Compte rendu du Conseil Municipal du 24 avril 2013 |
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Absents représentés : Blandine Gomart-Jacquet (pouvoir à Alain Decanis) - Alain Mussillon (pouvoir à Jean Michel Zammit) - Jean François Bart (pouvoir à Alain Penal) - Laure Ancolio (pouvoir à Christine Dorgal) - Magali Robert (pouvoir à Liliane Bourel) - Frédéric Lorcet (pouvoir à Véronique Guerin) - Françoise Garbini (pouvoir à Gabriel Rinaudo) - Jean Claude Selez (pouvoir à Jacques Freynet) - Evelyne Sanchez (pouvoir à Nicole Melek) - Jacqueline Brault (pouvoir à Noël Perpoli) |
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Le compte rendu du conseil municipal de la séance précédente est adopté à l'unanimité. |
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IL EST A SIGNALER, QU'UNE NOUVELLE FOIS, SANS LA PRESENCE DES SEPT CONSEILLERS DU GROUPE D'OPPOSITION LE QUORUM N'AURAIT PAS ETE ATTEINT ET LE CONSEIL N'AURAIT PU SE DEROULER | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
31 - RAPPORT DU SYMIELEC Monsieur le Maire rappelle l’article L 1411 du C.G.C.T de la loi du 02 janvier 2002. Conformément aux décrets 95.635 du 06 mai 1995 et 2000-204 du 11 mai 2000, le rapport de l’autorité concédante 2010-2012 est établi. Ce rapport donne des informations très concrètes sur le rôle du Syndicat Mixte de l’Energie des Communes du Var en matière de contrôle de concession dont eRDF a la charge. Le rapport est à la disposition des élus qui souhaitent le consulter au secrétariat général. |
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32 - LE MAIRE ABANDONNE SON POSTE DE DELEGUE TITULAIRE A LA COMMUNAUTE DE COMMUNES Monsieur le Maire ne souhaitant plus être délégué titulaire, propose pour le remplacer au sein du groupe majoritaire, la candidature de Monsieur Jacques FREYNET, lui-même délégué suppléant à la CCSBMA. En conséquence, il est également nécessaire de désigner un nouveau délégué suppléant. Alain Decanis : Jacques Freynet est élu par 24 voix et 9 abstentions. |
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33 - REPRESENTATION DES DELEGUES AU SEIN DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES STE BAUME MONT AURELIEN 2013-2014 Vu l’article L. 2541-12 du code général des collectivités territoriales Vu les articles L. 5211-6 et L.5211-6-1 du code général des collectivités territoriales et l’article 83 de la loi RCT Vu le décret n° 2012-1479 du 27 décembre 2012 authentifiant les chiffres des populations de métropole, des départements d’outre-mer de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de la Réunion, de St Barthélémy, de St Martin et de St Pierre-et-Miquelon Considérant la possibilité offerte par la loi de convenir d’un accord local sur la répartition des sièges des délégués communautaires au sein de la Communauté de Communes Ste Baume Mont Aurélien, notamment en tenant compte de la population. Considérant la nécessité pour les communes membres de la Communauté de Communes Sainte Baume Mont Aurélien de délibérer sur la nouvelle répartition des sièges et des délégués communautaires avant le 30 juin 2013. Considérant que l’accord local entre communes membres de la Communauté de Communes Sainte Baume Mont Aurélien peut légalement désigner jusqu’à 38 délégués communautaires au sein de l’organe délibérant de l’établissement public de coopération intercommunale Il est proposé aux membres du conseil municipal d’approuver, à compter du prochain renouvellement général des conseillers municipaux, la répartition des délégués communautaires au sein de la Communauté de Communes Ste Baume Mont Aurélien selon le tableau ci-dessous :
Gabriel Rinaudo : Alain Decanis : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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34 - REALISATION D’UNE PLAQUE COMMEMORATIVE PARVIS CHARLES II D’ANJOU Monsieur le Maire rappelle que par délibération n° 25 du 27 mars2013, le conseil municipal a approuvé la dénomination de la place de l’Hôtel de Ville « Parvis Charles II d’Anjou ». L’association Santo Madaleno, ayant pour objet le maintien, la mise en valeur et l’organisation des festivités traditionnelles de Sainte Marie-Madeleine ainsi que des manifestations d’arts et de traditions populaires du pays st maximinois souhaite rendre un hommage à Charles II d’Anjou par l’implantation d’une plaque commémorative rappelant brièvement le rôle qu’il joua dans la commune pour la tradition de l’évangélisation de la Provence. La réalisation d’une plaque commémorative doit s’inscrire parfaitement dans le cadre architectural de l’actuelle place sans gêner en quoi que ce soit la vision des bâtiments de la Basilique et de l’Hôtel de Ville. Dans cette optique, l’association Santo Madaleno propose, dans un premier temps, une plaque posée au sol, (encadrant la rosace centrale permettant l’évacuation des eaux), enchâssée à la place des dalles de façon à ne pas dépasser ces dernières en hauteur. C’est donc un ensemble de 4 plaques qui entourera la rosace, faites en laiton CuZn36, écroui, laminé à froid d’une épaisseur de 10/10ème, le texte et les blasons en gravure pleine réalisée par fraisage numérique profondeur 1/10ème. Un devis pour la création et la réalisation de la plaque laiton a été demandé à Myskowski Création (joint en annexe) pour un montant total de 2 480 €. Monsieur le Maire informe le conseil municipal qu’un accord a été passé avec l’association Santo Madaleno en vue de la prise en charge d’une partie du coût de cette réalisation. Monsieur le Maire demande au conseil municipal : - d’approuver l’intérêt communal de cette réalisation, La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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35 - VERSEMENT DE LA COTISATION 2013 A LA FONDATION DU PATRIMOINE Monsieur le Maire rappelle que : - par délibération n° 17 du 24 février 2010, le conseil municipal avait approuvé l’adhésion de la commune à la Fondation du Patrimoine, La cotisation pour 2013 s’élève toujours à 500 €. Il est donc demandé en conséquence au conseil municipal d’autoriser Monsieur le Maire à procéder au versement de la cotisation 2013 d’un montant de 500 €. La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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36 - PARTICIPATION VOLONTAIRE AU FONDS DE SOLIDARITÉ POUR LE LOGEMENT Le Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL), institué par la loi du 31 Mai 1990 modifiée est destiné à accorder des aides financières aux personnes ayant des difficultés pour accéder à un logement locatif décent ou qui, locataires, se trouvent dans l'impossibilité d'assurer leurs obligations. Le FSL permet aussi la mise en place de mesures d'accompagnement social liées au logement des familles. Alain Decanis : Christine Dorgal : Alain Decanis : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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37 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION ANNUELLE DE PARTENARIAT FINANCIER ENTRE LA COMMUNE ET L’O.S.M Monsieur le Maire rappelle la délibération n°17 du 27 mars 2013 par laquelle il a été décidé de verser à l’O.S.M une subvention de 36 000 euros. Le décret n° 2001-495 du 6 juin 2001, pris pour l’application de l’article 10 de la loi n°2000-321 du 12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques, impose, pour le versement des subventions supérieures à 23 000 €, la signature d’une convention annuelle de partenariat financier. Monsieur le Maire donne lecture de la convention jointe en annexe et demande au conseil municipal de l’autoriser à signer la convention précitée. Alain Decanis : Monsieur le Maire : Alain Decanis : Monsieur le Maire : Alain Decanis : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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38 - AUTORISATION DE SIGNATURE D’UNE CONVENTION ANNUELLE DE PARTENARIAT FINANCIER ENTRE LA COMMUNE ET L’OFFICE MUNICIPAL DE LA CULTURE Monsieur le Maire rappelle que, par délibération n° 17 du conseil municipal du 27 mars 2013, il a été décidé de verser à cette association une subvention de 140 000 €. Le décret n°2001-495 du 6 juin 2001, pris pour l'application de l'article 10 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques, impose, pour le versement des subventions supérieures à 23 000 €, la signature d’une convention annuelle de partenariat financier. Claude Nerin : Véronique Guerin : Claude Nerin : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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39 - VERSEMENT D'UNE SUBVENTION EXCEPTIONNELLE A L'ASSOCIATION MEMOIRE D’ARMEE D’AFRIQUE Monsieur le Maire donne lecture d’une demande de subvention émanant de l’association Mémoire d’Armée d’Afrique, destinée à participer au financement d’une sortie à Carcassonne le 19 mai 2013, dans le cadre du 50ème anniversaire de l’arrivée des familles de harkis à St Maximin en 1963. Les frais s’élèvent à : Considérant que ce projet porté par les anciens combattants est d’intérêt communal, Monsieur le Maire propose l’octroi d’une subvention de 800 €. Monsieur le Maire demande au conseil municipal d’approuver l’intérêt communal de cette manifestation et l’octroi d’une subvention d’un montant de 800 €. Alain Decanis : Monsieur le Maire : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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40 - SUPPRESSION DE POSTES Monsieur le Maire informe le conseil municipal qu’un nombre important de postes sont actuellement vacants du fait d’avancements de grade, de promotions internes, de départs à la retraite, d’inaptitude physique. Afin de se mettre en conformité avec les textes qui prévoient que chaque poste figurant en annexe au budget de la commune doit être budgété, il serait souhaitable de les supprimer. En conséquence, Monsieur le Maire demande au conseil municipal, vu l’avis favorable du Comité Technique Paritaire, de supprimer les postes suivants :
La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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41 - CREATION DE POSTES Monsieur le Maire informe le conseil municipal qu’afin d’assurer un bon fonctionnement du service public, il serait souhaitable de créer les postes suivants : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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42 - S. I. V. A. A. D - Autorisation de signature de marchés contractés par l’intermédiaire du S. I. V. A. A. D Monsieur le Maire informe le Conseil Municipal que la commission d’appel d’offres du
Il est demandé au conseil municipal, pour conforter la sécurité juridique de l’action, d’autoriser Monsieur le Maire à signer les actes d’engagement individuels liant chaque fournisseur à la Commune. Monsieur le Maire donne lecture de la liste des marchés attribués et engagés pour 2013 – 2014- 2015. La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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43 - SUBVENTIONS SOLLICITEES AUPRES DU CONSEIL GENERAL DU VAR DANS LE CADRE DU CONTRAT DE TERRITOIRE 2013-2015 Monsieur le Maire informe les membres du Conseil Municipal que l’année 2013 constituera pour le Conseil Général du Var, la première année de mise en œuvre de son Contrat de Territoire 2013-2015. Dans le cadre du contrat de territoire de la Provence Verte, le Département a attribué en 2012 à notre commune une enveloppe financière annuelle de 476 000€. Les investissements proposés à la subvention consistent, pour un montant de 1 798 925.00 € H.T. en des travaux de voirie, d’équipements (sportifs signalétique, décharge classe 3, vidéo-protection) bâtiments (scolaires et communaux). Ils sont caractérisés essentiellement par une volonté de valorisation et de sécurisation de l’espace urbain et du patrimoine communal. Il s’agit d’adapter et de développer les équipements et les infrastructures, tout en préservant l’authenticité et l’harmonie du territoire communal. Ces projets s’inscrivent ainsi dans la démarche départementale en accompagnant les projets structurants engagés sur notre territoire par le Conseil Général du Var. Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal :
Alain Decanis : Monsieur le Maire : Alain Decanis : Monsieur le Maire : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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44 - REDEVANCE POUR OCCUPATION DU DOMAINE PUBLIC ROUTIER ET NON ROUTIER COMMUNAL DUE PAR LES OPÉRATEURS DE COMMUNICATIONS ÉLÉCTRONIQUES Vu le Code général des collectivités territoriales et notamment l’article L.2122-21, Considérant que l’occupation du domaine public communal par des opérateurs de télécommunication donne lieu à des versements de redevances en fonction de la durée de l’occupation, des avantages qu’en tire le permissionnaire et de la valeur locative de l’emplacement occupé. Considérant que les tarifs maxima fixés pour 2006 par le décret n° 2005-1676 étaient les suivants : Pour le domaine public routier : Pour le domaine public non routier : Considérant que ce décret a également fixé les modalités de calcul de la revalorisation à effectuer chaque année, en fonction de l’évolution de la moyenne des quatre dernières valeurs trimestrielles de l’index général relatif aux travaux publics (TP 01). Considérant que les tarifs maxima applicables en 2013 découlent des calculs suivants : Moyenne année 2012 = (Index TP01 de décembre 2011 + mars 2012 + juin 2012 + septembre 2012)/4 = (686,5 + 698,3 + 698,6 + 702,3)/4 = 696,425 Moyenne année 2005 = (Index TP01 de décembre 2004 + mars 2005 + juin 2005 + septembre 2005)/4 = (513,3 + 518,6 + 522,8 + 534,8)/4 = 522,375 D’où un coefficient d’actualisation pour l’année 2013 de 1,33319. Monsieur le maire demande au conseil municipal : Domaine public routier : Domaine public non routier : - de l’autoriser à revaloriser ces montants au 1er janvier de chaque année en fonction de l’évolution de la moyenne de l’index TP 01 de décembre (N-1), mars (N), juin (N) et septembre (N), conformément aux dispositions du décret du 27 décembre 2005. La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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45 - Agence de l’eau rhône méditerrané corse / appel a projet 2013 : lutte contre la pollution pluviale – réseaux d’eau pluviales et d’assainissement des eaux usées : mise en séparatif et réduction des eaux parasites La loi Solidarité et Renouvellement Urbain du 13 décembre 2000 trouve sa source dans le fait que la ville d’aujourd’hui n’est plus celle d’il y a 50 ans. En adéquation parfaite avec ses orientations ainsi qu’avec les politiques départementales et régionales, les élus ont pris toute la mesure des enjeux de la ville d’aujourd’hui, en luttant contre la périurbanisation et le gaspillage de l’espace, en favorisant le renouvellement urbain, et en mettant en œuvre une politique au service du développement durable. Ce souci de préserver les espaces et les ressources est en permanence à l’esprit des décideurs locaux. Pour être éligible aux aides financières de l’Agence de l’eau, toute opération doit procéder d’une cohérence des politiques, être précédée d’une étude préalable de type schéma directeur et être inscrite dans le cadre d’un programme de travaux issu de cette étude. Bien avant les lois Grenelle 1 (2009) et 2 (2010), la commune a adopté dès le 23 avril 2002 un schéma d'assainissement collectif comprenant un descriptif détaillé des ouvrages de collecte et de transport des eaux usées. Avec ce souci de mettre en cohérence les politiques urbaines et environnementales avec les documents de planification, la commune a mis en œuvre un schéma directeur d’adduction d’eau potable en 2006 puis a délibéré pour l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme le 22 octobre 2008. En avril 2008, la commune a réceptionné la nouvelle station d’épuration, anticipant encore les recommandations des lois Grenelle 1 et 2. D’une capacité de 16 000 Eq/hab, et répondant aux orientations du schéma directeur d’assainissement, elle permet d’appréhender sereinement les évolutions urbaines du territoire. Un intérêt du schéma directeur réside dans l’analyse et le diagnostic de l’existant. Des indications de travaux sont données, avec le recensement des points les plus sensibles et les linéaires de réseau les plus vétustes. Le schéma directeur d’assainissement des eaux usées a, notamment, identifié l’entrée d’importantes eaux parasites dans le réseau depuis les secteurs des Fontaines, des Anges et du Réal Vieux. Ces secteurs font partie du recensement de linéaire de réseau à changer en priorité. L’objectif est de réduire les entrées d’eaux parasites dans le réseau d’assainissement des eaux usées, et par conséquent la charge hydraulique de la STEP. Cette réduction des eaux claires parasites passe également par des travaux sur le réseau d’assainissement des eaux pluviales. Afin de réduire le volume d’eaux pluviales strictes collectées dans les réseaux unitaires, il est indispensable de les séparer. Dans ce sens le réseau d’eaux pluviales sera étendu, allée des Cerisiers, chemin de l’Argérie et chemin des Fontaines. La proportion de linéaire de réseau unitaire se trouve historiquement dans le cœur de ville. Les aménagements urbains doivent prendre en compte cette problématique de séparation des réseaux. C’est pourquoi les projets concernent systématiquement la réhabilitation des réseaux d’eau potable, d’assainissement et la création d’un pluvial. L’objet de l’appel à projet 2013 de l’Agence de l’eau de lutte contre la pollution pluviale est d’ouvrir l’accès à des subventions sur tout projet permettant de réduire le volume d’eaux pluviales strictes collecté dans les réseaux unitaires. L’Agence de l’eau fait de la maîtrise des eaux pluviales un enjeu majeur. « Car s’il est relativement facile de prévoir les volumes d’eaux usées domestiques rejetées dans les réseaux d’assainissement, il en va différemment des eaux pluviales dont les brutales variations de débit provoquent des inondations et des déversements d’eaux usées non traitées dans les milieux. L’Agence de l’eau Rhône Méditerranée & Corse soutient depuis toujours les travaux de réduction de la pollution pluviale : mise en séparatif des réseaux, bassins d’orage… dès lors que l’eau de pluie est collectée et mélangée aux eaux usées domestiques. Les projets proposés s’inscrivent parfaitement dans cette démarche de mise en séparatif des réseaux et de réduction des eaux pluviales strictes. Les montants prévisionnels des travaux sont :
Soit un total de 200 000 € H.T. - pour le Réseau d’assainissement des eaux usées :
Soit un total de 85 000 € H.T. Soit un total général de 285 000,00 € H.T. Ces opérations sont également inscrites dans l’appel à projet 2012 de l’Agence concernant le réseau d’eau potable et ont fait l’objet de demande de subvention concernant le réseau d’assainissement des eaux usées. Le plan de financement prévisionnel de l’ensemble de ces projets serait le suivant :
Soit un total de 285 000 € H.T. Monsieur le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :
La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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46 - Agence de l’eau rhône méditerrané corse / appel a projet 2013 : lutte contre la pollution pluviale – Aménagement du parking Raynouard / autorisation à monsieur le maire a solliciter les subventions Le montant prévisionnel de l’ensemble des travaux d'aménagement du parking est de 350 000,00 € H.T. Celui concernant le réseau d’assainissement des eaux pluviales est de 290 000,00 € H.T. La participation financière sollicitée auprès de l’Agence de l’eau est de 44 % du montant de 290 000,00 € H.T. soit 127 600,00 Le plan de financement prévisionnel de ce projet serait le suivant :
Soit un total de 350 000 € Monsieur le Maire demande aux membres du Conseil Municipal :
La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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47 - DELEGATION DE SERVICE PUBLIC PORTANT SUR LA GESTION ET L’EXPLOITATION D’UNE INSTALLATION DEDIEE AU REGROUPEMENT, TRI, RECYCLAGE, ET STOCKAGE DEFINITIF DE DECHETS INERTES ISSUS DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Le Conseil Municipal, Vu Le rapport du Maire de la Commune présentant le document contenant les caractéristiques des prestations que doit assurer le délégataire, conformément à l’article L. 1411-4 du Code Général des Collectivités Territoriales, Sur le rapport du Maire, Considérant Que depuis 15 ans, une partie du site du Rudeau sis sur la Commune de SAINT MAXIMIN (près de 2 ha) est utilisée pour le stockage d’inertes apportés par les habitants et entreprises de SAINT MAXIMIN. Que la Commune de SAINT MAXIMIN souhaite mettre la situation de cette décharge en conformité administrative et envisage de confier à un tiers la gestion d’une installation dédiée à l’accueil des déchets issus du BTP produits sur le territoire de la Communauté de communes SAINTE BAUME MONT AURELIEN (CCSBMA), avec a minima une activité de recyclage d’inertes couplée avec une activité de regroupement, et une activité de stockage définitif d’inertes, sur le site du Rudeau sis Commune de SAINT MAXIMIN dans le département du Var. Que la vocation du site dédié à l’accueil des déchets issus du bâtiment et des travaux publics, est d’offrir un débouché aux entreprises ayant des chantiers ou leur siège social sur le territoire de la CCSBMA avec des tarifs abordables et préférentiels, tout en pérennisant le site par le développement progressif d’une activité de recyclage, et une activité de stockage définitif d’inertes non recyclables. Que ce contrat, d’une durée de 20 ans, se déroulerait en deux phases successives :
Qu’en tant qu’autorité gestionnaire, il appartient à la Commune de SAINT MAXIMIN de se prononcer sur le mode de gestion de l’installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics sis sur le site du Rudeau. Qu’en application du Code Général des Collectivités Territoriales, il appartient au Conseil municipal de déterminer le mode de gestion de ses services publics, Que la convention de service public est un contrat par lequel la personne publique confie la gestion d’un service public dont elle a la responsabilité à un délégataire public ou privé dont la rémunération est substantiellement liée au résultat d’exploitation du service, Que ce mode délégation présente un réel intérêt pour la Commune, Monsieur le Maire demande au conseil municipal Article 1 : D’approuver le principe de la délégation de service public pour la gestion et l’exploitation d’une installation dédiée au regroupement, tri, recyclage, et stockage définitif de déchets inertes issus du bâtiment et des travaux publics Article 2 : D’approuver le contenu des caractéristiques des prestations que doit assurer le délégataire, telles qu’elles sont définies dans le rapport sur le choix du mode de gestion, étant attendu qu’il appartiendra ultérieurement au Maire de la Commune de SAINT MAXIMIN d’en négocier les conditions précises conformément aux dispositions de l’article L. 1411-1 du Code Général des Collectivités Territoriales. Article 3 : D’autoriser le Maire de la Commune de SAINT MAXIMIN à engager la procédure de consultation et à accomplir tous les actes préparatoires et adopter toutes les mesures utiles à la passation du contrat de délégation de service public et à entreprendre avec un ou des candidats ayant remis une offre la négociation des conditions de gestion du service pour présenter au Conseil municipal celles des offres remplissant au mieux les conditions de la consultation. Alain Decanis : Monsieur le Maire : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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48 - APPROBATION DE LA MODIFICATION DU POS PROJET PARC ACTIVITES MONT AURELIEN (PAMA) Monsieur le Maire rappelle au Conseil Municipal que la commune de Saint Maximin la Sainte Baume dispose d’un POS approuvé depuis 1977. La dernière révision générale de ce POS a été approuvée en 1993. Depuis lors, le POS a fait l’objet d’une révision partielle (approuvée en 2000), de modifications et d’une révision simplifiée (approuvée en 2009). Le Conseil Municipal a par délibération en date du 22 octobre 2008 prescrit la révision du POS et sa transformation en PLU. Indépendamment de l’avancée du PLU, il a été décidé de procéder à une nouvelle procédure de modification du POS, conformément aux dispositions du dernier alinéa de l’article L.123-13 du Code de l’Urbanisme qui précise « qu’entre la mise en révision d'un plan local d'urbanisme et l'approbation de cette révision, il peut être décidé (…) une ou plusieurs modifications. » Monsieur le Maire précise que la modification engagée avait pour objectif la mise en cohérence du zonage de la zone d’urbanisation future 4NA avec le projet du parc d’activités économiques communautaire du Mont Aurélien (PAMA) Monsieur le Maire rappelle les dispositions de l’article L.123-13 du Code de l’Urbanisme définissant le champ et le régime de la procédure de modification d’un P0S : « La procédure de modification est utilisée à condition que la modification envisagée : Monsieur le Maire rappelle l’arrêté du 19 avril 2012 prescrivant l’enquête publique sur le projet de modification, enquête publique qui s’est tenue du 21 mai 2012 au 22 juin 2012 inclus et pour laquelle Monsieur Ducatillon avait été désigné commissaire-enquêteur par décision du Tribunal Administratif de Toulon du 2 avril 2012. Monsieur le Maire rappelle les notifications du dossier de modification aux personnes publiques associées et consultées, notification prévue par l’article L.123-13 du Code de l’Urbanisme Il précise que dans le cadre de ces notifications deux avis ont été reçus par la commune : Suite à ces rappels, Monsieur le Maire explique au Conseil Municipal que le Commissaire Enquêteur a rendu son avis en date du 3 juillet 2012. Le Commissaire Enquêteur a émis un avis favorable au projet de modification du POS pour la mise en cohérence du zonage avec le projet de parc d’activités communautaire du Mont Aurélien, avec la recommandation de veiller à appliquer et à réaliser toutes les mesures environnementales énumérées dans le dossier d’enquête publique. Suite à ces rappels et à ces explications et au terme de cette enquête publique et de l’avis favorable du Commissaire Enquêteur, la modification du POS était approuvée par une délibération en date du 31 octobre 2012. Cette délibération a fait l’objet d’un recours contentieux actuellement pendant devant le Tribunal Administratif de Toulon. Considérant que, dans la mesure où certains arguments développés dans le cadre de cette requête étaient susceptibles de prospérer devant le juge administratif et d’entraîner l’annulation de la délibération du 31 octobre 2012, il était indiqué que, dans un souci de sécurité juridique, il convenait de procéder au retrait de cette délibération. Considérant que cette délibération a fait l’objet d’un retrait suivant délibération en date du 27 mars 2013. Considérant qu’il convient désormais de procéder à l’approbation de la modification du POS relative au projet Parc Activités Mont Aurélien (PAMA). Entendu l’exposé, Monsieur le Maire, Demande au conseil municipal d'approuver le dossier de modification du POS tel qu’annexé à la présente délibération, Précise que conformément aux dispositions des articles R 123-24 et R 123-25 du Code de l'Urbanisme : Le POS modifié est tenu à la disposition du public à la Mairie aux jours et heures habituels d'ouverture, ainsi qu'à la Sous-Préfecture de Brignoles. Stéphane Daddi : Alain Decanis : Gabriel Rinaudo : Alain Decanis : La délibération est adoptée à la majorité par 24 voix "pour" et 9 voix "contre". |
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Note explicative de synthèse Monsieur le Maire rappelle au Conseil Municipal que la commune de Saint Maximin la Sainte Baume dispose d’un POS approuvé depuis 1977. La dernière révision générale de ce POS a été approuvée en 1993. Depuis lors, le POS a fait l’objet d’une révision partielle (approuvée en 2000), de modifications et d’une révision simplifiée (approuvée en 2009). Le Conseil Municipal a par délibération en date du 22 octobre 2008 prescrit la révision du POS et sa transformation en PLU. Indépendamment de l’avancée du PLU, il a été décidé de procéder à une nouvelle procédure de modification du POS, conformément aux dispositions du dernier alinéa de l’article L.123-13 du Code de l’Urbanisme qui précise « qu’entre la mise en révision d'un plan local d'urbanisme et l'approbation de cette révision, il peut être décidé (…) une ou plusieurs modifications. » Monsieur le Maire précise que la modification engagée avait pour objectif la mise en cohérence du zonage de la zone d’urbanisation future 4NA avec le projet du parc d’activités économiques communautaire du Mont Aurélien (PAMA) Monsieur le Maire rappelle les dispositions de l’article L.123-13 du Code de l’Urbanisme définissant le champ et le régime de la procédure de modification d’un P0S : « La procédure de modification est utilisée à condition que la modification envisagée : Monsieur le Maire rappelle l’arrêté du 19 avril 2012 prescrivant l’enquête publique sur le projet de modification, enquête publique qui s’est tenue du 21 mai 2012 au 22 juin 2012 inclus et pour laquelle Monsieur Ducatillon avait été désigné commissaire-enquêteur par décision du Tribunal Administratif de Toulon du 2 avril 2012. Monsieur le Maire rappelle les notifications du dossier de modification aux personnes publiques associées et consultées, notification prévue par l’article L.123-13 du Code de l’Urbanisme Il précise que dans le cadre de ces notifications deux avis ont été reçus par la commune :
Suite à ces rappels, Monsieur le Maire explique au Conseil Municipal que le Commissaire Enquêteur a rendu son avis en date du 3 juillet 2012. Le Commissaire Enquêteur a émis un avis favorable au projet de modification du POS pour la mise en cohérence du zonage avec le projet de parc d’activités communautaire du Mont Aurélien, avec la recommandation de veiller à appliquer et à réaliser toutes les mesures environnementales énumérées dans le dossier d’enquête publique. Suite à ces rappels et à ces explications et au terme de cette enquête publique et de l’avis favorable du Commissaire Enquêteur, la modification du POS était approuvée par une délibération en date du 31 octobre 2012 puis rapportée par une délibération en date du 27 mars 2013. En effet, cette délibération a fait l’objet d’un recours contentieux actuellement pendant devant le Tribunal Administratif de Toulon. Considérant que, dans la mesure où certains arguments développés dans le cadre de cette requête étaient susceptibles de prospérer devant le juge administratif et d’entraîner l’annulation de la délibération du 31 octobre 2012, il était indiqué que, dans un souci de sécurité juridique, il convenait de procéder au retrait de cette délibération. Par une délibération du 27 mars 2013, la délibération du 31 octobre 2012 a donc été retirée. Ce retrait a eu pour objet de régulariser un éventuel vice de procédure qui aurait pu donner lieu à une annulation contentieuse de la délibération soumise à la censure du juge administratif Considérant qu’il convient désormais de procéder à l’approbation de la modification du POS relative au projet Parc Activités Mont Aurélien (PAMA). |
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49 - ANNULATION DE TITRE SUR EXERCICE ANTÉRIEUR RELATIF A LA FOURRIERE AUTOMOBILE - BUDGET PRINCIPAL Monsieur le maire expose au conseil municipal qu’il conviendrait d’annuler partiellement le titre n° 1414 du 3 décembre 2012 de la régie municipale de recettes de la fourrière automobile, pour une somme de 110,00 €, pour cause de chèque impayé. Ce titre ayant été émis sur un exercice budgétaire antérieur, son annulation partielle revient à émettre un mandat au compte de charges 673, sur lequel des crédits ont été ouverts au budget primitif 2013. Monsieur le maire informe le conseil municipal que, dans le même temps, afin de recouvrer cet impayé, un titre de 110 € sera émis sur l’exercice 2013 au compte de produit 70688 à l’encontre du débiteur concerné. Monsieur le maire demande au conseil municipal de l’autoriser à procéder à l’annulation partielle du titre n° 1414 de 2012 pour une somme de 110 €. La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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50 - ADMISSION EN NON VALEUR SUR LE SERVICE DE L’EAU La trésorerie dont dépend la commune propose à Monsieur le maire l’état de produits irrécouvrables suivant :
Pour pouvoir être validée, l’admission en non-valeur de ces sommes doit être soumise au vote du conseil municipal, qui l’accepte ou la refuse totalement ou partiellement. Monsieur le maire demande au conseil municipal de se prononcer sur l’admission en non-valeur des créances détaillées ci-dessus. La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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52 - APPROBATION DU REGLEMENT INTERIEUR DE LA RESTAURATION SCOLAIRE Monsieur le Maire rappelle que par délibération n° 92 du 27 juin 2012, le conseil municipal avait approuvé le règlement intérieur de la restauration scolaire. Une modification a été apportée à celui-ci concernant l’utilisation du téléphone portable. En conséquence, Monsieur le Maire demande au conseil municipal d’approuver le règlement intérieur de la restauration scolaire modifié tel que joint en annexe (voi ci-dessous). Jean Michel Zammit : La délibération est adoptée à l'unanimité. |
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RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA RESTAURATION SCOLAIRE Chapitre I – DISPOSITIONS GÉNÉRALES Le service des restaurants scolaires ne constitue pas une obligation légale pour les communes (circulaire ministérielle du 13 avril 1988), mais un service public facultatif que la Commune de Saint Maximin a choisi de rendre aux familles. Le présent règlement a pour objet de définir les conditions et modalités suivant lesquelles se déroule le service de la restauration scolaire. Il définit également les rapports entre les usagers et la commune. Chapitre II – MODALITÉ D'ACCÈS AU SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE Article 1 : ACCUEIL DES ENFANTS Pour des raisons de sécurité et dans le respect de la réglementation, les enfants ne pourront être accueillis au-delà de la capacité d’accueil de chaque restaurant scolaire. Lorsque la capacité sera atteinte, les inscriptions seront closes sans avis. Chaque cas particulier sera étudié en fonction de l’urgence. Article 2 : LOCAUX ET ENCADREMENT Les élèves sont accueillis dans le restaurant scolaire de leur école. Le temps de restauration est organisé avec les horaires des écoles. Article 3 : MODALITÉS ADMINISTRATIVES Paiement de la prestation restauration Le paiement du repas doit être effectué 8 jours avant consommation,
Feront l’objet de report les repas non pris :
Article 4 : DISCIPLINE La discipline est identique à celle qui est exigée dans le cadre ordinaire de l’école, à savoir :
Tout comportement d’indiscipline perturbant le déroulement du service est porté à la connaissance des Services Scolaires, lesquels saisissent la famille. En cas de faits ou d’agissements exprimés notamment par :
Des mesures pourront être prises telles que :
La possession d'un téléphone portable reste de la seule responsabilité du propriétaire. En cas de perte, vol où dégradation de l'appareil, la municipalité décline toute intervention et responsabilité. Article 5 : ASPECT MÉDICAL Allergies alimentaires : Pour les enfants présentant une allergie alimentaire, les restaurants municipaux appliquent la circulaire du 8 septembre 2003, relative à l’accueil en collectivité des enfants atteints de troubles de la santé. Les parents doivent faire une demande de P.A.I (Projet d’Accueil Individualisé) auprès de la Direction de l’école qui saisit la Médecine Scolaire. Un P.A.I est alors rédigé par le médecin scolaire permettant la fourniture d’un panier repas par les parents. Sans instruction officielle, aucun régime alimentaire ne peut être pris en compte. Substitut alimentaire : Des substituts à la viande porcine sont proposés lorsque celui-ci est servi en restaurant. La demande doit être précisée dans le dossier d’inscription à chaque début d’année scolaire. Article 6 : CHANGEMENTS Tout changement de situation familiale en cours d’année, numéro de téléphone ou autre, relatif au dossier d’inscription de l’enfant doit être porté à la connaissance des Services Scolaires immédiatement. Article 7 : ACCEPTATION DU RÈGLEMENT L’inscription vaut acceptation du présent règlement. Article 8 : EXÉCUTION Le présent règlement intérieur sera affiché en Mairie et transmis aux services de l'État. Il entrera en vigueur dès son affichage en Mairie conformément à l’Article L2131-1 C.G.C.T. |
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Alain Decanis : Monsieur le Maire : Claude Nerin : Monsieur le Maire : |