COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 31 MARS 2010

 
Absent représenté : Didier Galizzi (pouvoir à Alain Decanis)
 
Le PV de la séance précédente est adopté à l'unanimité.
 

Monsieur le Maire présente ses décisions et arrêtés pour le premier trimestre.

A une question de Claude Nerin, il répond que les algécos de Paul Barles vont être reconditionnés cet été afin de pouvoir être utilisés la saison prochaine comme vestiaire pour le rugby.

 

23 - VOTE DES TAUX D’IMPOSITION 2010

Il est proposé les taux suivants (identiques à 2009) :
14.85 % pour la taxe d’habitation (produit attendu : 2 753 951 €)
23.17 % pour la taxe foncière sur les propriétés bâties (produit attendu : 3 152 047 €)
94.96 % pour la taxe foncière sur les propriétés non bâties (produit attendu : 163 236 €)

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

24 - VOTE DU BUDGET PRIMITIF 2010 DE LA COMMUNE

SECTION DE FONCTIONNEMENT

RECETTES DE FONCTIONNEMENT : 13 402 196 €
- impôts et taxes (dont contributions directes 5 889 234 €, compensation de la communauté communes 1 292 000 €, taxe sur l'électricité, publicité ...) : 8 203 590 €
- dotation et participation (Etat) : 4 004 159 €
- produit du domaine : (cantines, marchés ...) : 624 100 €
- atténuation de charges + Opérations d'ordre (remboursement rémunération du personnel...) : 182 781 €
- revenus immeubles (loyer EHPAD, ...) : 387 566 €

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT : 13 402 196 €
- charges à caractère général (énergie, alimentation, contrats, transports collectifs, gardiennage, ...) : 2 613 212 €
- personnel : 7 201 340 €
- autres charges de gestion courante (contributions aux organismes, CCAS, subventions aux associations, service incendie, indemnités...) : 1 768 030 €
- charges financières (intérêts de la dette) : 495 000 €
- titres annulés : 3 000 €
- amortissements : 321 614 €
- virement à la section d'investissement : 1 000 000 €

SECTION D'INVESTISSEMENT

RECETTES D'INVESTISSEMENT : 6 561 562.29 €
- subventions (Etat, région, département...) : 1 868 926 €
- emprunts : 2 333 984.77 €
- Fonds de Compensation de la TVA (récupération de la TVA payée à l'Etat l'année précédente) : 531 000 €
- Taxe Locale d'Equipement : 498 723 €
- virement de la section de fonctionnement : 1 000 000 €
- opérations d'ordre : 321 614 €
opérations patrimoniales : 7 314.52 €

DEPENSES D'INVESTISSEMENT : 6 561 562.29 €
- immobilisations incorporelles (études, ...) : 267 717.77 €
- subventions d'équipement versées : 23 920 €
- immobilisations corporelles (acquisitions foncières, ...) : 547 192 €
- immobilisations incorporelles (constructions, installations,...) : 3 820 012 €
- remboursement du capital de la dette : 1 882 000 €
- opérations d'ordre : 20 720.52€

Intervention d'Alain Decanis :

Dans la présentation du budget, vous prétendez que les dépenses de fonctionnement restent maîtrisées.
Pour étayer votre argumentation vous mettez en avant que les dépenses de fonctionnement par habitant sont de 813 € contre 1056 € pour la moyenne de la strate, soit 24.3% de moins. C’est vrai, mais pour que cela ait un sens il convient également de comparer les recettes par habitant qui sont de 901 € à Saint Maximin contre 1 255 € pour la moyenne de la strate, soit 28.2%. Cela amène à relativiser l’affirmation initiale.
D’autant plus qu’un peu plus loin on peut lire que nos dépenses de fonctionnement + dette en capital pour la première fois dépassent nos recettes de fonctionnement. Elles représentent 104.3% des recettes de fonctionnement contre 92.7% pour les communes de la même strate. Pour fixer les idées elles n’étaient que de 99.2% l’an dernier.
Les dépenses de personnel qui s’élevaient l’an dernier à 56.72% des recettes de fonctionnement, représentent cette année 59.6%, contre 55.8% dans les communes de la même strate.
Vous nous parlez d'un prélèvement très fort pour financer nos investissements. Pour satisfaire aux exigences de la loi il faut couvrir avec des recettes sures et définitives la dette en capital (soit 1 882 000€). A Saint Maximin, pour y parvenir, il faut ajouter au prélèvement de 1 000 000 €, le Fonds de Compensation de la TVA (531 000 €) et la TLE (498 000 €). Autrement dit, avec un prélèvement de 1 000 000 €, nous ne dépassons que de 147 000 € le minimum à partir duquel le budget serait rejeté par le contrôle de légalité. Vraiment pas de quoi pavoiser !
Tous ces éléments nous amènent à penser que, contrairement aux affirmations, on continue allègrement à laisser filer les dépenses de fonctionnement au détriment des investissements.
De façon plus générale :
Lors du Débat d’Orientation Budgétaire, vous nous avez indiqué que pour financer la politique d’investissement de la commune cette année, il était prévu un recours à l’emprunt de l’ordre de 1 000 000 €.
Je vous ai fait remarquer que, compte tenu de la structure du budget, cela revenait à annoncer que nos investissements 2010 se limiteraient à goudronner quelques chemins et parkings, et à entretenir les bâtiments communaux.
Entre temps, je ne sais suite à quelle intervention,  les cartes ont été redonnées !
Sur le budget que vous nous présentez aujourd’hui, je lis que le montant de l’emprunt projeté n’est plus de 1 000 000 € mais de 2 334 000 €.
Cela va permettre d’afficher un programme de travaux un peu plus présentable pour une commune de 16 000 habitants, soit environ 4 600 000 €, mais à quel prix ?
Pour financer 4 600 000 € de travaux on va devoir emprunter 2 300 000 €, soit 50% de l’investissement. Va-t-on pouvoir continuer longtemps à ce régime ?
La réalité est que le budget d’une commune dépend pour une large part des recettes qu’elle a été capable de générer par sa gestion durant les années passées, et de côté-là on peut se poser des questions.
Pour donner un ordre d’idée, comparons les recettes de la commune de Saint Maximin et celui d’une ville de taille comparable : Brignoles.
Les recettes de fonctionnement de Saint Maximin pour 2010 sont de 13 400 000 €.
Celles de Brignoles s’élèvent à 24 000 000 €. Pas loin du double…
Les dépenses d’investissement projetées à Saint Maximin pour 2010, après réajustement, sont évaluées à 6 500 000 €.
Celles inscrites sur le budget de Brignoles s’élèvent à 23 700 000 €. Près du quadruple !
Pourquoi de tels écarts ?
L’an dernier on nous a dit que cela provenait des bases plus faibles à Saint Maximin.
Alors je me suis penché sur le produit des trois taxes pesant sur les ménages :
A Brignoles elles génèrent 6 740 000 €.
A Saint Maximin 5 890 000 €. Soit 850 000 € en notre défaveur, toujours pas de quoi expliquer l’écart constaté.
Concernant les subventions du département et de la région, nous percevons à peu près les mêmes montants !
Alors j’ai comparé la dotation de compensation versée par l’intercommunalité et générée la Taxe Professionnelle. Et là c’est édifiant !
Brignoles perçoit 6 468 000 €.
Saint Maximin 1 292 000 €.
Soit un écart de 5 176 000 € de recettes par an ! Cela suffit à expliquer tout le reste.
En réalité tout cela n’est que la conséquence de la façon dont la commune est gérée depuis des années, et la suppression de la taxe professionnelle risque encore d’amplifier le phénomène car elle va être remplacée par une contribution économique territoriale indexée pour une large part sur la valeur ajoutée.
En multipliant les zones commerciales, on a privilégié le business de quelques uns, souvent au détriment du centre-ville et de nos espaces verts, mais sans créer beaucoup de richesses.
Il devient maintenant urgent de renverser la vapeur en engageant une véritable politique économique visant à implanter des entreprises à forte valeur ajoutée, génératrices de richesses et d’emplois pour la collectivité, tout en préservant notre environnement.
La lecture des documents budgétaires montrent que la commune s’appauvrit.
Si nous continuons ainsi, dans les années à venir la situation financière va être de plus en plus tendue. Cela va nous conduire à entrer dans une période ou l’austérité sera la règle et notre capacité d’investissement quasiment réduite à néant. C’est la raison pour laquelle nous nous prononcerons contre ce budget, car il n’est que le reflet d’une politique qui nous amène à la fois à une paupérisation de la commune et à une dégradation de notre cadre de vie. Et ça nous ne voulons pas le cautionner.

Monsieur le Maire reproche à l'opposition de s'opposer à la réalisation de la zone intercommunale.

Christine Dorgal ajoute que la commune de Brignoles va augmenter ses impôts ce que ne fait pas Saint Maximin.

Alain Decanis répète que le groupe d'opposition est favorable à un développement économique réfléchi et non pour le business dévoreur d'espaces, ce qui sera le cas de la future zone projetée entre Saint Maximin et Ollières. Concernant Brignoles il rappelle que, même après une augmentation importante, les taux des trois taxes seront encore plus faibles qu'à Saint Maximin, mais que l'important n'est pas là, mais plutôt de tenter de comprendre pourquoi leur budget est pratiquement le double du nôtre.

La budget est adopté par 24 voix pour et 9 contre.

 
25 - VOTE DES BUDGETS PRIMITIFS 2010 DE L'EAU ET DE L'ASSAINISSEMENT

Le montant de la section de fonctionnement du budget de l'eau s'élève à 1 771 663.87 €.
Le montant de la section d'investissement du budget de l'eau s'élève à 1 045 763.87 €.

Le montant de la section de fonctionnement du budget de l'assainissement s'élève à 1 167 063.40 €.
Le montant de la section d'investissement du budget de l'assainissement s'élève à 1 013 893.92 €.

Alain Decanis demande quels sont les travaux qui sont projetés.

Il lui est répondu qu'on fera des interventions sur les réseaux lorsqu'on refera des chemins.

Alain Decanis explique que voter un budget c'est ce prononcer sur un engagement de dépenses. Comment peut-on voter si l'on ne connait pas la nature des travaux projetés ?

Monsieur le Maire finit par indiquer qu'il envisage de reprendre la conduite d'eau du chemin de Berne, et de poursuivre l'extension du réseau d'assainissement jusqu'en haut de l'Argérie.

Parce qu'ils ne parviennent pas à en savoir plus, les neuf élus de l'opposition s'abstiennent. Le budget est voté avec une majorité de 24 voix.

 

26 - SUBVENTIONS AUX ASSOCIATIONS POUR 2010

Il est proposé de voter la répartition suivante :

Associations
Libellé
 BP 2010 
 Subvention 
 exceptionnelle 
  pour 2 010  
ASSOCIATIONS COMMEMORATIVES
CCACVG (LACROIX) victimes guerre
2 600  
ADCVR résistants
350  
Association Mémoire d'Afrique anc.combattants
350  
Amicale anciens marins anc.combattants
350  
AVAC anc.combattants
350  
FNACA anc.combattants
350  
600  
Médaillés militaires anc.combattants
350  
Rhin et Danube anc.combattants
350  
Le Souvenir Français anc.combattants
350  
Fédération Nationale Anciens combattants de moins de 20 ans anc.combattants
150 
 
ASSOCIATIONS SANTE SOLIDARITE
Croix rouge social
550  
CAS empl communaux
18 000  
Don du sang santé
300  
AVIV victimes accidents
150  
Age d'or personnes âgées
2 000  
650  
Ligue contre cancer santé
230  
Union départementale des pompiers sce.incendie
150  
Ligue des droits de l'homme liberté
300  
Secours catholique social
550  
Secours populaire social
550  
Le Sens du Projet solidarité
1 350  
Hippotera social
500  
S'entretenir social
200  
ARTEAI santé
180  
Amicale des pompiers service incendie
3 800  
CCFF service incendie
1 200  
M.A.S solidarité
1 000  
Pari T Saint Maximin solidarité
500  
ASS LOISIRS ET DIVERS
Amicale Nord Sud loisirs
1 160  
Tarot Club loisirs
150  
Envie Bio santé
400  
 ASA agriculture
5 500  
Les amis des animaux loisirs
4 800  
Cercle philharmonique loisirs
1 000  
Société de chasse loisirs
1 000  
Comite de jumelage culturel
9 000  
Comité des fêtes culturel
18 500  
Décorés du travail travail
300  
Les doigts de fée loisirs
500  
GRU 560 quartier
300  
Radio ste Baume information
2 000  
Prevention routiere prévention
150  
Aminop culturel
150  
Fête et partage loisirs
200  
ASSOCIATIONS SPORTIVES  
Aïkido sport
700  
   
A-Pédibus sport
150  
Art scène danse loisirs
800  
Aredanse loisirs
800  
Athlétic basket club sport
4 000  
A.S.M.V.T.C (viet tai chi) sport
300  
Association sportive du lycée (UNSS) scolaire
500  
Boule provençale loisirs
12 000  
   
Boxe française sport
700  
Cercle des nageurs sport
4 600  
Club de bridge loisirs
2 000  
Club cycliste sport
400  
Club gymnique sport
1 000  
Ecole boxe anglaise sport
700  
1 000  
Ecole viet arts martiaux sport
900  
Ecole de judo sport
800  
Hand Ball sport
2 000  
Judo club sport
1 600  
2 700  
Mohicans sport
1 500  
             
Moto club ste Baume loisirs
1 200  
O.S.M sport
29 000  
Pack à grimpe sport
300  
Plaisir du sport sport
300  
1 000  
Roller skating sport
4 600  
Rugby Saint Maximinois XV sport
6 500  
Saint Max Athletic Club (SMAC) sport
4 000  
Saint Max futsal sport
1 500  
Saint Max gym sport
2 200  
Saint Max system majorettes sport
3 000  
Speedminton sport
300  
Tae kwon do club varois sport
800  
               500  
Tennis club municipal sport
2 000  
Tennis de table sport
1 000  
Tou azimuts sport
200  
USEP J. Moulin scolaire
534  
USEP  Grand Pin scolaire
426  
Asso sportive Marie Madeleine scolaire
534  
ASLSM Collège Matisse scolaire
500  
V.T.T sport
750  
Volley club sport
300  
Yoga sport
500  
ASSOCIATIONS CULTURELLES
ALEN folklorique
3 000  
2 000  
Académie orgue culturel
1 500  
Aïna culturel
400  
Amis de la Basilique culturel
800  
Arc en ciel loisirs
400  
Archipel des arts loisirs
400  
Artemporel loisirs
400  
Ateliers culturels (ACSM) culturel
800  
Au panier des arts culturel
400  
Ass. Commerçants entraide
4 600  
Escapade Théatrale loisirs
300  
Eurasie culturel
500  
Fous Rires loisirs
300  
La voix aurélienne loisirs
2 000  
1 000  
La Madalenenco culturel
150  
Music 'oll loisirs
300  
Notre bibliothèque culturel
1 500  
O. M. C. T. culturel
70 000  
Office tourisme culturel
14 500  
Saga théâtre loisirs
300  
St Maximin Orchestra culturel
400  
Santo Madaleno folklorique
2 500  
15 000  
ASSOCIATIONS LIEES A L'ENSEIGNEMENT
Ass. Leap scolaire
2 500  
   
Ecole Marie Madeleine scolaire
48 924  
Foyer socio-éducatif du lycée scolaire
2 000  
Chambre des Métiers / CFA travail
300  
D.D.E.N. scolaire
150  
F.O.L. culturel
400  
ASSOCIATIONS VIE QUARTIER, FAMILIALE, SOCIALE
Calinours petite enfance
150  
La Maison de l'Enfance loisirs maternelle
12 000  
Centre social M. Bidouré social
62 000  
   
Agissez dans votre ville quartier
500  
Alcool assistance santé
500  
CDAD entraide
7 000  
Atelier informatique (AISM) loisirs
400
Saint Max accueil culturel
3 000  
ASEPARG entraide
58 000  
TOTAL
481 338  
24 450  

Blandine Gomart Jacquet demande quelq sont les critères qui ont permis de répartir les subventions attribuées aux associations sportives et quels sont les montants demandés.

Serge Langlet explique que l'on prend en compte les montants attribués l'année précédente et qu'on les revalorise en tenant compte d'une part du nombre de jeunes et d'autre part des dépenses engendrées pour indemniser les éducateurs.

Blandine Gomart Jacquet dit qu'elle ne comprend toujours pas la différence de traitement entre le Basket et le Hand qui comptent à peu près le même nombre de jeunes de Saint Maximin.

Il lui est répondu que si le Hand a moins c'est parce que l'association est moins ancienne...

Monsieur le Maire ajoute que tout le monde est satisfait !

Alain Decanis tient à faire remarquer que sur la dotation de 500 000 € annoncée pour les associations, en fait la moitié est versée à quatre structures qui sont des services publics ou scolaires (école privée Sainte Madeleine, ASEPARG, Office Municipal de la Culture, Centre Social), et que les véritables associations ne bénéficient que de 250 000 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

27 - FRAIS DE FONCTIONNEMENT DE L' ECOLE MARIE MADELEINE, ECOLE ELEMENTAIRE SOUS CONTRAT D’ASSOCIATION

Monsieur le Maire rappelle que par délibération n° 313 du 25 juin 2003, le Conseil Municipal avait émis un avis favorable concernant :

  1. la passation d’un contrat d’association avec la section élémentaire de l’Ecole Marie-Madeleine
  2. un avenant à la convention initiale (contrat simple) pour les élèves domiciliés sur la Commune et fréquentant l’école maternelle précisant que la participation de la Commune était maintenue à 228,68 € (1 500,00 F).

Monsieur le Maire précise que la fréquentation de l’école Marie-Madeleine était en 2008/2009 de 56 élèves domiciliés sur la commune en classes maternelles et 94 en classes élémentaires. Pour l’année scolaire 2009/2010 cette fréquentation est de 59 élèves en classes maternelles et 90 élèves en classes élémentaires.

Monsieur le Maire rappelle l’article 7 du décret 85.728 du 12 juillet 1985 où il est précisé : « la Commune siège de l’établissement est tenue d’assumer, pour les élèves domiciliés dans la Commune et dans les mêmes conditions que pour les classes élémentaires publiques, les dépenses de fonctionnement des classes sous contrat ».

Au regard de la circulaire n° 2007 – 142 du 27/08/2007 en application de la loi n° 2004 – 809 du 13/08/2004 parue au bulletin officiel n° 31 du 06/09/2007 du Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, signée conjointement par les directeurs des cabinets des ministres de l’Education Nationale et de l’Intérieur, les services de la Commune ont actualisé le coût de fonctionnement d’un élève de l’école élémentaire publique sur la base des frais de fonctionnement de l’année 2008 conformément au Compte Administratif de l’année 2008.

Le montant des frais de fonctionnement en 2008 pour les élèves des écoles élémentaires publiques était de 431 099.15 € pour 1095 élèves, soit 393.69 € par enfant.

Monsieur le Maire rappelle que le montant de la contribution communale s’évalue à partir des dépenses de fonctionnement relatives à l’externat des écoles publiques correspondantes et inscrites dans les comptes de la Commune. Ce sont :

  1. les frais d’entretien, de contrôle technique réglementaire des locaux, des aires de jeux et sportives
  2. les frais d’EDF, de téléphone, d’eau et d’assurances
  3. les dépenses de fournitures scolaires, pédagogiques et de matériel collectif d’enseignement
  4. la location des photocopieurs et la maintenance du matériel informatique et des réseaux afférents
  5. les coûts de transports liés aux activités  scolaires
  6. les dépenses occasionnées par les intervenants extérieurs chargés d’assister les enseignants
  7. les frais de personnel pour l’entretien des locaux scolaires. Sont exclues les dépenses occasionnées par la surveillance de la cantine, des garderies et du transport scolaire

Monsieur le Maire propose en conséquence que le montant du forfait pour l’année scolaire 2009-2010, soit de 393.69 € pour les élèves domiciliés dans la Commune et fréquentant la section élémentaire de l’Ecole Marie-Madeleine et de 228,68 € pour la participation forfaitaire pour les élèves de la section maternelle.

Monsieur le Maire précise que les sommes résultant de cette dépense pour l’année 2010 sont prévues au BP 2010 art. 6574, fonction 20 soit :

  1. Section maternelle : 13 492.12 €
  2. Section élémentaire : 35 432.10 €

 Ces sommes seront mandatées sur présentation des états de fréquentation.

Jean Michel Zammit indique que l'on confond deux choses dans cette délibération :
- la subvention pour frais de scolarité de l'école élémentaire que la loi prévoit,
- la subvention pour l'école maternelle qui va au delà de ce que la loi prévoit.
Il demande à ce que cette délibération soit scindée en deux.
Il ajoute qu'il ne conteste à personne le droit de scolariser ses enfants à l'école Sainte Madeleine, mais il estime que ce choix privé ne doit pas peser sur la collectivité, que les 13 000 € pourraient être ventilés sur les écoles publiques de la commune.

Monsieur le Maire refuse de scinder la délibération qui est adoptée à la majorité : 30 pour et 3 contre (Hélène Dressayre, Blandine Gomart-Jacquet, Jean Michel Zammit)

 

28 - CONTRAT DE FOURNITURE D’EAU POTABLE – SUPPRESSION DE LA DEMANDE DE DEPOT DE GARANTIE AU BENEFICE DU SERVICE DE L’EAU

Monsieur le Maire informe le Conseil Municipal que la loi n° 2006-1772 du 30 décembre 2006 sur l’eau et milieux aquatiques impacte certaines conditions générales des contrats de fourniture d’eau potable comme le dépôt de garantie pour  branchement au réseau d’eau potable.

Monsieur le Maire rappelle que la Commune avait pris une délibération n° 91 du 30/06/1998 fixant les conditions pour le dépôt de garantie et que le montant de ce dernier avait été fixé à 500,00 FF soit 76,22 €.

La loi n° 2006-1772 a interdit le versement d’un dépôt de garantie pour le branchement d’eau.

Il convient donc, par la présente délibération, d’annuler à compter de ce jour la demande de dépôt de garantie telle qu’elle avait été fixée par la délibération n° 91 du 30/06/1998.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

29 - REMISE GRACIEUSE DE PENALITE EN MATIERE D'URBANISME

Monsieur le Maire informe le Conseil municipal qu'en matière de taxes et participations d'urbanisme, les délais de paiement sont fixés par le Code Général des Impôts.

A défaut de paiement à la date d'exigibilité, la Trésorerie applique un régime de pénalités et d'indemnités de retard.

Selon les arguments invoqués par le titulaire de l'autorisation de construire, Monsieur le Maire est habilité à étudier une demande de remise gracieuse.

Toutefois en application de l'article L215-A du Livre des procédures fiscales, seules les assemblées délibérantes des Collectivités Territoriales sont compétentes pour accorder la remise gracieuse des pénalités.

La Trésorerie de TOULON IMPÔTS nous a fait parvenir avec avis favorable les demandes de remise gracieuse pour cinq dossiers pour un total de 1 524 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

30 - REALISATION ET ENTRETIEN DES AMENAGEMENTS PAYSAGERS SUR LE DOMAINE PUBLIC ROUTIER DEPARTEMENTAL

Dans le cadre de l’aménagement du carrefour entre la route départementale n° 560, la route départementale n° 560 A et la route départementale n° 83, la commune est amenée à définir par une convention les conditions de réalisation et d’entretien des aménagements paysagers situés dans l’emprise de la RD 560, au carrefour avec les RD 560A et 83.

La convention indique qu'à compter du 1er octobre 2010 la commune s'engage à assurer l'entretien, la maintenance et l'exploitation des aménagements paysagers situés dans le périmètre.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

31 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR AMENAGER UN CHEMINEMENT PIETON ENTRE LA PLACE MALHERBE ET LE PARKING DES CERISIERS

L’aménagement a pour but est de créer un axe fort permettant aux piétons de cheminer en toute tranquillité depuis le parking des cerisiers vers le centre ville ou en direction de l’ensemble monumental Basilique / Couvent Royal.

COÛT TOTAL DE L'AMENAGEMENT : 130 000 € HT

FINANCEMENT :
Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur : 39 000,00 € H.T. (30,00 %)
Conseil Général du Var : 39 000,00 € H.T. (30,00 %)
Autofinancement : 52 000,00 € H.T.(40,00 %)

Claude Nerin indique que lorsqu'on parle de laisons douces on évoque des cheminements piétons et des pistes cyclables. Les quatre opérations présentées étant destinées à raccorder des quartiers au centre-ville, souvent dans un rayon de plus de 500 m, il demande pourquoi ne sont pas prévues également des pistes cyclables.

Jacques Freynet lui répond que la réflexion sur les pistes cyclables sera menée lorsque la déviation sera achevée.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

32 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR AMENAGER UN CHEMINEMENT PIETON AU CHEMIN DE LA GARE

Il s’agira de poursuivre l'aménagement du boulevard Saint Jean en direction de la RD N7 et du collège Henri Matisse et de relier le quartier de la gare avec le centre ancien.

COÛT TOTAL DE L'AMENAGEMENT : 80 000 € HT

FINANCEMENT :
Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur : 24 000,00 € H.T. (30,00 %)
Conseil Général du Var : 24 000,00 € H.T. (30,00 %)
Autofinancement : 32 000,00 € H.T.(40,00 %)

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

33 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR AMENAGER UN CHEMINEMENT PIETON AU CHEMIN DU GRAND RAYOL

En continuité du chemin de Saint Simon, le chemin du Grand Rayol assurera la liaison et la continuité piétonne entre le futur quartier de Bonneval, les quartiers du Petit et du Grand Rayol et le centre ancien.

COÛT TOTAL DE L'AMENAGEMENT : 270 000 € HT

FINANCEMENT :
Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur : 54 000,00 € H.T. (30,00 %)
Conseil Général du Var : 81 000,00 € H.T. (30,00 %)
Autofinancement : 135 000,00 € H.T.(40,00 %)

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

34 - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR AMENAGER UN CHEMINEMENT PIETON AU CHEMIN DU MOULIN

Il s'agit de permettre une continuité piétonne depuis l’allée des Cyprès (hameau des Peyrouas) jusqu’à la chapelle Saint Jean.

COÛT TOTAL DE L'AMENAGEMENT : 100 000 € HT

FINANCEMENT :
Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur : 30 000,00 € H.T. (30,00 %)
Conseil Général du Var : 30 000,00 € H.T. (30,00 %)
Autofinancement : 40 000,00 € H.T.(40,00 %)

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

35 - CONTRAT LOCAL DE SECURITE : Approbation du bilan des actions 2009 subventionnées par la Région

La commune de Saint-Maximin a signé en 2001 un Contrat Local de Sécurité, formalisant ainsi ses engagements avec les communes de son bassin de vie, en collaboration avec le Département du Var et la Région PACA.

Ce dispositif met en œuvre des actions favorisant l’accès au droit et de lutte contre l’insécurité et la prévention de la délinquance, et a permis de renforcer le partenariat local, la collaboration institutionnelle ainsi que la mise en place de services de proximité.

Les actions de ce dispositif sont approuvées par les partenaires, sous réserve d’approbation par le Conseil Municipal du bilan 2009, comportant les actions relatives :

            - aux chantiers de jeunes
            - à la sécurisation des abords scolaires
            - à l'antenne de Justice et du Droit

Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal de réaffirmer l’approbation du bilan touchant les actions précitées et en conséquence de solliciter le versement des subventions prévues par la Région.

Alain Decanis demande à ce que soit organisée une réunion afin que les élus de l'opposition puissent prendre connaissance du contenu du CLS.

Après réflexion, Monsieur le Maire accepte. A suivre...

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

36 - ACCUEIL D’UN ÉTUDIANT EN STAGE AU SERVICE CULTURE

Monsieur le Maire rappelle au Conseil Municipal que la saison culturelle commence dès le mois d’avril, avec la foire médiévale, et s’étend de façon continue jusqu’en octobre.

Il apparaît opportun d‘accueillir un étudiant qui intègrerait le service dans le cadre de son stage de fin de Master 2 Professionnel « Management des Organisations Culturelles » pour une période de 6 mois. Son niveau d’études et sa motivation seraient un atout pour le service.

En application des textes en vigueur, une gratification égale à 12.5% du plafond de la Sécurité Sociale pourra lui être versée ; ses frais de missions s’il y a lieu, seront remboursés.

Monsieur le Maire précise que la dépense consécutive est prévue au budget primitif 2010.

Monsieur le Maire demande au conseil municipal de reconnaître l’intérêt pour la collectivité d’accueillir un stagiaire dans les conditions précitées et de l’autoriser à signer toutes pièces afférentes à cette démarche.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

37 A - DEMANDE DE SUBVENTION A LA DRAC POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE

L’entretien de l’orgue de la Basilique de St Maximin demeure à la charge de la commune.

Le Ministère de la Culture (DRAC) est en mesure de subventionner les dépenses de cette opération à hauteur de 25 % du montant H.T de la prestation, le contrôle de l’opération étant toujours assuré par un technicien agréé près du Ministère de la Culture pour le patrimoine instrumental.

Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal

De reconnaître l’opportunité de la poursuite de cet entretien et de solliciter une subvention du Ministère de la culture (DRAC) et la participation de l’état à hauteur de 25 % du montant  H.T. de la prestation.

Monsieur le Maire précise que le montant du contrat d’entretien dressé par Yves CABOURDIN, Facteur d’Orgues est de 5 590,00 € H.T.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

37 B - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL GENERAL POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE

Le conseil municipal a approuvé par délibération n° 37 A la poursuite de la politique engagée concernant l’entretien de l’orgue  de la Basilique de Saint-Maximin et le contrat d’entretien du facteur d’orgues Yves Cabourdin, dont la prestation s’élève à 5 590,00 €.

Une demande de subvention de 25 %  du montant H.T a été formulée auprès du Ministère de la Culture (DRAC).
 
Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal de l’autoriser à solliciter le département pour une subvention la plus large possible sur le montant restant à la charge de la commune.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

37 C - DEMANDE DE SUBVENTION AU CONSEIL REGIONAL POUR L'ENTRETIEN DE L'ORGUE

Le conseil municipal a approuvé par délibération n° 37 A la poursuite de la politique engagée concernant l’entretien de l’orgue  de la Basilique de Saint-Maximin et le contrat d’entretien du facteur d’orgues Yves Cabourdin, dont la prestation s’élève à 5 590,00 €.

Une demande de subvention de 25 %  du montant H.T a été formulée auprès du Ministère de la Culture (DRAC).
 
Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal de l’autoriser à solliciter la région pour une subvention la plus large possible sur le montant restant à la charge de la commune.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

38 - DEMANDE DE SUBVENTION A LA DRAC POUR TRAVAUX DE RESTAURATION DU RETABLE ET DES PANNEAUX ANONYMES DU XVI°SIECLE (Classement 17 mars 1908-numéro base Palissy PM83000491)

Rétable :

Ce retable décore la 1ere chapelle du collatéral nord de la basilique Sainte Marie Madeleine (Chapelle dite des Fonts Baptismaux- Monographie de l’église de Saint-Maximin L.ROSTAN et F.CORTEZ, 1899°)

En bois naturel, il est sculpté de guirlandes de fleurs et surmonté d’un gradin. La toile est bordée d’un cadre et attributs funéraires d’un Dieu le père et de deux ailerons sculptés d’attributs funéraires, elle représente une « Vierge de consolation pour les âmes du Purgatoire », œuvre de Michel SERRE.

La chapelle qui abrite ce retable et cette toile a été profondément détériorée par des infiltrations d’eau de pluie abondante avant la restauration des collatéraux lors de la dernière campagne de travaux. Ainsi le mobilier se détériore et régulièrement des chutes d’éléments du retable se produisent (le récolement général de 1993 parlait déjà d’éléments de décoration déplacés dans la sacristie).

Cette chapelle devenue la boutique de l’association des Amis de la basilique, accueille du public. L’expertise de la Conservation des Monuments Historiques préconise donc le démontage de ce retable. Celui-ci ainsi que la toile seront stockés dans les locaux de l’entreprise de Gilles TOURNILLON avant une éventuelle restauration.

Quatre panneaux anonymes :

Selon l’abbé Albanès, cité par L.ROSTAN, ces quatre panneaux seraient des vestiges des dorsaux des anciennes stalles du chœur. Ils représentent Saint Sébastien, Saint Thomas d’Aquin, Saint Laurent, et Saint Antoine.

Installés au mur de la 2ème chapelle du collatéral sud, ces panneaux sont en très mauvais état rongés et obscurcis.

En octobre 2007 ces panneaux ont été transportés au CICRP à Marseille (Centre Interrégional de Conservation et de Restauration du Patrimoine) pour être étudiés par le professeur NISHINO, universitaire japonais, spécialiste de la peinture provençale du XVI° siècle.

Pour une meilleure étude ces panneaux ont été dans un premier temps consolidés. Ils doivent maintenant être traités pour des mesures de conservation et être enchâssés dans un support de bois. Ils seront ensuite exposés dans la 1ère chapelle du collatéral sud de la basilique.

En vue de la restauration du retable et de ces panneaux anonymes (Panneau I : St Laurent et St Antoine situé à gauche dans la chapelle et Panneau II : St Sébastien et Saint Thomas situé à droite dans la chapelle), deux devis (joints en annexe) ont été établis.
Le montant estimé s’élève à :

1ère chapelle collatéral nord RETABLE dépose et stockage

G. TOURNILLON                           6 519,35 € (H.T)                    7 797,14 € (T.T.C)
Subvention DRAC 45%                  2 933,70 €

Total à payer par la commune : 4 863,44 €

Panneaux anonymes du XVIème siècle

G. TOURNILLON                           7 697,72 € (H.T)                    9 206,47 € (T.T.C)
MATSUNAGA                               8 550,50 € (H.T.)                 10 225,80 € (T.T.C)

Total                                          16 248,22 €                           19 432,27 €

Subvention DRAC 45 %                 7 311,70 €

Total à payer par la commune : 12 120,57 €

 Le montant total de la subvention à demander à la DRAC est de 10 245,40 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

39 - ANNULATION DE TITRES SUR LE BUDGET DE LA COMMUNE

Il est proposé d'annuler deux titres relatifs à des recettes d'ordures ménagères suite à des erreurs d'enregistrement.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

40 - ANNULATION DE TITRES SUR LE BUDGET DE LA COMMUNE

Il est proposé d'annuler un titre relatif à une recette de cantine suite à une erreur d'enregistrement.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

41 - ANNULATION D'UNE FACTURE D'EAU

Il est proposé d'annuler une facture d'eau d'un montant de 7.17 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

42 - ANNULATION D'UNE FACTURE D'ASSAINISSEMENT

Il est proposé d'annuler une facture d'eau d'un montant de 38.33 €.

La délibération est adoptée à l'unanimité.

 

QUESTIONS DIVERSES

Alain Decanis : Monsieur le Maire, pouvez-vous nous dire si vous avez reçu des observations du contrôle de légalité concernant la validité de la délibération relative au parc photovoltaïque de Sceaux, que vous aviez ajouté en dernière minute, à la suite de quoi nous avions quitté la séance.
Monsieur le Maire : oui, le Sous Préfet m'a menacé.

Alain Decanis : Pourriez-vous nous dire où on en est concernant la DSP sur les Ordures Ménagères ?
Gabriel Rinaudo : La DSP a été arrêtée. Le Maire de Saint Maximin Alain Pénal a été nommé PDG de la SEM. La procédure d'attribution va être relancée mais par lots séparés.

Jean Michel Zammit : Monsieur le Maire, pourriez-vous nous indiquer le taux de chômage sur la commune ?
Véronique Guerin : le pôle de l'emploi a comptabilisé 800 chômeurs sur Saint Maximin.