Conseil Municipal du 11 juin 2014
 
Absents représentés : Nicole Drevet (pouvoir à Patrice Russo) - Fabrice Albert (pouvoir à Christine Dorgal) - Véronique Guerin (pouvoir à Jean François Bart).
Absents : Véronique Andrieu - Philippe Hrynda
 
Le compte rendu du dernier conseil municipal est adopté à l'unanimité
 

72 - APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2013 DE LA COMMUNE

Madame le maire présente au conseil municipal le budget primitif de l'exercice 2013, les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats délivrés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le receveur accompagné des états de développement des comptes de tiers ainsi que l'état de l'actif, l'état du passif, l'état des restes à recouvrer et l'état des restes à payer.

Madame le maire demande au conseil municipal, après avoir entendu et approuvé le compte administratif de l'exercice 2013, et s'être assuré que le receveur a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2013, celui de tous les titres de recettes émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

Considérant qu'il n'y a ni erreur ni omission

Statuant sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2013, y compris celles relatives à la journée complémentaire,

Statuant sur l'exécution du budget de l'exercice 2013 en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

Statuant sur la comptabilité des valeurs inactives,

- de déclarer que le compte de gestion du budget principal de la commune dressé, pour l'exercice 2013, par le receveur, visé et certifié conforme par l'ordonnateur, n'appelle ni observation ni réserve de sa part.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

73 - COMPTE ADMINISTRATIF 2013 BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE

Madame le maire, ordonnateur des dépenses et de recettes de la commune, après avoir rappelé au conseil municipal le contenu du budget primitif et des décisions modificatives de l’exercice 2013, lui présente le compte administratif, qui peut se résumer par :

en fonctionnement :
- report 2012 : 2 095 360.98 €.
- recettes : 15 950 162.17 €.
- dépenses : 15 204 841.92 €.
- résultat excédentaire de 745 320.25 €.
- résultat de clôture 2013 : 2 840 681.23 €.


en investissement :
- report 2012 : 663 277. 41 €.
- dépenses : 3 077 481.68 €.
- recettes : 2 947 308.34 €.
- restes à réaliser en dépenses : 1 517 044.33 €.
- restes à réaliser en recettes : 1 706 460.24 €.
- solde des restes à réaliser 2013 : 189 415.91 €.
- résultat de clôture 2013 : 722 519.88 €.


Madame le maire demande au conseil municipal :
- de lui donner acte de la présentation faite du compte administratif,
- de constater, aussi bien pour la comptabilité principale que pour chacun des comptes annexes, les identités de valeur avec les indications du compte de gestion relative au report à nouveau, au résultat d’exploitation de l’exercice et au fonds de roulement du bilan d’entrée et du bilan de sortie, aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes,
- de reconnaître la sincérité des restes à réaliser,
- d’arrêter les résultats définitifs tels que résumé ci-dessus.

Alain Decanis :
Je voudrais faire une première remarque sur la forme pour signaler que cela fait plus d’un mois que nous  vous demandons, conformément à la loi, à ce que nous soit communiquée l’analyse financière des comptes de la commune effectuée par la Trésorerie Générale.
Et cela fait plus d’un mois que vous nous  baladez.
Autrement dit, vous nous  demandez d'approuver des documents financiers mais sans  nous donner tous les éléments nécessaires à une bonne appréciation.
 Sans doute que les conclusions sur l’état des finances présentée par Mme le Percepteur n’étaient pas conformes  à vos attentes.
Néanmoins, par cette rétention d'information vous bafouez les droits de l'opposition, vous nous empêchez de remplir correctement notre fonction de conseiller municipal, et méprisez par là même les milliers d'électeurs qui nous ont accordé leur suffrage.
Vous savez que tout cela est illégal mais ça ne vous gêne pas.
C'est grave, car si on accepte ces pratiques, si on tolère qu'un maire ne respecte la loi que selon son bon vouloir, comment peut-on ensuite l'exiger des simples citoyens ?
Concernant le fond.
Il y a un peu plus d’un an, lors de la séance consacrée au vote du budget primitif 2013, je vous disais :
« En 2012, dans un souci d’habillage politique, vous aviez  prévu 4 400 000 € de travaux, mais vous n’aviez en définitive réalisé que 1 800 000 €, soit le strict minimum pour assurer quelques opérations de goudronnage et l’entretien des bâtiments communaux. En mars 2013, vous avez inscrit 5 600 000€, RAR compris, mais vous ne ferez certainement pas plus qu’en 2012, c’est-à-dire, une fois de plus, pas grand-chose !».
Ce jour là, vous m’avez répondu que l’important n’était pas le budget, mais le compte administratif.
Un an plus tard, qu’en est-il ?
Sur les 5 600 000 € de dépenses d’équipements prévues, on peut constater que seulement 1 500 000 € ont été réalisés, même pas la quart de ce qui était inscrit au budget. Même si on ajoute les 1 200 000 € de RAR, ça fait 2 700 000 €, c'est-à-dire moins de la moitié de ce que vous aviez projeté.
Et ça n’est pas nouveau !
Depuis des années la part consacrée aux investissements ne cesse de se réduire comme peau de chagrin
Lors de ce même conseil consacré au budget primitif 2013, vous vous félicitiez du montant important de 2 268 000 d’€  prélevés sur le budget de fonctionnement pour financer nos investissements.
Aujourd’hui que peut-on constater ?
Les 2 268 000 € inscrits n’ont jamais été prélevés. En fait, plutôt que de consacrer cette somme à des travaux comme prévu initialement, vous les avez également engloutis dans des dépenses de fonctionnement.
En résumé, vous ne parvenez pas  à maîtriser les dépenses courantes de fonctionnement car le clientélisme coûte fort cher. De ce fait il ne vous reste plus rien pour financer les grands travaux.
Cela est dû au fait que votre souci premier n’est pas d’ordre gestionnaire, mais électoraliste. C’est votre choix, mais de notre côté nous refusons de cautionner  cette politique, et nous n’acceptons pas plus votre rétention d’information. C’est pourquoi nous prononcerons  contre tous  les documents budgétaires.

Gilles Perez :
Je partage le constat effectué par Monsieur Decanis, la commune gaspille beaucoup trop en fonctionnement. De plus je ne comprends pas pourquoi on trimballe d'année en années tout ces restes à réaliser.

Le compte administratif est adopté à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

74 - AFFECTATION DU RÉSULTAT DE L’EXPLOITATION DE L’EXERCICE 2013 - BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE

Après avoir présenté le compte administratif de l’exercice 2013, Madame le maire demande au conseil municipal de constater les résultats suivants.

 

RÉSULTAT
CLÔTURE 2012
(A)

VIREMENT À LA SECTION D’INVESTISSEMENT
(B)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE 2013
(C)

RÉSULTAT DE CLÔTURE 2013
A-B+C

INVESTISSEMENT

663 277,41 €

 

- 130 173,34 €

533 104,07 €

FONCTIONNEMENT

3 095 360,98 €

1 000 000,00 €

745 320,25 €

2 840 681,23 €

RESTES À RÉALISER 2013 (INVESTISSEMENT)

RECETTES

1 706 460,24 €

DÉPENSES

1 517 044,33 €

SOLDE (D)

189 415,91 €

L’excédent de fonctionnement global cumulé au 31 décembre 2013 (résultat de clôture en fonctionnement) est donc égal à  2 840 681,23 € (A-B+C).
Le résultat de clôture de l’exercice 2013 en investissement corrigé du solde des restes à réaliser est égal à 722 519,98 € (A+C+D). Il est positif ; il n’y a donc pas de besoin de financement en investissement.
Considérant que seul le résultat de la section de fonctionnement doit faire l'objet de la délibération d’affectation du résultat, puisque le résultat d’investissement reste toujours en investissement et doit en priorité couvrir le besoin de financement (déficit) de la section d’investissement,

Madame le maire propose au conseil municipal d’affecter le résultat de la manière suivante.

Affectation obligatoire
(compte 1068 = besoin de financement investissement)

0,00 €

Solde disponible (= résultat de clôture 2013 fonctionnement)

2 840 681,23 €

Affectation complémentaire en réserves (compte 1068)

1 000 000,00 €

Total 1068

1 000 000,00 €

Affectation à l’excédent reporté de fonctionnement
(ligne R 002 = résultat de clôture – affectation au 1068)

1 840 681,23 €

Résultat d’investissement à reprendre
(ligne R 001 = résultat de clôture 2013 investissement)

533 104,07 €

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

75 - APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2013 - BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT

Madame le maire présente au conseil municipal le budget primitif de l'exercice 2013 du service de l’assainissement, les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats délivrés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le receveur accompagné des états de développement des comptes de tiers ainsi que l'état de l'actif, l'état du passif, l'état des restes à recouvrer et l'état des restes à payer.

Madame le maire demande au conseil municipal, après avoir entendu et approuvé le compte administratif de l'exercice 2013 du service de l’assainissement, et s'être assuré que le receveur a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2013, celui de tous les titres de recettes émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

Considérant qu’il n’y a ni erreur ni omission,                                                                                                                                                                                                                                           

Statuant sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2013, y compris celles relatives à la journée complémentaire,

Statuant sur l'exécution du budget de l'exercice 2013 en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

Statuant sur la comptabilité des valeurs inactives,

- de déclarer que le compte de gestion du budget annexe du service de l’assainissement dressé, pour l'exercice 2013, par le receveur, visé et certifié conforme par l'ordonnateur, n'appelle ni observation ni réserve de sa part.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

76 - COMPTE ADMINISTRATIF 2013  - BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’ASSAINISSEMENT

Madame le maire, ordonnateur des dépenses et de recettes du service de l’assainissement, après avoir rappelé au conseil municipal le contenu du budget primitif et des décisions modificatives de l’exercice 2013, lui présente le compte administratif, qui peut se résumer par le tableau suivant.

en fonctionnement :
- report 2012 : 334 054.84 €
- recettes : 1 332 446.49 €.
- dépenses : 1 234 429.37 €.
- résultat excédentaire de 98 017.96 €.
- résultat de clôture 2013 : 132 071.96 €.

en investissement :
- report 2012 : 260 136.70 €.
- dépenses : 818 199.45 €.
- recettes : 721 566.87 €.
- résultat excédentaire de 163 504.12 €.
- restes à réaliser en dépenses : 102 958.95 €.
- restes à réaliser en recettes : 105 525 €.
- solde des restes à réaliser 2013 : 2 566.05 €.
- résultat de clôture 2013 : 166 070.17 €.

Madame le maire demande au conseil municipal :
- de lui donner acte de la présentation faite du compte administratif,
- de constater, aussi bien pour la comptabilité principale que pour chacun des comptes annexes, les identités de valeur avec les indications du compte de gestion relative au report à nouveau, au résultat d’exploitation de l’exercice et au fonds de roulement du bilan d’entrée et du bilan de sortie, aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes,
- de reconnaître la sincérité des restes à réaliser,
- d’arrêter les résultats définitifs tels que résumé ci-dessus.

Le compte administratif est adopté à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

77 - AFFECTATION DU RÉSULTAT DE L’EXPLOITATION DE L’EXERCICE 2013 - BUDGET ANNEXE DE L’ASSAINISSEMENT

Après avoir présenté le compte administratif de l’exercice 2013, Madame le maire demande au conseil municipal de constater les résultats suivants.

 

RÉSULTAT
CLÔTURE 2012
(A)

VIREMENT À LA SECTION D’INVESTISSEMENT
(B)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE 2013
(C)

RÉSULTAT DE CLÔTURE 2013
(A-B+C)

INVESTISSEMENT

260 136,70 €

232 256,24 €

- 96 632,58 €

163 504,12 €

FONCTIONNEMENT

566 311,08 €

98 017,12 €

432 071,96 €

RESTES À RÉALISER (INVESTISSEMENT)

RECETTES

105 525,00 €

DÉPENSES

102 958,95 €

SOLDE (D)

+ 2 566,05 €

L’excédent de fonctionnement global cumulé au 31 décembre 2013 est donc égal à 432 071,96 € (A-B+C).

Le résultat de clôture de l’exercice 2013 en investissement corrigé du solde des restes à réaliser est égal à 166 070,17 € (A+C+D). Il est positif ; il n’y a donc pas de besoin de financement en investissement en 31 décembre 2013.
Considérant que seul le résultat de la section de fonctionnement doit faire l'objet de la délibération d’affectation du résultat, puisque le résultat d’investissement reste toujours en investissement et doit en priorité couvrir, le cas échéant, le besoin de financement (déficit) de la section d’investissement,

Madame le maire propose au conseil municipal d’affecter le résultat de la manière suivante.

Affectation obligatoire
(compte 1068 = besoin de financement investissement)

0,00 €

Solde disponible (= résultat de clôture 2013 fonctionnement)

432 071,96 €

Affectation complémentaire en réserves (compte 1068)

64 821,90 €

Total 1068

64 821,90 €

Affectation à l’excédent reporté de fonctionnement
(ligne R 002 = résultat de clôture – affectation au 1068)

367 250,06 €

Résultat d’investissement à reprendre
(ligne R 001 = résultat de clôture 2013 investissement)

163 504,12 €

 

78 - APPROBATION DU COMPTE DE GESTION 2013 - BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’EAU

Madame le maire présente au conseil municipal le budget primitif de l'exercice 2013 du service de l’eau, les décisions modificatives qui s'y rattachent, les titres définitifs des créances à recouvrer, le détail des dépenses effectuées et celui des mandats délivrés, les bordereaux de titres de recettes, les bordereaux de mandats, le compte de gestion dressé par le receveur accompagné des états de développement des comptes de tiers ainsi que l'état de l'actif, l'état du passif, l'état des restes à recouvrer et l'état des restes à payer.

Madame le maire demande au conseil municipal, après avoir entendu et approuvé le compte administratif de l'exercice 2013 du service de l’eau, et s'être assuré que le receveur a repris dans ses écritures le montant de chacun des soldes figurant au bilan de l'exercice 2011, celui de tous les titres de recettes émis et celui de tous les mandats de paiement ordonnancés et qu'il a procédé à toutes les opérations d'ordre qu'il lui a été prescrit de passer dans ses écritures,

Considérant qu’il n’y a ni erreur ni omission,                                                                                                                                                                                                                                           
Statuant sur l'ensemble des opérations effectuées du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2013, y compris celles relatives à la journée complémentaire,

Statuant sur l'exécution du budget de l'exercice 2013 en ce qui concerne les différentes sections budgétaires,

Statuant sur la comptabilité des valeurs inactives,

- de déclarer que le compte de gestion du budget annexe du service de l’eau dressé, pour l'exercice 2013, par le receveur, visé et certifié conforme par l'ordonnateur, n'appelle ni observation ni réserve de sa part.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

79 - COMPTE ADMINISTRATIF 2013 - BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’EAU

Madame le maire, ordonnateur des dépenses et de recettes du service de l’eau, après avoir rappelé au conseil municipal le contenu du budget primitif et des décisions modificatives de l’exercice 2013, lui présente le compte administratif, qui peut se résumer par le tableau suivant.

en fonctionnement :
- report 2012 : 316 789.48 €
- recettes : 1 584 750.91 €.
- dépenses : 1 592 515.99 €.
- résultat excédentaire de 309 024.40 €.
- résultat de clôture 2013 : 309 024.40 €.

en investissement :
- report 2012 : - 90 583.23 €.
- dépenses : 439 028.72 €.
- recettes : 402 941.68 €.
- résultat déficitaire de 36 087.04 €.
- restes à réaliser en dépenses : 114 482.12 €.
- restes à réaliser en recettes : 262 000 €.
- solde des restes à réaliser 2013 : 147 517.88 €.
- résultat de clôture 2013 : 20 847.61 €.

Madame le maire demande au conseil municipal :
- de lui donner acte de la présentation faite du compte administratif,
- de constater, aussi bien pour la comptabilité principale que pour chacun des comptes annexes, les identités de valeur avec les indications du compte de gestion relative au report à nouveau, au résultat d’exploitation de l’exercice et au fonds de roulement du bilan d’entrée et du bilan de sortie, aux débits et aux crédits portés à titre budgétaire aux différents comptes,
- de reconnaître la sincérité des restes à réaliser,
- d’arrêter les résultats définitifs tels que résumé ci-dessus.

Le compte administratif est adopté à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

80 - AFFECTATION DU RÉSULTAT DE L’EXPLOITATION DE L’EXERCICE 2013 : BUDGET ANNEXE DU SERVICE DE L’EAU

Après avoir présenté le compte administratif de l’exercice 2013 du service de l’eau, Madame le maire demande au conseil municipal de constater les résultats suivants.

 

RÉSULTAT
CLÔTURE 2012
(A)

VIREMENT À LA SECTION D’INVESTISSEMENT
(B)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE 2013
(C)

RÉSULTAT DE CLÔTURE 2013
A-B+C

INVESTISSEMENT

- 90 583,23 €

 

- 36 087,04 €

- 126 670,27 €

FONCTIONNEMENT

527 961,81 €

211 172,33 €

- 7 765,08 €

309 024,40 €

RESTES À RÉALISER (INVESTISSEMENT)

RECETTES

262 000,00 €

DÉPENSES

114 482,12 €

SOLDE (D)

147 517,88 €

L’excédent de fonctionnement global cumulé au 31 décembre 2013 est donc égal à  309 024,40 € (A-B+C).
Le résultat de clôture de l’exercice 2013 en investissement corrigé du solde des restes à réalisé est égal à 20 847,61 € (A-B+C+D). Il est positif ; il n’y a donc pas de besoin de financement en investissement au 31 décembre 2013.
Considérant que seul le résultat de la section de fonctionnement doit faire l'objet de la délibération d’affectation du résultat, puisque le résultat d’investissement reste toujours en investissement et doit en priorité couvrir le besoin de financement (déficit) de la section d’investissement,

Madame le maire propose au conseil municipal d’affecter le résultat de la manière suivante.

Affectation obligatoire
(compte 1068 = besoin de financement investissement)

0,00 €

Solde disponible (= résultat de clôture 2013 fonctionnement)

309 024,40 €

Affectation complémentaire en réserves (compte 1068)

100 000,00 €

Total 1068

100 000,00 €

Affectation à l’excédent reporté de fonctionnement
(ligne R 002 = résultat de clôture – affectation au 1068)

209 024,40 €

Résultat d’investissement à reprendre
(ligne D 001 = résultat de clôture 2013 investissement)

126 670,27 €

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

81 - ADOPTION DU RAPPORT SUR LE PRIX ET LA QUALITE DE L'EAU 2013

La loi n°95-101 du 2 février 1995, dite « loi Barnier » relative au renforcement de la protection de l'environnement insère dans les codes rural et de l’environnement des principes généraux de la déclaration de Rio de 1992 sur l’environnement et le développement.

Il est précisé que les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation.

D’importantes dispositions du droit de l’environnement sont affirmées :

  • La protection de l’environnement est reconnue d’intérêt général,
  • L’objectif de développement durable est défini,
  • Les principes de précaution, d’action préventive, de pollueur-payeur et de participation sont intégrés en droit français.

La loi introduit une réforme dans la gestion des services municipaux de l’eau et de l'assainissement. Elle s'inscrit dans le cadre d'une dynamique de changement, vers davantage de transparence vis-à-vis des élus et des consommateurs.

Aussi dans les domaines de l’eau et des déchets, les maires ou les présidents des syndicats concernés sont tenus de présenter chaque année un rapport sur le prix et la qualité du service public dans les domaines de la collecte et du traitement des déchets ménagers d’autre part, des conditions de financement, de facturation et de fonctionnement des réseaux d’eau d’autre part.

Conformément aux articles D.2224-1 et L.2224-5 du code général des collectivités territoriales, « Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers.

Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.

Le maire y joint la note établie chaque année par l'agence de l'eau ou l'office de l'eau sur les redevances figurant sur la facture d'eau des abonnés et sur la réalisation de son programme pluriannuel d'intervention.

Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article L. 1411-13.

Un décret fixe les indicateurs techniques et financiers figurant obligatoirement dans le rapport prévu ci-dessus ainsi que, s'il y a lieu, les autres conditions d'application du présent article.

Les services d'assainissement municipaux, ainsi que les services municipaux de collecte, d'évacuation ou de traitement des ordures ménagères sont soumis aux dispositions du présent article.

Madame le Maire soumet le rapport sur le prix et la qualité du service de l’eau 2013 à l’avis des membres du Conseil Municipal.

Ce dernier sera transmis aux services préfectoraux en même temps que la présente délibération.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

82 - ADOPTION DU RAPPORT SUR LE PRIX ET LA QUALITE DE L'ASSAINISSEMENT 2013

La loi n°95-101 du 2 février 1995, dite « loi Barnier » relative au renforcement de la protection de l'environnement insère dans les codes rural et de l’environnement des principes généraux de la déclaration de Rio de 1992 sur l’environnement et le développement.

Il est précisé que les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation.

D’importantes dispositions du droit de l’environnement sont affirmées :

  • La protection de l’environnement est reconnue d’intérêt général,
  • L’objectif de développement durable est défini,
  • Les principes de précaution, d’action préventive, de pollueur-payeur et de participation sont intégrés en droit français.

La loi introduit une réforme dans la gestion des services municipaux de l’eau et de l'assainissement. Elle s'inscrit dans le cadre d'une dynamique de changement, vers davantage de transparence vis-à-vis des élus et des consommateurs.

Aussi dans les domaines de l’eau et des déchets, les maires ou les présidents des syndicats concernés sont tenus de présenter chaque année un rapport sur le prix et la qualité du service public dans les domaines de la collecte et du traitement des déchets ménagers d’autre part, des conditions de financement, de facturation et de fonctionnement des réseaux d’eau d’autre part.

Conformément  aux articles D.2224-1 et L.2224-5 du code général des collectivités territoriales, « Le maire présente au conseil municipal ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale présente à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'eau potable destiné notamment à l'information des usagers.

Ce rapport est présenté au plus tard dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice concerné.

Le maire y joint la note établie chaque année par l'agence de l'eau ou l'office de l'eau sur les redevances figurant sur la facture d'eau des abonnés et sur la réalisation de son programme pluriannuel d'intervention.

Le rapport et l'avis du conseil municipal ou de l'assemblée délibérante sont mis à la disposition du public dans les conditions prévues à l'article L.1411-13.

Un décret fixe les indicateurs techniques et financiers figurant obligatoirement dans le rapport prévu ci-dessus ainsi que, s'il y a lieu, les autres conditions d'application du présent article.

Les services d'assainissement municipaux, ainsi que les services municipaux de collecte, d'évacuation ou de traitement des ordures ménagères sont soumis aux dispositions du présent article.

Madame le Maire soumet le rapport sur le prix et la qualité du service de l’assainissement 2013 à l’avis des membres du Conseil Municipal.

Ce dernier sera transmis aux services préfectoraux en même temps que la présente délibération.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

83 - AVANCE DE TRESORERIE DU BUDGET PRINCIPAL SUR LE BUDGET DE L'EAU

Depuis décembre 2010, la régie de l’eau est dotée d’une autonomie financière qui  a pour conséquence l’individualisation de la trésorerie du service de l’eau. La trésorerie de l’eau n’est donc plus commune avec celle du budget principal.

Les rôles de l’eau  sont semestriels.  Auparavant, la trésorerie du budget principal comblait naturellement les besoins en trésorerie du budget de l’eau pour ses dépenses de fonctionnement et d’investissement.

Par délibération n°141 en date du 20 novembre 2013,  le conseil municipal avait  consenti une avance de trésorerie du budget principal au budget de l’eau d’un montant de 500 000 €.

Pour permettre au service de l’eau de mettre en œuvre les dépenses - prévues au budget primitif - nécessaires à son bon fonctionnement sans attendre l’encaissement du rôle du 1er  semestre 2014  il est proposé au conseil municipal de porter cette avance à 700 000 €.

Cette opération permet d’éviter une ligne de trésorerie coûteuse.
L’avance est remboursable au plus tard avant la fin de l’exercice pour permettre l’encaissement maximum du rôle de l’eau.

C’est une opération non budgétaire.

Madame le Maire propose au conseil municipal d’allouer au service de l’eau en 2014 une avance de trésorerie d’un montant de 700 000 € maximum, remboursable au plus tard avant la fin de l’exercice 2014.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

84 A - GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 33 930 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation..

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 33 930 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLAI Foncier est destiné à financer la construction de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Hôtel Dieu » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 33 930 €
Durée totale du prêt : 50 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A           
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt - 20 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

Blandine Gomart-Jacquet :
Nous sommes favorables à la construction de logements sociaux mais pas dans le centre ancien et encore moins dans l’immeuble de l’Hôtel Dieu.
D’une part, cela va tout à fait à l’encontre de la notion de mixité sociale. D’autre part l’Hôtel Dieu est probablement le seul bâtiment de taille importante qui pourrait  accueillir une structure générant une animation dans les vieux quartiers.
Il nous parait dommage de le sacrifier ainsi.

Madame le Maire :
Nous aussi sommes attachés au centre ancien, mais nous n'en utiliserons qu'une partie pour des logements sociaux.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 B - GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que  VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 81 138 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation.

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 81 138 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLUS Foncier est destiné à financer la construction de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Hôtel Dieu » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 81 138 €
Durée totale du prêt : 50 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt + 60 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 C - GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que  VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 95 913 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation.

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 95 913 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLAI est destiné à financer la construction de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Hôtel Dieu » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 95 913 €
Durée totale du prêt : 40 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt - 20 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %      

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 D - GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que  VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 229 357 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation.

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 229 357 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLUS est destiné à financer la construction en VEFA de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Hôtel Dieu » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 229 357 €
Durée totale du prêt : 40 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt + 60 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %      

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 E - GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 335 278 ® souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation..

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 335 278 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLUS Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Cœur Cabernet » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 335 278 €
Durée totale du prêt : 40 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt + 60 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %      

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 F -  GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 143 604 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation.

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 143 604 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLAI  est destiné à financer la construction en VEFA de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Cœur Cabernet » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 143 604 €
Durée totale du prêt : 40 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt - 20 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %      

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 G - GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que  VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % d’un prêt destiné à financer la construction en VEFA de 7 logements (5 PLUS et 2 PLAI – « Cœur Cabernet « à St Maximin la Sainte  Baume.

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au du conseil municipal que :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 113 575 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLUS Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Cœur Cabernet » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 113 575 €
Durée totale du prêt : 50 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt + 60 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %

Article 3 : - la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

84 H -GARANTIE PARTIELLE D’EMPRUNT OPAC VAR HABITAT - PRET PLUS SANS PREFINANCEMENT – Révisable livret A

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que  VAR HABITAT demande à la commune de Saint Maximin l’octroi d’une garantie partielle à hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 48 646 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignation.

Vu les articles L 2252-1 et L 2252-2 du Code Général des collectivités territoriales

Vu l’article 2298 du Code Civil

Madame le Maire propose au conseil municipal :

Article 1 : la commune de St Maximin la Ste Baume accorde sa garantie a hauteur de 50 % pour le remboursement d’un emprunt d’un montant total de 48 646 € souscrit par Var Habitat auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Ce prêt PLAI Foncier est destiné à financer la construction en VEFA de 7 logements (5 PLUS – 2 PLAI) « Cœur Cabernet » à St Maximin la Ste Baume..

Article 2 : les caractéristiques du prêt consenti par la Caisse des Dépôts et Consignations sont les suivantes :
Montant du prêt : 48 646 €
Durée totale du prêt : 50 ans
            dont (s’il y a lieu) durée du différé d’amortissement
Périodicité des Echéances : annuelles
Index : livret A         
Taux d’intérêt actuariel annuel : taux du livret A en vigueur à la date d’effet du contrat de prêt - 20 pdb
Taux annuel de progressivité : de 0 à 0,50 % maximum (actualisable à la date d’effet du contrat en cas de variation du taux du livret A)
Révisabilité des taux d’intérêt et de progressivité à chaque échéance : en fonction de la variation du taux du livret A sans que le taux de progressivité révisé puisse être inférieur à 0 %.

Article 3 : la garantie est apportée aux conditions suivantes :
La garantie de de la collectivité est accordée pour la durée totale du prêt et porte sur l’ensemble des sommes contractuellement dues par Var Habitat, dont il ne se serait pas acquitté à la date d’exigibilité.

Sur notification de l’impayé par lettre simple de la Caisse des Dépôts et Consignations, la collectivité s’engage à se substituer  à Var Habitat pour son paiement en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

Article 4 : le conseil municipal s’engage pendant toute la durée du prêt à libérer, en cas de besoin, des ressources suffisantes pour couvrir les charges de l’emprunt.

Article 6 : le Conseil Municipal autorise Madame le Maire à intervenir au contrat de prêt qui sera passé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et l’emprunteur.

La délibération est adoptée à la majorité : Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti et Gilles Pérez ont voté contre.

 

85 - ATTRIBUTION D’UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A L’ASSOCIATION DE RESISTANCE LFOUNDRY

Madame  le Maire rappelle au Conseil Municipal la délibération n° 2 du 29 janvier 2014 dans laquelle la commune de Saint-Maximin apportait son soutien au collectif des salariés de LFOUNDRY à Rousset suite à la liquidation de la société par jugement du 26/12/2013.
Depuis le 12 février les salariés se sont regroupés en association « Résistance LFOUNDRY »dans le but de défendre les intérêts des ex-salariés et leurs familles et de faire réparer les préjudices subits suite aux licenciements. Elle peut négocier les éventuelles indemnités compensatrices du préjudice, aller devant les tribunaux, se constituer partie civile, récolter des fonds nécessaires aux actions en justice que les ex-salariés voudraient entreprendre (frais d’avocats, déplacement …..)  
Une soixantaine de famille de Saint-Maximin étant  concernées par ces licenciements,  madame le Maire propose au conseil municipal d’octroyer à l’association « Résistance LFOUNDRY »une subvention exceptionnelle de fonctionnement pour l’exercice 2014 de 2 000€ (deux mille euros).

Gilles Perez :
Le montant de la subvention versée me parait peu élevé.

Madame le Maire :
Il correspond au montant exact demandé par l'association.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

86 -  COTISATION 2014 A L'ASSOCIATION LES GUEULES ROUGES

Madame le Maire rappelle la délibération n° 27 par laquelle le conseil municipal a approuvé le versement  de 120 € à l’association les Gueules Rouges  (cotisation annuelle)

Madame le Maire rappelle la création de l’association les Gueules Rouges qui regroupe des passionnés des vestiges industriels et de la mémoire des mines de bauxite varoises et qui a pour but :

  1. La sauvegarde et la diffusion de la mémoire collective des Gueules Rouges du Var
  2. La conservation du patrimoine industriel et minier de l’exploitation de la bauxite dans le var
  3. Le montage de tout projet de tourisme industriel, de toute activité à caractère culturel assurant la transmission des héritages, des usages, des faits notables, des modes de vie et de travail, des techniques, en relation avec l’exploitation de la bauxite et des produits qui en découlent.

Le musée des « Gueules Rouges » ouvert depuis le mois de juin 2012, connait un grand succès  avec un taux de fréquentation plus qu’encourageant (près de 7500 visiteurs).

Afin de soutenir l’activité de l’association des Gueules Rouges et de faire vivre le musée par l’enrichissement des collections, l’organisation d’expositions temporaires, la création d’un film contenant des témoignages de mineurs pour accompagner les visites, celle-ci sollicite le versement de la cotisation  qui s’élève à 120 €.

Madame le Maire précise que la dépense est inscrite au budget 2014.

Madame  le Maire demande au conseil municipal

  1. de reconnaître l’intérêt communal de cette démarche
  2. d’approuver le versement  à l’association des Gueules Rouges du montant de la cotisation, soit 120 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

87 - COTISATION 2014 A L'ASSOCIATION DES ANCIENS MAIRES ET ADJOINTS DU VAR

Madame le Maire rappelle que par délibération n° 22 du 27 mars 2013, la commune a octroyé une subvention d’un montant de 120 € à l’association des anciens maires et adjoints du Var à l’occasion de l’opération « Mariannes du civisme », visant à lutter contre l’absentéisme électoral.

Cette association, a organisé, en collaboration avec l’Association des Maires du Var, une cérémonie officielle de remise des Mariannes du Civisme pour récompenser les sept communes ayant obtenu le meilleur score en terme de participation aux élections présidentielles et législatives.

Afin de mener à bien ses missions,  il est fait appel à une contribution municipale dont l’octroi aiderait grandement dans la mise en œuvre des tâches de l’association qui continue à œuvrer pour le bien de la « chose publique ».

Madame le Maire propose l’octroi d’une subvention de 120 €.

Précise que la somme est prévue au budget.

Madame le Maire demande au conseil municipal de bien vouloir l’autoriser à octroyer la subvention précitée.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

88 - INDEMNITE RECEVEUR MUNICIPAL

Vu l’article 97 de la loi n° 82.213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions.

Vu le décret n° 82.979 du 19 novembre 1982 précisant les conditions d’octroi d’indemnités par les collectivités territoriales et leurs établissements publics aux agents des services extérieurs de l’Etat

Vu l’arrêté interministériel du 16 septembre 1983 relatif aux indemnités allouées par les communes pour la confection des documents budgétaires

Vu l’arrêté interministériel du 16 décembre 1983 relatif aux conditions d’attribution de l’indemnité de conseil allouée aux comptables non centralisateurs du Trésor chargés des fonctions de receveurs des communes et établissements publics locaux

Madame le Maire demande au conseil municipal :

  • de l’autoriser à demander le concours du Receveur Municipal pour assurer des prestations de conseil
  • d’approuver le versement d’indemnité de conseil au taux de 100 % par an.
  • d’approuver le versement d’indemnité de confection des documents budgétaires pour un montant de 45,73 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

89  - AVIS DU CONSEIL MUNICIPAL SUR LE MONTANT DE L'INDEMNITE REPRESENTATIVE DE LOGEMENT (IRL) DES INSTITUTEURS

En application des lois du 30 octobre 1886 portant sur l’organisation de l’enseignement primaire et du 19 juillet 1889 sur les dépenses ordinaires de l’instruction primaire publique et les traitements du personnel de ce service, désormais codifiées dans le code de l’éducation, le logement des instituteurs ou, à défaut, l’indemnité représentative de logement (IRL) en tenant lieu, constitue une dépense obligatoire de chaque commune.

Depuis 1983, l’État compense aux communes cette charge obligatoire au moyen d’une dotation spéciale pour le logement des instituteurs (DSI).

Dans le cas où les communes ne logent pas les instituteurs, ceux-ci perçoivent en conséquence une indemnité représentative de logement (IRL). L’IRL est versée aux instituteurs, au nom des communes, par le centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT).

Le versement de l’IRL s’effectue sur la base du montant déterminé, pour chaque commune, par le préfet après avis du conseil départemental de l’éducation nationale (CDEN) et du conseil municipal dans la limite du montant unitaire fixé sur le plan national, en application de l’article R. 212-9 du code de l’éducation « Le montant de l'indemnité prévue à l'article R 212-8 est fixé par le préfet après avis du conseil départemental de l'éducation nationale et du conseil municipal ».

Les communes sont donc tenues de verser, le cas échéant, aux instituteurs la différence entre le montant unitaire de la DSI fixé au niveau national et le montant arrêté localement, si ce dernier est supérieur.

Le CDEN, réuni le 19 février 2014, s’est prononcé au titre de l’année 2013 pour les montants suivants :

  • IRL de base :   3 446,85 €
  • IRL majorée :   4 308,56 €

Le différentiel par rapport au montant unitaire de la Dotation Spéciale Instituteur, fixé à 2 808 € par la note ministérielle n°INTB1328501N du 26 novembre 2013, sera pris en charge par la collectivité

Madame le Maire :
- demande au Conseil municipal d’émettre un avis sur l’Indemnité Représentative de Logement de base d’un montant de 3 446,85 €.
- d it que la dépense est inscrite au B.P. 2014.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

90 - EMPLOI JUSTIFIANT L’ATTRIBUTION DE LOGEMENT PAR NECESSITE ABSOLUE DE SERVICE, LISTE COMPLEMENTAIRE

Madame le Maire informe le Conseil Municipal que l’attribution d’un logement de fonction à titre gracieux relève de dispositions législatives et réglementaires complétées par une abondante jurisprudence administrative et qu’en vertu de l’article 21 de la loi n° 90-1067 du 28 novembre 1990, il appartient au conseil municipal de fixer la liste des emplois pour lesquels un logement de fonction peut être attribué  gratuitement en raison notamment des contraintes liées à l’exercice de ces emplois.

Il y a nécessité absolue de service lorsqu’un agent communal ne peut accomplir normalement son service sans être logé par la collectivité et que cet avantage constitue pour l’intéressé le seul moyen d’assurer la continuité du service ou de répondre aux besoins d’urgence liés à l’exercice de ses fonctions.

Madame le Maire considère donc que l’attribution d’un logement, sis sur le territoire de la Commune et au plus près de son lieu de travail, par la collectivité est une condition indispensable pour que le Directeur Général des Services de la ville puisse accomplir normalement son service, assurer la continuité des services publics communaux et prendre, sous l’autorité du maire, toute mesure d’urgence destinée à résoudre un problème  grave pouvant surgir sur le territoire communal

Madame le Maire demande au conseil municipal d’attribuer au Directeur Général des services  de la ville un logement par nécessité absolue de service

Cette attribution est consentie gratuitement moyennant les conditions suivantes :

  • la fourniture d’eau, gaz, électricité, chauffage et téléphone sera à la charge du bénéficiaire du logement qui devra souscrire une assurance personnelle contre l’incendie des locaux qu’il occupe. Le bénéficiaire devra s’acquitter des impôts et taxes liés au dit logement.
  • de l’autoriser à prendre l’arrêté individuel correspondant et à signer tout document se rapportant à cette affaire.

L’adresse et le descriptif du logement concerné sont :

LOGEMENT DE FONCTION ATTRIBUE
AU DIRECTEUR GENERAL DES SERVICES

Adresse : 198 chemin du Petit Nice 83470 SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME

Descriptif :    

  • une cuisine
  • une salle de séjour
  • quatre chambres
  • une salle de bains et toilettes

Alain Decanis :
Ce logement est-il le même ? Quel est le ùmontant du loyer versé ?

Madame le Maire :
Monsieur Pailhes occupe toujours la même villa située chemin du patit Nice. Le loyer est de 1 300 € par mois.

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez a voté contre, Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti se sont abstenus).

 

91 - ADHESION AU CONTRAT GROUPE DU CENTRE DE GESTION DU VAR POUR LES CONTRATS D'ASSURANCE DES RISQUES STATUTAIRES

Madame le Maire informe le conseil municipal que la collectivité est actuellement adhérente à un contrat d’assurance groupe du Centre de Gestion du Var garantissant tout ou partie des risques financiers encourus à l’égard du personnel affilié à la CNRACL (Caisse Nationale de Retraites des Agents des Collectivités Locales) en cas de décès, d’accidents du travail ou de maladies professionnelles, de congés de longue maladie ou congés de longue durée, de maladie ordinaire et de maternité et pour les agents affiliés à l’IRCANTEC en cas d’incapacité de travail (congé de maladie, grave maladie), d’accident ou maladie imputable au service et de maternité.

Le contrat actuel du centre de gestion arrive à terme le 31 décembre 2014. Par conséquent, il sera remis en concurrence en application de l’article 26 de la Loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 et du Code des marchés publics (Décret n° 2006-975 du 1er août 2006 modifié).

Le point de départ de la procédure revient à demander aux collectivités adhérentes de confier, par délibération, le soin de déléguer la passation d’un contrat d’assurance groupe couvrant les obligations statutaires au Centre de Gestion du Var.

Ces conventions devront couvrir tout ou partie des risques suivants :

  • agents affiliés à la C.N.R.A.C.L. :

Décès, Accidents du travail / Maladies Professionnelles, Maladie ordinaire, Congés de Longue Maladie / Congés de Longue durée, Maternité-Paternité-Adoption

Pour cette catégorie d’agents, les assureurs consultés devront pouvoir proposer à la Collectivité une ou plusieurs formules.

Ces conventions devront également avoir les caractéristiques suivantes :

  • durée du contrat : 4 ans, à effet au 1er janvier 2015
  • régime du contrat : capitalisation.

Madame le Maire expose :

  • l’opportunité pour la Commune de pouvoir souscrire un contrat d’assurance statutaire garantissant les frais laissés à sa charge, en vertu de l’application des textes régissant le statut de ses agents ;
  • que le Centre de Gestion du Var peut souscrire un tel contrat, en mutualisant les risques,
  • qu’afin de couvrir l’ensemble des risques encourus le Centre de Gestion procédera à la passation d’un marché public d’assurances dans l’entier respect des dispositions du Code des Marchés Publics.

Vu la Loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la Fonction Publique Territoriale, notamment prise en son article 26 ;

Vu le Décret n° 86-552 du 14 mars 1986 pris pour l’application de l’article 26 de la Loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 et relatif aux contrats d’assurances souscrits par les Centres de gestion pour le compte des collectivités locales et établissements territoriaux ;

Vu le Code des Marchés Publics issu du décret n°2006-975 en date du 1er août 2006 modifié.

Madame le Maire propose au Conseil Municipal que :

  • la Commune charge le Centre de Gestion du Var de conclure un contrat groupe ouvert à adhésion facultative et se réserve la faculté d’y adhérer, auprès d’une entreprise d’assurance agréée.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

92 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION ANNUELLE DE PARTENARIAT FINANCIER ENTRE LA COMMUNE ET LE CENTRE SOCIAL ET CULTUREL MARTIN BIDOURÉ

Madame le Maire rappelle que, par délibération n° 57 du conseil municipal du 23 avril 2014, il a été décidé de verser à cette association une subvention de   66 000  €.
Le décret n° 2001-495 du 6 juin 2001, pris pour l'application de l'article 10 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques, impose, pour le versement des subventions supérieures à 23 000 €, la signature d’une convention annuelle de partenariat financier.

Madame le Maire donne lecture de la convention jointe en annexe et demande au conseil municipal :
- d’approuver la démarche entreprise,
- de l’autoriser à signer la convention précitée dont le projet est annexé à la présente délibération.

La délibération est adoptée à la majorité : Gilles Perez s'est abstenu.

 

93 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION ANNUELLE DE PARTENARIAT FINANCIER ENTRE LA COMMUNE ET L’ASSOCIATION SPÉCIALISÉE D’ÉDUCATION, DE PRÉVENTION, D’ANIMATION ET DE RECHERCHE GLOBALE (A.S.E.P.A.R.G.)

Madame le Maire rappelle que, par délibération n° 57  du conseil municipal du n° 57 du 23 avril 2014, il a été décidé de verser à cette association une subvention de 60 000 €.
Le décret n°2001-495 du 6 juin 2001, pris pour l'application de l'article 10 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques, impose, pour le versement des subventions supérieures à 23 000 €, la signature d’une convention annuelle de partenariat financier.

Madame le Maire donne lecture de la convention jointe en annexe et demande au conseil municipal :
- d’approuver la démarche entreprise,
- de l’autoriser à signer la convention précitée dont le projet est annexé à la présente délibération.

Gilles Perez :
On nous demande de voter une subvention sans nous communiquer le bilan de l'exercice précédent. Il s'agit d'un défaut d'information du conseil municipal.

Olivier Barrau :
Ces associations viennent d'arrêter leurs comptes , elles nous communiqueront leur bilan après.

Gilles Perez :
Alors pourquoi voter la subvention avant sans savoir ?

La délibération est adoptée à la majorité : Gilles Perez s'est abstenu.

 

94 - DESIGNATION DES DELEGUES AUX CONSEILS DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES MATERNELLES ET ELEMENTAIRES

Les articles, D 411-1 du code de l’éducation et 17 du décret n° 90-788 du 6 septembre 1990 relatif à l'organisation et au fonctionnement des écoles maternelles et élémentaires, mentionne notamment que

« Dans chaque école est institué un conseil d'école.

Le conseil d'école est composé des membres suivants :

  • le directeur de l'école, président;
  •  le maire ou son représentant et un conseiller municipal désigné par le conseil municipal ;
  • les maîtres de l'école et les maîtres remplaçants exerçant dans l'école au moment des réunions du conseil ;
  •  un des maîtres du réseau d'aides spécialisées intervenant dans l'école choisi par le conseil des maîtres de l'école ;
  •  les représentants des parents d'élèves en nombre égal à celui des classes de l'école, élus selon les modalités fixées par arrêté du ministre chargé de l'éducation. Ces représentants constituent au sein du conseil d'école le comité des parents prévu par l'article 14 de la loi du 11 juillet 1975 modifiée susvisée ;
  •  le délégué départemental de l'éducation nationale chargé de visiter l'école.

L'inspecteur de l'éducation nationale de la circonscription assiste de droit aux réunions.

Le conseil d'école est constitué pour une année et siège valablement jusqu'à l'intervention du renouvellement de ses membres.

Le conseil d'école se réunit au moins une fois par trimestre, et obligatoirement dans les quinze jours suivant la proclamation des résultats des élections, sur un ordre du jour adressé au moins huit jours avant la date des réunions aux membres du conseil. En outre, il peut également être réuni à la demande du directeur de l'école, du maire ou de la moitié de ses membres… ».

Suite au renouvellement du conseil municipal, il convient de procéder à la désignation des délégués de la municipalité qui seront chargés de représenter la commune au sein des conseils d’établissements maternels et élémentaires.

Les élus siégeront au sein des conseils des établissements suivants :

  • Les Ecoles maternelles du Grand Pin, Paul Verlaine, Paul Barles, Victor Hugo et Marie-Madeleine
  • Les Ecoles élémentaires Paul Verlaine, Paul Barles, Victor Hugo, Jean Jaurès, Jean Moulin et  Marie-Madeleine

Madame le Maire propose la désignation de Monsieur Olivier BARRAU en tant que représentant du Maire et de Madame Laure ANCOLIO en tant que conseiller municipal.

Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal d’approuver les désignations de Monsieur Olivier BARRAU en tant que représentant du Maire et de Madame Laure ANCOLIO en tant que conseiller municipal.

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez a voté contre, Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti se sont abstenus).

 

95 - AVIS DU CONSEIL MUNICIPAL SUR LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES EN APPLICATION DES DECRETS N°2013-77 du 24 JANVIER 2013 et N°2014- 77 du 7 MAI 2014

Les décrets n°2013-77 du 24 janvier 2013 et n° 2014-457 du 7 mai 2014 définissent l’organisation des rythmes scolaires dans les écoles maternelles et élémentaires.

La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume a très rapidement pris la mesure de l’ampleur de cette réforme, dite des rythmes scolaires, et de ses conséquences sur l’organisation de la vie des familles, mais aussi sur celle des services municipaux (Centre de Loisir Sans Hébergement, transport…).

Afin de proposer aux élèves Saint-Maximinois un projet de qualité, elle avait choisi de reporter l’application de la réforme à la rentrée 2014/2015.

Une large concertation a donc pu s’engager associant les familles, les représentants des parents d’élèves, l’Inspecteur de l’Education Nationale, les directeurs d’écoles et les enseignants. Le monde associatif a également participé à cette concertation.

Le projet éducatif de territoire a été adressé à la direction académique des services de l’éducation nationale.

Il apparaît que cette réforme fait en réalité peser une charge financière nouvelle sur les communes sans qu’une véritable compensation financière ne soit prévue et ce dans un contexte de réduction drastique de la Dotation Globale de Fonctionnement.

En effet, l’organisation de ces nouveaux rythmes engendre, outre la préoccupation majeure du financement qui pèse très lourdement sur les finances communales, des problèmes de recrutement et de qualification des personnels d’encadrement, de taille et de partage des locaux et de transports scolaires.

Par ailleurs, le fond d’amorçage annoncé par le gouvernement ne présente aucune certitude de pérennisation.

Le budget prévisionnel de cette réforme est évalué en année pleine à :

Dépenses : 402 366 €
Recettes : 85 500 € (fonds d’amorçage)

Lors de l’assemblée générale le 26 avril 2014 à Brignoles, l’association des maires du var a adopté une motion demandant :

  • le retrait de la réforme,
  • la mise en place d’une concertation avec les associations des maires de France et les associations départementales d’élus, afin de soumettre au parlement une loi mieux adaptée qui réponde aux attentes des enfants, des enseignants, des parents d’élèves, du monde associatif et des élus de la république.

La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume s’inscrit dans cette démarche.

C’est pourquoi, compte tenu de l’ensemble de ces éléments, Madame le Maire demande au Conseil Municipal d’avaliser la décision qui a été prise lors de l’assemblée générale de l’association des maires du var demandant :

  • le retrait de la réforme,
  • la mise en place d’une concertation avec les associations des maires de France et les associations départementales d’élus, afin de soumettre au parlement une loi mieux adaptée qui réponde aux attentes des enfants, des enseignants, des parents d’élèves, du monde associatif et des élus de la république.

Alain Decanis :
Nous  n’avons jamais été invités à aucune réunion de travail sur ce sujet, alors qu’une commission comprenant des élus se réunit depuis plus d’un an.
Nous ne savons pas comment a été calculée l’évaluation des coûts indiqués sur la délibération.
Nous ne connaissons pas le contenu des Nouvelles Activités Périscolaires que vous projetez.
Nous ne savons quelle sera la charge pour les familles.
Comme voulez vous que dans ces conditions nous portions une appréciation sur l’intérêt de mettre un tel système en place et encore moins que nous votions une motion ?

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez - Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti se sont abstenus).

 

96 - SUBVENTION SOLLICITEE AUPRES DU FONDS MINISTERIEL DE PREVENTION DE LA DELINQUANCE

Le volet sécurité représente un volet du projet urbain global qui touche l'habitat, les aménagements urbains et les infrastructures routières, le social, l'économique et le patrimoine.

C’est pourquoi le public concerné par ce projet urbain est large, et de tout horizon.

La commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume a décidé de s'engager dans l'installation d'un dispositif de vidéo-protection sur son territoire afin d’améliorer la sécurité des personnes et des biens, de répondre davantage aux demandes sociales de prévention et de sécurité, et de lutter contre le sentiment d'insécurité.

Ce dispositif fait partie intégrante du Contrat Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance.

Au travers de cette démarche, la commune entend ainsi lutter plus efficacement contre certaines formes de troubles à la tranquillité publique et phénomènes délinquants touchant directement la population, et ainsi sécuriser certains espaces exposés à de tels actes.

En effet, la diversité et la mobilité des troubles à la tranquillité et des comportements délinquants impliquent désormais de structurer des politiques  locales  de sécurité autour de nouveaux outils technologiques de prévention situationnelle.
Le recours à la vidéo-protection de la voie publique, des lieux et établissements ouverts au public s'inscrit pleinement dans cette volonté de sécurisation des personnes et des espaces par l'effet dissuasif qu'elle induit, mais aussi par la réactivité qu'elle offre aux différents intervenants.

L’installation d’un tel dispositif apparaît comme un outil de compréhension des phénomènes, d'analyse et de maîtrise des  territoires, mais aussi de facilitation de l'action des différents services municipaux et extra municipaux appelés à intervenir.

La mise en place d'un dispositif de vidéo protection urbaine sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume répond à plusieurs objectifs :

  • prévenir la protection des personnes et des biens,
  • protéger les bâtiments publics et de leurs abords,
  • effectuer une veille urbaine,
  • réguler le trafic routier et permettre la constatation des infractions routières,
  • contribuer à l’aide aux personnes sur la voie publique.

Il représente une des composantes de la politique de civisme engagée depuis des années. Sa mise en œuvre se veut rassurante et doit procurer un sentiment de sécurité auprès de la population.

Le système installé par la commune est :

  • évolutif, en autorisant l’augmentation du nombre de caméras, leur déplacement éventuel, le nombre de jours de stockage, l’ajout de nouvelles fonctionnalités, etc. ;
  • pérenne, pour que les choix technologiques d’aujourd’hui ne soient pas obsolètes rapidement ;
  • ouvert, pour permettre un suivi universel des équipements et des logiciels.

Les résultats attendus sont les suivants :

  • diminuer le sentiment d’insécurité,
  • limiter les atteintes à la personne et aux biens,
  • diminuer la gravité de l’incident en favorisant une réponse rapide des forces de police,
  • favoriser la rapidité des enquêtes,
  • limiter les déplacements inutiles de la police et optimiser leur action.

L’évaluation se fera en partenariat avec les services de la gendarmerie et de la police nationale.

Aujourd’hui 19 caméras et 15 dômes sont installés sur la commune, en centre-ville, aux abords des collèges, du lycée, et sur 7 giratoires.

La commune souhaite poursuivre sa politique de mise en place d’un système de vidéo protection. La présente demande concerne 2 nouveaux sites stratégiques.

Le programme sera mis en œuvre dans le courant de l’année 2014.

En concertation avec les services de la gendarmerie, les lieux retenus pour ce quatrième programme sont les suivants:                                    

  1. Rond-point des Sapeurs-Pompiers
  2. Rond-point du Saint-Pilon

La présente demande concerne cette quatrième tranche de travaux pour un montant de 35 000,00 € H.T.

Le plan de financement prévisionnel pour cette seconde tranche pourrait s’établir comme suit :
État (FIPD)                                                  14 000,00 € H.T.        (40,00 %)
Autofinancement :                                      21 000,00 € H.T.        (60,00 %)
                                                                   35 000,00 € H.T.

La subvention État sollicitée au titre du Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance 2014 est de 14 000,00 € H.T.

Madame le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :

  • d’approuver la démarche entreprise,
  • de s’engager à réaliser le projet décrit ci-dessus,
  • d’approuver le plan de financement prévisionnel susvisé,
  • de l’autoriser à solliciter une subvention de 14 000,00 € auprès de l’État au titre du Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance 2014.

Dit que la dépense est inscrite au budget 2014.

Gilles Perez :
Je m'interroge sur l'utilité de la video protection, car comme il n'y a personne derrière les écrans, ils sont inutiles en matière de prévention.

Madame le Maire :
Nous avançons, pour l'instant nous installons des caméras, elles sont utiles à la gendarmerie. Lorsque nous aurons les moyens d'étoffer le service de la police municipale, ce système pourra être utilisé plus efficacement.

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez s'est abstenu).

 

97 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION ANNUELLE DE PARTENARIAT FINANCIER ENTRE LA COMMUNE ET L’O.S.M

Madame le Maire rappelle la délibération n° 57 du 23 avril 2014 par laquelle il a été décidé de verser à l’O.S.M une subvention de 36 000  euros.

Le décret n° 2001-495 du 6 juin 2001, pris pour l’application de l’article 10 de la loi n°2000-321 du 12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques, impose, pour le versement des subventions supérieures à 23 000 €, la signature d’une convention annuelle de partenariat financier.

Madame le Maire
- donne lecture de la convention jointe en annexe et demande au conseil municipal :
- demande de l’autoriser à signer la convention précitée.

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez a voté contre).

 

98 - DESIGNATION DES DELEGUES AU SEIN DU COMITE DE JUMELAGE

Conformément à l’article L.2121-33 du Code Général des Collectivités Territoriales, « Le conseil municipal procède à la désignation de ses membres ou de délégués pour siéger au sein d'organismes extérieurs dans les cas et conditions prévus par les dispositions du présent code et des textes régissant ces organismes. La fixation par les dispositions précitées de la durée des fonctions assignées à ces membres ou délégués ne fait pas obstacle à ce qu'il puisse être procédé à tout moment, et pour le reste de cette durée, à leur remplacement par une nouvelle désignation opérée dans les mêmes formes ».

L’article 4 – Membres, des statuts du comité de jumelage prévoit notamment « La commune étant seule responsable du jumelage qu’elle a engagé, l’association se compose de membres de droit et de membres adhérents.

Sont membres de droit : Le Maire de la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et 4 représentants du Conseil Municipal élus par ce dernier… »

Considérant qu’en cet état, il convient de désigner 4 membres pour siéger au sein du comité de jumelage.

Le scrutin respectera les dispositions de l’article L. 2121-21 du Code général des collectivités territoriales.

Il est précisé que le scrutin sera à main levée si les membres du Conseil Municipal décident préalablement, à l'unanimité, de ne pas procéder au scrutin secret aux nominations.

Il est proposé de désigner les 4 membres appelés à siéger au sein du comité de jumelage.

liste

représentants

Union pour Saint Maximin 2014

LANGLET Serge (24 voix)
DREVET Nicole (24 voix)
MARTINEZ Hilda (24 voix)
ALBERT Fabrice (24 voix)

Ensemble pour la transparence et la démocratie

SIMONETTI Pascal (9 voix)

Saint-Maximin bleu marine

 

Sont élus : LANGLET Serge - DREVET Nicole - MARTINEZ Hilda - ALBERT Fabrice (24 voix)

 

99 - PROJET DE MODIFICATION DES LIMITES CANTONALES DU CANTON DE ST MAXIMIN LA STE BAUME

Deux textes de loi ont été promulgués le 17 mai 2013 en matière électorale.
S’agissant des départements, les principales modifications apportées par ces deux lois au régime électoral des conseillers généraux sont les suivantes :

  • Les électeurs de chaque canton éliront au conseil départemental, nouvelle application des conseils généraux, deux membres de sexe différent, qui se présenteront en binôme de candidats
  • Les conseillers départementaux seront élus pour 6 ans au scrutin binominal majoritaire à deux tours
  • Les conseils départementaux seront renouvelés intégralement
  • Le nombre de cantons, pour chaque département, sera égal à la moitié du nombre de cantons existants au 1er février 2013 arrondi à l’unité impaire supérieure (article L191-1, alinéa 1er du code électoral).

Ces nouvelles dispositions visent à permettre une parité totale au sein de l’assemblée délibérante et à favoriser ainsi l’accès égal des femmes et des hommes aux fonctions électives.
Dans le Var, les cantons au nombre de 43 passeront à 23 et le nombre d’élus de 43 à 46.
En conséquence, le gouvernement a procédé à une refonte du périmètre de l’ensemble des cantons du Var.
Le redécoupage des cantons est défini par l’article L3113-2 du code général des collectivités territoriales modifié par la loi du 17 mai 2013.
« I -Les modifications des limites territoriales des cantons, les créations et suppressions de cantons et le transfert du siège de leur chef-lieu sont décidés par décret en conseil d’état après consultation du conseil départemental qui se prononce dans un délai de six semaines à compter de sa saisine. A l’expiration de ce délai, son avis est réputé rendu.
II -La qualité de chef-lieu de canton est maintenue aux communes qui la perdent dans le cadre d’une modification des limites territoriales des cantons, prévue au I, jusqu’au prochain renouvellement général des conseils départementaux.
III – La modification des limites territoriales des cantons effectués en application du I est conforme aux règles suivantes :

  • Le territoire de chaque canton est défini sur des bases essentiellement démographique
  • Le territoire de chaque canton est continu
  • Est entièrement comprise dans le même canton toute commune de moins de 3500 habitants.

IV – Il n’est apporté aux règles énoncées au III que des exceptions de portée limitée, spécialement justifiées, au cas par cas, par des considérations géographique ou par d’autres impératifs d’intérêt général »
Madame le Maire constate :
1°) l’absence d’une procédure partagée et transparente :

  • Estime que le bouleversement de la carte cantonale ne saurait intervenir sans transparence ni concertation. Une réelle concertation aurait dû précéder la communication du projet de délimitation des nouveaux cantons et ne pas se limiter aux seuls avis consultatifs du Conseil Général, des parlementaires varois et des présidents de groupes politiques au Conseil Général. La concertation aurait dû s’effectuer de façon plus formelle avec les conseillers généraux, les maires, les principaux élus intercommunaux et les partenaires du département dans le respect du principe de subsidiarité inscrit à l’alinéa 2 de l’article 72 de la constitution du 4 octobre 1958, des fondements et des exigences de la démocratie, ainsi que de la tradition républicaine.
  • Estime que les conseillers généraux qui vivent la réalité du canton et portent les projets de développement à l’échelle de leur territoire, sont les plus à même d’en exprimer les solidarités géographiques, humaines, économiques, sociales et culturelles.
  • Estime que la démarche entreprise pour la réalisation du Schéma Départemental de Coopération Intercommunale qui a permis une organisation raisonnée par :
  • La fusion des établissements intercommunaux et des syndicats de gestion à l’échelle des territoires SCOT
  • Le respect des identités et des bassins de vie historiques
  • Le respect des stratégies locales et des moyens humains et financiers mis en œuvre pour les porter,

n’a pas été prise en considération pour l’élaboration de cette proposition. Il est paradoxal qu’une telle démarche de concertation n’ait pas été reproduite par la création des nouveaux cantons.
2°) Au titre du respect des territoires varois, des bassins de vie et de la pertinence du périmètre cantonal :

  • estime que le découpage proposé ne respecte pas la politique de territorialisation portée par le Conseil Général du Var depuis  2005.

Pourtant, cette politique a permis d’affirmer 8 territoires de projets, aire dracénoise, cœur du var, Fayence, Golfe Saint-Tropez, Haut Var Verdon, Provence Verte, Provence Méditerranée et Var Estérel, qui reposent sur une adéquation entre les usages et les paysages (géographe, patrimoine …). Ces territoires s’imposent aujourd’hui comme le cadre privilégié pour porter les actions structurantes du var. Les 8 territoires de projet mis en place par le Conseil Général du Var ont d’ailleurs été confortés par les bassins de vie « Insee » définis en 2012.

  • Rappelle que les 8 territoires varois sont en cohérence avec le découpage cantonal actuel. Ils sont aujourd’hui reconnus comme le support d’un mode de gouvernance ouvert et ascendant entre les partenaires publics et privés.
  • Rappelle que les 8 territoires, en plus d’être légitimés par leur périmètre, le sont aussi par l’adhésion unanime des élus varois. Aussi, les 153 maires du Var et les élus consulaires adhèrent à cette territorialisation et formalisent leurs projets au travers des contrats de territoires triennaux
  • Rappelle que les 8 territoires basés sur les périmètres des SCOT établis par le Préfet, sont garants de la cohérence entre les enjeux d’urbanisme, d’habitat, de développement économique, de déplacement et d’environnement sur les bassins de vie complémentaires
  • Estime que le périmètre de chaque canton doit être cohérent avec les bassins de vie. Cependant, le découpage présenté, comporte de nombreuses anomalies qui témoignent d’une méconnaissance des réalités socio-économiques et des habitudes de vie des varois.

3°) Au titre du non-respect des critères démographiques et des équilibres urbain/rural :
- estime que le découpage proposé est un véritable désaveu de la capacité des territoires ruraux à porter leurs projets de développement et à affirmer leurs spécificités.
- considère que la délimitation des nouveaux cantons aurait dû s’efforcer de maintenir une représentation équitable de l’ensemble des populations des territoires du Var au sein de l’assemblée départementale. En effet, l’objectif de parité poursuivi par la loi du 17 mai 2013 ne saurait justifier une atteinte au principe d’égalité des citoyens devant le suffrage universel.
- constate que la seule référence au critère démographique, fondé sur un encadrement strict de la population de chaque canton par rapport à la population moyenne, a conduit à tort à la surreprésentation des parties urbaines, au détriment des secteurs ruraux. Sur la base du projet transmis, 18 cantons seront majoritairement urbains sur les 23 que compteront les départements du Var.
4°) Au titre de la fragilisation du rôle de chef-lieu :

  • Constate que 22 chefs-lieux de canton seront supprimés
  • Rappelle que le périmètre des cantons sert de bases :

1 – aux limites administratives, économiques ou judiciaires
2 – aux logistiques d’intervention et de décision d’implantation des services publics, comme la gendarmerie, la poste, l’éducation …

  • Constate que la perte de la qualité de chef-lieu de canton entraînerait la suppression d’une part de la Dotation de Solidarité Rurale pour des communes qui y sont éligibles. En outre, certains bourgs centrés qui comptaient jusqu’alors plus de 15 % de la population du canton, pourraient en être privés du fait de l’accroissement de la taille des cantons.
  • Constate que le gouvernement a identifié les nouveaux chefs-lieux de canton sur la seule base des communes les plus peuplées du canton, ce qui ne correspond pas aux usages de vie de la population, à l’histoire et à la géographie des territoires. Par exemple, ce redécoupage s’affranchit du Label Pays d’Art et d’Histoire attribué par le Ministère de la Culture à la Provence Verte, en séparant les communes de Nans-les-Pins, Saint-Zacharie, Le Plan d’Aups et Rougiers de l’aire de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

5°) Au titre de la complexification du paysage institutionnel :

  • Regrette que l’Etat ne respecte pas les périmètres définis par le SCOT relations entre les communes d’une part et entre ces dernières et le département d’autre part. Ainsi, 48 % des cantons ne respectent pas les limites intercommunales.
  • Constate que le découpage proposé accentue les confusions entre les périmètres des élections communales/intercommunales et départementales.
  • Estime que la logique qui a présidé au redécoupage n’est pas homogène.
  • Constate que l’éclatement des bassins de vie sur plusieurs cantons va à l’encontre de l’adhésion de la population et de l’appartenance historique à un canton. Cet état de fait fragilise l’acte civique qu’est l’élection.
  • Estime que les nouveaux cantons ne respectant plus les limites des arrondissements, le rôle et la place des sous-préfectures sont dilués par une remise en cause de leur territoire d’influence immédiat

6°) au titre de l’affaiblissement du rôle du conseiller départemental sur son territoire :

  • Estime que le rôle même de l’élu départemental est noyé dans le jeu des critères démographiques alors que depuis des années, l’assemblée départementale varoise s’est affranchi et œuvre pour un triptyque : un territoire, une identité, une stratégie afin de donner de la cohérence d’ensemble aux politiques publiques.
  • Estime que le rôle de l’élu sur un territoire considérablement agrandi va s’éloigner du citoyen et des besoins de proximité.
  • Estime que le nombre de communes et de structures intercommunales sur un même canton ne permettent pas aux élus d’assurer la représentation du conseil départemental de façon efficiente.

Considérant le non-respect des règles définies à l’article L. 3113-2 du CGCT pour ce qui concerne le critère démographique et le critère de la continuité territoriale,
Considérant le caractère arbitraire de ce découpage et les erreurs d’appréciation commises démontrant ainsi une méconnaissance des réalités du terrain.
Madame le Maire propose au conseil municipal  de demander à Monsieur le Préfet, de revoir le découpage des cantons afin d’assurer une meilleure cohérence territoriale

Alain Decanis :
Le canton n’est pas une collectivité territoriale mais un découpage électoral qui a été créé à la Révolution en respectant deux préoccupations :
 - une répartition harmonieuse des conseillers sur tout un département,
-  une représentation d'un nombre d'habitants à peu près identique pour chaque conseiller.
Or la population des cantons, depuis deux siècles, a évolué de façon très différente. Aujourd’hui on ne peut que constater des aberrations : par exemple le canton de Comps compte environ 1 400 habitants, contre 57 000 pour celui de Fréjus.  Il nous parait normal de tenir compte de cette évolution et donc de redécouper les cantons.
Concernant la cohérence territoriale,  nous ne sommes pas les mieux placés pour l’évoquer. Quelle logique peut conduire à défendre la place de  Saint-Maximin dans le même canton que Plan d’Aups ou Saint Zacharie, communes complètement tournées vers les Bouches du Rhône, alors que nous ne sommes pas  avec Seillons ou Bras… ?
Enfin  le nouveau mode de scrutin assurera une stricte parité au sein de l’assemblée départementale.
Cela va sans nul doute causer des problèmes à certains sortants,  je comprends que cela préoccupe ceux qui auront à gérer cela, mais ça n’est pas pour nous un problème prépondérant.
C’est pourquoi nous ne voterons pas cette motion.

Horace Lanfranchi fait un long plaidoyer pour défendre le découpage actuel et sa vision du conseil général.

Jean François Bart estime que l'intervention du président du conseil général est tout à fait déplacée, que nous sommes là pour gérer les affaires locales et non pour débattre des positions du gouvernement.

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez - Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti - Jean François Bart - Véronique Guerin ont voté contre).

 

100 - DESIGNATION DES DELEGUES AU SEIN DE LA COMMISSION COMMUNALE DES IMPÔTS DIRECTS

L’article 1650-1 du code général des impôts prévoit notamment que :

« 1 – Dans chaque commune, il est institué une commission communale des impôts directs composée de sept membres, savoir : le maire ou l'adjoint délégué, président, et six commissaires.

Dans les communes de plus de 2 000 habitants, le nombre de commissaires siégeant à la commission communale des impôts directs ainsi que celui de leurs suppléants est porté de six à huit.

Les commissaires doivent être de nationalité française ou ressortissants d'un Etat membre de l'Union européenne, être âgés de 25 ans au moins, jouir de leurs droits civils, être inscrits aux rôles des impositions directes locales dans la commune, être familiarisés avec les circonstances locales et posséder des connaissances suffisantes pour l'exécution des travaux confiés à la commission.

Un commissaire doit être domicilié en dehors de la commune.

Lorsque le territoire de la commune comporte un ensemble de propriétés boisées de 100 hectares au minimum, un commissaire doit être propriétaire de bois ou forêts.

Peuvent participer à la commission communale des impôts directs, sans voix délibérative, les agents de la commune, dans les limites suivantes :

  • un agent pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants ;
  • trois agents au plus pour les communes dont la population est comprise entre 10 000 et 150 000 habitants ;
  • cinq agents au plus pour les communes dont la population est supérieure à 150 000 habitants.

2 – Les commissaires ainsi que leurs suppléants en nombre égal sont désignés par le directeur départemental des finances publiques sur une liste de contribuables, en nombre double, remplissant les conditions sus-énoncées, dressée par le conseil municipal.

La désignation des commissaires et de leurs suppléants est effectuée de manière que les personnes respectivement imposées à la taxe foncière, à la taxe d'habitation et à la cotisation foncière des entreprises soient équitablement représentées.

3 – La durée du mandat des membres de la commission communale des impôts directs est la même que celle du mandat du conseil municipal.

En cas de décès, de démission ou de révocation de trois au moins des membres de la commission, il est procédé dans les mêmes conditions à de nouvelles désignations…

…Le mandat des commissaires ainsi désignés prend fin avec celui des commissaires choisis lors du renouvellement général du conseil municipal ».

Qu’en cet état, il convient de désigner 16 membres titulaires et 16 membres suppléants en vue de l’établissement par le Directeur des Services Fiscaux de la liste des commissaires titulaires et suppléant appelés à siéger à la Commission Communale des Impôts Directs.
Madame le Maire propose aux membres du conseil municipal les noms suivants :

Titulaires :

Marylène FORNERIS – Emile LAROSE – Jean-Pierre DEGIOANNI – Vincent DE SIANO – Jean-Louis SOLARO – Edda DAUMAS – Claude BOYER – Jean-Patrice VIVIÉ – Monique VOCANT – François RAVOTTI – André PAYAN – Alain BOFREDO – Jacques FORCINA – Agnès BOURNIQUEL – Didier GÉROLIN
Michel FABRE pour le commissaire domicilié hors de la commune.

Suppléants :

Martine SOMERHALTER – Michel OBERTI – Alphonse COUTURE – Mireille ROBERT – Gérard DAVID – Gilbert CHIARONI – André FLORENT – Bernard CHAULAN – Pascal PORCHIA – Pascal TISSIER – Patrick AGOPIAN – Nathalie CANO – Jean-Pierre VIGNAIS – Jacky BALDACHINO – Marc DOMENGE
Patrick APKARIAN pour le commissaire domicilié hors de la commune.

Considérant qu’il y a lieu à présent de procéder au vote désignant 16 membres titulaires et 16 membres suppléants en vue de l’établissement par le Directeur des Services Fiscaux de la liste des commissaires titulaires et suppléant appelés à siéger à la Commission Communale des Impôts Directs.

Le scrutin respectera les dispositions de l’article L. 2121-21 du Code général des collectivités territoriales.

Il est précisé que le scrutin sera à main levée si les membres du Conseil Municipal décident préalablement, à l'unanimité, de ne pas procéder au scrutin secret aux désignations.

La délibération est adoptée à la majorité (Gilles Perez - Bart - Véronique Guerin se sont abstenus).

 

101 - DESIGNATION DES DELEGUES AU SEIN DE L'OFFICE MUNICIPAL DE LA CULTURE

Conformément à l’article L.2121-33 du Code Général des Collectivités Territoriales, « Le conseil municipal procède à la désignation de ses membres ou de délégués pour siéger au sein d'organismes extérieurs dans les cas et conditions prévus par les dispositions du présent code et des textes régissant ces organismes. La fixation par les dispositions précitées de la durée des fonctions assignées à ces membres ou délégués ne fait pas obstacle à ce qu'il puisse être procédé à tout moment, et pour le reste de cette durée, à leur remplacement par une nouvelle désignation opérée dans les mêmes formes ».

Par délibération n°67 en date du 23 avril 2014, le conseil municipal a désigné 4 membres titulaires et 4 membres suppléants appelés à siéger à l’office municipal de la culture.

L’article 6 des statuts de l’office municipal de la culture de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume prévoit notamment : « Les membres de l’Office Municipal comprennent des personnes morales et des personnes physiques.

  • des membres de droit : 4
  • des membres actifs : 16

1°) sont membres de droit, le maire et 3 élus à la culture.
… ».

Considérant qu’il incombe au Conseil municipal de décider de l’abrogation de la désignation des membres de l’office municipal de la culture en date du 23 avril 2014 et de la désignation de 3 membres pour siéger au sein de l’office municipal de la culture

Considérant qu’en cet état, il convient de désigner 3 membres pour siéger au sein de l’office municipal de la culture.

Le scrutin respectera les dispositions de l’article L. 2121-21 du Code général des collectivités territoriales.

Il est précisé que le scrutin sera à main levée si les membres du Conseil Municipal décident préalablement, à l'unanimité, de ne pas procéder au scrutin secret aux nominations.

Il est proposé de désigner les 3 membres appelés à siéger au sein de l’office municipal de la culture.

liste

représentants

Union pour Saint Maximin 2014

BOEUF Mireille
LAMIA Anne Marie
RIONDET Magali

Ensemble pour la transparence et la démocratie

 

Saint-Maximin bleu marine

 

Les trois candidats sont élu à la majorité : (Gilles Perez - Alain Decanis - Blandine Gomart-Jacquet - Joëlle Silvy - Pascal Simonetti se sont abstenus).

 

102 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION ANNUELLE DE PARTENARIAT FINANCIER ENTRE LA COMMUNE ET L’OFFICE MUNICIPAL DE LA CULTURE

Madame le Maire rappelle que, par délibération n° 57 du conseil municipal du 23 avril 2014, il a été décidé de verser à cette association une subvention de  145 000 €.
Le décret n°2001-495 du 6 juin 2001, pris pour l'application de l'article 10 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques, impose, pour le versement des subventions supérieures à 23 000 €, la signature d’une convention annuelle de partenariat financier.

Madame le Maire donne lecture de la convention jointe en annexe et demande au conseil municipal :
-  d’approuver la démarche entreprise,
- de l'autoriser à signer la convention précitée dont le projet est annexé à la présente délibération.

La délibération est adoptée à la majorité : (Gilles Perez a voté contre).

 

103 -APPROBATION DES TRAVAUX DE LA BASILIQUE (façade ouest et retour façade sud de l’hôtel de ville) ET DEMANDE DE SUBVENTION AU SERVICE TERRITORIAL DE L'ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE

Lors des travaux de restauration de la façade Sud de l’hôtel de ville, Monsieur Vincent Brunelle, Architecte en Chef des Monuments Historiques, et maitre d’œuvre du chantier, a constaté des désordres sur la façade Ouest de la basilique, à proximité du retour Sud de l’Hôtel de Ville.

En effet, des pierres d’une fenêtre obstruée menacent de tomber, et l’irrégularité de l’appareil sert de nichoir aux pigeons.

Des travaux consistant à un relancis de moellons, ont été estimés par l’entreprise SELE, qui assure actuellement les travaux de restauration des façades de l’Hôtel de ville, à 3 550 € H.T.

Le Service Territorial de l’Architecture et du Patrimoine (STAP) ainsi la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) ont donné un accord de principe sur ces travaux.

L’arrêté d’autorisation de travaux est en cours d’instruction par la DRAC.

Dans le cadre des travaux  du STAP, l’Etat apporterait une subvention de 1 420 €, représentant 40 % du montant total H.T de cette opération.

Le plan de financement proposé est le suivant :

  • Etat 40% : 1 420 €
  • Commune 60% : 2 130 €

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’approuver la démarche et le plan de financement,
  • de l’autoriser à solliciter le STAP pour le montant de l’aide précitée.

La délibération est adoptée à la majorité : (Gilles Perez s'est abstenu).

 

104 - FIXATION DU NOMBRE DE MEMBRES DU COMITE TECHNIQUE PARITAIRE

Madame le Maire rappelle au conseil municipal que le comité technique paritaire est constitué en application des dispositions du décret 85-565 du 30 mai 1985 modifié, dans chaque collectivité ou établissement employant au moins 50 agents, comme c’est le cas de la Commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Il est composé de représentants des collectivités territoriales et de leurs établissements publics d’une part, et de représentants des agents publics d’autre part, en nombre égal.

Il traite des questions à caractère collectif d’organisation et de fonctionnement de la collectivité.

Le décret 2011-2010 du 27 décembre 2011 relatif au Comité technique (ex Comite Technique Paritaire) et aux Commissions Administratives Paritaires des Collectivités territoriales, fixe la composition, les modalités d’organisation des élections des représentants du personnel et de fonctionnement de ces instances.

Toutefois, les nouvelles règles relatives à la composition et au fonctionnement de ces instances n’entreront en vigueur qu’à compter de leur renouvellement général, soit en décembre 2014.

En conséquence, et dans l’attente de l’entrée en vigueur des nouvelles règles, il convient, dans le cadre du renouvellement de notre Conseil Municipal, d’arrêter le nombre de représentants de la Collectivité au sein du Comité Technique Paritaire tel qu’il existe actuellement.

Il est proposé de le composer ainsi :

Nombre de titulaires représentants de la collectivité

5

Nombre de suppléants représentants de la collectivité

5

Nombre de titulaires représentants du personnel

5

Nombre de suppléants représentants du personnel

5

Un arrêté municipal sera rédigé pour désigner les représentants

La délibération est adoptée à la majorité : (Gilles Perez s'est abstenu).

 

105 - MISE EN OEUVRE DE LA PRIME DE FONCTIONS ET DE RESULTATS

Madame le Maire informe le conseil qu’en date du 21 septembre 1994, du 7 février 1996 et du 11 décembre 2002, des délibérations de portée générale concernant le régime indemnitaire des agents de la collectivité ont été prises.

Le décret n°2008-1533 du 22 décembre 2008 institue une prime de fonctions et de résultats (P.F.R), qui se substitue au régime indemnitaire du cadre d’emploi des attachés (Indemnité Forfaitaire pour Travaux Supplémentaires, IFTS et Indemnité d’Exercice des Missions de Préfecture, IEMP).

En vue de la première modification du régime indemnitaire des membres de ce cadre d’emploi, la loi fait obligation aux collectivités de mettre en conformité par délibération, le régime indemnitaire de leurs attachés.

La prime de fonctions et de résultats se compose de deux parts cumulables entre elles :
1 – une part tenant compte des responsabilités, du niveau d’expertise et des sujétions spéciales liées aux fonctions exercées,
2 – une part tenant compte des résultats de la procédure d’évaluation individuelle prévue par la règlementation en vigueur et de la manière de servir.

La prime de fonctions et de résultats sera instituée selon les modalités ci-après et dans la limite des textes applicables à la Fonction Publique d’Etat aux agents relevant des grades suivants :

 

 

Grades

P.F.R - part liée aux fonctions

P.F.R. -  part liée aux résultats

Plafonds (part « fonctions » + part « résultats »)

Montant annuel de référence

Coef. mini

Coef.
maxi

Montant individuel
maxi

Montant annuel de référence

Coef. mini

Coef.
maxi

Montant individuel
maxi

Attaché Principal

2 500

1

6

15 000

1800

0

6

10 800

25 800

Attaché

1 750

1

6

10 500

1 600

0

6

9 600

20 100

1 – La part liée aux fonctions

 Conformément aux dispositions réglementaires en vigueur qui précisent que la part liée aux fonctions tiendra compte 

  • des responsabilités,
  • du niveau d’expertise,
  • des sujétions spéciales liées aux fonctions exercées,

Les  coefficients maximum suivants pourront être attribués :

Grades

Postes

Coefficient
maximum

Attaché

Responsable de service

6

Elle sera versée mensuellement.

2 – La part liée aux résultats

Elle tiendra compte des éléments suivants appréciés dans le cadre de la procédure d’évaluation individuelle :

  • l’efficacité dans l’emploi et la réalisation des objectifs,
  • les compétences professionnelles et techniques,
  • la capacité d’encadrement ou à exercer des fonctions d’un niveau supérieur.

Elle sera versé mensuellement, toutefois tout ou partie de la part liée aux résultats pourra être attribuée au titre d’une année sous la forme d’un versement exceptionnel, pouvant intervenir une à deux fois par an et non reconductible automatiquement d’une année sur l’autre.

La prime de fonctions et de résultats fera l’objet d’un ajustement automatique lorsque les montants ou les coefficients seront revalorisés ou modifiés par un texte réglementaire.

Selon les dispositions de la circulaire du 22 mars 2011 relative au maintien des primes des agents de l’Etat, en cas de congés maladie, de congés annuels, de congés accident du travail et maladie professionnelle et de congés d’adoption, de maternité de paternité, le versement de la prime de fonctions et de résultats suivra le sort du traitement.

Les dispositions de la présente délibération prendront effet au 1er juillet 2014.

L’attribution individuelle décidée par l’autorité territoriale fera l’objet d’un arrêté individuel.

Madame le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’instituer le principe d’attribution d’une prime de fonctions et de résultats se composant de deux parts cumulables entre elles tel qu’indiqué en préambule,
  • d’instituer selon les modalités ci-après et dans la limite des textes applicables à la Fonction Publique d’Etat la prime de fonctions et de résultats aux agents relevant des grades suivants.

Alain Decanis demande quel est le montant mensuel maximum que l'on peut attribuer à un attaché au mérite ?

Madame le Maire : On peut octroyer 2 150 €/mois à un attaché en plus de son salaire de base.

Alain Decanis : Je lis que la délibération changeant l'attribution de cette prime est prise à la suite d'une première modification. Peut-on savoir quel est l'heureux bénéficiaire ?

Madame le Maire : Pour l'instant il n'y en a pas, ensuite on verra.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

106 - COTISATION 2014 A L'ASSOCIATION DES COMMUNES FORESTIERES

Madame le Maire rappelle la délibération n°  69 du 29 mai 2013 approuvant l’appel à cotisation d’un montant de 710 € pour l’année 2013.

Madame le Maire rappelle que l’association des communes forestières fait partie d’un réseau au service des communes, structuré aux échelles départementale, régionale et nationale. Les communes sont ainsi fédérées dans un réseau solidaire face à l’évolution des politiques et de la réglementation. En 2011, 148 communes du var adhéraient à cette association.

Afin de réaliser les missions de représentation et de défense des intérêts des communes dans les différentes instances ainsi que les missions de formation et de conseil technique auprès des communes, l’association des communes forestières nous sollicite afin de renouveler notre adhésion pour l’année 2014, d’un montant de 710 €.

Cette adhésion permet de bénéficier :

Programme d’activités 2014

  1. Journées de formation des élus, information (plan communal de sauvegarde, plan d’aménagement forestier, commercialisation des bois, bois-construction, …)
  2. Représentation des élus auprès des instances départementales, régionales, nationales, notamment défense des intérêts et coordination pour la prévention des incendies de forêt (DFCI, PPRIF, PDPFCI, PIDAF, ….)
  3. Animation de la filière bois-énergie (accompagnement de projets, structuration de l’approvisionnement, suivi des installations, …)
  4. Accompagnement de démarches territoriales (ex : chartes forestières de territoire, PAT, …)
  5. Suivi des ventes de bois et des mesures de protection (Natura 2000, …)
  6. Mise en place d’une Agence Locale de l’Energie et du Climat (ALEC)

Abonnements au magazine national et à la feuille mensuelle « Cofor-Info »

Madame le Maire demande au conseil municipal

  1. De reconnaître l’intérêt communal de cette adhésion à cette association
  2. D’approuver l’adhésion à l’association des communes forestières pour un montant de 710€.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

Réponse aux questions écrites :

de Jean François Bart :
- au sujet de l'accueil des gens du voyage.
- de la sécurité dans la rue Gal de Gaulle où les véhicules de secours n'ont plus la place de passer entre deux étalages.

de Gilles Perez :
- concernant la publication des actes du conseil municipal sur le site de la commune.

de Alain Decanis :
- concernant la demande de baptiser une voie du nom de Maurice Agulhon, un grand historien, qui a consacré une grande partie de sa vie à l'étude du mouvement républicain dans le Var, décédé il y a quelques jours à Brignoles.

Madame le Maire : Ma réponse est non, nous privilégierons les personnalités locales.

Alain Decanis : Quelle ouverture d'esprit.

de Alain Decanis :
- concernant la demande du montant mensuel des indemnités des élus en Euros

Madame le Maire : 2306 €/mois brut pour le maire, 983 €/mois brut pour un adjoint, 200 €/mois brut pour un conseiller délégué.
Vous aussi étiez bien contents de les toucher lorsque vous étiez adjoint !

Alain Decanis : Pas du tout, à cette époque là tout était versé dans une caisse gérée par le 1er adjoint Francis Barrau, et de temps à autre un chèque était versé aux élus pour compenser les frais engagés, mais c'était très loin de ces montants là.

Madame le Maire : Ca n'est pas vrai.

Alain Decanis : Madame Henry assise à vos côtés et aujourd'hui adjointe pourra vous le confirmer. C'est étonnant que chaque fois que l'on vous parle d'indemnité vous vous sentiez agressé, on dirait que c'est un sujet tabou. Les gens ont tout de même le droit de savoir où passe leur argent !

Horace Lanfranchi : Vous vous énervez Monsieur Decanis.

Alain Decanis : Je vous rassure je ne suis pas énervé, le jour où je le serai vous verrez la différence.

Horace Lanfranchi : Ce jour là j'espère être présent et en face de vous.

Sur ces mots doux le conseil est clôturé.