Compte-rendu du Conseil Municipal du 26 juin 2013

 
Absents représentés : Blandine Gomart-Jacquet (pouvoir à Alain Decanis) - Marie Pierre Delhomelle (pouvoir à Stéphane Daddi) - Jean Michel Zammit (pouvoir à Alain Mussillon) - Noël Perpoli (pouvoir à Henena Tavares) - Jacqueline Brault (pouvoir à André Jeanclaude) - Frédéric Llorcet (pouvoir à Jean François Bart) - Magalie Riondet (pouvoir à Gabriel Rinaudo) - Laetitia Silenziano (pouvoir à Christine Dorgal) - Jean Claude Sellez (pouvoir à Alain Penal)
 

Le compte rendu de la séance précédente est approuvé à l'unanimité.

 

75 - MODIFICATION DES STATUTS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES STE BAUME MONT AURELIEN CONCERNANT LA COMPETENCE "POLITIQUE DU LOGEMENT SOCIAL D'INTERÊT COMMUNAUTAIRE"

Monsieur le Maire précise au conseil municipal que par délibération n° 1050 du 06 juin 2013, le conseil communautaire a statué sur une modification des statuts de la Communauté de Communes, portant sur la compétence « politique du logement social d’intérêt communautaire »

Il nous est donc demandé de compléter  la compétence comme suit :

Politique du logement social d’intérêt communautaire et actions par des opérations d’intérêt communautaire en faveur du logement des personnes défavorisées

  • Elaboration et réalisation d’un programme local de l’habitat en vue d’assurer l’équilibre social de l’habitat sur le territoire communautaire
  • Actions et aides financières en faveur du logement social d’intérêt communautaire
  • Actions par des opérations d’intérêt communautaire en faveur du logement des personnes défavorisées
  • Réalisation, mise en œuvre et gestion d’un programme d’intérêt général d’amélioration de l’habitat

Monsieur le Maire demande au conseil municipal

  • d’approuver ces nouveaux statuts
  • de demander à Monsieur le Préfet de prendre en compte cette modification des statuts.

Alain Decanis : Pourriez-vous nous indiquer quel taux de logements sociaux compte la commune ?

Monsieur le Maire : 5.8% pour la commune de Saint-Maximin.

Gabriel Rinaudo : 3.4% pour le territoire communautaire.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

76 - ADHESION DE LA COMMUNE DE BRAS A LA COMMUNAUTE DE COMMUNES SAINTE BAUME MONT AURELIEN

Monsieur le Maire expose au conseil municipal que par délibération en date du 25 octobre 2012, la commune de Bras a décidé de réitérer sa demande de retrait de la communauté de Communes Provence d’Argens en Verdon et de solliciter son rattachement à la Communauté de Communes Ste Baume Mont Aurélien.

Par délibération n° 1005 du 24 janvier 2013, le conseil communautaire a donné une suite favorable à la demande de la commune de Bras de rejoindre la Communauté de Communes Sainte Baume Mont Aurélien.

Monsieur le Maire demande au conseil municipal

  • d’approuver l’adhésion de la commune de Bras à la Communauté de Communes Ste Baume Mont Aurélien
  • de demander à Monsieur le Préfet de prendre en compte cette décision.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

77 - APPROBATION DE LA MODIFICATION DES STATUTS DE L'ECOLE DE MUSIQUE, DANSE ET THEÂTRE DU HAUT VAR

Monsieur le Maire rappelle aux membres du conseil municipal que par délibération n° 22 du 06 mars 2013, le conseil municipal a déjà approuvé la modification de l’article 9 des statuts de l’école de musique, danse et théâtre du haut var.

Par délibération n° 2013/014  du 12 avril 2013 et n° 2013/020 du 15 mai 2013, le conseil d’administration de l’école de musique a approuvé les modifications des articles 6 et 7 des statuts de l’établissement public de coopération culturelle à caractère administratif « école de musique, danse et théâtre du haut var ».

En conséquence, Monsieur le Maire demande au conseil municipal d’approuver la modification statutaire suivante :

  • Article 6 – composition du conseil d’administration

Les représentants des élèves seront élus pour une durée de 2 ans renouvelable, sous réserve, comme le prévoient déjà les statuts, d’être soit élève majeur de l’école, soit parent (père ou mère) d’élève mineur, et à jour de leurs droits de scolarité.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

78 -CREATION DE POSTE

Monsieur le Maire informe le conseil municipal que dans le cadre d'une restructuration des différents services municipaux  et afin d’obtenir une meilleure adéquation entre les qualifications exigées et les postes existants, il serait souhaitable de créer un poste d'Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles principal de 2e classe.

Monsieur le Maire précise que les crédits nécessaires à la dépense font l'objet d'une inscription au budget de la commune.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

79 - APPROBATION DE LA RECONDUCTION DE LA CONVENTION RELATIVE A L’UTILISATION DES LOCAUX DU LYCEE JANETTI PAR LA COMMUNE POUR L'ANNEE 2013/2014         

Monsieur le Maire donne lecture de la convention relative à  l’utilisation des locaux du Lycée Maurice Janetti par la Commune pour l’année 2013– 2014

Il rappelle qu’il convient de reconduire pour 2013– 2014 cette convention réactualisée (jointe en annexe)

Il est entendu que cette nouvelle convention devra faire l’objet de façon concomitante d’une délibération du conseil d’administration du lycée approuvant les termes et les modalités du document.
Il en va de même pour la Région qui prendra acte par décision de ces mêmes modalités.

Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal :

  • d’approuver l’intérêt communal de l’occupation des différentes structures du lycée
  • d’approuver la reconduction de la convention et de ses modalités telles que précitées.

Serge Langlet : Cette année nous avons obtenudu nouveau proviseur que le lycée paie l'utilisation du stade communal et des annexes.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

80 - RETRAIT DE LA DELIBERATION N°47 EN DATE DU 24 AVRIL 2013 ET SAISINE DE LA COMMISSION CONSULTATIVE DES SERVICES PUBLICS LOCAUX POUR AVIS SUR LA DELEGATION DE SERVICE PUBLIC PORTANT SUR LA GESTION ET L’EXPLOITATION D’UNE INSTALLATION DEDIEE AU REGROUPEMENT, TRI, RECYCLAGE, ET STOCKAGE DEFINITIF  DE DECHETS INERTES ISSUS DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS

Vu
le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L. 1411-4 et L. 1413-1,
la délibération n°97 A du 21 juillet 2010 portant création de la commission consultative des services publics locaux,
la délibération n°123 B du 20 octobre 2010 portant désignation des membres de la commission consultative des services publics locaux,
la délibération n°47 du 24 avril 2013 adoptant le principe de la délégation de service public pour la gestion et l’exploitation d’une installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif  de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics,

Monsieur le maire rappelle au conseil municipal que depuis quinze ans, une partie du site du Rudeau sis sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (près de 2 ha) est utilisée pour le stockage d’inertes apportés par les habitants et entreprises de la commune. La commune souhaite régulariser la situation de cette décharge « sauvage » et gérer une installation dédiée à l’accueil des déchets issus du BTP produits sur le territoire de la communauté de communes Sainte-Baume-Mont-Aurélien (CCSBMA), avec a minima une activité de recyclage d’inertes couplée avec une activité de regroupement, et une activité de stockage définitif d’inertes, sur le site du Rudeau. La vocation du site dédié à l’accueil des déchets issus du bâtiment et des travaux publics est d’offrir un débouché aux entreprises ayant des chantiers ou leur siège social sur le territoire de la CCSBMA avec des tarifs abordables et préférentiels, tout en pérennisant le site par le développement progressif d’une activité de recyclage, et une activité de stockage définitif d’inertes non recyclables.
En tant qu’autorité gestionnaire, il appartient à la commune de se prononcer sur le mode de gestion de l’installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif  de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics sis sur le site du Rudeau. Dans ce contexte, la mise en place d’une délégation de service public est étudiée.
Dès lors, la commission consultative des services publics locaux doit être consultée pour avis sur tout projet de délégation de service public, avant que le conseil municipal ne se prononce sur le principe de délégation de service public.
Or le conseil municipal de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume s’est prononcé pour le principe de la délégation de service public pour la gestion et l’exploitation d’une installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif  de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics le 24 avril 2013, soit avant que la commission consultative des services publics locaux n’ait été consultée pour avis sur le projet de délégation de service public envisagé.

Monsieur le maire demande donc au conseil municipal :
- de retirer la délibération n°47 en date du 24 avril 2013 adoptant le principe de la délégation de service public pour la gestion et l’exploitation d’une installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif  de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics,
- de saisir la commission consultative des services publics locaux afin qu’elle formule un avis sur le mode d’exploitation de l’installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif  de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics,
- de l’autoriser à prendre tous les actes relatifs à la mise en œuvre de la présente délibération.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

81 - DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITER UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DECHETS INERTES SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE

Monsieur le Maire informe les membres du conseil municipal que la commune de Saint-Maximin la Sainte Baume a transmis à la direction départementale des territoires et de la mer du Var, le 14 mai dernier,  un dossier de demande d’autorisation d’exploiter une installation de stockage de déchets inertes sur le site du Rudeau.

La circulaire du 20 décembre 2006 a confié aux directions départementales des territoires et de la mer l’instruction des demandes d’autorisation d’exploiter une installation de stockage de déchets inertes.

Dans le cadre de la consultation des autorités, il est demandé à la commune de Saint-Maximin la Sainte Baume de rendre un avis sur la demande d’autorisation d’exploiter une ISDI quand bien même elle en est le demandeur en tant qu’exploitant.

Monsieur le Maire rappelle  que depuis 15 ans, une partie du site du Rudeau (près de 2 ha) est utilisée pour le stockage d’inertes apportés par les habitants et entreprises de Saint-Maximin la Sainte Baume.

Que la Commune souhaite mettre la situation de cette décharge en conformité administrative et envisage de confier à un tiers la gestion d’une installation dédiée à l’accueil des déchets issus du BTP produits sur le territoire de la Communauté de Communes SAINTE BAUME MONT AURELIEN (CCSBMA), avec a minima une activité de recyclage d’inertes couplée avec une activité de regroupement, et une activité de stockage définitif d’inertes, sur le site du Rudeau sis Commune de Saint-Maximin la Sainte Baume dans le département du Var.

Que la vocation du site dédié à l’accueil des déchets issus du bâtiment et des travaux publics, est d’offrir un débouché aux entreprises ayant des chantiers ou leur siège social sur le territoire de la CCSBMA avec des tarifs abordables et préférentiels, tout en pérennisant le site par le développement progressif d’une activité de recyclage, et une activité de stockage définitif d’inertes non recyclables.

Monsieur le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :

  • de donner un avis favorable au dossier de demande d’autorisation d’exploiter une installation de stockage de déchets inertes sur le site du Rudeau présenté par la commune de Saint-Maximin la Sainte Baume;
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.

Alain Decanis : Pourriez-vous nous indiquer quel était le statut de cette décharge jusqu'à ce jour ?

Monsieur le Maire : Un simple arrêté avait été pris par le Maire de l'époque vers 1998. Mais elle a rendu service à beaucoup de monde.

Alain Decanis : Autrement dit cela fait environ 15 ans qu'elle fonctionne en toute illégalité. Il est certain qu'étant gratuite, elle était attractive.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

82 - Demande de subvention à l'Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse pour effectuer des travaux visant à réduire les eaux parasites sur les réseaux d’assainissement des eaux pluviales

Le schéma directeur d’assainissement des eaux usées a, notamment, identifié l’entrée d’importantes eaux parasites dans le réseau depuis le secteur des Fontaines, de la zone d’activités du chemin d’Aix et sur le collecteur final. Ces apports sont de l’ordre de 16m3/h depuis des fontaines et de l’ordre de 30 m3/h provenant du collecteur final.
Le rapport d’inspection du collecteur final fait état de sa perméabilité entrainant le drainage des eaux de nappe quand celle-ci est haute et des pertes lorsqu’elle est basse.

L’objectif est de réduire les entrées d’eaux parasites dans le réseau d’assainissement des eaux usées, et par conséquent la charge hydraulique de la STEP. Il s’agit également de réduire les débordements des systèmes d’assainissement en cas de pluie.

Cette réduction des eaux claires parasites passe par des travaux sur les réseaux d’assainissement des eaux pluviales et eaux usées. Afin de réduire le volume d’eaux pluviales strictes collectées dans les réseaux unitaires, il est indispensable de les séparer, de les renouveler et de réaliser des ouvrages de traitement.

L’objet de l’appel à projet 2013 de l’Agence de l’eau de lutte contre la pollution pluviale est d’ouvrir l’accès à des subventions sur tout projet permettant de réduire le volume d’eaux pluviales strictes collecté dans les réseaux unitaires.

L’Agence de l’eau fait de la maîtrise des eaux pluviales un enjeu majeur. « Car s’il est relativement facile de prévoir les volumes d’eaux usées domestiques rejetées dans les réseaux d’assainissement, il en va différemment des eaux pluviales dont les brutales variations de débit provoquent des inondations et des déversements d’eaux usées non traitées dans les milieux.

L’Agence de l’eau Rhône Méditerranée & Corse soutient depuis toujours les travaux de réduction de la pollution pluviale : mise en séparatif des réseaux, bassins d’orage… dès lors que l’eau de pluie est collectée et mélangée aux eaux usées domestiques.

Les projets proposés s’inscrivent parfaitement dans cette démarche de réalisation d’ouvrage de traitement et de réduction des eaux pluviales strictes.

Les montants prévisionnels des travaux sont :
► Réseau d’assainissement des eaux usées :

  • Secteur des fontaines et collecteur final : 500 000 € H.T.

Soit un total de 500 000 € H.T.

Le plan de financement prévisionnel de l’ensemble de ces projets serait le suivant :

  • Agence de l’eau Rhône Méditerranée & Corse (50 %) soit 250 000 € H.T.
  • autofinancement (50 %) soit 250 000 € H.T.

Monsieur le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :

  • d’approuver le plan de financement ;
  • de l’autoriser à solliciter auprès de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée & Corse la subvention la plus large possible ;
  • de l’autoriser à signer tout document se rapportant à cette affaire.

Alain Decanis : Nous sommes d'autant plus contents de voter cette délibération, que ça fait des années que nous réclamons à ce que l'on règle le problème des eaux pluviales qui infiltrent le réseau d'assainissement et engendre une saturation de la station d'épuration lors des forts épisodes pluvieux.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

83 - PROGRAMME D'ACTION 2013 DANS LA FORET COMMUNALE

Monsieur le Maire donne lecture du programme d’actions 2013 établi par l’Office National des Forêts concernant deux opérations :

1°) recherche et matérialisation des limites Est de la forêt communale pour un montant estimé de 4 450 € H.T

2°) Entretien ponctuel du réseau de piste de la forêt communale (création de revers d’eau, curage de fossés, reprofilage de tronçons dégradés, etc…) par convention d’assistance technique à Donneur d’ordre pour un montant estimé de 8 200 € H.T.
Cet entretien est consécutif aux travaux de réhabilitation du réseau de pistes effectué par l’UIISC7.

Monsieur le Maire précise que la dépense est prévue au budget de la commune.

Monsieur le Maire demande au conseil municipal

  • de reconnaitre l’opportunité de cette démarche
  • d’approuver le programme d’actions 2013 tel que précité.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

84 - COUPE DE BOIS 2013 OFFICE NATIONAL DES FORÊTS

Conformément à l’aménagement forestier de la commune, l’Office National des Forêts propose pour l’année 2013 une coupe de bois sur une partie de la parcelle n° 12 (5 ha environ).

Monsieur le Maire demande au conseil municipal :

  • de reconnaitre l’opportunité de la démarche
  • d’approuver la coupe de bois sur la parcelle précitée.

Alain Decanis : Suite aux plaintes exprimées par plusieurs de nos concitoyens, je suis passé voir le résultat des coupes qui ont été réalisées cette année dans ce même quartier de Beauvillard.
Tout a été coupé à blanc par les forestiers qui ont acquis les lots. C’est un peu comme après un incendie, Il faudra des années avant que la forêt retrouve son aspect.
Je ne vois pas vraiment l’intérêt de cette opération.
S’il apparaît absolument nécessaire de régénérer certaines parcelles boisées, nous préférerions qu’elles soient données à des habitants de Saint Maximin, mais en leur imposant de conserver un certain  nombre de chênes sous forme de réserve.

La délibération est adoptée par 24 voix "pour" et 9 voix "contre" (les 9 élus du groupe d'opposition)

 

85 - CHANGEMENT DE DÉNOMINATION DU PARKING DU LYCÉE DIT « RAYNOUARD » EN « ESPLANADE SIMONE COUTURE »

Madame Simone Couture a été pendant plus de quinze ans, présidente du comité de Saint-Maximin de la Croix Rouge Française. Elle a aussi été pendant cinq ans une adjointe au maire précieuse, au service du public et de la commune, et tout particulièrement pour les affaires sociales. En tant que vice-présidente du centre communal d’action sociale, elle était notamment très attachée au sort de nos aînés, notamment aux Trois Tilleuls. Mais elle était également très soucieuse de demeurer au contact des évolutions de la société, comme en témoignaient son élégance moderne et sa vivacité d’esprit. Elle incarnait parfaitement les valeurs du lien social, de la citoyenneté et de la modernité. Son excellence a été consacrée en juillet 2010 quand elle a reçu la croix de Chevalier de la Légion d'Honneur.

C’est pourquoi, pour baptiser cette esplanade en construction (parcelle AL 606, AL 607 et AL 602) au cœur d’un nouveau quartier, Monsieur le maire demande au conseil municipal de lui donner le nom d’« esplanade Simone Couture ».

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

86 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL POUR LE FONCTIONNEMENT DE L'ANTENNE DE JUSTICE

Monsieur le Maire rappelle au conseil municipal que l’antenne de justice de St Maximin fonctionne depuis le 10 octobre 2003.

Ce projet s’inscrit dans le C.L.S.P.D et dans une logique de proximité devant faciliter l’accès au droit et à la justice pour les habitants du bassin de vie.

Le fonctionnement de l’antenne est assuré financièrement en partie par la commune de St Maximin.

Monsieur le Maire rend compte du budget prévisionnel 2013 approuvé par le conseil d’antenne, budget équilibré en recette par une prévision d’une subvention du département d’un montant de 28 000 €.

Il propose donc au conseil municipal de solliciter, comme les années précédentes, l’aide financière précitée auprès du Département.
Cette aide entre dans le cadre de l’aide au fonctionnement de la structure.

Alain Decanis : Je lis dans le budget que la participation de Saint Maximin s'élevait en 2012 à 18 500 €, et cette année à 19 002 € + 17 000 €, soit 36 002 €. Pourriez-vous nous expliquer cet écart ?

Olvier Barrau : Les 17 000 € sont couverts par la mise à disposition du local, l'an dernier on les avait oublié...

Monsieur le Maire : Ca ne fait que 17 000 € de plus...

Alain Decanis : Mais comment peut-on avoir oublié 17 000 € ?

Monsieur le Maire: On passe au vote.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

87 - SIGNATURE D'UNE CONVENTION AVEC L'ASSOCIATION D’AIDE AUX VICTIMES D’INFRACTIONS DU VAR (AAVIV)

Monsieur le Maire donne lecture de la convention formalisant ce partenariat.

Il précise que cette action a été approuvée et budgétée en conseil d’antenne.

Monsieur le Maire demande au conseil municipal de l’autoriser à signer la présente convention.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

88 - COTISATION A L'ASSOCIATION DES MAIRES DU VAR

Monsieur le Maire rappelle que l’assemblée générale des Maires du Var avait voté à l’unanimité le 12 novembre 2005 une cotisation propre à leur structure. Celle-ci est assise sur le montant de la cotisation de l’AMF (référence : INSEE. Population légale totale de l’année N-1) majoré de 34,83 % voté lors de l’assemblée générale réunie le 20 octobre 2012 à Roquebrune sur Argens.

En conséquence, la cotisation de notre commune pour l’année 2013 s’élève à 3 193,15 € se décomposant comme suit :

  • Cotisation AMF : 2 321, 18 € (0,1588 par habitant pour les communes de plus de 600 habitants)
  • Cotisation AMV : 808,47 € (34,83 % de la cotisation AMF)
  • Abonnement revue « Maires de France » : 63,50 €

Monsieur le Maire demande au conseil municipal

  • de reconnaitre l’intérêt pour la commune d’être membre de cette association pour les actions de formation e td’ information prodiguées.
  • de l’autoriser à procéder au paiement de la cotisation pour l’année 2013 d’un montant de 3 193,15 €

Claude Nerin : Pourriez-vous nous indiquer à quoi sert cette association exactement, car le montant de la subvention n'est pas négligeable ?

Monsieur le Maire : Vous aurez le détail demain.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

89- COTISATION 2013 A L'ASSOCIATION NATIONALE DES ELUS DE LA VIGNE ET DU VIN (ANEV)

Monsieur le Maire rappelle que l’association nationale des élus de la vigne et du vin a été créée le 15 juin 1999 par une vingtaine de sénateurs et députés de régions viticoles motivés. A ce jour, elle compte 600 adhérents.
Les objectifs sont :

  • constituer un réseau d’élus de la vigne et du vin au-delà de tout clivage politique et géographique.
  • représenter les intérêts généraux de la vigne et du vin et en particulier des collectivités qui la composent
  • promouvoir le dynamisme du secteur
  • favoriser la concertation, l’échange et le dialogue entre les élus du vin.
  • assurer l’information des élus et des collectivités sur les politiques de législations, de réglementations  mises en œuvre par l’union européenne, l’Etat et les collectivités publiques.

Monsieur le Maire propose d’adhérer à cette association. Le montant de la cotisation pour l’année 2013 s’élève à 320 €.

Monsieur le Maire demande au conseil municipal :

  • De reconnaitre l’intérêt communal des actions menées par cette structure
  • De l’autoriser à procéder au paiement de la cotisation pour l’année 2013 d’un montant de 320 €.

Alain Decanis : Passe encore pour l'association des maires de France, mais une association des élus de la vigne et du vin ! Cette fois vous y allez un peu fort. Même si le montant n'est pas très élevé, comment peut-on demander aux contribuables saint-maximinois, dans une période où on leur demande sans cesse plus d'effort, de mettre la min à la poche pour financer une telle structure ?

La délibération est adoptée par 24 voix "pour" et 9 voix "contre" (les 9 élus du groupe d'opposition)

 

90 - DOTATION GÉNÉRALE DE DÉCENTRALISATION
CONCOURS PARTICULIER DESTINÉ À COMPENSER LES CHARGES QUI RÉSULTENT DE L’ÉLABORATION DES DOCUMENTS D’URBANISME
AUTORISATION À MONSIEUR LE MAIRE DE SOLLICITER UNE DOTATION


La loi n° 83-8 du 7 janvier 1983 relative à la répartition de compétences entre les communes, les départements, les régions et l’État, complétée par celle n° 2000-1208 du 13 décembre 2000 modifiée, relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU), a institué au sein de la dotation générale de décentralisation (DGD) un concours financier destiné à compenser les charges qui résultent, pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), de l’élaboration, la révision ou la modification des documents d’urbanisme. La dotation ne peut être attribuée qu’une fois pour l’élaboration d’un document. L’enveloppe globale est répartie entre les différentes collectivités au cas par cas.

Chaque année, le préfet arrête, après avis du collège des élus de la commission de conciliation, la liste des communes et EPCI, selon un ordre de priorité,  susceptibles de bénéficier de la DGD, en sélectionnant ceux dont le besoin en document d’urbanisme est le plus urgent. L’élaboration et la révision totale de PLU sont prioritaires.

Or, le conseil municipal de la commune a prescrit, par délibération en date du 22 octobre 2008, la révision du Plan d’Occupation des Sols et sa transformation en Plan Local d’Urbanisme.

Pour mener à bien cette mission, la commune a souhaité s’adjoindre les compétences d’un expert en matière d’élaboration de PLU et de conseil aux élus. Cet interlocuteur référent, pilote du projet dans sa globalité, permet d’assurer la cohérence de la procédure. Ainsi, un premier marché à bons de commande d’assistance technique à l’élaboration du PLU a été attribué en avril 2010 pour une durée d’un an renouvelable deux fois. Un second marché a été attribué en avril 2013.

Les années 2010 et 2011 ont été consacrées à la rédaction du plan d’aménagement et de développement durable, débattu en conseil municipal le 30 novembre 2011. L’année 2012 a vu le lancement de la phase 2 qui correspond à la traduction réglementaire du projet urbain (zonage, règlement, etc.) et arrêt du projet de PLU. Suivront la mise en œuvre de la procédure, consultation des PPA et enquête publique, puis d’éventuels ajustements avant approbation par le conseil municipal.

À la date 31 mai 2013, le montant total de la prestation s’élevait à  106 129, 70 € H.T. (126 931, 12 € T.T.C.).

Monsieur le maire demande aux membres du conseil municipal de l’autoriser à solliciter la dotation la plus large possible auprès de l’État au titre du concours particulier destiné à compenser les charges qui résultent de l’élaboration des documents d’urbanisme dans le cadre de la dotation générale de décentralisation.

Stéphane Daddi : Que s'est-il passé exactement entre le 22 octobre 2008, début de la procédure, et avril 2010, date du choix de l'expert ?

Jean François Bart : Nous avons réfléchi 18 mois pour nous mettre d'accord entre nous.

Stéphane Daddi : A la lecture de cette délibération nous avons enfin les éléments, nous permettant d'apprécier le coût et l'état d'avancement du projet, demandés de nombreuses fois. On comprend mieux pourquoi vous ne souhaitiez pas vous étendre sur le sujet !
Pour le moment, les personnes publiques associées (services de l'Etat, Chambres consulaires...) n'ont pas été sollicitées. Nous nous en doutions, car il est impensable que les services de l'Etat acceptent
- de nouvelles ouvertures à l'urbanisation dans les zones agricoles,
- un travail se bornant à transformer les zones Nb en zone U sans densification.
Tout ceci n'est que de la poudre aux yeux et ne peut aboutir ni du point de vue de la réglementation nationale, ni de celle du SCOT.
De fait, nous sommes encore très loin de voir ce document aboutir, et pourtant déjà 126 000 € lui ont été consacrés, bien plus que le coût moyen par habitant (5.50 €/habitant) des communes de la même strate qui ne nous amènerait qu'à 82 500 €...
Et ce n'est pas fini ! l'ardoise va encore s'allonger car il va falloir produire un document conforme avec le SCOT et les demandes des personnes publiques associées.
En fait, presque rien n'a été fait et le plus dur reste à venir !
Comme d'habitude, nous sommes le mauvais élève, non seulement celui qui se trouve au fond de la classe, mais qui en plus mérite le bonnet.

Monsieur le Maire : Passons au vote.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

91 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR RELATIF A LA DECHARGE DE CLASSE III - BUDGET PRINCIPAL

Monsieur le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler le titre n° 74 du 24 janvier 2012 concernant la décharge de classe 3, d’un montant de 320,00 €.
En effet, le tiers débiteur avait été mal renseigné sur le bordereau de décharge, et toutes les recherches afin de l’identifier sont demeurées infructueuses.

Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2013.

Monsieur le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation du titre n° 74 de 2012 pour une somme de 320 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

92 - ANNULATION D'UNE FACTURE D'EAU DU 2ème SEMESTRE 2012

Monsieur  le Maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler la facture d’eau au nom de M SIBONY Albert (changement de contrat non signalé) d’un montant de 85,12 € pour le  2ème semestre 2012.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

93 - DEGREVEMENT DE FACTURES D’EAU DU 1er SEMESTRE 2013  

Monsieur le Maire rappelle au conseil municipal la procédure qui a été retenue et qui consiste à dégrever les factures d'eau (fuites constatées après compteur.)

Cette procédure a fait l'objet d'une délibération le 2 septembre 1994.

Des abonnés (liste jointe) demandent un dégrèvement s'élevant à 65 330.17 € sur leurs factures d'eau du 1er semestre 2013, dont le montant total s'élève à 79 856.11 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

94 - DEGREVEMENT DE FACTURES D’EAU DU 2ème SEMESTRE 2012

Monsieur le Maire rappelle au conseil municipal la procédure qui a été retenue et qui consiste à dégrever les factures d'eau (fuites constatées après compteur.)

Cette procédure a fait l'objet d'une délibération le 2 septembre 1994.

Des abonnés (liste jointe) demandent un dégrèvement s'élevant à 399.36 € sur leurs factures d'eau du 2ème semestre 2012, dont le montant total s'élève à 612.53 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

95 - DEGREVEMENT DE FACTURES D’EAU DU 1er SEMESTRE 2012

Monsieur le Maire rappelle au conseil municipal la procédure qui a été retenue et qui consiste à dégrever les factures d'eau (fuites constatées après compteur.)

Cette procédure a fait l'objet d'une délibération le 2 septembre 1994.

Des abonnés (liste jointe) demandent un dégrèvement s'élevant à 471.24 € sur leurs factures d'eau du 2ème semestre 2012dont le montant total s'élève à 695.60 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

96 - OCTROI SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A MADEMOISELLE ANNE FLORENTIN

Monsieur le Maire informe le conseil municipal que la jeune karatéka Anne Florentin, domiciliée à St Maximin, a gagné de nombreux titres départementaux, régionaux et nationaux.

Elle devrait participer aux championnats d’Europe ainsi qu’aux championnats du monde de karaté.
Les entrainements et les compétitions qui se déroulent généralement très loin, occasionnent des dépenses importantes.

En conséquence, Monsieur le Maire propose d’octroyer à cette jeune athlète une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 000 € afin de l’accompagner dans ses divers déplacements. Ce sera ainsi l’occasion de faire briller les couleurs de St Maximin en France et à l’étranger.
Monsieur le maire demande au conseil municipal

  • de reconnaitre l’intérêt communal de cette démarche
  • de l’autoriser à octroyer une subvention exceptionnelle de 1 000 € à Mademoiselle Anne Florentin

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

97 - OCTROI SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A GREGORY FLAYOLS

Monsieur le Maire informe le conseil municipal que le jeune saint maximinois Grégory Flayols, participe régulièrement à des championnats au niveau national et international en pentathlon moderne, athlétisme et natation.  Il vient d’obtenir le titre de vice-champion de France et devrait se rendre en Russie pour le championnat d’Europe et en Chine pour le championnat du monde.

En 2011, il avait obtenu le titre de champion d’Europe en individuel et par équipe.
Les entrainements et les compétitions qui se déroulent généralement très loin, occasionnent des dépenses importantes.

En conséquence, Monsieur le Maire propose d’octroyer à ce jeune athlète une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 000 € afin de l’accompagner dans ses divers déplacements. Ce sera ainsi l’occasion de faire briller les couleurs de St Maximin en France et à l’étranger.
Monsieur le maire demande au conseil municipal

  • de reconnaitre l’intérêt communal de cette démarche
  • de l’autoriser à octroyer une subvention exceptionnelle de 1 000 € à Grégory Flayols

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

98 - OCTROI SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A MADEMOISELLE JUSTINE VINCENT

Monsieur le Maire informe le conseil municipal que la jeune St Maximinoise Justine Vincent, judoka, vient de terminer 3ème au championnat de France junior.

Elle a participé avec l’équipe de France junior au tournoi de France sélectif aux championnats d’Europe.
Les entrainements et les compétitions qui se déroulent généralement très loin,  occasionnent des dépenses importantes.

En conséquence, Monsieur le Maire propose d’octroyer à cette jeune athlète une subvention exceptionnelle d’un montant de 1 000 € afin de l’accompagner dans ses divers déplacements. Ce sera ainsi l’occasion de faire briller les couleurs de St Maximin en France et à l’étranger.
Monsieur le maire demande au conseil municipal.

  • de reconnaitre l’intérêt communal de cette démarche
  • de l’autoriser à octroyer une subvention exceptionnelle de 1 000 € à Mademoiselle Justine Vincent

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

99 - SUBVENTION AU SECOURS CATHOLIQUE DE ST MAXIMIN

Monsieur le Maire rappelle que par délibération n° 17 du 28 mars 2012, la commune avait, lors de l’attribution des subventions aux associations, octroyée la somme de 800 € au Secours Catholique.
Pour l’année 2013, en raison d’une restructuration du bureau de l’association, aucune demande de subvention n’a été faite auprès de nos services.
Afin de procéder à une régularisation, Monsieur le Maire propose d’accepter la demande de subvention arrivée hors délai et de verser au secours catholique la somme de 800 €.
Monsieur le Maire demande au conseil municipal

  • d’approuver la démarche
  • de l’autoriser à verser au secours catholique de St Maximin la somme de 800 €

La délibération est adoptée à l'unanimité.