, un relevé provisoire des résultats de l'exploitation est arrêté tous les six mois par le directeur, soumis pour avis au conseil d'exploitation, et présenté par le maire au conseil municipal. Lorsqu'il résulte de ce relevé que l'exploitation est en déficit, le conseil municipal est immédiatement invité par le maire à prendre les mesures nécessaires pour rétablir l'équilibre soit en modifiant les tarifs ou les prix de vente, soit en réalisant des économies dans l'organisation des services. TITRE 4 : FIN DE LA REGIE ARTICLE 48 : Dans les cas prévus à l'article L. 2221-7, le maire prend toutes les mesures d'urgence en vue de remédier à la situation en cause. Il rend compte des mesures prises à la prochaine réunion du conseil d'exploitation. ARTICLE 49 : Si l'atteinte à la sécurité publique persiste ou si les mesures prises se révèlent insuffisantes, le maire propose au conseil municipal de décider la suspension provisoire ou l'arrêt définitif des opérations de la régie. ARTILCLE 50 : La régie cesse son exploitation en exécution d'une délibération du conseil municipal. ARTICLE 51 : La délibération du conseil municipal décidant de renoncer à l'exploitation de la régie détermine la date à laquelle prennent fin les opérations de celle-ci. Les comptes sont arrêtés à cette date. ARTICLE 52 : Le maire est chargé de procéder à la liquidation de la régie. Il peut désigner par arrêté un liquidateur dont il détermine les pouvoirs. Le liquidateur a la qualité d'ordonnateur accrédité auprès du comptable. Il prépare le compte administratif de l'exercice qu'il adresse au préfet du département, siège de la régie, qui arrête les comptes. ARTICLE 53 : Les opérations de liquidation sont retracées dans une comptabilité tenue par le comptable. Cette comptabilité est annexée à celle de la commune. Au terme des opérations de liquidation, la commune corrige ses résultats de la reprise des résultats de la régie, par délibération budgétaire. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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160 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION D’ADHÉSION AU SERVICE DE PAIEMENT EN LIGNE DES RECETTES PUBLIQUES LOCALES « TIPI RÉGIES » AVEC LA DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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161 - FONDS D’INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE - FINANCEMENT D’APPAREILS AUDITIFS POUR UN AGENT ADMINISTRATIF L’article n°36 de la loi 2005-102 du 11 février 2005 a créé le Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique (FIPHFP) Etablissement Public administratif chargé de mettre en œuvre une politique publique destinée à promouvoir l’insertion professionnelle et le maintien dans l’emploi des personnes handicapées dans la Fonction Publique. Le FIPHFP finance au cas par cas des aides techniques et humaines qui permettent aux employeurs publics de favoriser l’insertion professionnelle et le maintien dans l’emploi des personnes handicapées. Suite à l’avis du médecin de la médecine préventive et pour le maintien dans son emploi, un agent administratif doit être équipé d’appareils auditifs. Conformément à la procédure du FIPHFP, l’agent a fait établir 3 devis. Le montant retenu du devis est de 3 680 €. Après déduction des différents remboursements (régie obligatoire, régime complémentaire et prestation de compensation du handicap) ; il reste à sa charge la somme de 2 321.39€. Le 17/06/2014, une demande d’aide a été faite auprès du FIPHFP, afin d’assurer le financement de ce montant. La collectivité a reçu le 27/08/2014 la notification d’accord totale pour cette aide. Le FIPHFP ne peut verser la compensation qu’à la collectivité qui devra reverser à l’agent cette somme. Vu la loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Vu le décret n° 2006-501 du 3 mai 2006 relatif au Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction Publique Territoriale et notamment l’article 3 sur les actions qui peuvent faire l’objet de financement par le fonds. Considérant la notification reçue le 27 août 2014 du FIPHFP pour accord total de l’aide d’un montant de 2 321.39€ suite à la demande d’aide faite par la commune le 17 juin 2014. Considérant que l’aide attribuée sera versée à la Collectivité après réception de la facture acquittée par l’agent. Madame le Maire demande au conseil municipal :
La dépense et la recette seront imputées au compte L’information sera transmise au Comité Technique Paritaire pour sa prochaine réunion relative aux axes politiques en matière d’insertion des travailleurs handicapés. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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162 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL POUR FINANCER LA TOURNEE ESTIVALE SUN TOUR VAR MATIN La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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163 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR - BUDGET COMMUNE Madame le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler les titres n° 989 du 2/10/2012, droit de place et titre n° 1090 du 24/10/2013 pour une somme de 44.00 €, pour cause d’erreur de relevé sur le droit de place l’établissement n’a pas de terrasse Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation partielle/totale du titre n° 989 du 2/10/2012 et n° 1090 du 24/10/2013 pour une somme de 44 €. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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164 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR - BUDGET COMMUNE Madame le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre n° 127 du 2/03/2011, paiement cantine pour une somme de 73.44 €, pour cause de règlement par la CAF Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation totale du titre n° 127 du 2/03/2011 pour une somme de 73.44 €. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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165 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR - BUDGET COMMUNE Madame le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait le titre n° 773 du 8/10/2013, installation d’un échafaudage pour une somme de 24.00 €, pour cause de réduction de la période d’installation (en effet celui-ci a été utilisé du 3/10 au 5/102013 au lieu du 16/9/2013 au 5/10/2013 Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation partielle du titre n° 773 du 8/10/2013 pour une somme de 24.00 €. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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166 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR - BUDGET COMMUNE Madame le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre n° 1044 du 21/10/2013, droit de place pour une somme de 11.00 €, car l’établissement n’a pas de terrasse Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation partielle/totale du titre n° 1044 du 21/10/2013 pour une somme de 11.00 €. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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167 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR - BUDGET COMMUNE Madame le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre n°1408. du 5/12/2013, pour une somme de 1071.44€ émis à Mme Fabre Sylvaine .En effet suite à une erreur matérielle il lui a été vendu un caveau 3 places au lieu d’un 6 places, elle s’était acquittée de la somme de 3756.83€ au lieu de 2685.39€. de ce fait la commune doit lui verser cette différence. Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2014. Madame le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation partielle du titre n° 1408 du 5/12/2013 pour une somme de 1 071.44 €. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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168 - ADMISSION EN NON VALEUR – ÉTAT N°7/2014 - BUDGET PRINCIPAL La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°7/2014 :
Soit un total de 1 312.83 €. Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6541 sur l’exercice en cours. Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées ci-dessus. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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169 - ADMISSION EN NON VALEUR – ÉTAT N°8/2014 - BUDGET PRINCIPAL La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n° 8/2014 :
Soit un total de 3958.32€ Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6542 sur l’exercice en cours. Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées ci-dessus. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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170 - ADMISSION EN NON VALEUR – ÉTAT N°13/2014 - BUDGET PRINCIPAL La trésorerie dont dépend la commune propose à Madame le maire l’état de produits irrécouvrables n°13/2014 :
Soit un total de 3 156.87€. Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. La traduction comptable d’une admission en non-valeur est l’émission de mandats imputés au compte 6541 « créances admises en non valeur », ce qui crée une dépense sur l’exercice en cours. Un éventuel refus doit être motivé et entraîne la poursuite des recherches afin de tenter de recouvrer ces produits. Une fois toutes les voies de recours épuisées, les créances non recouvrées s’imposeront à l’ordonnateur, sans vote du conseil municipal, comme « créances éteintes », qui se traduisent par l’émission de mandats imputés au compte 6541 sur l’exercice en cours. Madame le maire demande au conseil municipal de se prononcer favorablement ou défavorablement sur l’admission en non-valeur totale ou partielle des créances détaillées ci-dessus. La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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171- AUTORISATION DE SIGNER UNE CONVENTION TRIPARTITE DE PARTENARIAT FINANCIER AVEC L'ASEPARG Madame le Maire rappelle que par délibération n° 128 du 23 octobre 2013, la commune a approuvé la signature d’une convention tripartite afin : - D’habiliter l’Association ASEPARG et ses compétences à conduire et à poursuivre des actions visant à prévenir la marginalisation et à faciliter l’insertion des jeunes et des familles. - De formaliser cette habilitation ainsi que le partenariat avec le Département par la signature d’une convention tripartite. - De verser une subvention à l’Association ASEPARG au titre de l’année 2014 d’un montant de 60 000 €. - De prévoir une rencontre avec le Département et l’Association. Vu le Code de l’Action Sociale et des Familles Vu la loi 2002-2 du 2 janvier 2002, rénovant l’action sociale et médico-sociale Vu la loi 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance Vu la convention-cadre de partenariat entre le Département du Var et l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG du 17 novembre 1999 Vu la demande de participation financière présentée par l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG pour le fonctionnement de l’association sur le territoire de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte- Baume, au titre de la Prévention Spécialisée. Vu le projet de convention définissant le partenariat financier pour l’année 2014 entre la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte- Baume et l’Association de prévention ASEPARG Considérant la mission des Clubs et Associations de Prévention telle que définie à l’article L.221-1 alinéa 2 du Code de l’Action Sociale et des Familles exercée par l’Association ASEPARG, laquelle bénéficie depuis son origine de participations financières du Conseil Général. Considérant que l’Association de prévention spécialisée ASEPARG a pour but de mettre en place des actions visant à prévenir la marginalisation et à faciliter l’insertion des jeunes et des familles Madame le Maire donne lecture du projet de convention tripartite entre le Conseil Général du Var, la ville de Saint-Maximin-la-Sainte- Baume et l’Association ASEPARG, convention qui fixe les engagements respectifs des partenaires, les modalités d’évaluation, la durée de la convention et les engagements comptables et le versement de la subvention par la Commune. Madame le Maire demande au conseil municipal de : La délibération est adoptée par 30 voix "pour" et 2 abstentions (Gilles PEREZ et Philippe HRYNDA). |
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REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU VAR
CONVENTION TRIPARTITE 2014 Entre le CONSEIL GENERAL DU VAR La Commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME et L’ASSOCIATION DE PREVENTION SPECIALSEE ASEPARG ASEPARG Convention réalisée dans le cadre du fonctionnement de l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG sur la commune de Saint-Maximin la Sainte Baume prise en application de l’article 10 de la loi 2000-321 du 12 avril 2000 et du décret 2001- 495 du 6 juin 2001 relatifs à la transparence des aides octroyées par les personnes publiques. ENTRE Monsieur Horace LANFRANCHI, Président du Conseil Général du Var agissant en vertu de la délibération de la Commission Permanente du Conseil Général n° G 2014, Madame Christine LANFRANCHI DORGAL, Maire de la commune de Saint Maximin la Sainte Baume agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal du … d'une part, ET
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Pour l’Association de Prévention Spécialisée ASEPARG |
Pour la commune de Saint Maximin la Sainte Baume |
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Le Président |
Le Maire |
Raoul PANTANELLA |
Christine LANFRANCHI DORGAL |
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Pour le Département |
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Le Président du Conseil général du Var |
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Horace LANFRANCHI |
REPUBLIQUE FRANCAISE
DEPARTEMENT DU VAR
ANNEXE 3
A LA CONVENTION TRIPARTITE 2013-1820
Entre le Conseil Général du Var
La Commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME
et
L’ASSOCIATION DE PREVENTION SPECIALISEE ASEPARG
ASEPARG
PREAMBULE
La présente annexe vise à définir les modalités de mise en œuvre :
d’une part, du Comité du Suivi Technique de Proximité (CSTP)
d’autre part, du Comité de Pilotage de la Prévention Spécialisée.
ARTICLE 1 : Le Comité de Suivi Technique de Proximité (CSTP)
Animation :
Le CSTP à l’initiative de la Commune est co-animé par le Conseil Général du Var (Service Prévention et Jeunesse) et la commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME.
Périodicité :
Trimestrielle et autant que de besoin.
Composition :
- OPERATEUR DE PREVENTION SPECIALISEE désigné (association habilitée)
- CONSEIL GENERAL DU VAR : Direction de l’Enfance, Direction Territoriale Sociale, Direction Sports Jeunesse,
- COMMUNE DE SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME : Coordonnateur CLSPD, Service Politique de la Ville, C.C.A.S.
- ETAT : Direction Départementale de la Cohésion Sociale, Education Nationale, Direction Départementale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse.
- MISSION LOCALE
- CENTRES SOCIAUX
En fonction des sujets traités, le CSTP pourra associer d’autres membres avec un statut consultatif.
Compétences :
- Assurer la mise en œuvre coordonnée et le suivi des actions menées par l’association ASEPARG sur la commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME.
- Partager les éléments d’ambiance, réguler les partenariats et les priorités d’action.
A ce titre, le Comité de Suivi Technique de Proximité exerce les tâches suivantes :
Garantir le respect des dispositions légales, réglementaires et éthiques, notamment en matière de suivi technique des actions menées par l’association ASEPARG et la commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME.
Veiller à la bonne coordination entre les actions menées par l’association ASEPARG et les actions des services municipaux et partenaires associés.
Proposer des modifications dans la mise en œuvre des actions menées par l’association ASEPARG sur la commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME , tant sur les lieux, les horaires que sur les champs d’intervention afin de les faire correspondre au plus près des besoins des jeunes et des familles.
Examiner périodiquement les résultats des actions menées par l’association ASEPARG, ainsi que l’évaluation à mi-parcours.
Evaluer les progrès atteints dans la réalisation des objectifs fixés, compte tenu notamment des propositions de modifications de l’intervention de l’association ASEPARG, faites par le Comité Technique de suivi de Proximité.
Examiner le rapport moral annuel d’activité de l’association ASEPARG sur la base du Livret Technique du rapport d’activité unique type pour les opérateurs de la Prévention Spécialisée dans le Var.
La commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME est garante :
de la convention et de l’organisation des réunions du Comité de Suivi Technique de Proximité
de l’élaboration de l’ordre du jour
du déroulement des réunions du Comité de Suivi Technique de Proximité
de la rédaction et de la diffusion des relevés de décisions
ARTICLE 2 : LE COMITE DE PILOTAGE (COPIL)
Présidence :
Le Comité de Pilotage à l’initiative du Conseil Général du Var est animé par celui-ci et la Commune concernée.
Périodicité :
Annuelle et autant que de besoins
Composition :
- Monsieur le Président du Conseil Général du Var ou son représentant
- Madame la Maire de la commune de SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME ou son représentant
- Monsieur ou Madame le (la) représentant(e) de l’opérateur de Prévention Spécialisée
- Monsieur le Président du Conseil Régional P.A.C.A. ou son représentant
Compétences :
- Evaluer l’action
- Valider les moyens, les partenariats et les perspectives par secteur d’intervention.